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La pensée unique habite encore au Monde
Au cas où Hollande aurait des doutes
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"la solution Papandreou mène donc droit dans le mur". Ah bon ? DS est-il un si grand économiste qu'il puisse se contenter de nous asséner ce genre d'affirmation pour démolir une journaliste ? Pas formid', le décrypteur des media, pas dans une grande forme..
Au fait, Papandréou vient d'annoncer, à la surprise générale (mais à la satisfaction des Grecs) qu'il organiserait un referendum sur l'acceptation ou non du plan de sauvetage proposé. C'est plutôt pas mal, pour le proto-Quisling esquissé en filigrane par le matinaute...
Au fait, Papandréou vient d'annoncer, à la surprise générale (mais à la satisfaction des Grecs) qu'il organiserait un referendum sur l'acceptation ou non du plan de sauvetage proposé. C'est plutôt pas mal, pour le proto-Quisling esquissé en filigrane par le matinaute...
Très bien. C'est vrai que cette eau tiède qui coule dans beaucoup de commentaires et éditoriaux est vraiment insipide.
Raphaële Bacqué, dans un autre genre, - petites histoires croustillantes et personnalisation donc dépolitisation de la politique- ne vaut pas beaucoup mieux.
Raphaële Bacqué, dans un autre genre, - petites histoires croustillantes et personnalisation donc dépolitisation de la politique- ne vaut pas beaucoup mieux.
Françoise Fressoz est la fille de Roger Fressoz, alias André Ribaud, ancien patron du Canard enchaîné, et une des deux journalistes (l'autre étant Marie-Eve Malouines de France info), qui avaient refusé la légion d'honneur en janvier 2009.
Toutes deux avaient déclaré que rien, dans leur parcours professionnel, ne justifiait une telle distinction.
Françoise Fressoz avait ajouté que "pour exercer librement sa fonction, un journaliste politique devait rester à l'écart des honneurs."
Toutes deux avaient déclaré que rien, dans leur parcours professionnel, ne justifiait une telle distinction.
Françoise Fressoz avait ajouté que "pour exercer librement sa fonction, un journaliste politique devait rester à l'écart des honneurs."
C'est surtout "de quoi je me mèle ?"
Excellent.
Monsieur Schneidermann,
Mon Papa m'as dit la dernière fois que fallait écouter les autres opinions que les siennes parce que j'avais écouter l'émission de France Inter "Le journal 3D" et que à la fin il y avait deux monsieurs passant leurs temps à répéter religieusement les termes de l'utopie néo-libérale tel que Innovation, croissance, développement (durable pour certain)...
Je les ai insulté de crétin.
Mon Papa m'a donc dit que ta gueule, écoute les opinion des autres. Je lui ai répondu : " Ta gueule toi-même, pensée unique, communiquant, Sarkoziste, nom d'oiseau, boudin". Oui, j'ai l'habitude de me passer de phrases structurées et de cohérence quand je me sens mou de ma pensée unique et pas de la vôtre.
Et pis l'espoir est venu, une semaine après environ, "Ce soir où jamais", Frédéric Lordon nous gratifie d'une présentation claire de ce que devrait être fait sur la crise des banques: nationalisation les, on sortira moins catastrophiquement de la crise qu'un bon vieux plan de rigueur, que d'une règle d'or, qu'un "iPhone marketé" par Madellin.
J'ai donc annoncé la bonne nouvelle à mon Papa en lui balançant, cordialement par courriel, le lien de l'émission. Il regarde et approuve la superbe Lordonique. Je lui dit "et la prestation de Madellin, grandiose non?". Il me répond qu'il ne comprend pas qu'on laisse parler des crétins de ce genre. Je lui réponds, sois ouvert d'esprit Papa, aux autres opinions, même les plus abjectes. Il me dit "ce type à fait son temps, il est temps de passer à autre choses, il font de la politique depuis trop longtemps" et bla bla bla bla. Je lui dit alors "Oui, mais..., la semaine derni" "Ta gueule mon fils" me coupe-t-il.
A croire que la pensée unique semble se digérer plus facilement selon l'humeur, le temps, l’environnent et son contexte.
Mon Papa m'as dit la dernière fois que fallait écouter les autres opinions que les siennes parce que j'avais écouter l'émission de France Inter "Le journal 3D" et que à la fin il y avait deux monsieurs passant leurs temps à répéter religieusement les termes de l'utopie néo-libérale tel que Innovation, croissance, développement (durable pour certain)...
Je les ai insulté de crétin.
