66
Commentaires

Johnny, ambiguïtés d'une icône populaire

Commentaires préférés des abonnés

Bon alors,  je vous aime bien mais quand même... demander à deux personnes qui ne savent pas grand chose sur le sujet (connaissent à peine son répertoire,  jamais vu ses films), ça fait un peu juste non? La piste de la mélancolie aurait pu (...)

Curieuse émission. Des personnes qui ne connaissent rien de celui qui était avant tout un chanteur et qui commencent par discourir sur ce qu'en pensaient la gauche et la droite. J. Hallyday a toujours affiché des idées (pour ce qu'il en avait, soit d(...)

???

À mon humble avis vous êtes passé complètement à côté du sujet.. Car Johnny c'était une voix, ni plus ni moins qu'une voix : il n'écrivait pas, ne composait pas, il ne savait pas jouer, la seule chose qu'il avait c'était sa voix. Une très belle vo(...)

Derniers commentaires

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Merci à Vous pour cette émission.

Je crois que la question de l'objet s'illustre, aussi, dans L'aventure c'est l'aventure de Claude LELOUCH sorti en 1972 et dans Jean-Philippe de Laurent TUEL sorti en 2006.

C'est un peu embêtant d'entendre parler de Johnny sous cet angle moralisateur ( surtout votre post-popeuse), et sans vraiment connaitre sa valeur ajoutée. Johnny n'était pas un créateur, seulement un interprète d'exception. Il faut l'envisager sous l'angle de l'émotion, si ce mot évoque quelque chose à votre post-popeuse. Un très beau jeune homme, inspirant toutes les filles nées dans les années 50 et leurs mères. L'image de rebelle vient sans doute de ce qu'il a démarré en pleine adolescence, sans bagage scolaire, et issu d'un milieu non-petit-bourgeois.  Toute une génération,  aussi bien populaire que bourgeoise, analphabètes et bac+10, a appris le twist avec lui, et l'a suivi au long de sa carrière d'interprète, les meilleurs auteurs-compositeurs français ayant écrit pour lui. Il faut aussi se demander pourquoi de grands cinéastes ont fait appel à lui comme co-acteur principal dans leurs films. Franchement, cette émission post-pop n'est pas au niveau d’arrêt-sur-image, il y manque au moins un intervenant connaissant le sujet, et de plus avec un grain de sensibilité.

jauni était un pur produit marketing, exilé fiscal, qui plus est... et l'hommage national qui lui a été rendu par la macronie, ses ancêtres et ses enfants, un véritable scandale!


Pardonnez moi mais je fais une fixette sur les titres.


Si Djoni est une icône, ça veut dire que c'est pour de semblant ? 


Parce que même au fin fond de la plus profond des profondes Russie, un icône, c'est une image, sainte de préférence.

Et je vois mal Djoni en saint d'une quelconque religion. 

Ou j'ai raté un épisode.


Ha ! Encore une émission d' "experts". J'écoute pas mais j'aime pas. Moi j'aime bien (faut dire qu'il m'est arrivé de pas mal l'écouter).

J'aimerais proposer que soit réalisé un numéro de post-pop spécial Jacques Dutronc en tant qu'acteur. Dutronc s'est fort bien débrouillé tout au long de sa carrière, à mon sens (Violette et François drame de 1977, ou Le bon et les méchants drame historique de 1976, pour ne citer que ces deux là). Rafik au top, continuez comme cela! Sinon, pour la forme, il pourrait être souhaitable que les gens désignent désormais Johnny en tant que Jean-Philippe Smet à présent que l'étoile est éteinte. Las, on a pas fini d'en bouffer, du Johnny!

Très curieuse cette émission. J'avais bien apprécié les précédentes, mais là... 

Les intervenants semblaient assez "détachés" du sujet tout en nous gratifiant de tous les clichés france-soir.


Une icône ? allons une création commerciale.

