"Le film dit mieux la vérité sur Clearstream que les médias de l'époque"
Pour dénoncer les scandales et l'injustice, pour faire la lumière sur l'opacité de la finance internationale, le journalisme au sens traditionnel du terme est-il l'outil le plus adapté ? Le reportage, l'enquête, dans le cadre d'un journal, d'une émission de télévision permettent-ils réellement d'appréhender toutes ces réalités complexes ? Ou bien faut-il avoir recours à la fiction, ou encore forcer le trait et passer par la caricature ? C'est le sujet de notre émission avec un invité unique qui a expérimenté toutes ces formes : Denis Robert, journaliste, écrivain, plasticien, qui a révélé le fonctionnement opaque de la multinationale de la finance, Clearstream.
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Derniers commentaires
A noter dans le Canard Enchaîné de cette semaine un article particulièrement fielleux signé Hervé Martin sur Clearstream et Robert... Lors de leur dernier passage à France Inter Lhomme et Calvet ont aussi évoqué "la calamiteuse" affaire Cleastream tout en justifiant juste après la nécessité de citer le "pauvre" Gad Elmaleh dans leur enquête Swissleaks... Enfin bref Robert a encore plein de bon amis dans le milieu journalistique.
dommage qu'il n'y a toujours pas de réponse sur le silence des journalistes
face à certains événements: moutons de panurge, facilité ????
c'est un immense problème à l'heure actuelle le silence sur l'information !
ce silence est parfois insupportable;
bonne idée de s'intéresser aux région, à la province;
en fait la province a une autre vision de la vie que le parisianisme;
merci de travailler sur les langages de communication;
je publie le film enquête sur mon facebook: j'espère qu'il fera beaucoup d'entrées
car les mécanismes de la fraude de l'argent sont toujours d'actualité !!!!
merci mr Robert
Ca ne vous rappelle rien?
Le même que Denis Robert dénonce avoir œuvré contre lui sur l'affaire Clearstream
C'est Gattegno non? Le même chien de garde qui s'indignait des accusations portées contre Jérome Cahuzac.
Ça me rappelle plein de choses. http://rue89.nouvelobs.com/2014/05/10/philippe-val-snowden-est-traitre-a-democratie-252075
[quote=rue 89]
C’est au cours d’une rencontre avec Les Amis du Crif, le Conseil représentatif des institutions juives de France, que Philippe Val a tenu ces propos surprenants, et dont le Crif rend compte sur son site vendredi.
Selon le compte rendu en style indirect du Crif, Philippe Val, qui évoquait les raisons de la crise de la presse, a déclaré :
« Le fait que le prix Pulitzer ait été attribué aux journalistes qui ont révélé l’affaire Snowden est le symbole de la crise de la presse car Snowden est un traître à la démocratie. »
Ca ne vous rappelle rien?
Le même que Denis Robert dénonce avoir œuvré contre lui sur l'affaire Clearstream
Pensait-il que l'on ne recommencerait pas à reparler de tout ça ?
Dommage c'est vrai de ne pas avoir inclus le volet du rôle des médias contre son enquête, du rôle "orienté" voire "dépêché" de journalistes pour casser son travail d'enquête.
C'est évident que cela fait partie du scandale !
http://www.dailymotion.com/user/asi/1
C'était pour fêter l'arrivée de Denis Robert dans les locaux ?
Les grands journalistes ont leurs petits caprices
Quand Médiaplenel fait le ménage : le billet ci-dessus a d'abord été sélectionné par la Rédaction... et a vite disparu dès qu'on s'est mis à évoquer l'attitude de Plenel avec Denis Robert.
Vu le personnage j'aurai plutôt choisi un comédien un peu rondouillard, plutôt humble et zen. Bon j'en vois pas ! Le réalisateur non plus sa doute (mais de là à prendre Lellouche !!!)
petit le monde , tout petit , agaçé D.S. , un peu quand même , enfin , comme disait l'église , la terre est au centre de l'univers
tres bonne émission , probablement la meilleure mais bon , on sent bien que D.S. n'avale pas ...
