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La stasi des manchots
La stasi ! Comment ose-t-il ?
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(Le pire dans ce dernier cas, c'est qu'il semble que Taubira dise vrai, et que son cabinet soit si désorganisé qu'elle n'a pas lu les rapports qui lui étaient adressés).
Ah bon ? Pour ma part je suis plutôt rassuré que Taubira ait plus important à s'occuper que la mise sur écoute de Sarko. La seule raison se s'y intéresser était de ne pas être prise au dépourvu au cas où on l'aurait questionnée sur le sujet. Pour une fois qu'un ministre a autre chose en tête que sa com', je m'étonne qu'ASI s'en offusque et prenne cela pour de la désorganisation.
Ah bon ? Pour ma part je suis plutôt rassuré que Taubira ait plus important à s'occuper que la mise sur écoute de Sarko. La seule raison se s'y intéresser était de ne pas être prise au dépourvu au cas où on l'aurait questionnée sur le sujet. Pour une fois qu'un ministre a autre chose en tête que sa com', je m'étonne qu'ASI s'en offusque et prenne cela pour de la désorganisation.
Raahhh !
Je sais que je chicane, mais franchement, cette histoire de pression sur Numéricable, c'est n'importe quoi. S'il s'agissait de pressions,, ça daterait d'il y a quelques semaines.
Mais c'est un ancien redressement -en fait, depuis les lois Sarkozy, on dit rectification, pour ne pas effrayer ces pauvres contribuables qui ont par inadvertance fraudé- , s'il concerne 2006, vue la prescription, le rehaussement datait au plus tard de 2010 s'il s'agissait de remise en cause de charges et de TVA impayée, probablement dans le cadre d'une vérification qui s'est passée vers 2010, puis une seconde en 2013. Donc les recours habituels ont probablement été utilisés.
Je n'ai aucune information, mais vues les lois fiscales actuelles, si ce que dit l'article est exact, la seule chose que prouve cet article, c'est que Numéricable est un contribuable particulièrement peu scrupuleux. Et qu'il a persevere diabolicum.
De plus, même si les services fiscaux sont particulièrement serviles avec le pouvoir, je n'ai jamais entendu dire qu'on avait inventé des rectifications pour des raisons politiques. Il y a matière à rectification, et quelquefois, les contrôles sont empêchés, ça je l'ai vu, surtout sous la droite, mais inventer des rectifications, jamais....
Pour la droite, actuellement, tous les moyens sont bons pour disqualifier le pouvoir actuel. Soit il est trop faible, soit il est trop hargneux et manipulateur. Il faudrait s'entendre, ça ne peut pas être les deux à la fois.
Les arguments de Sarko, c'est du grand n'importe quoi.... C'est scandaleux de leur accorder la moindre importance. J'ai l'impression d'être devant une petit frappe qui cherche à se justifier...
Mais Sarko fait vendre.
N'Est-ce-pas ?
Je sais que je chicane, mais franchement, cette histoire de pression sur Numéricable, c'est n'importe quoi. S'il s'agissait de pressions,, ça daterait d'il y a quelques semaines.
Mais c'est un ancien redressement -en fait, depuis les lois Sarkozy, on dit rectification, pour ne pas effrayer ces pauvres contribuables qui ont par inadvertance fraudé- , s'il concerne 2006, vue la prescription, le rehaussement datait au plus tard de 2010 s'il s'agissait de remise en cause de charges et de TVA impayée, probablement dans le cadre d'une vérification qui s'est passée vers 2010, puis une seconde en 2013. Donc les recours habituels ont probablement été utilisés.
Je n'ai aucune information, mais vues les lois fiscales actuelles, si ce que dit l'article est exact, la seule chose que prouve cet article, c'est que Numéricable est un contribuable particulièrement peu scrupuleux. Et qu'il a persevere diabolicum.
De plus, même si les services fiscaux sont particulièrement serviles avec le pouvoir, je n'ai jamais entendu dire qu'on avait inventé des rectifications pour des raisons politiques. Il y a matière à rectification, et quelquefois, les contrôles sont empêchés, ça je l'ai vu, surtout sous la droite, mais inventer des rectifications, jamais....
Pour la droite, actuellement, tous les moyens sont bons pour disqualifier le pouvoir actuel. Soit il est trop faible, soit il est trop hargneux et manipulateur. Il faudrait s'entendre, ça ne peut pas être les deux à la fois.
Les arguments de Sarko, c'est du grand n'importe quoi.... C'est scandaleux de leur accorder la moindre importance. J'ai l'impression d'être devant une petit frappe qui cherche à se justifier...
Mais Sarko fait vendre.
N'Est-ce-pas ?
Le premier jet de cette tribune avant correction est à lire ici http://hdd.humourdedroite.com/t/exclusif-la-tribune-de-sarkozy-avant-les-corrections-du-figaro/2029
Je trouve que le chouchou à sa Carlita, il fait de son mieux.
Bien sûr, ce n'est pas à la hauteur de ce que pouvait faire le chichi à sa Bernadette, et encore moins virtuose que ce que nous concoctait le mazarin à ... à ... à ses innombrables femmes mais bien. Compte tenu du champ sémantique qu'il maîtrise, de l'histoire qu'il est arrivé à assimiler, je trouve qu'il a fait au mieux de ce qu'il pouvait faire.
