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"La littérature jeunesse n'est pas là pour éduquer les enfants"
Tous à poil ! Qui aurait pu prévoir que le livre jeunesse fasse une entrée aussi fracassante dans le débat politique ? Depuis que Jean-François Copé a critiqué le livre "Tous à poil", l'interminable débat sur le mariage pour tous a migré vers le livre jeunesse. L'occasion de s'arrêter sur quelques-uns de ces livres, sur leurs messages, conscients ou inconscients, et sur leur mode de fabrication.
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Derniers commentaires
Le débat fut pauvre, ce qui est rare chez vous.
Il aurait fallu compléter le plateau avec un spécialiste des enjeux socio-culturels du livre et de la lecture chez le tout-petit et l'enfant,
convoquer l'agence Quand les livres relient, contacter ACCES, et bien d'autres médiateurs du livre qui auraient développé, présenté, partagé les thèmes "gênants" de la littérature de jeunesse.
Pourquoi ? comment ? dans quels buts ?
On sent que les animateurs sont loin du genre de littérature concerné, sinon cela aurait rebondi plus haut et plus fort…
Sur l'homoparentalité, le chômage, la perte, la sexualité, la prison, l'altérité : il est des titres récents ou plus anciens en nombre qui auraient constitué de biens meilleurs arguments.
Quant à la présence de ce monsieur moral, il n'avait qu'une phrase : il ne veut pas de fléchage de la part de l'EN en direction des enseignants.
Il n'a pas d'avis sur la littérature jeunesse, pas de culture de littérature jeunesse, bref, il ne pouvait participer à un débat approfondi.
Décevant…
Tant pis…
A refaire ??
E. BENETAU
Il aurait fallu compléter le plateau avec un spécialiste des enjeux socio-culturels du livre et de la lecture chez le tout-petit et l'enfant,
convoquer l'agence Quand les livres relient, contacter ACCES, et bien d'autres médiateurs du livre qui auraient développé, présenté, partagé les thèmes "gênants" de la littérature de jeunesse.
Pourquoi ? comment ? dans quels buts ?
On sent que les animateurs sont loin du genre de littérature concerné, sinon cela aurait rebondi plus haut et plus fort…
Sur l'homoparentalité, le chômage, la perte, la sexualité, la prison, l'altérité : il est des titres récents ou plus anciens en nombre qui auraient constitué de biens meilleurs arguments.
Quant à la présence de ce monsieur moral, il n'avait qu'une phrase : il ne veut pas de fléchage de la part de l'EN en direction des enseignants.
Il n'a pas d'avis sur la littérature jeunesse, pas de culture de littérature jeunesse, bref, il ne pouvait participer à un débat approfondi.
Décevant…
Tant pis…
A refaire ??
E. BENETAU
Bonjour,
Je regarde les emissions en utilisant la fonction de telechargement du fichier AVI que je regarde sur ma télé pour plus de confort. Je n'ai pas de problème avec les autres, mais celle-ci (fichier "ASI_2014-02-21-livres-enfants-genre.avi") n'a pas de son.
Pourriez-vous m'aider?
Merci d'avance,
FRM
Je regarde les emissions en utilisant la fonction de telechargement du fichier AVI que je regarde sur ma télé pour plus de confort. Je n'ai pas de problème avec les autres, mais celle-ci (fichier "ASI_2014-02-21-livres-enfants-genre.avi") n'a pas de son.
Pourriez-vous m'aider?
Merci d'avance,
FRM
Peut-on m'expliquer en quoi a consisté l'"enquête" de Laure Daussy ici?
Premièrement le débat est étrangement disproportionné puisque la tablée oppose une seule personne contre "la perte des repères de la binarité du genre pour les enfants de moins de 6 ans" (pour reprendre ses propres termes) à quatre autres personnes qui "défendent la littérature jeunesse" bien que l'on ne comprenne pas trop ce qu'ils défendent. Il y a ici un premier manque de travail journalistique : quels sont les enjeux réels de ce débat ? Le seul "contre" - censé générer la totalité du débat donc - se distance ici clairement des exagérations de Copé et franchement, ses positions paraissent complètement raisonnables : comment peut-on soutenir qu'on est pour un livre comme "Papa porte une robe" avant 7 ans? C'est le genre de livres qu'on ne peut lire qu'à un enfant qui a une appréhension minimale de la société et ça n'a franchement aucun intérêt avant cet âge... Bref, un débat mal équilibré et surtout mal posé par une journaliste qui avait visiblement envie d'en découdre.
Deuxièmement, l'attitude de Laure Daussy est vraiment peu journalistique. Je retiendrai plusieurs saillies du type "je ne sais pas ce que vous avez contre les genres" à l'attention du seul invité "contre" mais aussi le manque de travail lorsqu'elle oppose "Petite Princesse" à la série des "Ptit garçon" alors qu'une simple visite sur Amazon lui aurait fait comprendre que "Petite Princesse" répond à la série de "Petit Ange Parfait", qui comprend d'ailleurs un titre intitulé "Jules fait des caprices" tout à fait équivalent à Petite Princesse. Daniel Schneidermann révèle d'ailleurs ce fort parti pris par l'épisode du scotch en la désignant comme une indéfectible féministe.