Enjoy!
Il m'inspire un profond respect et une grande sympathie. Sa réticence à la rancune est impressionnante.
Si aucune chaîne nationale n'a voulu du documentaire de D. Robert, c'est peut-être que la vieillesse n'est pas télégénique. Misère du présent…
Je ne connaissais que son visage avant la nécro de Daniel S. Elle m'a incité à le lire. J'ai choisi Les Fosses Carolines, son seul roman présent à la médiathèque municipale. Belle écriture… aux accents paillards. :)
Le numérique et Internet gardent une trace inneffaçable de ces emissions, sans aucune ambiguité possible. D'ou les actes de contrition des acteurs des medias ...
Quant à Plenel il est évident que son attitude faux-cul sur le travail de Denis Robert, masque son réel agacement sur le fait qu'il a loupé la 1ere affaire Clearstream et qu'il ait été cité dans la 2eme affaire Clearstream. Au lieu de défendre Denis Robert, il l'a laissé se battre seul face aux confrères dubitatifs comme DS, aux avocats de Clearstream, aux menaces des politiques.
D'évidence , il faudrait continuer à enquêter avec une investigation commune de plusieurs medias ( on peut rêver ...) sur l'énorme lessiveuse internationale à argent sale qu'est Clearstream.
Soyons clairs, il existe un véritable antagonisme entre journalistes d'investigation. La guerre des égos et le narcissisme sont aussi répandus chez les journalistes. Lire ce billet sur Humeurs numériques
Cela reste néanmoins, sinon un miracle, une énigme pour moi qu'il ait survécu (au propre comme au figuré) tant le sujet qu'il traitait était sensible et que l'on peut imaginer que ses nombreux ennemis n'auraient pas hésité à utiliser les grands moyens pour mettre fin au problème.
Le vrai scandale Clearstream, la "meilleure lessiveuse du monde"
merci pour votre emission. Le tête à tête était une bonne idée.
jai cherché en vain le film sur le Nouveau Journalisme, vous est il possible de donner le lien ?
bien cordialement
M
dommage que l'idée d'un site sur la PQR soit abandonnée !!
Maintenant, il faut voir si la bombe pètera plus ce coup-ci que la dernière fois, ou si 10ans plus tard, comme on s'était contenté d'un "quel mauvais journaliste qui fait des erreurs!" on va se contenter d'un "bravo l'artiste!" et surtout ne rien changer sur le fond...
L'émission pointe aussi cruellement le manque d'un vrai journalisme professionnel qui s'empare des sujets du web. Au lieu d'enquêter, on cause abondamment (et ça n'est pas que pour vous) de "mes élèves croient au illuminati! meyssan est un menteur! soral un mythomane!"... qu'est-ce qu'on s'en fout de ces conneries, on n'a pas autre chose à faire que de prescrire ce qu'il faut penser de ce que tout un chacun peut consulter lui-même et s'en faire un avis?
Et pendant ce temps là, quel journal sérieux pour faire de véritables enquêtes sur les réseaux de l'oligarchie financière, ses moyens, ses buts, et de ses intermédiaires et relais politiques et médiatiques ?Qui pour détailler par le menu les jeux de pouvoirs qui animent les banques , les assemblées, les rédactions et les innombrables lobbies qui s'agitent dans leurs sillages, là où les citoyens n'ont pas accès ou difficilement?
Quelques personnalités isolées ? Une poignée de journaux télés et radio?
Tout ça ne pèse vraiment pas lourd face aux moyens des rouleaux compresseurs des médias de masse qui chantent à l'unisson les variations sur les dépêches qu'ils reçoivent... la presse pérore, tergiverse, s'indigne, pointe du doigt, condamne ou absout, sans jamais perdre des yeux son nombril et son image, gage de profit, mais quand enquête-t-elle sérieusement sur ce qui fait tourner le monde de 2015 ?
