"Le système médiatique a construit le paradigme de l'Arabe entendable"
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Un très gand opus d'@SI. Des invités passionants, qui se respectent les uns les autres. Coup de chapeau à Nassira El Moaddem pour la qualité de son animation, permettant à chacun d'aller au bout de sa pensée tout en maintenant le rythme. L'émission a(...)
Bravo Mesdames et Messieurs ! Très grande émission.
Merci à A@I pour ce choix d'intervenants de grande valeur.
Superbe débat entre trois personnes qui s'écoutent sans qu'aucune essaye de démontrer aux deux autres qu'elle a raison sur les points qui les(...)
L'inversion des valeurs à l'œuvre depuis maintenant pas mal d'années a produit cette époque détestable dans laquelle, si on a su garder sa dignité et son intégrité intellectuelle, on doit en payer le prix fort, ce qui signifie être diffamé, calomnié,(...)
Derniers commentaires
Quand je pense que j'ai failli ne pas regarder cette émission !
Merci Nassira pour cette EXCELLENTE émission.
Cela fait du bien d'entendre parler de l'Algérie, de l'Islam, par des gens qui connaissent leur sujet. J'en profite d'ailleurs pour envoyer un message à Pascal Praud et aux gens de CNews qui ne savent rien et parlent tout le temps :
FERMEZ-LA !
Boualem Sansal est publier par l'édition le cerf..
Anastasia Colosimo, née en 1990, est une essayiste française, russe et américaine1 spécialiste de science politique et de philosophie politique. Elle est conseillère presse internationale du président Emmanuel Macron depuis .
Biographie
Anastasia Gabrielle Angéline Colosimo2 est la fille de Jean-François Colosimo3, éditeur, essayiste et professeur de théologie orthodoxe, avignonnais d'origine calabraise, catholique converti à l'orthodoxie, et d'une mère russe, apparentée à Soljenitsyne qui a quitté son pays en 1972 pour les États-Unis4,5. Ses parents se rencontrent au séminaire Saint-Vladimir à New York. Titulaire d'un passeport russe, elle dit avoir été élevée dans un esprit anti-soviétique et anti-Poutine1. La maison d'édition de son père, les Éditions du Cerf, était originellement spécialisée dans la publication d'ouvrages religieux, mais sous son influence elle s'est également mise à publier un nombre croissant de pamphlétaires d'extrême-droite, entretenant des relations privilégiées avec le journal Valeurs Actuelles6,7. B
Merci pour ce débat d'une qualité exceptionnel. Encore une fois Nassira El Moaddem l'a animé de manière admirable et maitrisait son sujet. Une vraie leçon de journalisme.
Très émue par cette émission de grande qualité. Comme toujours c'est grandement orchestrée par Nassira El Moaddem. Merci aux invités pour la qualité et la sincérité de leur intervention.
Très émue par cette émission de grande qualité. Comme toujours c'est grandement orchestrée par Nassira El Moaddem. Merci aux invités pour la qualité et la sincérité de leur intervention.
N'oubliez pas de voter pour le libre accès!
Bonheur d'écouter l'émission et de lire les commentaires élogieux un lundi matin...
Merci ASI d'ouvrir l'horizon sur des dialogues encore possibles...
Est-ce que la liberté d'expression ne serait pas première ???
EXCELLENTE émission, merci beaucoup !
Vraiment une super émission. Là on apprend des choses merci.
Merci. Vraiment.
Merci beaucoup pour cette émission.
Simplement
Merci
Remplacer "arabe" par "noir" et vous aurez la même chose.
Un plateau d'intelligence pure : bravo !
Comment Daniel Schneidermann peut-il travailler pour le même titre que Jean Quatremer ? Ce n'est pas un reproche mais une question.
Pour en ajouter encore une touche politique. La "démocratie israélienne" assassine (et pas seulement emprisonne) pour "délit d'opinion" des journalistes avec le soutien actif de l’État et des médias mainstream français et dans le même temps, on monte en épingle, même sur ASI, la situation d'un algérien qui est emprisonné dans son pays par le gouvernement de son pays à lui.