Alors que le titre de l'émission nous laissait miroiter une vraie réflexion sur le rôle de la littérature (et des industries culturelles) dans la société et plus particulièrement dans la formation des identités (problématique qui, soit dit en passant, est au coeur des passionnantes recherches universitaires sur le genre), on assiste à un débat de surface mille fois vu à la télévision nous expliquant que la culture engendrerait les stéréotypes sexuels. Ainsi, proscrire toute attribution de qualité à l'un ou à l'autre des sexes dans l'environnement culturel permettrait de remédier aux inégalités hommes-femmes...? Bref, @si nous refait du Copé inversé, militantisme (également inversé) compris...
Premièrement le débat est étrangement disproportionné puisque la tablée oppose une seule personne contre "la perte des repères de la binarité du genre pour les enfants de moins de 6 ans" (pour reprendre ses propres termes) à quatre autres personnes qui "défendent la littérature jeunesse" bien que l'on ne comprenne pas trop ce qu'ils défendent. Il y a ici un premier manque de travail journalistique : quels sont les enjeux réels de ce débat ? Le seul "contre" - censé générer la totalité du débat donc - se distance ici clairement des exagérations de Copé et franchement, ses positions paraissent complètement raisonnables : comment peut-on soutenir qu'on est pour un livre comme "Papa porte une robe" avant 7 ans? C'est le genre de livres qu'on ne peut lire qu'à un enfant qui a une appréhension minimale de la société et ça n'a franchement aucun intérêt avant cet âge... Bref, un débat mal équilibré et surtout mal posé par une journaliste qui avait visiblement envie d'en découdre.
Deuxièmement, l'attitude de Laure Daussy est vraiment peu journalistique. Je retiendrai plusieurs saillies du type "je ne sais pas ce que vous avez contre les genres" à l'attention du seul invité "contre" mais aussi le manque de travail lorsqu'elle oppose "Petite Princesse" à la série des "Ptit garçon" alors qu'une simple visite sur Amazon lui aurait fait comprendre que "Petite Princesse" répond à la série de "Petit Ange Parfait", qui comprend d'ailleurs un titre intitulé "Jules fait des caprices" tout à fait équivalent à Petite Princesse. Daniel Schneidermann révèle d'ailleurs ce fort parti pris par l'épisode du scotch en la désignant comme une indéfectible féministe.
Alors que le titre de l'émission nous laissait miroiter une vraie réflexion sur le rôle de la littérature (et des industries culturelles) dans la société et plus particulièrement dans la formation des identités (problématique qui, soit dit en passant, est au coeur des passionnantes recherches universitaires sur le genre), on assiste à un débat de surface mille fois vu à la télévision nous expliquant que la culture engendrerait les stéréotypes sexuels. Ainsi, proscrire toute attribution de qualité à l'un ou à l'autre des sexes dans l'environnement culturel permettrait de remédier aux inégalités hommes-femmes...? Bref, @si nous refait du Copé inversé, militantisme (également inversé) compris...
Acte 2, 6minutes:
On voit bien que c'est Christine Boutin qui pense qu'on peut changer de sexe, qu'il suffit pour ça de mettre une robe. Et que le livre, au contraire, met en évidence qu'un papa reste un papa, y compris en robe, en kilt, en djellaba, et toge (en soutane?). En fait, ce livre met Christine Boutin en danger de rebasculer dans des croyances enfantines très précoces. Probablement parce qu'à son époque on ne parlait pas de sexe aux enfants, et qu'ils pouvaient s'imaginer que c'est la longueur des cheveux et l'habillement qui fait la différence.
On voit bien que c'est Christine Boutin qui pense qu'on peut changer de sexe, qu'il suffit pour ça de mettre une robe. Et que le livre, au contraire, met en évidence qu'un papa reste un papa, y compris en robe, en kilt, en djellaba, et toge (en soutane?). En fait, ce livre met Christine Boutin en danger de rebasculer dans des croyances enfantines très précoces. Probablement parce qu'à son époque on ne parlait pas de sexe aux enfants, et qu'ils pouvaient s'imaginer que c'est la longueur des cheveux et l'habillement qui fait la différence.
Je suis assez déçu que la question du plafond de verre n'ait pas été abordée, spécialement au moment où monsieur Vial constate que les filles sont sur-représentées au niveau universitaire. Pourquoi alors ont elles un salaire en moyenne 10 à 20% inférieur à celui des hommes?
Pour moi une émission bien frustrante, où on ne laisse pas Vial s'enfoncer dans son trou, mais bon le public était déjà convaincu (mis à par MC, mais qu'est-il devenu au fait?).
Pour moi une émission bien frustrante, où on ne laisse pas Vial s'enfoncer dans son trou, mais bon le public était déjà convaincu (mis à par MC, mais qu'est-il devenu au fait?).
Le monsieur est quand même un peu contradictoire : "il faut qu'il y ait des repères, pour pouvoir ensuite les dépasser", certes mais alors à quoi servent-ils si au final il faut prendre la peine de les envoyer balader ? C'est perdre du temps, non ? La meilleure stratégie pour que ces "repères" perdurent, ce serait donc au contraire d'enseigner le travestissement, comme ça après tout le monde aurait envie de faire le contraire.
Et moi qui croyais que les gens de droite pensaient que l'humain était né pour faire chier, là je trouve qu'ils imaginent les enfants comme des êtres bien trop gentils.
