Commentaires
La crise a un an, les sondages s'entrechoquent
@si écoute chaque matin les revues de presse des principales radio du PAF. Ce matin, à l'occasion du "premier anniversaire" de la crise économique, les sondages s'entrechoquent et plongent les chroniqueurs d'Europe 1 et de RTL dans la perplexité.
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Derniers commentaires
Cela fait un petit bout de temps que je ne suis pas venu consulter arretsurimage.net (rien de méchant je porte generalement moins interet a l'actualité durant l'été) mais je m'etonne de voir apparaitre en grand format les logos des deux radios citées dans l'article.
Je suis sur que ces logos n'ont été introduit que par pur soucis esthetiques mais ils ressemblent cruellement a de la PUB ! Tout comme on peut voir apparaitre un gros "LIBERATION" dans l'image du titre de l'article.
Nous sommes deja abreuver de logos publicitaire a longueur de journée, et ne comportant pas d'interets immediat, je prefere de loin voir écrit le nom de ces radios en Arial, police 14 plutot que de me sentir une nouvelle fois soliciter par une image allechante !
Je suis sur que ces logos n'ont été introduit que par pur soucis esthetiques mais ils ressemblent cruellement a de la PUB ! Tout comme on peut voir apparaitre un gros "LIBERATION" dans l'image du titre de l'article.
Nous sommes deja abreuver de logos publicitaire a longueur de journée, et ne comportant pas d'interets immediat, je prefere de loin voir écrit le nom de ces radios en Arial, police 14 plutot que de me sentir une nouvelle fois soliciter par une image allechante !
On devrait commander un sondage à Opinion Way , au moins on serait sûr qu'une majorité de français trouve que Sarkozy gère bien la crise et a un bon bilan. Fini le stress , plus besoin de chercher à comprendre.
Et l'évaluation des ministres, où en est-elle ? A-t-on trouvé les bons indicateurs ? Qualitatifs, quantitatifs ?
Je propose, au hasard : déficit public, pouvoir d'achat, progressivité de l'impot, chomage, suppression des niches fiscales, limitations des très hauts revenus, résultats du plan banlieue, logement des ménages à faible revenu, résultats de la politique pénale, égalité d'accès aux soins, ...
Je propose, au hasard : déficit public, pouvoir d'achat, progressivité de l'impot, chomage, suppression des niches fiscales, limitations des très hauts revenus, résultats du plan banlieue, logement des ménages à faible revenu, résultats de la politique pénale, égalité d'accès aux soins, ...
Pas vraiment la bonne place pour poster ceci, mais comme on n'a pas de forum à nous ...
After Safe Exit, a Journalist Returns
Juste une petite histoire de journaliste.
After Safe Exit, a Journalist Returns
Juste une petite histoire de journaliste.
Les journaux ont en effet une curieuse technique de datation de la crise ; sans surprise, les sondages donnent des résultats contradictoires selon la formulation des questions. Si l'on ajoute à cela le fait que nombre d'experts proposent des analyses prospectives sur un ton fortement désabusé (ex P.A Delhommais ce jour), il y a vraiment de quoi être perplexe... Ça c'est ben vrrrrai !
Vendredi et samedi, les radios, télévisions et journaux annonçaient que "des dizaines de milliers de personnes" convergeaient sur Washington pour protester contre le "projet de Sécurité Sociale" de B. Obama.
On imaginait la marée humaine... On était haletant... Et alors? Et alors?
Alors, dimanche : rien (ou pas grand-chose)!
J'ai seulement trouvé (je ne sais plus où) le chiffre de 75 000 manifestants (sans mention de l'origine du dit chiffre : police ou organisateurs). Ce qui n'est tout de même pas beaucoup à l'échelle des Etats-Unis.
Alors, je m'interroge : pourquoi avoir fait autant monter la pression?
Et j'essaie de répondre :
a) pour vendre du papier - de la pub?
b) parce qu'on s'est fait intoxiquer par les Républicains,
c) parce que certains en France voudraient bien que B. Obama se casse la figure? Et qu'ils ont des relais à tous les niveaux de la presse?
Et aussi : pourquoi pas de suivi?
PS : je sais que je suis Hors sujet, mais il est difficile de trouver un endroit pour commenter les "Vite dit".
On imaginait la marée humaine... On était haletant... Et alors? Et alors?
Alors, dimanche : rien (ou pas grand-chose)!
J'ai seulement trouvé (je ne sais plus où) le chiffre de 75 000 manifestants (sans mention de l'origine du dit chiffre : police ou organisateurs). Ce qui n'est tout de même pas beaucoup à l'échelle des Etats-Unis.