Johnny la machine a capter la répartition des cotisations forfaitaires de la Sacem

Ce concert au ridicule accompli où étaient conviés tous les grands commités d'entreprises afin de bien alimenter la demande.

Quid, des amateurs endettés par la "fabuleuse" tournée de Las Vegas ?

Point positif de l'émission se faire succéder une des meilleures chansons de Johnny avec une de Bruce Springsteen rien que là on sent la daube, de même avec Eric Burdon. Parallèle aussi hilarant avec Clint Eastwood.

Donc une part de dérision voulue ( je pense et j'espère) dans une recherche explicative de la ferveur populaire. 

Mais y a t-il cette ferveur populaire ? Je connais quelques véritables amateurs de Johnny et je respecte leur goût, mais c'est loin d'être une majorité. Maintenant à force de se le faire inséminer à tour de radios périphériques il se créait une nostalgie, quelque chose de Tennessee ;=)) 

Je crains que vous ne confondiez populaire et public

Rappelez  vous Lady Di...

D'ailleurs vous avez des nouvelles de leur fils caché Manu ?


Delphine Chédaleux devrait  parfois s'intéresser aux biographies des personnes qu'elle critique . Alain Finkielkraut  n'est pas d'extrême droite et n'est pas un grand bourgeois .Il est fils de tailleur juif  polonais rescapé  de l'extermination . Son discours ( un peu scrogneugneu)  est celui de la méritocratie républicaine qui vénère les grands auteurs et méprise la culture populaire .

Nul!

Je n'ai pas pu m'intéresser à cette émission. La seule chose que j'ai trouvé intéressante c'est le fait que des sociologues devraient s'intéresser au phénomène Johnny (à moins que ce ne soit déjà fait, les invités discourant sur un sujet que visiblement ils ne connaissent pas). 

Cette émission est de plus en plus indigente. Si c'est pour entendre les opinions de gens qui n'y connaissent rien, je peux inviter 3 potes chez moi : c'est gratuit. Là, y'a un abonnement à payer, on s'attendrait à une qualité minimale de contenu.

Nooon pas vous ! Tout ce foin pour ce chanteur, tous les journaux people dont fait partie la presse main stream, on déjà fait leurs choux gras sur ce non évènement. Je suis déçu que vous vous y mettiez aussi, parce que tout ce foin nous pête les rouleaux.

ASI sur Johnny, je n'hésite pas une seconde ! Mais quelle déception ! 

On est complètement passé à côté du chanteur et de ce qu'il incarne, une vie, pour ne s'intéresser, entre autres, qu'à des saynètes ridicules sur scène et des films non incarnés. 

Les a-priori ne font pas une argumentation; ils la biaisent.

aujourd'hui est bien le premier jour de la semaine et je me fais écrire que je ne peux pas offrir plus d'une fois par semaine un article ,ou une émission, Quand donc commence la semaine en France? 

 j'avoue ne pas comprendre cette remarque.  -,en plus  ce jour portant la date du 2 décembre ,-je croyais qu'une semaine commençait par ce jour communément  appelé "Lundi" !


"L'homme du train", "Vengeance", avez-vous vraiment parlé de la filmographie de Johnny dans cette émission? Et pourtant, je ne suis pas un grand fan ni un fin connaisseur. Très déçu, alors que j'aime bien vous regarder d'habitude...

Déçu comme beaucoup. Une émission sur un chanteur où on  ne parle pas de musique, de voix... c'est étonnant. Pourtant les deux intervenants peuvent être excellents dans le domaine du cinéma et surtout quand ils connaissent leur sujet. Ici rien.... L'intervention de Daniel S. est symptomathique : "vous allez apprendre que ce n'est pas Jonny qui a fait les portes du pénitencier" !!! Daniel soyons sérieux : qui un peu connaisseur de Johny ne sait pas que la chanson est de The Animals... merci pour l'info. Pour terminer je reprends quelques commentaires : les fans de Johnny s'en foutent pas mal qu'il soit de gauche ou de droite, d'ailleurs c'est ça le problème de cette émission : un faux sujet. Allez Post pop après ce patinage dans la semoule, concoctez nous une bonne prochaine émission.

