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Jeunes délinquants : entre réalité, fantasme et surexposition

Plusieurs faits divers tragiques ont impliqué de jeunes auteurs en 2024. Cris d'horreur sur les plateaux télévisés, bandage de muscles des politiques, tandis que les moyens manquent cruellement à l'Education nationale comme à la Protection judiciaire de la jeunesse. Quand on se penche sur les faits, on voit surtout que la violence commise par de jeunes auteurs est trop et mal traitée dans les médias.

Commentaires préférés des abonnés

Or les actes pour lesquels les mineurs sont principalement mis en cause sont pour de petits vols, l'usage de stupéfiants, des outrages, des dégradations.


Rappelons que le délit d'outrage correspond en pratique à "il a juste la mauvaise couleur de peau(...)

les jeunes sont costaux, agressifs et violents, depuis la plus haute antiquité ils font peur aux vieux qui n'en ont plus les capacités physique et intellectuelles, parce qu'en plus ils sont insolents et répondent du tac au tac des arguments irréfutab(...)

Derniers commentaires

Toujours des chroniques parfaites.  Merci ! Un vrai plaisir de trouver une analyse si riche.

Merci pour cet éclairage. Quand je lis un tel article, je sais pourquoi je m’abonne ! 

Article salutaire, notamment par les statistiques qui y sont données. Ça devrait être le rôle de tous les médias de mettre ainsi en perspective les faits, surtout en cette période de crise de la démocratie. Merci à vous !!

les jeunes sont costaux, agressifs et violents, depuis la plus haute antiquité ils font peur aux vieux qui n'en ont plus les capacités physique et intellectuelles, parce qu'en plus ils sont insolents et répondent du tac au tac des arguments irréfutables

la dépénalisation du cannabis libèrerait la moitié des détenus, la population carcérale reviendrait à la moyenne de pays démocratiques, abstraction faite des dictatures qui les font mourir à la guerre!

Or les actes pour lesquels les mineurs sont principalement mis en cause sont pour de petits vols, l'usage de stupéfiants, des outrages, des dégradations.


Rappelons que le délit d'outrage correspond en pratique à "il a juste la mauvaise couleur de peau mais je ne peux pas écrire ça sur mon rapport alors je mets outrage".

Les chiffres correspondant à ce délit ne reflètent donc pas l'évolution de la délinquance mais celle du racisme policier.

source : Evian

certes mais l'article dit un truc différent de jammrek. pour rappel ce que dit jammrek :


Les chiffres correspondant à ce délit ne reflètent donc pas l'évolution de la délinquance mais celle du racisme policier.


ce qui est une phrase totalement gratuite.

quand à la famille Traoré, je ne vais pas pleurer.

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