C'est nul, oui mais de là où il partait, il ne pouvait que progresser.
Il n’a pas progressé ? Non. Mais ce n’est pas toujours de sa faute.
Vous vous imaginez en chef de bande quand dans la bande vous avez à la fois Hortefeux,, Lefebvre, Dati, Morano, …enfin tous les derniers de la classe ?
Vous vous imaginez en chef de bande alors que vous venez d’hériter de tous les pouvoirs que donne la République ?
Vous l’avez vu se beurrer avec Poutine, speaker engliche avec Barack, (qui comprenait queudalle) ?
Pis voilà qu’un capitaine de pédalo le vire du quartier où sévissait sa bande.
Pis voilà que des petits, petits juges se permettent d’aller voir ce qu’il fricottait quand sa bande dominait le quartier.
Manquerait plus que sa Carlita s’en aille sur la moto d’un autre…
C’est du Shakespeare, je vous dis.
http://www.youtube.com/watch?v=ijZKiOayaUw
Bien sûr, ce n'est pas à la hauteur de ce que pouvait faire le chichi à sa Bernadette, et encore moins virtuose que ce que nous concoctait le mazarin à ... à ... à ses innombrables femmes mais bien. Compte tenu du champ sémantique qu'il maîtrise, de l'histoire qu'il est arrivé à assimiler, je trouve qu'il a fait au mieux de ce qu'il pouvait faire.
C'est nul, oui mais de là où il partait, il ne pouvait que progresser.
Il n’a pas progressé ? Non. Mais ce n’est pas toujours de sa faute.
Vous vous imaginez en chef de bande quand dans la bande vous avez à la fois Hortefeux,, Lefebvre, Dati, Morano, …enfin tous les derniers de la classe ?
Vous vous imaginez en chef de bande alors que vous venez d’hériter de tous les pouvoirs que donne la République ?
Vous l’avez vu se beurrer avec Poutine, speaker engliche avec Barack, (qui comprenait queudalle) ?
Pis voilà qu’un capitaine de pédalo le vire du quartier où sévissait sa bande.
Pis voilà que des petits, petits juges se permettent d’aller voir ce qu’il fricottait quand sa bande dominait le quartier.
Manquerait plus que sa Carlita s’en aille sur la moto d’un autre…
C’est du Shakespeare, je vous dis.
http://www.youtube.com/watch?v=ijZKiOayaUw
C'est du pur Guaino : un mélange de haine et de guano.
Ce billet est affligeant....En renvoyant dos à dos les uns et les autres, vous n'êtes pas très loin du "tous pourris"que vous dénoncez pourtant comme il convient à d'autres occasions.Vous banalisez des propos dont la gravité aurait dû vous interpeller..Encore quelques éditos du même calibre, et je résilie mon abonnement.
Hier, déjà c'était " pas terrible ", aujourd'hui c'est pire. Peut-être les vacances de Pâques seront utiles ..
Comment peut-on comparer "l'indéfendable " avec.le " médiocre " ?
C'est vrai que faire un billet tous les jours, ce doit être très difficile ( surtout si on veut être comparé à CAVANNA)
J' apprécie pourtant , souvent, vos chroniques ...
Comment peut-on comparer "l'indéfendable " avec.le " médiocre " ?
C'est vrai que faire un billet tous les jours, ce doit être très difficile ( surtout si on veut être comparé à CAVANNA)
J' apprécie pourtant , souvent, vos chroniques ...
Sinon que tout cela est affaire de goût, je me permets quand même de prendre ici la défense d'une chronique qui m'a paru fort juste et que, si je peux me permettre, vous n'avez pas l'air d'avoir bien lue.
On est pourtant très loin du "tous pourris" puisque le problème pointé par la chronique serait plutôt le "tout pourri", sous entendu, le système est tout pourri, ce que Daniel Schneidermann appelle "les manettes maudites".
Ce n'est pourtant pas compliqué à comprendre : si le système a permis que M. Sarkozy accède aux plus hautes responsabilités, c'est bien qu'il y a un vrai problème au cœur même de ce système. Dès lors que le système permet de telles aberrations, il est naturel que le doute devienne systématique puisque rien ne nous garantit dans les institutions que cela ne recommencera pas.
Ce n'est donc pas un problème de personnes mais de structures, et, pour une fois, je trouve que D. Schneidermann l'illustre particulièrement bien. C'est une prise de conscience nécessaire car tant qu'on s'accrochera à l'individu comme mesure du problème, on n'atteindra jamais le cœur de la machine. Certes tous les hommes et les femmes politiques ne sont pas tous des truands, mais ils sont pourtant collectivement responsables du même mal : ils contribuent, honnêtement ou malhonnêtement, à pérenniser un système injuste et illégitime qui pèse sur le plus grand nombre.
On est pourtant très loin du "tous pourris" puisque le problème pointé par la chronique serait plutôt le "tout pourri", sous entendu, le système est tout pourri, ce que Daniel Schneidermann appelle "les manettes maudites".
Ce n'est pourtant pas compliqué à comprendre : si le système a permis que M. Sarkozy accède aux plus hautes responsabilités, c'est bien qu'il y a un vrai problème au cœur même de ce système. Dès lors que le système permet de telles aberrations, il est naturel que le doute devienne systématique puisque rien ne nous garantit dans les institutions que cela ne recommencera pas.