Pour donner la parole à tous, et apporter les élements de compréhension, et cesser de se rêver d'être là pour instruire des ignares de ce que la classe dominante tient pour bon et vrai.
Belle émission (surtout les 45 premières minutes sur Cavanna), jolis films (surtout le documentaire sur Cavanna!).
Bref. Revenons en 1992, au moment du lancement de Charlie Hebdo deuxième période. Quel âge avait Cavanna ? 69 ans. Dites, c'est pas un âge pour prendre une retraite bien méritée, ça ? Je sais bien que les grands éditorialistes français poussent leur dernier soupir le stylo entre les mains. Mais tout de même. S'il l'avait voulu, Cavanna aurait dû pouvoir se ranger des voitures en 1992, vu sa production antérieure, son aura, and so on. Non ?
J'arrête de tourner autour du pot en vous livrant la version du regretté Cabu, qui n'est malheureusement plus là pour confirmer. Le regretté — lui aussi — Prof. Choron était un piètre gestionnaire, selon Cabu. "Choron distribuait des fausses fiches de paye à ses collaborateurs" (Charlie Hebdo, 14/01/2009). Des vrais salaires, mais "des fausses fiches de paye". Ça vous met la puce à l'oreille ? Si l'on en croit Cabu, Cavanna ne touchait pas de retraite à cause de son ami Choron. Berné par Bernier. Comme Siné. Comme DDT. Ou pas.
N'hésitez pas à me démentir si vous avez des infos solides !
http://www.bastamag.net/Entrez-dans-le-monde-des-banques
Ce qui permit à Balzac de reprendre la formule de Shakespeare All is true ("tout est vrai" titre primitif de son Henry VIII) pour caractériser cette fictionnante concurrence de "l'État civil" qu'est La comédie humaine. Qui oserait nier que celle-ci a l'avantage sur celui-là d'en signifier l'inconsciente structure de pensée? Et de quoi d'autre est fait ce qu'a découvert Denis Robert? De quoi d'autre que la signification de ce dont l'oeuvre de Marx** a présenté l'étude: la société civile dont l'économie serait l'anatomie?
Il y a cependant cela encore à souligner qu'avec Denis Robert, tel qu'en son entretien Daniel*** Schneidermann le révèle, "le héros de fiction" qu'il est devenu est aussi expressément qu'étonnamment élevé au-dessus de celui dont il n'est que la figuration. Denis Robert enquêteur et auteur se déclare inférieur à son personnage homonyme filmique. À l'instar des Six personnages en quête d'auteur de Pirandello, L'Enquête serait ainsi la signifiante démonstration de "la structure de fiction" de ce, qu' avec le nom de "vérité", faussement nous concevons.
* "Figure de style qui consiste à attribuer à certains mots d'une phrase ce qui convient à d'autres mots (de la même phrase)" selon le petit Robert.
** Marx dont on peut regretter de ne pas disposer de l'étude de Balzac dont il a eu le projet (mais n'oublions pas que nous avons celle d'Eugène Sue).
*** Daniel, prénom qui signifie "Dieu juge" en hébreu!
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Reflexion mesquine, je sais.. Mais je voudrais quand même savoir !!!
" daniel schneidermann avait raison de te houspiller dans arrêt sur images
il disait que tu étais léger léger comme enquêteur
mais par contre correct en romancier "
BiBi a lu l’article de l’Indien Denis Robert sur AgoraVox (via Dazibaoueb) et a relu les déclarations du 13 juin 2006 du vertueux Plenel devant les juges de l’Affaire Clearstream. Pas de doute, l’Indien a bien mérité le scalp du Shériff Edwy. BiBi a aussi bien aimé relire cette appréciation acide et juste de l’Indien.