L'émission aurait gagné à avoir sur le plateau plus de diversités de points de vue. Essayer d'avoir à tous prix une analyse politique droite gauche est un peu court. Hallyday émerge dans les années soixante (et ses fans vont vieillir avec lui) où il y a eu une soif d'US A :, musique, cinéma, espace de liberté,  par un français, qui fait rêver et qui représente le début d'une conquête culturelle. Fallait-il une minute de silence à l'assemblée où pour le coup droite et gauche était debout de peur de perdre des électeurs. Etait-ce un vrai produit marketing ou un vrai chanteur. Le principe du star systeme, "l'idole des jeunes"  valait pour le coup d'être  analysé.

Je suis surprise par cette émission, d'autant plus que je trouve généralement le contenu ASI très intéressant. Là, il y a un raté malheureusement. Traiter du phénomène Johnny aurait pourtant pu être absolument passionnant. Quelques remarques, en vrac :

- Pourquoi ne pas avoir donné la parole à des fans de Johnny ? Dès le début de l'émission, on convient qu'aucune étude sérieuse n'a été mené pour cerner son public mais j'ai l'impression qu'on se contente de le déplorer mollement sans pour autant essayer de creuser davantage. Je ne remets pas en cause l'apport des deux invités mais tout de même... ils avouent ne pas aimer particulièrement le chanteur. Leur parole me semble donc bien insuffisante pour comprendre le phénomène.

- Deux ans après sa mort, le succès de Johnny ne se dément pas. Il a sorti plusieurs albums (et celui de son sosie vocal cartonne), le tout dans un contexte de contestation sociale (gilets jaunes, veille de grève). Il y a aussi le feuilleton "héritage" qui passionne, un projet de musée etc.
 Si l'on part de l'hypothèse que  GJ/manifestants et fans de Johnny se recouvrent en partie, c'est très intéressant à explorer. Comment un très riche exilé fiscal peut-il être considéré comme un allié par une partie de la population qui s'attache pourtant à dénoncer les inégalités ? Le sujet est abordé très en surface... D'ailleurs, au moment où une invitée aborde la question GJ, elle se fait assez sèchement rabrouer par DS pour qui, apparemment, ce n'est pas pertinent.

- Je suis aussi très étonnée de la manière dont le positionnement politique Johnniesque est traité par dessus la jambe avec une grille de lecture inopérante : droite ou gauche ? Une large partie de la population se considère comme peu politisée au sens classique du terme et ne voit pas le monde de cette manière binaire. Pourtant, sorti de cette grille de lecture, DS semble considérer que nulle politique ne peut exister. On se contente de montrer un extrait de spectacle mettant en scène une fausse baston en concluant : "c'est pas politique ça, c'est 'rebel without a cause'". Pourtant TOUT est politique ! Comme le fait remarquer le second invité, Johnny transporte avec lui tout un système de valeurs...

- Quels valeurs ? On ne le saura pas trop. On se contente de s'étonner de cette imagerie nord américaine. "Comme c'est pittoresque ces routes et ces motels, vraiment, qu'est-ce que les gens peuvent bien y trouver ?"... Oubliant par là que pour une grande partie de la population, la route, la station service, le F1, l'Autogrill, les grands champs à perte de vue, c'est le quotidien... et qu'il est donc beaucoup plus facile de s'identifier à l'imagerie véhiculée par les clips de Johnny que lorsque l'on ne se déplace qu'en trottinette entre le 9ème et le 11ème.