Ce n'est donc pas un problème de personnes mais de structures, et, pour une fois, je trouve que D. Schneidermann l'illustre particulièrement bien. C'est une prise de conscience nécessaire car tant qu'on s'accrochera à l'individu comme mesure du problème, on n'atteindra jamais le cœur de la machine. Certes tous les hommes et les femmes politiques ne sont pas tous des truands, mais ils sont pourtant collectivement responsables du même mal : ils contribuent, honnêtement ou malhonnêtement, à pérenniser un système injuste et illégitime qui pèse sur le plus grand nombre.
Quelle solution ?
Révisions :
http://www.arretsurimages.net/articles/2009-07-16/L-Elysee-payait-les-sondages-OpinionWay-Figaro-LCI-id2156
http://www.arretsurimages.net/articles/2009-07-16/L-Elysee-payait-les-sondages-OpinionWay-Figaro-LCI-id2156
Des solutions il y en a autant que l'imagination le permet. Selon moi la bonne solution, au sens de la plus légitime, est celle qui procéderait d'une réflexion collective, engagée dans un processus constituant, qui permettrait de refonder des institutions plus saines et démocratiques.
Personnellement je considère que le principal problème de l'action politique aujourd'hui ce n'est pas tant son orientation (gauche, droite, libérale, protectionniste...) que la question de sa légitimité. L'ensemble des citoyens rassemblés est censé représenter la souveraineté politique de la société. Ça me paraît donc là le bon point de départ : comment associer l'ensemble des citoyens à la décision politique en permanence. La légitimité politique procédant de l'ensemble des citoyens, en dernier recours ce doit être cet ensemble qui a nécessairement le dernier mot sur l'action politique, et non pas sur le choix des personnes pour la mener.
Si on raisonne à l'échelle de la France, le choix d'un système représentatif me paraissant inévitable, le but est donc de limiter au maximum le biais représentatif. En effet, plus on avance dans la représentation, plus l'écart est grand entre la volonté de tous et les décisions des représentants. Le système où nous vivons aujourd'hui en est, il me semble, une caricature. Il s'agit donc que le personnel politique n'ait pas d'intérêt autre qu'à remplir sa mission. Cela passe selon moi par des mandats uniques, c'est à dire l'interdiction du cumul des mandats dans le temps et dans les fonctions. Cela passe aussi par le contrôle permanent de l'action de ce personnel politique. C'est à dire que toutes les décisions prises devraient être validées par un référendum. Pour que ce système soit viable, il doit bien sûr s'adosser à une décentralisation beaucoup plus poussée qu'actuellement, de sorte que ne reste à l'échelon national que ce qui concerne effectivement l'ensemble de la société. A l'échelon local, les mêmes principes devant être appliqués.
Cela demandera, bien sûr, un investissement plus important des citoyens qui auront à se prononcer très fréquemment. Cela suppose donc que soit garanti à tous les citoyens un revenu minimum qui rémunère à la fois leur activité de citoyen, car chaque travail mérite salaire et car c'est le préalable indispensable à l'indépendance et à l'autonomie de réflexion de chacune et de chacun.
Il faut aussi penser un système où la séparation des pouvoirs est véritable : un législateur qui légifère, un exécutif qui se contente d’exécuter et un judiciaire réellement indépendant.
Il y a aussi très certainement une réflexion à mener sur la propriété privée des moyens de production. Il faut faire rentrer la démocratie dans l'entreprise. C'est le gage d'une meilleure politique économique et cela réduit l'inégalité dangereuse pour la démocratie et l'indépendance des citoyens qui existe entre un patron et un salarié/employé. Cela couplé avec une réflexion sur une échelle de revenus maximum/minimum pour ne pas créer des classes de citoyens aux intérêts totalement divergents.
On voit bien qu'à part sans doute pour ce dernier point, il n'est pas tellement question ici de gauche ou de droite, mais d'une question de légitimité. Le système très grossièrement décrit ici n'est pas parfait, loin s'en faut, mais j'estime que ça serait déjà un progrès démocratique considérable. Son principal atout selon moi est de poser les bases d'une réinvention permanente du cadre institutionnel puisque les citoyens ferraient la loi, pourraient initier des référendums, pourraient réformer la constitution... Ainsi, petit à petit, sauf à ce que la majorité s'asservisse elle-même, je pense qu'il s'enclencherait une dynamique positive d'appropriation du pouvoir par ceux qui le détiennent légitimement, à savoir chacun et chacun d'entre nous. C'est là, ce me semble, une garantie bien plus forte que celles qu'ont bien voulu nous jurer, la main sur le cœur, nos précédents présidents.
Personnellement je considère que le principal problème de l'action politique aujourd'hui ce n'est pas tant son orientation (gauche, droite, libérale, protectionniste...) que la question de sa légitimité. L'ensemble des citoyens rassemblés est censé représenter la souveraineté politique de la société. Ça me paraît donc là le bon point de départ : comment associer l'ensemble des citoyens à la décision politique en permanence. La légitimité politique procédant de l'ensemble des citoyens, en dernier recours ce doit être cet ensemble qui a nécessairement le dernier mot sur l'action politique, et non pas sur le choix des personnes pour la mener.