Et moi qui croyais que les gens de droite pensaient que l'humain était né pour faire chier, là je trouve qu'ils imaginent les enfants comme des êtres bien trop gentils.
À quand l'émancipation des humains porteurs de zizis ??? Ou pour le droit des "hommes" à porter des robes ou jupes...;
sans être cataloguisé(e)s comme fous, fan du carnaval, transgenres, pédés ou obsédés. Sur ce point là, les "femmes" ne sont pas défavorisées, mais ont beaucoup plus de libertés. Mâles, ceci devrait être votre prochain cheval de bataille!!!
Humour, cynisme, sérieux, honnêteté.
Je veux des jupeurs (svp, ne pensez pas à A.Juppé!)!
sans être cataloguisé(e)s comme fous, fan du carnaval, transgenres, pédés ou obsédés. Sur ce point là, les "femmes" ne sont pas défavorisées, mais ont beaucoup plus de libertés. Mâles, ceci devrait être votre prochain cheval de bataille!!!
Humour, cynisme, sérieux, honnêteté.
Je veux des jupeurs (svp, ne pensez pas à A.Juppé!)!
Tous à poil! Qui aurait pu prévoir que le livre jeunesse fasse une entrée aussi fracassante dans le débat politique actuel? Depuis que Jean-François Copé a critiqué le livre "Tous à poil", le débat sur le mariage pour tous a migré vers le livre jeunesse. L'occasion de s'arrêter sur quelques-uns de ces livres, sur leur message, conscient ou inconscient, et sur leur mode de fabrication.... > Lire l'intégralité du texte
Mince ! ASI donne la parole à un chewing-gum...
"Nous on est pour la binarité et on est contre cette volonté de dépasser cette binarité des repères"
Quand est ce qu'on interdit l'Allemand à l'école?
On va pas faire croire aux enfants que Soleil est féminin, Lune Masculin, et jeune fille NEUTRE! (das Mädchen) Quelle horreur, Jesus Marie Joseph!!!!
Quand est ce qu'on interdit l'Allemand à l'école?
On va pas faire croire aux enfants que Soleil est féminin, Lune Masculin, et jeune fille NEUTRE! (das Mädchen) Quelle horreur, Jesus Marie Joseph!!!!
Je dois dire que je suis excédé par cette émission.
Olivier Vial!!!!!!!!!!!!!!!
Non, mais il vous est passé quoi par la tête?! Pourquoi mettre systématiquement un abruti malhonnête face à des gens intelligents pour qu'on comprenne rien aux idées intelligentes?
A quand de vrais débats contradictoires, au lieu de dialogues de sourds avec des gens malhonnêtes? Pourquoi vous avez pas invité Christine Boutin, ou un porte parole de Civitas? Ou Dieudonné, son avis aurait aussi été très relevé, tant qu'on y est!
Être sur Internet ne dispense pas de tout, sinon on va se retrouver avec france 2 sur images, et internet ne changera le contenu!
Olivier Vial!!!!!!!!!!!!!!!
Non, mais il vous est passé quoi par la tête?! Pourquoi mettre systématiquement un abruti malhonnête face à des gens intelligents pour qu'on comprenne rien aux idées intelligentes?
A quand de vrais débats contradictoires, au lieu de dialogues de sourds avec des gens malhonnêtes? Pourquoi vous avez pas invité Christine Boutin, ou un porte parole de Civitas? Ou Dieudonné, son avis aurait aussi été très relevé, tant qu'on y est!
Être sur Internet ne dispense pas de tout, sinon on va se retrouver avec france 2 sur images, et internet ne changera le contenu!
Pour les anglophiles clickez sur le lien pour l'intervieuw:
http://www.colbertnation.com/the-colbert-report-videos/406796/january-24-2012/grim-colberty-tales-with-maurice-sendak-pt--1
Traduction du depart de l'interview :
Cobert :"pourquoi ecrivez vous de la litterature pour enfant"
Sendak: " Je n'ecris pas pour les enfants ,j'ecris, c'est tout !! et puis quelqu'un dit " c'est pour des enfants!" "
Colbert: "Aimez vous les enfants ?"
Sendak : " Je les aime autant ou aussi peu que les adultes, peut etre un peu plus que les adultes, car je n'aime vraiment pas les adultes" .
http://www.colbertnation.com/the-colbert-report-videos/406796/january-24-2012/grim-colberty-tales-with-maurice-sendak-pt--1
Traduction du depart de l'interview :
Cobert :"pourquoi ecrivez vous de la litterature pour enfant"
Sendak: " Je n'ecris pas pour les enfants ,j'ecris, c'est tout !! et puis quelqu'un dit " c'est pour des enfants!" "
Colbert: "Aimez vous les enfants ?"
Sendak : " Je les aime autant ou aussi peu que les adultes, peut etre un peu plus que les adultes, car je n'aime vraiment pas les adultes" .
Le concept de genre en France c'est l'analogue du concept d'évolution des espèces chez nos amis anglo saxons en fait...
Un émission très réussie.
Enlevons vite les robes de nos magistrats !!!!!!!! Un peu d'autorité
J'avoue n'avoir pas lu toutes les contributions et, donc, ce que j'écris risque de n'être pas inédit… mais j'en doute.