« Je n’ai pas choisi la marginalité. Autour de moi, les hommes et les règles ont glissé. Les journalistes installés ne me soutiennent pas car je les renvoie à leur suffisance, leur vacuité, leur démission devant l’ampleur de la tâche ou les pressions de la hiérarchie. Je n’ai rien à attendre d’eux et ils me le rendent bien ».
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En 2006, une grande partie de la Presse (journaleux de droite et plus surprenant, journalistes dits de « contre-Pouvoir ») accusait Denis Robert d’être le possible Corbeau de l’Affaire Clearstream. On citera ici les visionnaires Hervé Gattegno, Edwy Plenel, Daniel Schneidermann d’ASI, Philippe Val de France-Inter, Laurent Valdiguié du JDD, Frédéric Ploquin de Marianne, Ivan Rioufol du Figaro.
Source :
http://www.paperblog.fr/2848435/l-indien-et-le-journaleux-denis-robert-edwy-plenel/?PageSpeed=noscript
Serait il possible d'avoir le lien de la precédente émission dont vous parlez ? ( celle ou DS avait un ton "odieux")
Edwy Plenel : Mediapart dans l'impasse du 11-Septembre
ou Denis Robert : Réouverture de l’enquête sur les attentats du 11 septembre ?
Ce serait bien que cette émission soit votée d'utilité publique ! Ca faisait un moment que je n'avais pas été aussi enthousiaste !
Pour mille raisons d'ailleurs, le plaisir de revoir Denis Robert et de le voir reprendre du poil de la bête, avec sa sensibilité "féminine" (bien vu Daniel pour le film), revoir Cavanna (merci pour le lien du film) et cette émotion que je partage avec lui à chaque fois que je le revois, et Delfiel au scalpel, le plaisir de savoir le film sorti malgré la chape de plomb qui nous a tous …plombé, etc etc… Que du bonheur !
Et cette saloperie d'avocat de Charlie et de Clearstream, c'était aussi l'avocat de DSK, je me trompe ?
Et Val, quand je pense à cette chanson de Font et Fal, "qu'est-ce qu'il était con le premier d'la classe", je me dis qu'il a aujourd'hui une belle tête de premier d'la classe !!!
(Denis Robert aussi d'ailleurs, nettement moins tête à claque qu'à sa grande époque).
Le passage sur Plenel est assez dévastateur.
Et encore .... même si je comprends que DR n'a pas envie de débattre avec ceux qui l'ont sali, il aurait été intéressant de savoir ce qui a motivé un certain nombre de journalistes à vouloir torpiller son enquête.
Le passage sur Philippe Val n'est pas mal non plus.
J'ai mis ce lien en commentaire sous son dernier article. Ses adorateurs vont-ils réagir ?
(J'observe par ailleurs que personne ne réagit aux liens que j'ai donnés pour rappeler que DS n'a as toujours embrassé DR sur la bouche
C'est votre nouveau pseudo qui terrorise les forumeurs.
Vous m'en voyez tout jouasse !
Alors tout est pardonné, mon gendre !
Ne lui reste plus qu'à faire parei avec Pierre Péan
Mais là, je m'avance.
Hormis le soucis trop présent de produire une émission respectant les standards de la télé spectacle, on ne peut surement pas reprocher à DS d'être le pion du système. Il est donc dommage qu'il ne puisse nous donner aucune explication, presque 10 ans plus tard nous permettant de comprendre pourquoi un journaliste d’apparence intègre comme lui puisse être autant dans le moule de l'objet de sa critique.
Quand vous dites que vous vous souvenez avoir été odieux avec Denis Robert, c'est bien, mais lorsque vous dites que vous n'étiez pas au courant de la censure exercé à l'époque, j'ai un doute (en tant que lecteur, cette histoire m'a intéressé assez rapidement).