Mon Papa m'a donc dit que ta gueule, écoute les opinion des autres. Je lui ai répondu : " Ta gueule toi-même, pensée unique, communiquant, Sarkoziste, nom d'oiseau, boudin". Oui, j'ai l'habitude de me passer de phrases structurées et de cohérence quand je me sens mou de ma pensée unique et pas de la vôtre.
Et pis l'espoir est venu, une semaine après environ, "Ce soir où jamais", Frédéric Lordon nous gratifie d'une présentation claire de ce que devrait être fait sur la crise des banques: nationalisation les, on sortira moins catastrophiquement de la crise qu'un bon vieux plan de rigueur, que d'une règle d'or, qu'un "iPhone marketé" par Madellin.
J'ai donc annoncé la bonne nouvelle à mon Papa en lui balançant, cordialement par courriel, le lien de l'émission. Il regarde et approuve la superbe Lordonique. Je lui dit "et la prestation de Madellin, grandiose non?". Il me répond qu'il ne comprend pas qu'on laisse parler des crétins de ce genre. Je lui réponds, sois ouvert d'esprit Papa, aux autres opinions, même les plus abjectes. Il me dit "ce type à fait son temps, il est temps de passer à autre choses, il font de la politique depuis trop longtemps" et bla bla bla bla. Je lui dit alors "Oui, mais..., la semaine derni" "Ta gueule mon fils" me coupe-t-il.
A croire que la pensée unique semble se digérer plus facilement selon l'humeur, le temps, l’environnent et son contexte.
DS vient de se faire une nouvelle copine au Monde.
Et moi, voyeuse à mes heures, je me réjouis dans un premier temps de voir ce qui ressemble tant à un règlement de compte mené avec un brio incontestable. Y'a toutes les ficelles, mais c'est bien fait. Ne boudons pas notre plaisir : c'est vrai que c'est mal de se moquer et de dire du mal des gens qu'on n'aime pas, mais parfois on y trouve quelques satisfactions.
Puis vient un deuxième temps où je me dis qu'au fond, ce n'est pas pour rien que je ne lis plus Le Monde, que ce que dit DS n'est une surprise pour personne, et certainement pas pour lui. Et je me demande s'il n'y a pas quelque chose de pathologique à continuer à lire un journal dont on sait très bien qu'on ne peut plus rien attendre. Je préfèrerais que DS attire mon attention sur des trucs intéressants, des gens qui apportent quelque chose. Parce que oui,c'est vrai DS, le vieux modèle ( politique, médiatique ...) est pourri, mais ma préoccupation actuellement n'est pas d'en obtenir la Nième démonstration, mais plutôt de trouver autre chose à la place.
Du coup, ce règlement de compte me déplaît.
Je sais, je suis jamais contente et je me contredis entre le début et la fin de mon message. C'est même exactement ça mon problème en général en ce moment : j'ai du mal à croire en quoi que ce soit, même avec ceux qui dénoncent les mêmes choses que moi. Je m'indigne, DS s'indigne, on s'indigne beaucoup par ici ... et après ?
Et moi, voyeuse à mes heures, je me réjouis dans un premier temps de voir ce qui ressemble tant à un règlement de compte mené avec un brio incontestable. Y'a toutes les ficelles, mais c'est bien fait. Ne boudons pas notre plaisir : c'est vrai que c'est mal de se moquer et de dire du mal des gens qu'on n'aime pas, mais parfois on y trouve quelques satisfactions.
Puis vient un deuxième temps où je me dis qu'au fond, ce n'est pas pour rien que je ne lis plus Le Monde, que ce que dit DS n'est une surprise pour personne, et certainement pas pour lui. Et je me demande s'il n'y a pas quelque chose de pathologique à continuer à lire un journal dont on sait très bien qu'on ne peut plus rien attendre. Je préfèrerais que DS attire mon attention sur des trucs intéressants, des gens qui apportent quelque chose. Parce que oui,c'est vrai DS, le vieux modèle ( politique, médiatique ...) est pourri, mais ma préoccupation actuellement n'est pas d'en obtenir la Nième démonstration, mais plutôt de trouver autre chose à la place.
Du coup, ce règlement de compte me déplaît.
Je sais, je suis jamais contente et je me contredis entre le début et la fin de mon message. C'est même exactement ça mon problème en général en ce moment : j'ai du mal à croire en quoi que ce soit, même avec ceux qui dénoncent les mêmes choses que moi. Je m'indigne, DS s'indigne, on s'indigne beaucoup par ici ... et après ?