Si on raisonne à l'échelle de la France, le choix d'un système représentatif me paraissant inévitable, le but est donc de limiter au maximum le biais représentatif. En effet, plus on avance dans la représentation, plus l'écart est grand entre la volonté de tous et les décisions des représentants. Le système où nous vivons aujourd'hui en est, il me semble, une caricature. Il s'agit donc que le personnel politique n'ait pas d'intérêt autre qu'à remplir sa mission. Cela passe selon moi par des mandats uniques, c'est à dire l'interdiction du cumul des mandats dans le temps et dans les fonctions. Cela passe aussi par le contrôle permanent de l'action de ce personnel politique. C'est à dire que toutes les décisions prises devraient être validées par un référendum. Pour que ce système soit viable, il doit bien sûr s'adosser à une décentralisation beaucoup plus poussée qu'actuellement, de sorte que ne reste à l'échelon national que ce qui concerne effectivement l'ensemble de la société. A l'échelon local, les mêmes principes devant être appliqués.
Cela demandera, bien sûr, un investissement plus important des citoyens qui auront à se prononcer très fréquemment. Cela suppose donc que soit garanti à tous les citoyens un revenu minimum qui rémunère à la fois leur activité de citoyen, car chaque travail mérite salaire et car c'est le préalable indispensable à l'indépendance et à l'autonomie de réflexion de chacune et de chacun.
Il faut aussi penser un système où la séparation des pouvoirs est véritable : un législateur qui légifère, un exécutif qui se contente d’exécuter et un judiciaire réellement indépendant.
Il y a aussi très certainement une réflexion à mener sur la propriété privée des moyens de production. Il faut faire rentrer la démocratie dans l'entreprise. C'est le gage d'une meilleure politique économique et cela réduit l'inégalité dangereuse pour la démocratie et l'indépendance des citoyens qui existe entre un patron et un salarié/employé. Cela couplé avec une réflexion sur une échelle de revenus maximum/minimum pour ne pas créer des classes de citoyens aux intérêts totalement divergents.
On voit bien qu'à part sans doute pour ce dernier point, il n'est pas tellement question ici de gauche ou de droite, mais d'une question de légitimité. Le système très grossièrement décrit ici n'est pas parfait, loin s'en faut, mais j'estime que ça serait déjà un progrès démocratique considérable. Son principal atout selon moi est de poser les bases d'une réinvention permanente du cadre institutionnel puisque les citoyens ferraient la loi, pourraient initier des référendums, pourraient réformer la constitution... Ainsi, petit à petit, sauf à ce que la majorité s'asservisse elle-même, je pense qu'il s'enclencherait une dynamique positive d'appropriation du pouvoir par ceux qui le détiennent légitimement, à savoir chacun et chacun d'entre nous. C'est là, ce me semble, une garantie bien plus forte que celles qu'ont bien voulu nous jurer, la main sur le cœur, nos précédents présidents.
C'est effectivement très tentant et bien vu, mais , je crains fortement être mort et enterré avant le début de l'esquisse de cette réforme et je crains le même sort pour beaucoup
C'est peut-être là le fruit d'une nature optimiste ou d'un privilège qu'on dit être celui de la jeunesse mais, que voulez-vous, j'y crois ;)
J'ai même l'impression que ces messieurs dames qui nous gouvernent, par leur incompétence et/ou leur malhonnêteté, nous aident à aller dans le bon sens. Mais je n'exclus pas, c'est vrai, qu'il y ait de ma part un biais interprétatif...
PS : et j'ajouterai, après tout nous sommes sur @si, qu'il faut profondément repenser et réformer le modèle d'organisation des médias dans ce pays. Ce n'est pas ici qu'il est besoin d'expliquer combien ils jouent pour beaucoup dans le blocage actuel du système politique.
J'ai même l'impression que ces messieurs dames qui nous gouvernent, par leur incompétence et/ou leur malhonnêteté, nous aident à aller dans le bon sens. Mais je n'exclus pas, c'est vrai, qu'il y ait de ma part un biais interprétatif...
PS : et j'ajouterai, après tout nous sommes sur @si, qu'il faut profondément repenser et réformer le modèle d'organisation des médias dans ce pays. Ce n'est pas ici qu'il est besoin d'expliquer combien ils jouent pour beaucoup dans le blocage actuel du système politique.
Pour commencer ( mais ce n'est qu'un début ), rendre la responsabilité de l'action gouvernementale au Premier Ministre et en revenir à la responsabilité du gouvernement devant les chambres. En finir avec la fable des "engagements" présidentiels qui est pire que l'article 16,
puisque lesdits engagements sont "adoptés" en bloc, sans discussion véritable et dispensent les députés de prendre leurs responsabilités....
puisque lesdits engagements sont "adoptés" en bloc, sans discussion véritable et dispensent les députés de prendre leurs responsabilités....
L'état "Stasi" c'est pourtant son oeuvre à lui.
Après Dassaut qui se plaint la garde à vue, Sarkozy qui se plaint de des écoutes, manque plus que Bush se plaigne du "Patriot Act".
Article du Canard enchaîné de la semaine dernière:
" Il aurait mieux fait de prêter l'oreille à ceux qui, en 2004, lors de l'adoption de la loi "Perben 2", prédisaient les pires dérives, et les écoutes téléphoniques à tout va.