Parce que, depuis que ces contempteurs du gouvernement lui reprochent de faire jouer à l'éducation nationale un rôle « moral » qui ne serait pas le sien, je suis surpris que personne — à ma connaissance — ne leur ait demandé leur point de vue sur l'instruction civique dont, à une époque, la droite et la gauche scrogneugneu (chevènementiste) exigeaient la réhabilitation dès le primaire. Cette instruction civique qui, si j'en crois Wikipédia, serait encore au programme du collège et du lycée et dépasse pourtant clairement le cadre de l'apprentissage auquel se cramponnent ces étriqués.
En effet, dans mon souvenir, ceux qui prônaient cet enseignement ne souhaitaient pas qu'il se limite à exposer la structure institutionnelle d'un pays comme la France, mais aussi qu'il transmette les valeurs de « notre chère république ». J'ai dans l'idée qu'une telle question sur l'instruction civique ferait apparaître leurs contradictions. Contrairement à leurs dires, ce n'est pas tant le rôle de « propagateur de valeurs » de l'école qui les gène, mais exclusivement les valeurs propagées quand ce ne sont pas les leurs.
Parce que, depuis que ces contempteurs du gouvernement lui reprochent de faire jouer à l'éducation nationale un rôle « moral » qui ne serait pas le sien, je suis surpris que personne — à ma connaissance — ne leur ait demandé leur point de vue sur l'instruction civique dont, à une époque, la droite et la gauche scrogneugneu (chevènementiste) exigeaient la réhabilitation dès le primaire. Cette instruction civique qui, si j'en crois Wikipédia, serait encore au programme du collège et du lycée et dépasse pourtant clairement le cadre de l'apprentissage auquel se cramponnent ces étriqués.
En effet, dans mon souvenir, ceux qui prônaient cet enseignement ne souhaitaient pas qu'il se limite à exposer la structure institutionnelle d'un pays comme la France, mais aussi qu'il transmette les valeurs de « notre chère république ». J'ai dans l'idée qu'une telle question sur l'instruction civique ferait apparaître leurs contradictions. Contrairement à leurs dires, ce n'est pas tant le rôle de « propagateur de valeurs » de l'école qui les gène, mais exclusivement les valeurs propagées quand ce ne sont pas les leurs.
préjugés = stéréotypes = repères pour ce monsieur de l'UNI...c'est ce qu'il défend, donc pour donner des repères aux enfants, il faut continuer de leur donner à voir les stéréotypes binaires (homme/femme tractopelle/dinette). C'est simple à comprendre! ABCD de l'inégalité selon l'UNI et l'UMP...
"Le policier à poil" remettrait en cause son autorité d'après M.UNI ?
Doit-on conclure que les personnes en bas de l'échelle de l'autorité peuvent être vus à poil, c'est pas grave mais pas les chefs ???
Poussons un peu plus loin la réflexion : le chef pourrait voir les ses subalternes à poil mais pas l'inverse... mouai... l'employé n'est-il déjà pas assez mis à nu face avec toutes les infos que possède sur lui en patron et qu'il ne possède pas sur son patron ? A poil l'employé... transparence pour l'employeur mais mas dans l'autre sens.
Doit-on conclure que les personnes en bas de l'échelle de l'autorité peuvent être vus à poil, c'est pas grave mais pas les chefs ???
Poussons un peu plus loin la réflexion : le chef pourrait voir les ses subalternes à poil mais pas l'inverse... mouai... l'employé n'est-il déjà pas assez mis à nu face avec toutes les infos que possède sur lui en patron et qu'il ne possède pas sur son patron ? A poil l'employé... transparence pour l'employeur mais mas dans l'autre sens.
L'OCP! non l'UMP
http://traitdhumour.canalblog.com/archives/2014/02/22/29273949.html
http://traitdhumour.canalblog.com/archives/2014/02/22/29273949.html
Quel naze le mec de l'UMP. Bien campé sur ses positions. Tout le temps de l'émission je l'ai imaginé en robe...........................................
Je suis assidûment, depuis plusieurs années, les émissions d'@rrêt sur Images, comme un rituel pour bien démarrer la coupure de fin de semaine.
Avec cette émission, j'avoue avoir été très déçu et parfois excédé par le contenu du débat. Je connais bien la littérature de jeunesse et suis depuis vingt ans inspecteur de l'Education nationale, chargé de la maîtrise des langages. Pour autant, je n’interviendrai pas sur ce sujet qui me semble trop instrumentalisé pour être évoqué ici de manière satisfaisante et dans son immense richesse.
J’ai été vite convaincu que le sujet du débat se situait ailleurs. Il revenait toujours sur le devant de la scène comme l’importune perceuse. J’ai sans cesse regretté que les interventions du représentant de l'UNI, limite indécentes sur le plan intellectuel, n'aient pas trouvé en face un intervenant qui puisse apporter le point de vue de ceux qui portent ce dossier de l'ABCD de l'égalité filles-garçons. C’est sur ce terrain que le débat a glissé. La littérature de jeunesse devenant à nouveau un prétexte pour mettre en avant une idéologie de droite qui s’attaque à une vision progressiste de l’Ecole.
Finalement, s'imposaient dans le débat de lourdes approximations renforçant la rhétorique Copé. On laissait penser que partout sur le territoire national serait prescrite une pédagogie dominante qui relativiserait les différences sexuées en brouillant les repères «naturels».