- Qu'a-t-on voulu dire avec la seconde partie de l'émission et tous ces extraits de séries, films, concerts ? En résumé : "Johnny à importé la culture américaine en France il faut le reconnaître, mais regardez comme c'était ridicule". C'est super léger du point de vue de l'analyse. Et encore une fois, remarquons que TOUS les extraites datent d'avant les années 2000. Cela n'aurait pas forcément été un problème si un angle clair avait été posé dès le départ, sauf que là, ce n'est pas le cas. Je ne suis pas sûre d'avoir compris de quoi on parlait exactement. De Johnny et de son public ? De Johnny comme figure politique ? Médiatique ? De Johnny dans la pop culture ? Sur quelle temporalité ?

Je fais ces remarques en toute sympathie, vraiment. Elles sont le reflet de mes attentes par rapport à ASI qui sait si bien proposer de la qualité et prendre de la distance sur des questions que peu de médias analysent en profondeur. Et je sais qu'on ne peut pas être au top tout le temps. Bon courage et bonne journée

Y a quand même un poil de toutologie dans ces post-pop, non ?

Johnny et le cinema sans extraits de Détective de Jean Luc Godard ni de L’Homme du Train de Patrice Leconte ou de l’Aventure c’est l’aventure de Claude Lelouch avec Jacques Brel c’est un peu court !  

Johnny n'est rien de Finkeltruc, mépris de classe etc, et vous qui ne l'aimiez pas, d'où vient votre mépris ou indifférence?

On voit bien que Daniel aime bien ces commentateurs. On les voit souvent. C'est bien l'amitié. Rien à redire, sauf que moi, je ne les aime pas beaucoup. J'ai arrêté à la 10ème minute. Bon, y'a pas mort d'homme...

Je n'ai rien à dire sur Johnny, mais par contre j'aimerais que vous arrêtiez de citer ou passer des extraits de Finkelkraut ou Elisabeth Lévy dans presque toutes vos émissions, ces deux là me font vomir, il n'y a pas d'intervenants plus intéressants et plus constructifs à qui faire appel ? Les citer systématiquement me semble être de la pure facilité, ayant toujours une connerie à dire sur tous les sujets. Cordialement.

Bonjour,

Franchement? Je ne comprends pas. Parlez de choses qui vous parlent un tout petit peu, enfin! Ou bossez le sujet! Restez focusés sur le cinéma je crois. La musique n'est clairement pas votre sujet. Donc, vraiment étonnant comme émission. Vous êtes passés... heu... com-plè-te-ment à côté du sujet. Vraiment.

J'aime ou j'ai aimé les chansons, la voix de Johnny, même si le personnage et son regard ne m'évoquent pas grand-chose, mais l'artiste-interprète-importateur-chanteur de plus de 1000 chansons n'a pas eu d'équivalent en France et en pays francophones alors le vide de vos propos et/ou le hors-sujet sur un sujet aussi "puissant" m'étonnent carrément vous concernant tous les 3.

Débriefez ensemble je crois que c'est très important pour ne pas refaire les erreurs de cette émission.

Et aussi courage car les commentaires vont certainement pleuvoir vu la figure emblématique qu'il est...

Je ne vais pas écouter jusqu"au bout et je n'écoutais pas johnny non plus ! 


Dans ma cité de province, on n'écoutait pas johnny , on écoutait du Funk , du Blues , du Reggae et à la maison y avait pas de musique ou très peu , un 33trs d' Edith piaf , un 45 trs de  Paul Anka, un 33 de Brel, un 33 de brassens, et quelques autres 45 trs... très peu ... Chez nous c'était la radio le matin et "aller jouer dehors" le reste de la journée.


Sans oublier dans les colonies de vacances sanitaires , 45 jours de chansons populaires chaque été qu'on reprenait en choeur , en marchant , dans les veillées... Boris Vian , Hugues Aufray , Leonard Cohen, Graeme Allwright , Joan Baez, Bob Dylan...



Voilà mon héritage musical populaire ! c'est toujours étonnant de passer entre les gouttes des analyses sociologiques... 