Même réaction, même état d'esprit. Il n'y a pas de mal à se faire du bien, mais il y a des jours comme ça où je suis moins disposé à lire ces petites chroniques assassines. Pitié DS, ne sombrez pas dans cette facilité / vilénie. Les portes sont déjà enfoncées.
Cela dit, dans Rantanplan, il y a bien trois "A".
Hasard ?
Signe ?
Hasard ?
Signe ?
Quoique les dirigeants français fassent pour garder leur AAA, si moodys décide dégrader cette note, elle le fera. (Jacques Généreux hier soir dans "mots croisés". C'est ce que je pensais de ttes façons. C'est si difficile à comprendre, pour que nous nous laissions encore enfumés.
Nous sommes comme des enfants, ne sachant plus quoi faire face au menaces du croque-mitaines.
Nous sommes comme des enfants, ne sachant plus quoi faire face au menaces du croque-mitaines.
Ne peut-on dire que Fressoz comme d'autres a quitté le digne monde journalistique pour devenir une embedded des grands sommets comme des salons et des dîners, et des plateaux télé ? Voir aussi le papier lamentable de R. Bacqué et A. Leparmentier dans le Monde daté dimanche lundi "N. Sarkozy L'obsession de la crise" où, avec de belles photos plutôt (très) favorables, le président est, sous couvert de petites piques, présenté comme un homme d'Etat incarnant sa fonction de sauveur de la zone euro ? C'est confondant de crypto-communication élyséenne (d'ailleurs les principales sources de l'article sont... les communicants de Sarko eux-mêmes !) via ce pauvre style pseudo-objectif fait de phrases sans verbe censées dissimuler la double pensée des auteurs. Un papier sans intérêt et au final plus flatteur qu'autre chose, on croirait lire du Figaro ou peut-être (j'ai jamais essayé) du Atlantico.
C'est pourquoi je me dis que l'embedding, qui donne l'ivresse du pouvoir autant que le sentiment de servir le "quatrième" (pouvoir), est l'ennemi du journalisme, du vrai : quand Fressoz se retrouve à poser quelques questions vaseuses sur le plateau de télé du débat de la primaire (par ailleurs un moment de télé intéressant, pour une fois), on se dit que côtoyer les puissants -actuels ou futurs - ne fait pas du bien à la prétention d'objectivité et d'indépendance du plumitif.
Finalement, Daniel, heureusement que vous avez été viré d'une grande chaîne hertzienne à temps, ça vous a peut-être sauvé ?
C'est pourquoi je me dis que l'embedding, qui donne l'ivresse du pouvoir autant que le sentiment de servir le "quatrième" (pouvoir), est l'ennemi du journalisme, du vrai : quand Fressoz se retrouve à poser quelques questions vaseuses sur le plateau de télé du débat de la primaire (par ailleurs un moment de télé intéressant, pour une fois), on se dit que côtoyer les puissants -actuels ou futurs - ne fait pas du bien à la prétention d'objectivité et d'indépendance du plumitif.
Finalement, Daniel, heureusement que vous avez été viré d'une grande chaîne hertzienne à temps, ça vous a peut-être sauvé ?
Proçchaine mission de Maja : investiguer et éventuellement trouver les sources Fressoz. Qui sont peut-être bien pas loin de celles du Nil, au diable vauvert. Ce qui explique que la dame n'y va pas souvent.
Vous n'avez pas marre de ces vieilles badernes qui nous disent matin midi et soir quoi penser de qui et de quoi ?
Moi je frôle l'indigestion.
Vous n'avez pas marre de ces vieilles badernes qui nous disent matin midi et soir quoi penser de qui et de quoi ?
Moi je frôle l'indigestion.
"Quand le sage montre la lune,le sot regarde le doigt" Ici,on les connaît les sages.On ne les voit guère dans lémédias. On a droit aux zéconomistes de la pensée unique qui ne connaissent qu'une thérapie :mettre les peuples au régime sec. Il y en a même qui veulent nous faire peur. Je pense à l'élégant Dessertine qui nous promet l'apocalypse depuis quelques jours.
Alors les journalistes regardent leur doigt vengeur et font le travail.
Et si c'étaient les agences de notation le problème.Et si c'était le libéralisme sauvage le coupable. Une union sacrée ?D'accord,mais pour lutter contre ça.
Alors les journalistes regardent leur doigt vengeur et font le travail.
Et si c'étaient les agences de notation le problème.Et si c'était le libéralisme sauvage le coupable. Une union sacrée ?D'accord,mais pour lutter contre ça.