De plus, dire dans cette émission que les écrivain.e.s auraient un droit particulier à la liberté de parole en Algérie et à l'entendre ainsi, aux journalistes et écrivains, seulement ? c'est une revendication de la "classe intellectuelle" un habeas corpus ?
Il faudra m'expliquer en détail, notre interprétation très spécieuse de la loi dite du délit d'apologie du terrorisme en France et de sa comparaison avec les mesures prises par l’État autoritaire algérien.
Je ne suis pas un support du gouvernement algérien, mais la lecture de ce coté-ci de la méditerranée mériterait que l'on balaye devant notre porte avant d'aller donner des leçons de démocratie.
Pa-ssio-nant.
Merci.
J'ai évidemment voté.
En fait la gauche approuve le gouvernement d'Alger qui met en cabane les opposants.
C'est l'histoire la gauche : en fait des fachistoides tristes
Macron au Maroc, c'est de la politique entre gens-bien qui s'assoient sur le droit international et les résolutions de l'ONU. L'Algérie qui arrête les gesticulations d'un de nos supplétifs de la nostalgie des pieds noirs, on crie à la grande faute d'un État autoritaire. Après, vous pouvez disserter avec componction sur la littérature, mais ce n'est QUE de la littérature qui ne dépasse pas le Bld Saint Germain.
émission incroyable. d'une grande finesse.
Merci pour cette émission et ses échanges très informatifs.
Cependant, comment comprendre le cheminement de ces deux auteurs devenus franco-algériens trouvant rien de mieux que sinon épouser les idées d’extrême-droite d’ici, en France, se réfugier dans leurs girons, est-ce parce que le premier combat à mener pour eux est la lutte contre l’islamisme, du fait d’en avoir vécu de près la sanguinaire propagande, ou bien est-ce un refuge sûr pour éloigner d’eux tout risque d’accusation d’en être dans leurs interventions publiques ou dans leurs écrits. Ce qui voudrait dire, au passage, que les milieux progressistes ne sont plus un espace protecteur, tout comme ils ne le plus l’être pour une bonne part de la population oscillant entre abstention et RN lors des rendez-vous électoraux.
Sinon, à propos de l’expression « un écrivain n’a pas sa place en prison » ou quelque chose comme cela, effectivement, s’exprimer, contester, manifester n’est pas une affaire carcérale. Cependant, je voyais passer hier, vendredi 29 novembre, une dépêche signalant que le nombre de prisonniers s’établissait désormais à plus de 80000 en France. D’où vient que mois après mois le pays aille de record en record; qu’est-ce à dire ?
Est-ce parce que la délinquance, qu’elle soit juvénile, en col bleu ou en col blanc, augmente ou bien est-ce que cela vient que les administrations de police comme judiciaires sont soumises à faire du chiffre sous la commande du personnel politique afin que ce dernier puisse tenir un discours d’ordre et que l’espace médiatique en fasse des tableaux statistiques à mettre sous les yeux de la population votante ?
Si, effectivement, il s’agit de faire du chiffre, pouvons-nous dans ce cas, à l’image de cet écrivain embastillé dans son autre pays, dire que dans les désormais 80000 prisonniers que comptent la France, un bon nombre sont, tout compte fait, des prisonniers politiques, dans la mesure où ils sont emprisonnés uniquement pour permettre au personnel politique d’afficher de bons chiffres en termes de répression ?
par ailleurs, pour rejoindre en quelque sorte des éléments du dialogue dans l’émission, est-ce que l’on pourrait sinon taxer, imaginer que dans ces emprisonnements pour raison de chiffrage à présenter, un certain racisme s’exprime dans la mesure où les personnes ayant une ou des origines étrangères, qu’elles soient de nationalité française ou non, qu’elles en portent plusieurs, sont assez surreprésentées dans les lieux de privation des libertés ?