Nous n'étions et sommes personne, non répertorié , ni populaire ni français , ni fan ni pas fan. 


Johnny n'existait pas et nous n'existions pas non plus.

La comparaison avec Bruce Springsteen ne me convainc pas.

Une authenticité chez le Boss, auteur-compositeur de génie, artiste engagé, voix des exclus du rêve américain (superbe Ghost of Tom Joad), qu'il serait vain de vouloir rechercher dans le répertoire de Johnny, simple interprète d'adaptations de standards US, de musiques composées par d'autres, de textes disparates.

L'imitateur sous influence des USA face au géant qui y est né.

Johnny représente mes 15 ans, et lui en avez 17, et à cette époque il représentait notre jeunesse, avec des droits, faut pas croire il était interdit de radio et de télé. bref johnny c'est une voix et "chanteur populaire" parce qu'il donnait tout ce qu'il avait de ses tripes. Et lui son idole était Elvis Presley, de ce fait par lui Johnny les jeunes de notre époque avait Elvis et Lui.

Bon alors,  je vous aime bien mais quand même... demander à deux personnes qui ne savent pas grand chose sur le sujet (connaissent à peine son répertoire,  jamais vu ses films), ça fait un peu juste non? La piste de la mélancolie aurait pu être exploitée, mais non. Gendre idéal, vraiment? Balancer entre: " il était nul et n'a fait que copier (pardon, traduire!) les autres" et "mais on doit quand même le respecter parce que les pauvres l'aimaient, et nous on aime les pauvres", oh là à... Bourdieu où es-tu? 

ps. Eddie Constantine ne jouait pas à être américain, il était américain. 


Et Johny chez Godard (Détective, 1985)? Pas assez populaire pour le mentionner?


(et merci pour l'émission!)

Certains d'entre nous savais déjà que Le pénitencier était américain. :) C'est une chanson folklorique.

Je conseille la version par Odetta.

Curieuse émission. Des personnes qui ne connaissent rien de celui qui était avant tout un chanteur et qui commencent par discourir sur ce qu'en pensaient la gauche et la droite. J. Hallyday a toujours affiché des idées (pour ce qu'il en avait, soit dit en passant) clairement à droite, mais ce n'est certainement pas un critère pour ses fans et ses détracteurs. Choix d'extraits de concerts et de films très datés et sur une période très resserrée. C'était uniquement un interprète avec une voix (manquant de nuances à mon goût). Bien que ne l'appréciant pas particulièrement, j'ai assisté au spectacle lors de la sortie du CD Tennessee, mis en scène par Michel Berger, avec des musiciens excellents et l'un des meilleurs éclairagistes. J'y ai vu un chanteur qui avait une réelle présence sur scène et qui savait s'entourer des meilleurs. Je crois que vous êtes passés à côté du sujet.

Pour les quelques fans de Johnny que je connais, appartenant pour la plupart aux classes populaires, ses orientations politiques n'avaient aucune espèce d'importance. Ils l'aimaient pour son look dont certains s'inspiraient, pour sa voix, pour la qualité de ses musiciens, pour ses shows à grand spectacle.

Ce sont tous des inconditionnels, des adorateurs de l'idole. Certains l'ont suivi sur presque toutes les scènes où il s'est produit. Des groupies d'un âge avancé.

 être agacé par les airs supérieurs et le mépris ironique du plateau et, en même temps ....  s'y voir soi-même en miroir

Johnny a bien existé, mais c'était avant la guerre contre les machines : https://www.youtube.com/watch?v=qXc2LlwLaHk

Johnny et le mépris de classe,  intéressant à lire ... c'est une des premières phrases de Delphine Chedaleux qui m'y a fait pensé "dans ma famille on n'écoutait pas Johnny "

https://www.nouvelobs.com/culture/johnny-hallyday/20171206.OBS8852/comment-j-ai-neglige-johnny-par-mepris-de-classe-avant-de-devenir-fan.html

???