Alors, je m'interroge : pourquoi avoir fait autant monter la pression?
Et j'essaie de répondre :
a) pour vendre du papier - de la pub?
b) parce qu'on s'est fait intoxiquer par les Républicains,
c) parce que certains en France voudraient bien que B. Obama se casse la figure? Et qu'ils ont des relais à tous les niveaux de la presse?
Et aussi : pourquoi pas de suivi?
PS : je sais que je suis Hors sujet, mais il est difficile de trouver un endroit pour commenter les "Vite dit".
Le même sujet, traité dans trois journaux :
The New-York Times
Le Monde (attention à la redoutable pub Cartier !)
The Independent
Pour les deux journaux anglo-saxons, la crise a aussi un an (réf. : _RobR_).
The New-York Times
Le Monde (attention à la redoutable pub Cartier !)
The Independent
Pour les deux journaux anglo-saxons, la crise a aussi un an (réf. : _RobR_).
C'est la première fois que je vois le résultat d'un bilan donné par des sondages .....
Ne sont-ce pas des données objectives et comptables qui font les bilans ?
Je suis perplexe moi aussi, le début de la crise ? Difficile de le situer exactement. La gestion et le bilan de la crise. Ah bon ! Elle est terminée ? Et comme tout continue et continuera comme avant la crise ... La crise deviendra chronique et nos dirigeants continueront de nous la servir comme excuse à leur mauvaise gestion (pas de la crise) de la finance, de la mondialisation, du commerce, du social ....
Ne sont-ce pas des données objectives et comptables qui font les bilans ?
Je suis perplexe moi aussi, le début de la crise ? Difficile de le situer exactement. La gestion et le bilan de la crise. Ah bon ! Elle est terminée ? Et comme tout continue et continuera comme avant la crise ... La crise deviendra chronique et nos dirigeants continueront de nous la servir comme excuse à leur mauvaise gestion (pas de la crise) de la finance, de la mondialisation, du commerce, du social ....
Bruno Duvic, sur France Inter, a choisi de ne citer que le sondage de Libération.
Oui, mais cela contrebalançait le journal de 8 h de FI où il ne citait que le sondage des Echos.
Oui, mais cela contrebalançait le journal de 8 h de FI où il ne citait que le sondage des Echos.
Pour être déçu encore faut-il avoir attendu quelque chose,
Ce qui, en l'occurence, est une preuve de crétinisme absolu...
***
Ce qui, en l'occurence, est une preuve de crétinisme absolu...
***
En fait, ça fait donc un an que les médias veulent nous faire croire que "la crise" est responsable de la faillite du système. La crise a bon dos, je trouve.
J'allais faire le même commentaire avec les remarques suivantes :
- il est difficile sinon absurde de parler de la date précise datant le début d'un processus économique complexe tel que la croissance, la relance, la crise ...etc. On peut parler de l'heure de la fin d'un match mais il est absurde de dater l'heure précise (en minutes par ex) à laquelle l'équipe adverse a commencé à jouer mieux qu'au "départ"... Et encore, en économie c'est encore plus difficile puisqu'il y a trop de paramètres qui ne sont pas tous observables et souvent mesurables avec un biais quantitatif (statistique) ou qualitatif (selon l'humeur ou l'idéologie politique).
- S'il faut absolument dater la crise que beaucoup de gens (notamment les pauvres de ce monde développé ou pas) vivent encore aujourd'hui, je dirais qu'il faut la dater en effet de la fin 2006/début 2007. C'est dans cette période que l'on a vu les premières expulsions aux USA !
- il est difficile sinon absurde de parler de la date précise datant le début d'un processus économique complexe tel que la croissance, la relance, la crise ...etc. On peut parler de l'heure de la fin d'un match mais il est absurde de dater l'heure précise (en minutes par ex) à laquelle l'équipe adverse a commencé à jouer mieux qu'au "départ"... Et encore, en économie c'est encore plus difficile puisqu'il y a trop de paramètres qui ne sont pas tous observables et souvent mesurables avec un biais quantitatif (statistique) ou qualitatif (selon l'humeur ou l'idéologie politique).
- S'il faut absolument dater la crise que beaucoup de gens (notamment les pauvres de ce monde développé ou pas) vivent encore aujourd'hui, je dirais qu'il faut la dater en effet de la fin 2006/début 2007. C'est dans cette période que l'on a vu les premières expulsions aux USA !
Je dirais plutôt que la médiatisation de la crise a un an.
Le début véritable de la crise se situe plutôt début 2007 avec le début des résultats néfastes des subprimes aux USA.
Le début véritable de la crise se situe plutôt début 2007 avec le début des résultats néfastes des subprimes aux USA.