Je vais lire Amina DAMERDJI que je découvre ici.
J’aime bien l’émission historique d’ASI. J’y découvre effarée tout ce que j’ai zappé dans le poste.
Ruffin , le courageux , qui aime tant plaire aux mainstreams
Merci pour cette émission passionnante, en écoutant distraitement la radio je n’avais pas du tout saisi les enjeux, voire l’inverse ! Merci et chapeau au plateau, spécialement à Nassira
Bravo Mesdames et Messieurs ! Très grande émission.
Merci à A@I pour ce choix d'intervenants de grande valeur.
Superbe débat entre trois personnes qui s'écoutent sans qu'aucune essaye de démontrer aux deux autres qu'elle a raison sur les points qui les différencient. Trois grands intellectuels brillants et mesurés. Quel contraste avec la prétention cacophonique brouillonne et menaçante de l'avocat Pardo et de son client d'extrême-droite.
Vos trois invités m'ont appris beaucoup de choses sur l'Algérie, sur l'extrême-droite qui emploie les mêmes rhétoriques de chaque côté de la Méditerranée, avec un avantage répressif en Algérie. La France n'est pas loin. C'est pour l'instant moins expéditif. Mais c'est très bien parti. Le comportement ignoble des médias et des journalistes à l'égard de Nedjib Sidi Moussa l'établit. Il témoigne de beaucoup de dignité face à la crapulerie de ses contempteurs.
Bravo pour la déconstruction de la médiocrité fascistoïde médiatique en France, de son inertie, de sa dérive. Merci pour cette mise en lumière de la nostalgie - ou sa persistance - pour le racisme colonial, d'identifier ce carburant des obsédés de la minorité assiégée angoissée par l'altérité. Merci de révéler la véritable nature de l'orgueilleux expert de Libération qui s'est fait le complice zélé d'un lynchage raciste. Je ne connais pas le dessinateur. Sa prose à 3 caractères montre que je ne rate rien.
La fin de l'émission est un grand moment d'émotion et de littérature.
Merci enfin à Nassira El Moaddem, Adèle Bellot et Alizée Vincent pour cette émission.
Je vote pour et invite le maximum d'abonnés à le faire.
Émission vraiment impressionnante, d'un très haut niveau
MERCI pour cette émission, merci à vous Nassira pour votre travail de journaliste.
C’est un bonheur assez rare de sentir ses représentations se nuancer, concernant un sujet d’actualité qu’on imaginait bien mesurer. J’ai été touchée par votre émotion en lisant un extrait du roman de cette autrice qui semblait jusqu’à ce moment-là n'avoir qu'une place un peu limitée dans la discussion (passionnante par ailleurs). Émotion qui lui a donné toute sa place, finalement. Bravo. Et pourvu que nous réussissions à dégager la puanteur d’extrême droite au plus vite, collectivement.
Chaud bouillant cette émission. Je suis tombé de l’armoire en apprenant que nos deux écrivains Sansal et Daoud fricotaient coté extrême droite. Le chaudron Algérien continue a ressembler à une pétaudière et les dernières déclarations de Macron au Maroc ne vient pas apaiser ce réel qui semble se défausser sous nos pas. Et moi qui rêvait encore il y a peu de passer quelques nuits à la belle étoile dans le Hoggar.
L'inversion des valeurs à l'œuvre depuis maintenant pas mal d'années a produit cette époque détestable dans laquelle, si on a su garder sa dignité et son intégrité intellectuelle, on doit en payer le prix fort, ce qui signifie être diffamé, calomnié, voir son honneur jeté aux chiens ( comme dirait l'autre) en sachant que peu nombreux seront les soutiens affichés tant il faut à présent de courage pour contrer les fachos qui monopolisent le débat dans toutes les sphères de la société. Les institutions et les politiques dont la complicité et la duplicité écœurantes ne sont plus à démontrer, portent l'entière responsabilité de ce chaos qui nous entraîne dans le pire des mondes possibles. Ceux qui, comme Nedjib Sidi Moussa et d'autres résistent et affrontent ce fascisme qui ne dit pas son nom, sont aussi les porte-parole de notre refus de cette propagande haineuse proclamée ad nauséam .
