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Journalistes violentés : deux poids deux mesures sur les plateaux

Depuis le début des Gilets jaunes, des journalistes sont souvent pris pour cible sur le terrain. Par la police, et par les manifestants. Mais malgré un nombre de blessés considérablement plus important par les forces de l'ordre, la focale médiatique se fixe davantage sur les violences commises par les manifestants. Exemple avec deux cas emblématiques.

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"Des images comme celles de Rouen, ça fait très longtemps que je n'en avais pas vues, on sentait une envie de tuer. Les violences policières, c'est très grave. Mais on reste dans le cadre de ce que l'on voit habituellement en manifestation. A Rouen, (...)

Beau travail.

Ainsi, même quand ça concerne leur profession, "nos" journalistes répugnent à médire de la police. C'est grave.

Derniers commentaires

en plus ils ont "de la buée dans leur casque donc on ne voit rien" !!!! et cette phrase sempiternelle: "on suit les ordres" ! heureusement qu'"on" ne suit pas toujours les ordres (cons et/ou) violents dans nos boulots respectifs! ...et dire que ce flic est responsable syndical donc censé réfléchir un tant soit peu à ce qu'il fait!

super: le professionnel (le flic CGT) appelle "LDB" le "lbd" ...(lanceur de balle de défense) , révélateur quand-même....

"c'est très précis et on vise, si vous voulez, mais si i'a du vent si vous voulez, il peut se le prendre en pleine tête" ! (le mec il dit ça sans rire!... ; par ailleurs si les policiers en civil doivent normalement avoir un brassard (mais c'est au choix!) c'est pour ne pas se faire défoncer par leurs collègues (et non pas par déontologie, comme par exemple à l'hôpital où tout soignant est reconnaissable par les patients...), pas du tout pour être identifiable en cas de bavure!..... 

Autre remarque: ils sont à ce point non ou mal formés, ceux qui castagnent car, vous comprenez, ça fait longtemps que ça dure !!!! P..tain, n'importe quel autre fonctionnaire parlerait comme ça, qu'est ce qu'on n'entendrait pas sur les enseignants ou les soignants "incompétents" ?

"Le photographe du Journal du dimanche Eric Dessons est frappé deux fois à la main à coups de matraque par des CRS "


El derecho de vivir en paz, regardez, regardez ces belles mains qui effleurent la guitarre

Ils lui ont coupées

Ils ont tué Victor Jara mais avant, ils ont coupé les mains du barde qui chantait le droit de vivre en paix et en frères et sœurs


C'est ainsi qu'ils agissent visant toujours l'instrument qui transcrit leurs crimes

Bien sûr, ils n'ont pas coupé la main du reporter, tout est une question de liberté de violence


C'est vraiment indigne.

Ainsi, même quand ça concerne leur profession, "nos" journalistes répugnent à médire de la police. C'est grave.

et les jouranlistes de trouver normale qu'on se fasse tabasser... ben vous aussi , et ta gueulle comme les enfants et  les femmes , mm le huff ce matin parle des bourgeois.e.s qui se moquent des enfants, qui finissent comme les Kouachi mais pas grave c'est pas le riches qui meurent https://www.huffingtonpost.fr/2019/01/16/francoise-laborde-profondement-choquee-par-labsence-dagnes-buzyn-sur-france-3_a_23644669/?utm_hp_ref=fr-homepage

et nous on s'en fou des journaleux, deja qu'ont se fou de nous meme,  alors des bobos qui meprisent le moindre campagnard, ou le survalorise d'un bon sens debile, ou leur peur des ballieusard.e.s, ou femmes sans dents qui sont degoutante apres le travail penible et nos grossesses, nos ventre vergeturés et nos eins qui tombes, a mettre au rebus .. franchement . bien fait. Et dans tout les cas. 

Bon boulot M. le journaliste !

"Des images comme celles de Rouen, ça fait très longtemps que je n'en avais pas vues, on sentait une envie de tuer. Les violences policières, c'est très grave. Mais on reste dans le cadre de ce que l'on voit habituellement en manifestation. A Rouen, c'était vraiment inédit." 

Cet enchaînement pour dire un truc et son contraire. 

Elle aurait pu dire, non mais la police qui violente ça fait pas le buzz ... Des gilets jaunes qui tapent des journalistes on peut dire ce qu'on veux sur eux. 

Surtout que la c'est un agent de sécurité qui s'est fait agresser dans ce cas précis. Mais bon, lui on l'invite pas pour parler de ce travail complexe où il a droit de se faire taper mais pas de riposter. Et s'il lui arrive un truc, il se démerde...

Beau travail.

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