Journalisme de sport, journalisme à sponsors
Tweets et retweets, publicité, animation d'événements, mannequinat... Le phénomène des "collaborations extérieures", qui affecte les journalistes stars, a pris une ampleur sans précédent dans les rédactions sportives. Une enquête en trois volets du journaliste spécialisé Jérôme Latta pour Arrêt sur images.
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Super sujet, super première partie d'enquête. Mais à mon sens, les invitations ou dons de cadeaux qui donnent lieu à des mentions sur les comptes Instagram et Twitter sont bien des rémunérations. Rémunérations en nature, certes, mais quand même. Je p(...)
Journaliste de merde,
Journalisme de démerde
Et l'avis risque de faire mal : si les à-cotés dépassent le salaire de journaliste, adieu la carte de presse, du coup adieu la niche fiscale et bonjour le redressement !
On a idée des sommes ? Demain peut-être...
Derniers commentaires
qui emploie aussi, pour sa branche poker, le polémiste vedette de RMC Daniel Riolo
Ah bon, Castaner n'était pas disponible ?
Jérôme Latta sur ASI, en voila une bonne nouvelle !
Bon maintenant je vais lire l'article
Super sujet, super première partie d'enquête. Mais à mon sens, les invitations ou dons de cadeaux qui donnent lieu à des mentions sur les comptes Instagram et Twitter sont bien des rémunérations. Rémunérations en nature, certes, mais quand même. Je pense même que l'Urssaf pourrait avoir un avis, puisque ces avantages sont obtenus en raison du poste occupé par les heureux bénéficiaires...
Et l'avis risque de faire mal : si les à-cotés dépassent le salaire de journaliste, adieu la carte de presse, du coup adieu la niche fiscale et bonjour le redressement !
On a idée des sommes ? Demain peut-être...
L'abattement fiscal n'est pas lié à la carte de presse.
Ah?? à quoi alors ?
A des critères dans la loi, qui déterminent qui y a droit: employé par une entreprise qui a ratifié une convention collective de presse, un métier identifié comme bénéficiaire sur la fiche de paie (journaliste, critique, photographe, etc. ) entre autres.
C'est proche des critères de la carte de presse, donc il y a un certain recoupement, mais ce n'est pas lié. La carte de presse peut aussi parfois servir de preuve en cas de litige avec l'administration fiscale.
Dans les faits les titulaires du sésame de la profession bénéficient de l'abattement, mais d'autres journalistes ou assimilés aussi, l'assiette est donc plus large.
L'abattage est admis pour une activité journalistique accessoire, pour autant qu'elle soit régulière, ce qui dans le cas qui nous occupe, ne pose donc pas de problèmes.
C'est encore pire que ce que je pensais ! Je croyais que cet abattement existait pour éviter la corruption des journalistes, si je vous comprends, elle l'encourage.
Journaliste de merde,
Journalisme de démerde