"les éditorialistes doivent arrêter de se croire omniscient et omnipotent"
De toute façon, à quoi sert le "AAA" de la France, puisque nous empruntons plus chers qu'avant -comparés à l'Allemagne- qui est aussi "AAA" (le swap de taux FR/AL s'écarte) et surtout, beaucoup plus chers que les USA qui sont descendus à "AA+" et continuent d'emprunter à moins de 2% !
Bref, il faut espérer perdre le triple A avant les élections présidentielles, tant cet objectif de le conserver semble être la seule incantation d'un pouvoir à bout de souffle.
Bref, il faut espérer perdre le triple A avant les élections présidentielles, tant cet objectif de le conserver semble être la seule incantation d'un pouvoir à bout de souffle.
Merci pour cette excellente chronique. Beaucoup de choses sont dites.
A lire avec attention.
A lire avec attention.
Aussi critique et justifié que soit votre 9:15 de ce matin, il pose néanmoins une question que vous semblez ne pas envisager: suffit-il d' opposer à la pensée unique économique une pensée économique différente ? N'est-ce pas le mode de pensée économique en toutes ses variétés (tant orthodoxes qu'hérétiques) qui doit être reconsidéré ? "Le rêve" et le "ré-enchantement" dont vous créditez Hollande n'auraient-ils pas justement comme portée, sans doute largement impensée, de nous faire sortir du cercle de l'économique comme structure de "la pensée unique" ? N'était-ce pas, au demeurant, le sens même du socialisme de nous extraire de cette "philosophie de la misère" que constitue l'économie comme ordre de vie ? Proudhon l'avait décrit le premier, à qui Marx "ingratement" doit tant. Bourdieu en retrouva expressément l'inspiration. La revue du MAUSS: Mouvement Antiutilitariste dans les Sciences Sociales, l'illustre aujoud'hui tout particulièrement. Vous n'avez pas été à votre insu sans vous y intéresser en invitant Paul Jorion qui fait partie de ses "conseillers". Mais "votre" passion, j'entends celle d'@si, pour Lordon, dont l'option "philosophique" est expressément opposée (voir son Intérêt souverain) reconduit dans la prison de ce que nous appelons l'économie...
Et vlan pour Françoise-du-Monde. Ah ça, la vengeance est un plat qui se mange froid, et DS en sort régulièrement des portions du congélateur qui ronronne depuis son éviction du quotidien vespéral. Il devrait s’être consolé depuis longtemps : ce journal n’est plus que l’ombre de ce qu’il fut.
Il dit : //Elle a même le droit de ne pas lire son propre journal, dont un article dissonnant expliquait, voici quelques jours, qu'une dégradation n'est pas (forcément) synonyme de catastrophe.//
Certes, mais voici ce qu’en écrit Dan Israël, son voisin d’open space :
//La France n'a jamais vu sa note baisser ; sa monnaie n'est ni le dollar, ni le yuan chinois ; et 65% de sa dette est détenue par des investisseurs étrangers. Il est donc possible que la décision de Moody's, si elle est négative, ait tout de même un fort impact.//
Pas catastrophe, non, mais fort impact.
Une question : Fressoz cherche-t-elle à torpiller la candidature du grand méchant mou ?
Bien vu, la comparaison Hollande Papandréou. Lequel, poussé au cul par les Eurocrates bien au chaud dans leur fromage aussi au chaud que lui, tue le malade pour guérir la maladie.
A part ça. Ce qui nous est promis en matière de casse des services publics me renvoie à mes séjours en Ukraine, étalés sur cinq ans. Mes hôtes étaient un chirurgien et un médecin travaillant en milieu hospitalier. Locaux pourris, salaires de misère, j’ai bien dit de misère : ils n’avaient même pas de voiture, ils vivaient dans un immeuble collectif sordide et ne s’en tiraient que grâce à l’aide des beaux-parents, qui avaient un grand jardin en limite de ville. Et je ne vous parle pas du réseau routier, défoncé, de l’éclairage public squelettique, des transports en commun pourris. Bon, les églises étaient souvent refaites à neuf…
Il dit : //Elle a même le droit de ne pas lire son propre journal, dont un article dissonnant expliquait, voici quelques jours, qu'une dégradation n'est pas (forcément) synonyme de catastrophe.//
Certes, mais voici ce qu’en écrit Dan Israël, son voisin d’open space :
//La France n'a jamais vu sa note baisser ; sa monnaie n'est ni le dollar, ni le yuan chinois ; et 65% de sa dette est détenue par des investisseurs étrangers. Il est donc possible que la décision de Moody's, si elle est négative, ait tout de même un fort impact.//
Pas catastrophe, non, mais fort impact.