Les listes d’une association de parents ou d’un organisme syndical, parfois relayées par un CRDP ou ensevelies dans un espace lointain du site ministériel, devenaient autant de programmes qui s’imposaient à tous les enseignants.
En tant qu’inspecteur, je sais combien les enseignants prennent en compte les injonctions transparentes et officielles avec une certaine circonspection. Je suis assuré qu’ils ne vont pas se précipiter sur un titre parmi cent présenté dans des espaces confidentiels. Sur ce point, j’ai bien vu que DS et LD sont intervenus pour rectifier ces propos insidieux, mais le personnage central est revenu plusieurs fois à la charge pour renforcer ce flou et faire refleurir ses approximations idéologiques.
Sur le fond, il me semble que l'UMP, bien rangée derrière le front bas de Copé, est en train d'enfoncer des coins dans l'axe politique fort de François Hollande : la refondation de l'école.
Ayant un bilan calamiteux sur l’Ecole lors du précédent mandat : suppression de 80 000 postes, mise à mort de la formation initiale et continue des enseignants, installation de rythmes scolaires très défavorables aux élèves, programmes rétrogrades, démobilisation d’une très large majorité d’enseignants…, l’UMP ne porte pas uniquement le combat sur les dossiers les plus rationnels, mais essaie de disqualifier la politique menée par Vincent PEILLON, avec les difficultés que l’on connaît, en instillant dans l’opinion l’idée que le gouvernement est en train d’enrégimenter l’éducation des enfants et des jeunes. Ce ressort a des chances de fonctionner dans une société en proie à l’angoisse et la perte des repères (et ce n’est pas un stéréotype).
Il me semble donc utile de mettre à nu la vraie stratégie politique qui se cache derrière « Tous à poils ». C’est sur ce point que se situait le débat d’hier soir. Seule l’UNI a pu s’exprimer sur ce point. Nous espérons d’autres « Arrêts sur images » où pourront se développer des échanges plus nourris, équilibrés, honnêtes et argumentés.
Avec cette émission, j'avoue avoir été très déçu et parfois excédé par le contenu du débat. Je connais bien la littérature de jeunesse et suis depuis vingt ans inspecteur de l'Education nationale, chargé de la maîtrise des langages. Pour autant, je n’interviendrai pas sur ce sujet qui me semble trop instrumentalisé pour être évoqué ici de manière satisfaisante et dans son immense richesse.
J’ai été vite convaincu que le sujet du débat se situait ailleurs. Il revenait toujours sur le devant de la scène comme l’importune perceuse. J’ai sans cesse regretté que les interventions du représentant de l'UNI, limite indécentes sur le plan intellectuel, n'aient pas trouvé en face un intervenant qui puisse apporter le point de vue de ceux qui portent ce dossier de l'ABCD de l'égalité filles-garçons. C’est sur ce terrain que le débat a glissé. La littérature de jeunesse devenant à nouveau un prétexte pour mettre en avant une idéologie de droite qui s’attaque à une vision progressiste de l’Ecole.
Finalement, s'imposaient dans le débat de lourdes approximations renforçant la rhétorique Copé. On laissait penser que partout sur le territoire national serait prescrite une pédagogie dominante qui relativiserait les différences sexuées en brouillant les repères «naturels».
Les listes d’une association de parents ou d’un organisme syndical, parfois relayées par un CRDP ou ensevelies dans un espace lointain du site ministériel, devenaient autant de programmes qui s’imposaient à tous les enseignants.
En tant qu’inspecteur, je sais combien les enseignants prennent en compte les injonctions transparentes et officielles avec une certaine circonspection. Je suis assuré qu’ils ne vont pas se précipiter sur un titre parmi cent présenté dans des espaces confidentiels. Sur ce point, j’ai bien vu que DS et LD sont intervenus pour rectifier ces propos insidieux, mais le personnage central est revenu plusieurs fois à la charge pour renforcer ce flou et faire refleurir ses approximations idéologiques.
Sur le fond, il me semble que l'UMP, bien rangée derrière le front bas de Copé, est en train d'enfoncer des coins dans l'axe politique fort de François Hollande : la refondation de l'école.
Ayant un bilan calamiteux sur l’Ecole lors du précédent mandat : suppression de 80 000 postes, mise à mort de la formation initiale et continue des enseignants, installation de rythmes scolaires très défavorables aux élèves, programmes rétrogrades, démobilisation d’une très large majorité d’enseignants…, l’UMP ne porte pas uniquement le combat sur les dossiers les plus rationnels, mais essaie de disqualifier la politique menée par Vincent PEILLON, avec les difficultés que l’on connaît, en instillant dans l’opinion l’idée que le gouvernement est en train d’enrégimenter l’éducation des enfants et des jeunes. Ce ressort a des chances de fonctionner dans une société en proie à l’angoisse et la perte des repères (et ce n’est pas un stéréotype).
Il me semble donc utile de mettre à nu la vraie stratégie politique qui se cache derrière « Tous à poils ». C’est sur ce point que se situait le débat d’hier soir. Seule l’UNI a pu s’exprimer sur ce point. Nous espérons d’autres « Arrêts sur images » où pourront se développer des échanges plus nourris, équilibrés, honnêtes et argumentés.
j'ai été choqué de voire sur le plateau un crypto fasciste de l'UNI. Son organisation a toujours été le poisson pilote de l'extrème droite dans les facs.