Si vous étiez sociologue vous auriez une opportunité unique de découvrir les ressorts de la censure qui ne dit pas son nom. Car forcément à un moment donné, cette info est passé devant vous, mais vous n'avez pas pu ou su la reprendre pour vous interroger sur ce fait ou enquêter.
Comme vous voulez révéler les dessous des médias et leur fonctionnement, j'aimerais que vous développiez sur ce sujet, quelle fut votre position, quelles étaient vos amitiés et/ou relations et dans quel contexte avez-vous suivi cette affaire pour que cette info et enquête n'ait pas provoqué un intérêt plus important.
Remarquez que je ne cherche pas à vous metre en défaut, mais en tant que lecteur, je m'interesse et vous avez peut-être un chance unique de nous donner plus de details sur la subjectivité de l'info et ses dessous.
Merci et bonne continuation.
Après avoir vu cette emission, une interrogation subsiste.
Quand Daniel Schneidermann dit qu'il se souvient avoir été odieux avec Denis Robert, c'est courageux, mais lorsqu'il dit qu'il n'était pas au courant de la censure exercé à l'époque, j'ai un doute (en tant que lecteur, cette histoire a dû résonner pour d'autres lecteurs encore).
Si Daniel Schneidermann était sociologue il aurait une opportunité unique de découvrir les ressorts de la censure qui ne dit pas son nom. Car forcément à un moment donné, cette info est passé devant lui, mais il n'a pas pu ou su la reprendre pour s'interroger sur ce fait ou enquêter.
Comme Daniel Schneidermann veut révéler les dessous des médias et leur fonctionnement, j'aimerais qu'il développe ce sujet. Quel fut sa position ou compréhension du sujet, quelles étaient ses amitiées et/ou relations et dans quel contexte a-t-il suivi cette affaire pour que cette info et enquête n'ait pas provoqué un intérêt plus important.
Remarquez que je ne cherche pas à mettre Daniel Schneidermann en défaut, mais en tant que lecteur, je m'intéresse. et j'aimerais qu'il nous accorde cette chance unique de nous donner plus de details sur la subjectivité de l'info et ses dessous.
Merci et bonne continuation à M. Daniel Schneidermann.
Mais on ne peut pas s'empêcher de penser que l'affaire aurait pu se terminer tout à fait différemment pour Denis Robert. La Cour de cassation lui a donné raison en tous points, mais la décision aurait pu être différente, ce qui aurait sans doute été fatal à DR. DR lui-même avoue qu'à certains moments il s'est senti tellement peu soutenu et découragé devant tant d'attaques qu'il a été sur le point de craquer. Le happy end dans cette affaire nous console un peu de toutes les horreurs dont l'actualité nous a submergés ces dernières semaines.
J'ajoute que certaines révélations me confortent dans ma décision de ne pas renouveler mon abonnement à Médiapart (décision motivée à l'origine par l'ahurissante campagne de propagnade anti-russe menée par Médiapart, aussi incompréhensible que les attaques du Monde contre DR au moment de l'affaire Clearstream).
Hou là là je soupçonne un complot contre les fanatiques du forum !!!
Je sens que je vais pas beaucoup bosser demain.
"Dis donc camarade @si
tu ne trouves pas
que c´est plutot con
de donner une journée pareille
à un patron ?" (P.P. presque C. Prévert)
Si Robert a raté des choses sur Clearstream, c'est peut-être d'avoir bossé dans une totale solitude. Combien de ses "confrères" qui ont torché du nez sur son travail (c'est marrant, j'ai un nom sous le clavier) n'ont pas levé le plus petit crayon, le plus petit magnéto, pour checher eux aussi ce qui était clearement caché ?
Traitre qui vient de faire en loucedé des offres de service à un CH où déjà Malka joue les bons samaritains.
Cette offre est la pire chose qui soit arrivée aux survivants depuis le massacre.
Puissent-ils lui claquer clairement la porte au nez.
Et tiens, embaucher Denis Robert.