À mon humble avis vous êtes passé complètement à côté du sujet.. Car Johnny c'était une voix, ni plus ni moins qu'une voix : il n'écrivait pas, ne composait pas, il ne savait pas jouer, la seule chose qu'il avait c'était sa voix. Une très belle voix d'ailleurs. Vous avez à peine effleuré ses fêlures, or il est évident que celles-ci (notamment son rapport au père) sont en rapport direct avec la puissance de sa voix. 

Il a existé par sa voix, rien à voir avec l'image ou la politique où je ne sais quoi encore, la voix, juste sa voix, le reflet de son âme blessée. 

Cela dit le passage du film Terminus était sympa.

Manifestement, you know nothing, Lord Farell ! 

Parce qu'à sa toute première apparition à la TV en 1960 à l'âge de 17 ans, aux côtés de sa « marraine » Line Renaud, Johnny chante et joue de la guitare.

Je parlais de son jeu d'acteur, je sais bien qu'il savait (un peu) jouer de la guitare. Quant à Johnny compositeur, quoi, vraiment.. vous y croyez ? C'était un chanteur point barre. Sa voix, c'est sa voix qui a l'a fait existé. Car il a bien existé, quoiqu'on en dise

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Il a quand-même composé une centaine de chansons dans sa carrière (y compris pour d'autres artistes), la plus célèbre étant "La musique que j'aime" (co-composée avec Michel Mallory) mais dans les grands crus il y a "La génération perdue" ou "La fille à qui je pense".
Quand à savoir jouer, ce n'était pas un virtuose mais il savait jouer de la guitare.

Une voix et une gueule, s'il avait eu la mienne, je doute qu'il eut fait une telle carrière :-D

Allo ! C'est jauni ... t'avais qu'à le laver à l'eau tiède !


Plus de 54  minutes consacrées à ce beuglant, je n'ai pas le courage ...


Puis-je  résumer :  de la merde, de la merde, de la merde ...

Je suis licencié en mathématiques de l'université de Genève, je suis aussi pianiste  de jazz, j'adore Miles Davis, le hard-bop ,  j'adore la musique sérielle et le théâtre no,  j'aime Soulages  et Picasso , j'aime Mozart et Bach ... j'aime la musique irlandaise traditionnelle,  j'aime Yvette Horner .... et puis j'aime Johnny .... et quand je le dis à mes pairs, on me rit au nez ....

Dans quelques décennies, on s'en souviendra comme d'un chanteur qui s'était donné un sobriquet de gitan et qui était (« à ce qu'il paraît », dira-t-on) très populaire, au point même de remplir Stade de France. Et les enregistrements audio et vidéo d'aider à raviver les souvenirs (les grand⋅e⋅s artistes divertisseurs des siècles passés n'ont pas eu cette chance-là, soit dit en passant).

vous voulez me fait sortir de ma zone de confort en plein froid de décembre....

DÉCOUVRIR NOS FORMULES D'ABONNEMENT SANS ENGAGEMENT

(Conditions générales d'utilisation et de vente)
Pourquoi s'abonner ?
  • Accès illimité à tous nos articles, chroniques et émissions
  • Téléchargement des émissions en MP3 ou MP4
  • Partage d'un contenu à ses proches gratuitement chaque semaine
  • Vote pour choisir les contenus en accès gratuit chaque jeudi
  • Sans engagement
Devenir
Asinaute

5 € / mois
ou 50 € / an

Je m'abonne
Asinaute
Généreux

10 € / mois
ou 100 € / an

Je m'abonne
Asinaute
en galère

2 € / mois
ou 22 € / an

Je m'abonne
Abonnement
« cadeau »


50 € / an

J'offre ASI

Professionnels et collectivités, retrouvez vos offres dédiées ici

Abonnez-vous

En vous abonnant, vous contribuez à une information sur les médias indépendante et sans pub.