J'arrête tout de suite, l'opposant est grotesque comme toujours, de mauvaise foi. Un refoulé, doublé d'un opposant politique sectaire ! de quel droit vouloir juger ce qui est bien ou pas bien ! bruler les "mauvais" livres en place public peut être...cela me rappelle quelques choses et la nausée.
Emission trop courte mais dès le générique le ton est donné : des femmes pour défendre, un homme pour accuser. Je ne compte pas DS qu'on peut considérer comme neutre en maître du jeu (quoique parfois un peu rapide à remettre Mr VIAL dans les rails....). Pour Laure, des émissions précédentes ont prouvé son militantisme et il ne me parait pas utile de le répéter à chaque fois, il suffit de savoir où elle se situe pour "décoder" ses interventions.
Je me suis arrêté (temporairement) sur une sensation de malaise à la dénonciation du tractopelle d'Axel, qui est visiblement un brûlot masculiniste.
Doute: Laure Daussy la journalise ne cède-t-elle pas un peu la place à Laure Daussy la militante féministe? Je n'ai rien contre le discours féministen il a tout à fait sa place dans cette émission. Ce qui me chiffonne c'est le saut silencieux de l'un à l'autre. Faudrait-il introduire le journaliste du plateau en indiquant ses positions partisanes au même titre que les autres invités?
Doute: Laure Daussy la journalise ne cède-t-elle pas un peu la place à Laure Daussy la militante féministe? Je n'ai rien contre le discours féministen il a tout à fait sa place dans cette émission. Ce qui me chiffonne c'est le saut silencieux de l'un à l'autre. Faudrait-il introduire le journaliste du plateau en indiquant ses positions partisanes au même titre que les autres invités?
Des hommes en robe, il y en a partout dans le monde, mais le costume cravatte est sans doute un repère pour les militants de l'UNI...
Pourquoi ne pas laisser les enseignants défendre leurs pratiques?, l'école ne devrait-elle pas lutter contre toutes les formes d'inégalité?
Est-ce une honte, aujourd'hui, de critiquer les stéréotypes et surtout d'éduquer tous les enfants, garçons ou filles, à participer aux tâches ménagères quotidiennes?
Maman fait la cuisine, Papa lit le journal, voilà ce que l'UNI, Copé, Boutin veulent comme programme à l'école.
Il faudrait commencer par ne pas confondre Repère et stéréotype:
En psychologie sociale, un stéréotype est :
une croyance qu’une personne entretient au sujet des caractéristiques des membres d’un exogroupe.
une généralisation touchant un groupe de personnes et les différenciant des autres. Les stéréotypes peuvent être généralisés à l’excès, être inexacts et résister à l’information nouvelle.
Un repère dans le dictionnaire Larousse: Marque ou objet permettant de s'orienter dans l'espace, de localiser quelque chose, d'évaluer une distance, une mesure, une valeur, etc.
Pourquoi ne pas laisser les enseignants défendre leurs pratiques?, l'école ne devrait-elle pas lutter contre toutes les formes d'inégalité?
Est-ce une honte, aujourd'hui, de critiquer les stéréotypes et surtout d'éduquer tous les enfants, garçons ou filles, à participer aux tâches ménagères quotidiennes?
Maman fait la cuisine, Papa lit le journal, voilà ce que l'UNI, Copé, Boutin veulent comme programme à l'école.
Il faudrait commencer par ne pas confondre Repère et stéréotype:
En psychologie sociale, un stéréotype est :
une croyance qu’une personne entretient au sujet des caractéristiques des membres d’un exogroupe.
une généralisation touchant un groupe de personnes et les différenciant des autres. Les stéréotypes peuvent être généralisés à l’excès, être inexacts et résister à l’information nouvelle.
Un repère dans le dictionnaire Larousse: Marque ou objet permettant de s'orienter dans l'espace, de localiser quelque chose, d'évaluer une distance, une mesure, une valeur, etc.
Affirmer qu'il ne faut pas être idéologique, est-ce là être idéologique ? L'ordre naturel, est-ce que c'était mieux avant ?
Voilà des questions qui "Vial" le coup d'être posées ;)
Voilà des questions qui "Vial" le coup d'être posées ;)
Donc, si j'ai bien compris, le problème du vieux réac' de l'UNI, c'est que les livres soient recommandés par l'éducation nationale ? J'ai bon ?
Merci monsieur Vial de venir pour répéter trente fois la même semi-contre-vérité, votre contribution au débat aura été parfaitement dispensable.
Merci monsieur Vial de venir pour répéter trente fois la même semi-contre-vérité, votre contribution au débat aura été parfaitement dispensable.
Oh Laure pas vous ! Vous aussi oubliez la conjugaison ! " La liste a été repris " au lieu de la liste a été reprise, vous n'êtes pas une femme politique, que je sache, qui essaye de parler " simple " en oubliant les liaisons, la conjugaison et la syntaxe ; merci d'y être attentive !!
il y a un type qui se balade en robe blanche dans une cité : dite du vatican, autour d'autres en robe rouge, noire, violette...IL FAUT ARRETER CE SCANDALE....!!