Cette émission m'évoque ce moment magique où, étant à l'étranger avec des amis francophones de ce pays, il y a un échange intellectuel, à la fois vif et profond, qui permet de comprendre quelque chose de fondamental sur la France, mais aussi sur l'autre pays.
Cela m'arrive surtout en Italie ou en Tunisie, mais là, c'était magnifique.
Merci Nassira.
Vous enchantez ma soirée.
Un très gand opus d'@SI. Des invités passionants, qui se respectent les uns les autres. Coup de chapeau à Nassira El Moaddem pour la qualité de son animation, permettant à chacun d'aller au bout de sa pensée tout en maintenant le rythme. L'émission a parcouru un grand nombre de sujets, j'ai appris beaucoup de choses.
Encore bravo.
Les gens qui ont lynché Nedjib Sidi Moussa en France ressemblent à ceux qui ont lynché Boualem Sansal en Algérie, en disant qu'il mérite la prison à cause de ses propos.
heu oui d'accord Farès, mais en attendant, Sansal est en prison en Algérie alors que Sidi Moussa va continuer sans souci à aller sur les plateaux télé pour se victimiser et pour minimiser et relativiser le cas Sansal, sans évidemment jamais voir une seule cellule de prison (et bien évidemment c'est normal, je remets pas ça en cause).
Sidi Moussa dit par ailleurs qu'il faut analyser l'univers entier avant de pouvoir critiquer les agissements de l'Algérie. ben vas-y mon pote, on te regarde. je déteste ce genre d'argumentation, qui sert surtout à noyer le poisson.
Nedjib Sidi Moussa a un site sur lequel il propose l'objet de ses recherches : https://sinedjib.com/
Il analyse beaucoup de choses.
Bien d'accord, décidément! J'ai eu le même réflexe que vous, je suis aussi allée voir son site et m'y suis abonnée!
Propos absolument indignes de votre part! Je pense tout bêtement que votre niveau intellectuel ne vous a pas permis de comprendre ses propos!
Mec d'extrême droite sur le retour, ne perdez pas de temps avec lui
Bien sûr qu'il y a des arabes entendables au sens que le système médiatique donne à cette expression.
Reste à savoir si ces arabes, mêmes "entendables" sont réellement écoutés.
J'en doute.
En 2015, j'avais exprimé de fortes réserves sur Sansal qui prenait des positions d'extrême-droite, proches des thèses racistes du "grand remplacement" de manière irresponsable . du style " Préparez -vous en Europe à devenir musulmans" Soit ni plus ni moins que la thèse raciste du grand remplacement. Un avis irresponsable et dangereux connaissant l'hystérisation de ce thème en France, surtout après le forte montée de l'extrême droite. Le fait que Sansal soit soutenu par Zemmour, sent le roussi
Mon billet de 2015 sur Mediapart est a lire ici
Pas encore vu l'émission que je vais m’empresser d’écouter.
Mais une phrase me titille :
"Si on ne critique pas les etats autoritaires et il
n'y a pas que l'Algérie, c'est le cas de tous les Etats du monde arabe et d'autres ailleurs, ......si on n'analyse pas des décennies d'instrumentalisation du religieux pour casser la gauche et les mouvements d'émancipation, on ne comprend rien du tout".
Çà me rappelle un autre pays. Vous savez, celui situé de l'autre côté de la méditerranée .
Et si vous invitiez quelqu'un de CNews pour s'expliquer ou - mieux encore - si ASI allait à CNews débattre.
A entendre ASI, ces gens sont si stupides et leurs arguments si fallacieux que ca devrait etre facile de les démonter.
Allez, un peu de courage!
l'arabe entendable sur ASI, c'est celui qui vomit sur la France, les francais et son histoire.
Ca c'est acté