Mais le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy avait balayé d'un revers de main rigolard les protestations de ces "droit de l'hommistes". Mieux encore, il avait poussé à la roue son collègue Perben, un peu mou du genou à son goût. Aujourd'hui qu'il est sur écoute, ses amis hurlent au scandale, à l'Etat "Stasi" ou au "KGB", comme hurlaient à l'époque leurs opposants, élus, avocats, magistrats ou juristes. De jeunes avocats avaient même écrit "Ça peut vous arriver". Un scénario catastrophe et prémonitoire, montrant les abus que cette loi rendait possible.
Avant 2004, seuls les juges d'instruction avaient le pouvoir de placer un suspect sur écoute. Désormais, grâce à la loi Perben, les procureurs peuvent, dans le cadre d'une simple enquête préliminaire, demander une écoute, avec le feu vert du juge des libertés. Et cela concerne à peu près toutes les infractions commises "en bande organisée", soit par plus de deux personnes. "La mesure a connu une extension remarquable" écrivent Frédéric Desportes et Laurence Lazerges, dans leur "Traité de procédure pénale". Une extension qui fait des victimes remarquables... "
Après Dassaut qui se plaint la garde à vue, Sarkozy qui se plaint de des écoutes, manque plus que Bush se plaigne du "Patriot Act".
Article du Canard enchaîné de la semaine dernière:
" Il aurait mieux fait de prêter l'oreille à ceux qui, en 2004, lors de l'adoption de la loi "Perben 2", prédisaient les pires dérives, et les écoutes téléphoniques à tout va.
Mais le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy avait balayé d'un revers de main rigolard les protestations de ces "droit de l'hommistes". Mieux encore, il avait poussé à la roue son collègue Perben, un peu mou du genou à son goût. Aujourd'hui qu'il est sur écoute, ses amis hurlent au scandale, à l'Etat "Stasi" ou au "KGB", comme hurlaient à l'époque leurs opposants, élus, avocats, magistrats ou juristes. De jeunes avocats avaient même écrit "Ça peut vous arriver". Un scénario catastrophe et prémonitoire, montrant les abus que cette loi rendait possible.
Avant 2004, seuls les juges d'instruction avaient le pouvoir de placer un suspect sur écoute. Désormais, grâce à la loi Perben, les procureurs peuvent, dans le cadre d'une simple enquête préliminaire, demander une écoute, avec le feu vert du juge des libertés. Et cela concerne à peu près toutes les infractions commises "en bande organisée", soit par plus de deux personnes. "La mesure a connu une extension remarquable" écrivent Frédéric Desportes et Laurence Lazerges, dans leur "Traité de procédure pénale". Une extension qui fait des victimes remarquables... "
Petite fatigue Monsieur Schneidermann ? Pas terrible (sur le fond) vos billets en ce moment.
Daniel, vous reprenez ici les "arguments" fallacieux de la droite. Vous comparez des cachotteries à des turpitudes. Un souci d'équilibre, de nuances, de neutralité ? une posture intellectuelle ?
Cela dit, oui, il y a peut-être des manoeuvres du gouvernement. Et alors ? Moi président, ou ministre, si j'avais une conscience, et le sens de l'état, j'appuierais sur toutes les manettes pour que Sarkozy (ce psychopathe avéré) ne revienne pas au pouvoir.
Me le reprocheriez vous ?
Cela dit, oui, il y a peut-être des manoeuvres du gouvernement. Et alors ? Moi président, ou ministre, si j'avais une conscience, et le sens de l'état, j'appuierais sur toutes les manettes pour que Sarkozy (ce psychopathe avéré) ne revienne pas au pouvoir.
Me le reprocheriez vous ?
Moi, ce qui me gène, c'est que tout ce bruit pollue la vie, me pollue la vie ... et encore plus en entendant Morano qu'ils ont ressortie de la naphtaline...
Pendant ce temps, à Saint-Nazaire, alors que la presse s'excite sur cette commande de 3 "gros veaux navigants" passée hier entre le Rital des croisières, on apprend que ce sera au prix de salaires plus bas (merci M'sieur Hollande et ses accords pourris avec le MEDEF), et avec l'épée de Damoclès des Coréens qui veulent se débarrasser des chantiers navals nazériens...
A Fessenheim, la plus vieille centrale nucléaire est plus "sécurisée" depuis l'intrusion de Greenpeace mais elle est toujours aussi dangereuse...
Ils m'emm... tous ! Comment on se débarrasse de gens comme eux ?
Pendant ce temps, à Saint-Nazaire, alors que la presse s'excite sur cette commande de 3 "gros veaux navigants" passée hier entre le Rital des croisières, on apprend que ce sera au prix de salaires plus bas (merci M'sieur Hollande et ses accords pourris avec le MEDEF), et avec l'épée de Damoclès des Coréens qui veulent se débarrasser des chantiers navals nazériens...
A Fessenheim, la plus vieille centrale nucléaire est plus "sécurisée" depuis l'intrusion de Greenpeace mais elle est toujours aussi dangereuse...
Ils m'emm... tous ! Comment on se débarrasse de gens comme eux ?
