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La soumission chimique ne doit plus être un fait divers, selon les assos

"Drogue du violeur", piqûres en soirées, abus conjugaux sous somnifères... Les cas de "soumission chimique" sont de plus en plus traités par la presse ces dernières années, souvent, comme des faits divers. Pourtant, selon les associations de défense des victimes, ce serait plutôt aux services "santé" des rédactions de travailler le sujet, pour qu'il soit mieux traité.

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Petite anecdote, je pense que je ne suis pas hors sujet :

 

J’ai longtemps travaillé comme technicien dans la gestion des déchets de l’industrie chimique. Il y a une douzaine d’année mon employeur de l’époque avait un contrat avec un site de produ(...)

Bon, je comprends plus rien à ces histoires de piqûres en soirée. J'avais retenu que c'était une énième panique collective sans fondement, comme celle sur les chevaux et tant d'autres. 


Et là des associations disent le contraire, sans que ça soit(...)

Quel plaisir peut-on avoir à coucher avec une personne quasi inconsciente ? Il faut être mentalement dérangé ! Ce n'est pas différent d'un nécrophile quant à ce qui motive un tel comportement. Transformer l'autre en objet sur lequel on a tout pouvoir(...)

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En ce qui concerne "les piqûres"... alors je suis tout-à-fait d'accord pour prendre au sérieux les récits des personnes qui s'en disent victimes. Cependant, de ce que j'en ai lu ici et là (surtout là j'avoue  : https://www.radiofrance.fr/franceinter/2-100-plaintes-pour-des-piqures-en-soiree-et-toujours-aucun-coupable-7338690), il n'y a à ce jour pas grand-chose pour étayer la grande majorité de ces récits. J'entends bien qu'effectivement la récolte de preuves est compliquée mais il faudrait aussi ne pas balayer d'un simple revers de la main l'hypothèse de l'"emballement" (plutôt que la "psychose collective"). De la même manière qu'il y a eu un "emballement" à propos des chevaux soi-disant tués et mutilés volontairement qui a défrayé la chronique il y a quelques mois.

Ça pose clairement la question suivante : jusqu'à quel moment soutenir une thèse, une accusation, quand celle-ci a effectivement et sérieusement été considérée mais que rien au-delà du témoignage de la victime supposée ou très peu de choses (qui peuvent s'expliquer autrement) ne vient la soutenir ?

Il a été démontré qu'il y avait une réalité chimique sous la panique sur les piqures en soirée, ou c'est encore un coup de Nagui ?

Quel plaisir peut-on avoir à coucher avec une personne quasi inconsciente ? Il faut être mentalement dérangé ! Ce n'est pas différent d'un nécrophile quant à ce qui motive un tel comportement. Transformer l'autre en objet sur lequel on a tout pouvoir. Comme de coucher avec son esclave sur qui on a le droit de vie ou de mort. Mais quelle perversion !

Bon, je comprends plus rien à ces histoires de piqûres en soirée. J'avais retenu que c'était une énième panique collective sans fondement, comme celle sur les chevaux et tant d'autres. 


Et là des associations disent le contraire, sans que ça soit interrogé dans l'article.


Concrètement, on en est où de ces histoires ? Y a-t-il eu des faits avérés, confirmés, comme le laisse entendre certaines citations ici ? Si oui, dans quelles proportions ? Y a-t-il un réel phénomène ? Si oui le ratage collectif des médias se situerait dans cette deuxième phase et pas dans la propagation initiale des articles sur ces piqûres, @si enquête dessus ?


Je suis perplexe.

Petite anecdote, je pense que je ne suis pas hors sujet :

 

J’ai longtemps travaillé comme technicien dans la gestion des déchets de l’industrie chimique. Il y a une douzaine d’année mon employeur de l’époque avait un contrat avec un site de production, dans le sud de la France, d’un industriel français de la pharmacie bien connu. (vous savez, celui qui n’a pas été foutu de mettre au point un vaccin Covid malgré les largesses fiscales)

Le site avait des stocks de flacon de produit à jeter, et notamment toute son échantillothèque qui est gardée puis jetée au bout d’un délais réglementaire (j’imagine) de conservation.


Mon boulot consistait à conditionner les flacons pour qu’ils puissent être transportés par la route jusqu’à l’incinérateur adéquat en respectant la réglementation du transport des matières dangereuses par route. C’était pas trop compliqué en ce qui concerne les principes pharmaceutiques qui ne présentent pas de risque d’instabilité, d’inflammabilité etc...


Maintenant je ne suis pas pharmacien, donc ce à quoi servent les produits je n’en ai aucune idée.


Pendant que je conditionnais des flacons de « Zolpidem », un gros lourdaud va me renseigner avec une voix bien beauf, bien grasse, à la Jean Marie Bigard, gestes obscènes à l’appuie, deux points ouvrez les guillemets : «  Le Zolpidem, t’en met une pincée dans le verre d’une gonzesse et après t’en fait ce que tu veux !! » Ha HA Ha Ha Ha (rire gras)


Le gars je ne le connaissais qu’à peine, donc il ne me connaissait pas non plus, il ne savait pas qui j’étais ni de quoi j’étais capable.

J’ai vérifié ses dires sur internet et le produit en question est bien une drogue du violeur

Cela aurait été facile de sortir de l’usine avec un ou deux flacons dans les poches, d’en faire commerce, de commencer une carrière de prédateur.


Je ne l’ai pas fait bien évidement, mais tout cela pour dire que les produits utilisés ont une origine.



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