Mince, toute une émission sur la littérature jeunesse potentiellement subversive et pas une allusion à Pef....
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"Un tractopelle"
Ça me rappelle un prof qui aimait la langue et qui a laissé mariner les potaches (dont moi) en les invitant à repérer le seul mot en langue française qui, se terminant par « - ette », est pourtant un masculin…
squelette
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"Un tractopelle"
Ça me rappelle un prof qui aimait la langue et qui a laissé mariner les potaches (dont moi) en les invitant à repérer le seul mot en langue française qui, se terminant par « - ette », est pourtant un masculin…
squelette
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Quel rapport entre un quintette et une tractopelle ?
Ah oui, faudra que je tente de le recontacter :-)
On peut ergoter sur la construction du mot ou non ?
Quintuor, Quintet, ... ça compte ?
On peut ergoter sur la construction du mot ou non ?
Quintuor, Quintet, ... ça compte ?
Si ça se trouve, il s'est couché comme une carpette le petit de la carpe
ça suffixe comme ça !
ça suffixe comme ça !
Total hors sujet mais pour le plaisir le scherzo du quintette de Brahms avec piano.
A noter que dans le jazz on utilise presque toujours l'orthographe anglo-saxone "quintet" ( mais ça c'est parce qu'on rêve tous de partir en tournée avec des ricains..:-)
Bon, revenons à la littérature enfantine avec "L'enfant et les sortilège" de Maurice Ravel
A noter que dans le jazz on utilise presque toujours l'orthographe anglo-saxone "quintet" ( mais ça c'est parce qu'on rêve tous de partir en tournée avec des ricains..:-)
Bon, revenons à la littérature enfantine avec "L'enfant et les sortilège" de Maurice Ravel
Hargh !! les "sortilègeS"…
Ça m’apprendra à poster aussi tard et à faire le malin…
Ça m’apprendra à poster aussi tard et à faire le malin…
You're welcome :-)
Pas mal. On peut nez en moins préférer la version originale pour deux pianos. Brahms est le seul néo-classique qui échappe au kitsch. Il vient du fond des âges.
J'avais pensé à tapette mais en fait non c'est pas ça ;-)
Et de deux : un trompette (le musicien).
Que l'actualité se porte sur un sujet annexe, une sorte d'homme de paille thématique me pose personnellement problème dans la mesure ou ces thèmes et leurs importances sont finalement caricaturés (et donc perdent en cohérences à leur insu) dans un semi questionnement sur la place des livres pour enfant qui ne sont par défaut que des livres et donc, encore une fois par défaut ne sont que les images que la société souhaites exposer aux enfants (égalités, stéréotypes et autre).
Cela me semble être, tout de même, une manœuvre de J.F Copé pour qu'il puisse se positionner (lui et d'autre) politiquement et exacerber des idéologies primaires (car cela touche aux gamins... ces petits anges qu'il faut garder sous cloche au risque de les briser... mais bon, on y met ce qu'on veux dans la cloche.)
Le débat de la sexualité et tout ce que cela incorpore comme peurs et de tabous dans notre société (et en fait dans beaucoup d'autres) et si important et si volatile (dans le sens ou, il est particulièrement dépendant des idéologies) que cela devient par défaut une pure mascarade quand il est pris comme un sous thème (ici sous l’éducation). Quand en fait il devrait être traité dans sa totalité et que cela (idéalement) devrait porter à des questionnements autrement plus pragmatique que des assertions sur la morale, l'éducation ou autre.
Si on prends la chose avec un peu de hauteur (en admettant que cela soit possible), finalement, que le sujet tourne autour des livres pour enfant n'est pas important, ce qui pose problème c'est bien ce que l'on dit à ces enfants et quels sont les repères que nous leur donnons sur notre société via ses livres. Et en fait à partir du moment ou, nous (la société) ne sommes déjà pas d'accord sur l'ensemble de ses thèmes et la façons dont nous devrions les traiter (sexismes, sexualités... genre... whatever), il serait étonnant que l'ensemble des gens soient d'accord sur ce que ces livres devraient montrer aux enfants.
C'est donc pure rhétorique, si nous étions tous d'accord pour dire que de montrer à un garçons que le tractopelle c'est pour lui et que pour sa sœur ce sera des robes roses, c'est ce que nous montrerions dans les livres et cela ne poserait de problèmes à personnes et à fortiori personne ne s'offusquerais de le voir publié ou recommandé quand bien même ce serait purement de la propagande idéologique (ou un stéréotype).
(c'est anarchique, je m'en excuse, je fais ça clope et café entre les dents au même moment ou je visualise l’émission).
Cela me semble être, tout de même, une manœuvre de J.F Copé pour qu'il puisse se positionner (lui et d'autre) politiquement et exacerber des idéologies primaires (car cela touche aux gamins... ces petits anges qu'il faut garder sous cloche au risque de les briser... mais bon, on y met ce qu'on veux dans la cloche.)
Le débat de la sexualité et tout ce que cela incorpore comme peurs et de tabous dans notre société (et en fait dans beaucoup d'autres) et si important et si volatile (dans le sens ou, il est particulièrement dépendant des idéologies) que cela devient par défaut une pure mascarade quand il est pris comme un sous thème (ici sous l’éducation). Quand en fait il devrait être traité dans sa totalité et que cela (idéalement) devrait porter à des questionnements autrement plus pragmatique que des assertions sur la morale, l'éducation ou autre.