Voilà un matin@ute qui me met mal à l'aise. Vous ne dites pas "tous pourris", vous dites peu importe que ceux qui sont aux manettes soient pourris ou pas, parce que les manettes/le système de transmission est lui-même pourri. Cela revient donc un peu au même. Et je ne suis pas d'accord. Que le système administro-étatique n'ait pas de verrous suffisants pour empêcher les transmissions vérolées, les confusions des rôles, les trafics d'influence (comme on sait), on est bien d'accord. Mais ce système sur lequel plane un perpétuel soupçon n'empêche pas, à l'heure où nous parlons, des juges d'enquêter sur Sarkozy.
Non, tous les hommes/femmes politiques ne se valent pas, n'ont pas les mêmes pratiques, sans que cela ait à voir, du reste, avec l'image qu'ils ont dans l'opinion publique. Jospin -qui n'a jamais été ma tasse de thé- n'a pas passé le premier tour de la Présidentielle, Chirac a été élu. L'un était/est honnête, l'autre a été fort tardivement condamné. Et, personnellement, je déplore, oui, que l'on ne fasse pas de différence entre ceux qui sont globalement honnêtes (la malhonnêteté intellectuelle n'est pas encore un délit) et ceux qui sont prêts à tous les tripatouillages...
Non, tous les hommes/femmes politiques ne se valent pas, n'ont pas les mêmes pratiques, sans que cela ait à voir, du reste, avec l'image qu'ils ont dans l'opinion publique. Jospin -qui n'a jamais été ma tasse de thé- n'a pas passé le premier tour de la Présidentielle, Chirac a été élu. L'un était/est honnête, l'autre a été fort tardivement condamné. Et, personnellement, je déplore, oui, que l'on ne fasse pas de différence entre ceux qui sont globalement honnêtes (la malhonnêteté intellectuelle n'est pas encore un délit) et ceux qui sont prêts à tous les tripatouillages...
Pas du tout d’accord avec cet édito ni-ni…
Je fais une rechute (si tant est que j’en ai été guérie) d’anti-sarkozisme primaire.
Putain, impossible de s’en débarrasser. Il est là tout le temps, il parle, il se tait, il a changé, il pète un câble, il revient, il revient pas, et Carla, et Bernadette… et en voiture pour les éditions spéciales, on analyse, on dissèque, on décortique, on lit entre les lignes. Toutes les cliques se mobilisent parce qu’il a noirci deux feuilles de propos insanes dont la brutalité, la vulgarité et la mauvaise foi sont à son image qu’on connaissait déjà hélas si bien. Au nom de la France bien sur, de la République des Droits de l’Homme et allons-y, j’en ai du pas cher, qui en veut …Overdose ! On fait quoi ?
Je fais une rechute (si tant est que j’en ai été guérie) d’anti-sarkozisme primaire.
Putain, impossible de s’en débarrasser. Il est là tout le temps, il parle, il se tait, il a changé, il pète un câble, il revient, il revient pas, et Carla, et Bernadette… et en voiture pour les éditions spéciales, on analyse, on dissèque, on décortique, on lit entre les lignes. Toutes les cliques se mobilisent parce qu’il a noirci deux feuilles de propos insanes dont la brutalité, la vulgarité et la mauvaise foi sont à son image qu’on connaissait déjà hélas si bien. Au nom de la France bien sur, de la République des Droits de l’Homme et allons-y, j’en ai du pas cher, qui en veut …Overdose ! On fait quoi ?
En fait ce qui a le plus mis en colère Sarkozy/Bismuth ce n'est pas la transmission de ses conversations
à Taubira et Valls, mais le fait qu'ils n'en aient pas pris connaissance parce qu'ils n'en avaient rien a foutre...
Quel curieux personnage qui ne peut même pas imaginer que tout le monde ne souffre pas du voyeurisme
malsain dont il faisait preuve au pourvoir ?
à Taubira et Valls, mais le fait qu'ils n'en aient pas pris connaissance parce qu'ils n'en avaient rien a foutre...
Quel curieux personnage qui ne peut même pas imaginer que tout le monde ne souffre pas du voyeurisme
malsain dont il faisait preuve au pourvoir ?
Les nuls ou les manchots ?
Choisis ton camp, camarade.
Choisis ton camp, camarade.
Ce qui est soufflant, c'est surtout le dernier paragraphe :
Enfin, à tous ceux qui auraient à redouter mon retour, qu'ils soient assurés que la meilleure façon de l'éviter serait que je puisse vivre ma vie simplement, tranquillement… au fond, comme un citoyen « normal » !
On voit qu'il n'est toujours pas sorti de cette posture psychologique puérile du "si vous m'embêtez, attention hein, je vais revenir vous embêter !". Comment peut-on encore considérer sérieusement ce type comme quelqu'un à écouter ? On ne demande plus rien à Chirac depuis qu'il est malade, on devrait faire la même chose pour Sarkozy qui a une autre sorte de maladie !
Autre phrase incroyable : Cette réalité mêlée à mon tempérament fait qu'aussi loin que je m'en souvienne je n'ai jamais aimé me plaindre.
Euh... Ne me dites pas qu'il parle du président précédent dont on a dû se fader l'égocentrisme plaintif pendant deux campagnes et un mandat ? Il n'ose pas dire un truc pareil, quand même ?
Bon, quand c'est qu'on passe à autre chose ?