Une question : Fressoz cherche-t-elle à torpiller la candidature du grand méchant mou ?
Bien vu, la comparaison Hollande Papandréou. Lequel, poussé au cul par les Eurocrates bien au chaud dans leur fromage aussi au chaud que lui, tue le malade pour guérir la maladie.
A part ça. Ce qui nous est promis en matière de casse des services publics me renvoie à mes séjours en Ukraine, étalés sur cinq ans. Mes hôtes étaient un chirurgien et un médecin travaillant en milieu hospitalier. Locaux pourris, salaires de misère, j’ai bien dit de misère : ils n’avaient même pas de voiture, ils vivaient dans un immeuble collectif sordide et ne s’en tiraient que grâce à l’aide des beaux-parents, qui avaient un grand jardin en limite de ville. Et je ne vous parle pas du réseau routier, défoncé, de l’éclairage public squelettique, des transports en commun pourris. Bon, les églises étaient souvent refaites à neuf…
J'ai cherché la contrepèterie dans le titre... point n'ai trouvé !
Pour le reste, comme un parfum de vieille rancoeur recuite.
Mme Fressoz, si l'on en croit le chroniqueur lui-même, ne représente qu'un point de vue au sein du Monde (le pire des quotidiens, à l'exception de tous les autres).
Et le cliché de la "Pensée unique" laisse entendre que ceux et celles qui ne la partagent pas n'en ont pas... de pensée !
Ces agences de notations devraient être combattues par les libéraux eux-mêmes car elles prétendent se substituer à la "main invisible" qui doit régir le marché, autrement dit le marché est auto-régulateur (en schématisant à l'extrême les théories d'Adam Smith).
Pour le reste, comme un parfum de vieille rancoeur recuite.
Mme Fressoz, si l'on en croit le chroniqueur lui-même, ne représente qu'un point de vue au sein du Monde (le pire des quotidiens, à l'exception de tous les autres).
Et le cliché de la "Pensée unique" laisse entendre que ceux et celles qui ne la partagent pas n'en ont pas... de pensée !
Ces agences de notations devraient être combattues par les libéraux eux-mêmes car elles prétendent se substituer à la "main invisible" qui doit régir le marché, autrement dit le marché est auto-régulateur (en schématisant à l'extrême les théories d'Adam Smith).
J'en suis à rêver que la France perde son AAA au lendemain de l'élection de Hollande (s'il s'avérait qu'il soit bien élu).
Comme ça, au moins, ce cher Hollande aurait peut être un bon électro choc et enverrait tout valdinguer pour appliquer une politique hors de la pensée unique.
Mais comme je le dis au début : je rêve.
Comme ça, au moins, ce cher Hollande aurait peut être un bon électro choc et enverrait tout valdinguer pour appliquer une politique hors de la pensée unique.
Mais comme je le dis au début : je rêve.
Euh, en fait c'est qui Rantanplan ? Parce qu'on pourrait traîter tout aussi bien Hollande/Martine que Sarko/Fillon de Rantanplans, tout comme la journaliste, nos célèbres économistes patentés-qui-passent-à-la-télé d'ailleurs.
Est-ce qu'ils savent où nous allons, où il faut aller, les uns ou les autres ?
J'ai assisté au début de l'émission d'hier soir (avec Y. Calvi), et j'ai vite éteint car j'ai eu l'impression d'être devenue Rantanplan : incapable de savoir quoi faire, encore moins où aller, à force d'écouter les autres Rantanplans invités sur le plateau !
Brèfles, nous sommes tous des Rantanplans.
Est-ce qu'ils savent où nous allons, où il faut aller, les uns ou les autres ?
J'ai assisté au début de l'émission d'hier soir (avec Y. Calvi), et j'ai vite éteint car j'ai eu l'impression d'être devenue Rantanplan : incapable de savoir quoi faire, encore moins où aller, à force d'écouter les autres Rantanplans invités sur le plateau !
Brèfles, nous sommes tous des Rantanplans.
Ce qui m'étonne c'est la capacité à s'étonner encore sur les journalistes qui"font l'opinion" de DS
Illustration: célèbre héros de bande dessinée de la fin du XXe siècle ayant la particularité d'indiquer toujours la mauvaise direction. Aucun rapport avec la chronique, bien entendu.
Heureusement que vous apportez cette lumière, je pensais que c'était en rapport avec le côté simplet et idiot du héros ^^
Heureusement que vous apportez cette lumière, je pensais que c'était en rapport avec le côté simplet et idiot du héros ^^