Si on prends la chose avec un peu de hauteur (en admettant que cela soit possible), finalement, que le sujet tourne autour des livres pour enfant n'est pas important, ce qui pose problème c'est bien ce que l'on dit à ces enfants et quels sont les repères que nous leur donnons sur notre société via ses livres. Et en fait à partir du moment ou, nous (la société) ne sommes déjà pas d'accord sur l'ensemble de ses thèmes et la façons dont nous devrions les traiter (sexismes, sexualités... genre... whatever), il serait étonnant que l'ensemble des gens soient d'accord sur ce que ces livres devraient montrer aux enfants.
C'est donc pure rhétorique, si nous étions tous d'accord pour dire que de montrer à un garçons que le tractopelle c'est pour lui et que pour sa sœur ce sera des robes roses, c'est ce que nous montrerions dans les livres et cela ne poserait de problèmes à personnes et à fortiori personne ne s'offusquerais de le voir publié ou recommandé quand bien même ce serait purement de la propagande idéologique (ou un stéréotype).
(c'est anarchique, je m'en excuse, je fais ça clope et café entre les dents au même moment ou je visualise l’émission).
Métonymiquement trompeur est " trompette" qui au féminin désigne l'instrument et au masculin l'homme (quand c'en est un) qui en joue.
Zut, vu trop tard...
Sommes-nous dans le langage dit académique ?
J'adore à titre personnel les néologismes et autres mots-valises, juste pour éventuellement rendre justice à un vieux prof en m'assurant que nous parlons bien sur un même registre :-)
J'adore à titre personnel les néologismes et autres mots-valises, juste pour éventuellement rendre justice à un vieux prof en m'assurant que nous parlons bien sur un même registre :-)
Académique, je ne sais pas, mais mon Larousse 1980 admet "trompette" au masculin, et comme je suppose que celui de votre prof était "squelette", j'ajoute "lette" qui figure encore dans ce même Larousse pour "langue baltique parlée en Lettonie", plus souvent appelé aujourd'hui letton et, ne lésinons pas, je vous fais cadeau de "quartette".
Rah moi qui attendais @si pour comprendre ce qu'il se passe en Ukraine...
Je ne voudrais pas casser l'ambiance, mais l'interminable épisode dieudonnesque que nous venons de vivre fait que " tous à poil" évoque pour moi Auschwitz.
Ras-le-bol du "genre"!!
Laissez-nous vivre, laissez-les vivre.
Ces sujets sur lesquels vous vous jetez.
Je n'ai pas regardé votre émission "La littérature jeunesse n'est pas là pour éduquer les enfants".
En effet, je suis d'accord sur le titre.(1)
Mais laissons faire les éditeurs, les parents, les enseignants.
(1) La littérature jeunesse peut ouvrir à tellement d'autres univers!
J'ai offert à mes petits enfants un petit livre dont le titre est : "Il ne faut pas habiller les animaux".
Allez le voir.
J'y vois un lien avec avec "tous à poil".
COPÉ s'est rendu ridicule.
J'ai vu le dessin "COPÉ À POIL" sur internet. Bien fait pour lui!
Sans rancunes.
Je lis régulièrement le "neuf quinze" de Daniel Schneidermann,
que j'apprécie beaucoup.
Amitiés.
Laissez-nous vivre, laissez-les vivre.
Ces sujets sur lesquels vous vous jetez.
Je n'ai pas regardé votre émission "La littérature jeunesse n'est pas là pour éduquer les enfants".
En effet, je suis d'accord sur le titre.(1)
Mais laissons faire les éditeurs, les parents, les enseignants.
(1) La littérature jeunesse peut ouvrir à tellement d'autres univers!
J'ai offert à mes petits enfants un petit livre dont le titre est : "Il ne faut pas habiller les animaux".
Allez le voir.
J'y vois un lien avec avec "tous à poil".
COPÉ s'est rendu ridicule.
J'ai vu le dessin "COPÉ À POIL" sur internet. Bien fait pour lui!
Sans rancunes.
Je lis régulièrement le "neuf quinze" de Daniel Schneidermann,
que j'apprécie beaucoup.
Amitiés.
Les propos de Jean-François Copé et Nadine Morano sont très dangereux. Ils remettent en cause tout simplement la liberté d'expression. Ces propos attisent également la haine qu'on les défenseur de la liberté envers ces personnalités et ces partis qu'ils representent. je pense qu'ils n'ont pas saisi l'étendu et la portée de leurs propos.
Ah, les revoilà, les Pères Fouettard divers et variés de la morale ! Les récupérateurs politiques de la soi-disant bien-pensance, impatients d'enrôler les réacs ou les mal-comprenants…
La confusion est d'ailleurs partout et à tout propos dans Lémédia : théorie du genre, orientation sessuelle, littérature jeunesse…
L'obsession sessuelle
La confusion est d'ailleurs partout et à tout propos dans Lémédia : théorie du genre, orientation sessuelle, littérature jeunesse…
L'obsession sessuelle
Il y a un cabinet dentaire, à côté du studio d'ASI ?
Plus de Didier Porte ? Et la musique du générique ?
En train de télécharger l'émission.
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