Enfin, à tous ceux qui auraient à redouter mon retour, qu'ils soient assurés que la meilleure façon de l'éviter serait que je puisse vivre ma vie simplement, tranquillement… au fond, comme un citoyen « normal » !
On voit qu'il n'est toujours pas sorti de cette posture psychologique puérile du "si vous m'embêtez, attention hein, je vais revenir vous embêter !". Comment peut-on encore considérer sérieusement ce type comme quelqu'un à écouter ? On ne demande plus rien à Chirac depuis qu'il est malade, on devrait faire la même chose pour Sarkozy qui a une autre sorte de maladie !
Autre phrase incroyable : Cette réalité mêlée à mon tempérament fait qu'aussi loin que je m'en souvienne je n'ai jamais aimé me plaindre.
Euh... Ne me dites pas qu'il parle du président précédent dont on a dû se fader l'égocentrisme plaintif pendant deux campagnes et un mandat ? Il n'ose pas dire un truc pareil, quand même ?
Bon, quand c'est qu'on passe à autre chose ?
Surtout qu'il ne revienne pas au pouvoir... Mauvais souvenirs d'une période étouffante où chaque jour apportait son lot de provocs, d'annonces tonitruantes, de gros mots clinquants et d'agitation malsaine. Brrrrr...
Faut-il croire Taubira qui, après avoir tenté à l'insu de son plein gré d'éjecter le procureur général Faletti, jure qu'elle ignorait tout d'un dossier dont elle était pourtant "régulièrement informée" ? (Le pire dans ce dernier cas, c'est qu'il semble que Taubira dise vrai, et que son cabinet soit si désorganisé qu'elle n'a pas lu les rapports qui lui étaient adressés).
Fascinant ce passage. Faut il croire Taubira, hein ? La menteuse, forcément, puisqu'ils mentent tous. Bon dans ce cas c'est vrai, mais quand même, faut il la croire ?
C'est pour renvoyer dos à dos Valls et Taubira pour céder au canon du centrisme, ou c'est la mise en application de la théorie de la fascination du doigt ?
La lune et le doigt, dans cette affaire. Avec la Stasi, c'est un autre doigt qu'on nous montre, cette fois c'est pas celui du sage, il ne montre pas la lune et c'est pas un index. Mais Sarkozy le fait pour que tout le monde le voit. Pas moyen d'y échapper ce matin sur tous les journaux en ligne. Même ici. On sait pourtant que c'est une diversion de plus, que c'est outrancier, mais ça n'empêche pas les commentaires super-sérieux : est ce que c'est outrancier, est ce que ça marque sa volonté plus forte encore de revenir, est ce qu'il se sent persécuté, est ce qu'il n'a pas finalement raison sur l'instrumentalisation par la gauche. Heeeeelllp !
Et ça n'engage que moi, mais je me fiche un peu que ce nouveau pouvoir soit incompétent et corrompu autant que l'ancien, en admettant que ce soit le cas. Ce que je voudrai pour une fois c'est que la justice passe. Parce qu'aussi loin que je puisse me souvenir, elle n'est jamais passée, et que découvrir la politique dans les années Chirac, Balkany, Tibéri (merde je suis de passage à Paris, et je me rend compte qu'il reste des Tibéri qui se présentent dans des quartiers ? WTF ???) and co, ça fait du mal quelque part. Que les affaires aillent au bout dans le respect du droit, pour une fois. Parce que la justice est peut être l'institution qui garde le plus de noblesse et de crédit à mes yeux, qu'elle est systématiquement conspuée soit par les puissants qui ont beau jeu de cacher là leurs méfaits, soit par les journalistes qui préfèrent reproduire le storytelling des politiques plutôt que d'éduquer leurs lecteurs aux rouages de la machine compliquée, comme un commentateur sprotif à beau jeu de gueuler après l'arbitre au lieu d'expliquer les règles. Que le lobby au pouvoir fasse pression s'il le souhaite, ça équilibrera avec le lobby d'en face qui fait pression lui aussi.
Fascinant ce passage. Faut il croire Taubira, hein ? La menteuse, forcément, puisqu'ils mentent tous. Bon dans ce cas c'est vrai, mais quand même, faut il la croire ?
C'est pour renvoyer dos à dos Valls et Taubira pour céder au canon du centrisme, ou c'est la mise en application de la théorie de la fascination du doigt ?
La lune et le doigt, dans cette affaire. Avec la Stasi, c'est un autre doigt qu'on nous montre, cette fois c'est pas celui du sage, il ne montre pas la lune et c'est pas un index. Mais Sarkozy le fait pour que tout le monde le voit. Pas moyen d'y échapper ce matin sur tous les journaux en ligne. Même ici. On sait pourtant que c'est une diversion de plus, que c'est outrancier, mais ça n'empêche pas les commentaires super-sérieux : est ce que c'est outrancier, est ce que ça marque sa volonté plus forte encore de revenir, est ce qu'il se sent persécuté, est ce qu'il n'a pas finalement raison sur l'instrumentalisation par la gauche. Heeeeelllp !
Et ça n'engage que moi, mais je me fiche un peu que ce nouveau pouvoir soit incompétent et corrompu autant que l'ancien, en admettant que ce soit le cas. Ce que je voudrai pour une fois c'est que la justice passe. Parce qu'aussi loin que je puisse me souvenir, elle n'est jamais passée, et que découvrir la politique dans les années Chirac, Balkany, Tibéri (merde je suis de passage à Paris, et je me rend compte qu'il reste des Tibéri qui se présentent dans des quartiers ? WTF ???) and co, ça fait du mal quelque part. Que les affaires aillent au bout dans le respect du droit, pour une fois. Parce que la justice est peut être l'institution qui garde le plus de noblesse et de crédit à mes yeux, qu'elle est systématiquement conspuée soit par les puissants qui ont beau jeu de cacher là leurs méfaits, soit par les journalistes qui préfèrent reproduire le storytelling des politiques plutôt que d'éduquer leurs lecteurs aux rouages de la machine compliquée, comme un commentateur sprotif à beau jeu de gueuler après l'arbitre au lieu d'expliquer les règles. Que le lobby au pouvoir fasse pression s'il le souhaite, ça équilibrera avec le lobby d'en face qui fait pression lui aussi.
Mettre une majuscule à Stasi.
Un peu de respect pour les dinosaures disparus.
Un peu de respect pour les dinosaures disparus.
A la lecture des extraits de la tribune du Figaro entrevus sur le web, Il faut bien admettre que Guaino n'a pas perdu la main.
Il est sympa le Nico, il écrit une lettre aux Français ... qui lisent le Figaro ! Il ne croit tout de même pas qu'on va l'acheter ?
Tant pis, je vais me rabattre sur le Garofi.
Tant pis, je vais me rabattre sur le Garofi.
Choisir le Figaro pour la tribune- scoop ...Journal de ce cher M.Dassault! Superbe.
De garde à vue, en témoin assisté, en mis en examen...plus on est de fous, plus on rit.
Ils savent se tenir la main pour aller, en groupe, tourner, peut-être, dans une cour.
De cour en cour, Monsieur vous êtes un peu court pour nous donner un cours.
Circulez!
De garde à vue, en témoin assisté, en mis en examen...plus on est de fous, plus on rit.
Ils savent se tenir la main pour aller, en groupe, tourner, peut-être, dans une cour.
De cour en cour, Monsieur vous êtes un peu court pour nous donner un cours.
Circulez!
Ca y est, Daniel Schneidermann va voter pour le candidat FN dans sa ville, parce que de toute façon ils sont "tous pourris". Bravo M. Sarkozy, bravo.
Pourquoi ne rendrions nous pas à Michel Audiard son célébrissime "Les Cons ça osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît"...? Z'avez peur ?... ... et ça nous rappelle le "CRS = SS" de belle mémoire mais un peu quand même exagéré.
Alors comme ça Buisson serait au gouvernement?
Copé aurait détourné des fonds sur ordre de Taubira?
J'en ai marre de ces théorie du complot à deux balles. Sarkozy n'était pas un républicain attaché aux libertés individuelles, c'était un despote corrompu. On s'en est débarassé et c'est tant mieux. Que ses opposants lui nuisent en publiant des rapports (sur l'inefficacité cachée de telle ou telle mesure) ou en laissant fuiter tel ou tel dossier juste avant les municipales, c'est bien son problème !
A force de nous montrer le doigt, on fini par regarder la lune.
Copé aurait détourné des fonds sur ordre de Taubira?
J'en ai marre de ces théorie du complot à deux balles. Sarkozy n'était pas un républicain attaché aux libertés individuelles, c'était un despote corrompu. On s'en est débarassé et c'est tant mieux. Que ses opposants lui nuisent en publiant des rapports (sur l'inefficacité cachée de telle ou telle mesure) ou en laissant fuiter tel ou tel dossier juste avant les municipales, c'est bien son problème !
A force de nous montrer le doigt, on fini par regarder la lune.
Comment ose-t-il ? Il ose, parce qu'il ose tout, comme il a toujours tout osé.
Les Sarkozy ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait...
Il y va au bazooka. Ce qu'il met en cause, c'est sa conception personnelle du pouvoir présidentiel. Les exemples cités sont parlants. On peut y ajouter ses propos sur la (une) religion dans une république laïque.son accueil délirant de Khadafi puis du boucher de Syrie,son mépris scandaleux pour la banlieue et ses habitants,etc etc.
Il délire. Ce qu'il ne supporte pas c'est de ne pouvoir encore TOUT manipuler. Tu parles d'une victime...
Il délire. Ce qu'il ne supporte pas c'est de ne pouvoir encore TOUT manipuler. Tu parles d'une victime...
En effet, l'ex nous fatigue !
Et le pouvoir maudit qui corrompt les plus purs
[…]
Fatigué d'espérer et fatigué de croire
A ces idées brandies comme des étendards
[…]
Fatigué des discours, des paroles sacrées
Fatigué de chercher quelques traces d'amour
Dans l'océan de boue où sombre la pensée
Fatigué, fatigué
(Renaud)
Et le pouvoir maudit qui corrompt les plus purs
[…]
Fatigué d'espérer et fatigué de croire
A ces idées brandies comme des étendards
[…]
Fatigué des discours, des paroles sacrées
Fatigué de chercher quelques traces d'amour
Dans l'océan de boue où sombre la pensée
Fatigué, fatigué
(Renaud)
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