Les 25 ans de Super Mario
Mario fête officiellement ses 25 ans cette année. Un quart de siècle à bondir et à manger du champignon pour libérer la princesse Peach du terrible Bowser. Et le plaisir immédiat qu’évoquent ces noms, pour toute une génération, ne doit pas faire oublier les bouleversements industriels et culturels qui furent causés par ce petit plombier.
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Derniers commentaires
A mon avis c'est cette qualité de pionnier, premier grand héros du jeu vidéo qui fait que Mario est un personnage qui marque à ce point les esprits, avant tout.
Par exemple Metal Slug, c'est un jeu assez mythique dans la tête des gamers, pourtant SNK s'est complètement cassé la gueule après la Neo Geo et la Neo Geo Pocket (la portable pour concurrencer la Game boy, échec cuisant) et donc le marketing était inexistant passée la Neo Geo. Pourtant le mythe a survécu, Metal Slug reste la panacée du side-scrolling à ce jour. Il a survécu à travers les bornes d'arcades, mais surtout (je pense, là j'ai pas de sources mais bon) par les émulateurs. Plus jeune, c'est comme ça que je l'ai connu, par un pote qui avait un émulateur Neo Geo. On y jouait des heures sur PC à deux, alors qu'à cette époque la PS1 était sortie, c'était l'âge de la 3D qui s'ouvrait. Donc des jeux savent très bien accéder au statut "mythique" sans passer par la case "marketing intensif".
est la meilleure manière de passer une mauvaise journée.
Allez tous vous faire foutre.
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pour tous ceux qui veulent plus de detail sur la création et l'histoire de nintendo je vous conseil ce livre que vous trouverez sur le site de cette
trés bonne boutique spécialisé dans les jeux video dit "Oldies" ou "retro" la boutique s'appel Retro game Shop et ils sont a Paris:
http://www.retrogame-shop.com/shop/product_info.php?products_id=7426
Merci Rafik Djoumi
Petites erreurs "historiques" :
- Donkey Kong, premier jeu à faire figurer Mario est d'abord né en arcade en 1981, avant de connaître une adaptation Game & Watch l'année suivante. Pour la petite histoire, Mario devient le "méchant" dans sa suite directe, Donkey Kong Jr.
- Super Mario Bros. n'est pas le "premier jeu Mario officiel", mais le second. Le premier c'était Mario Bros. (pas super, donc), sorti en arcade deux ans avant, sans grand rapport avec sa suite.
Sinon, un élément qui me gêne et qu'on retrouve dans les différentes chroniques de Rafik : des postulats audacieux, certes argumentés, mais occultant tous les éléments venant les contredire. Attention, de la posture à l'imposture, il n'y a qu'un pas !
Je fais partie de la génération née en 1970 qui ont subit les recommandations négatives de Télérama ("attention, les dessins animés japonais portent en eux des messages subliminaux incompatibles avec notre culture judéo-chrétienne!!"). Jusqu'à la lecture de votre article, je considérais Mario comme un jeu omniprésent alors, mais frustre et insipide. Vous nous proposez de considérer cette création d'une part comme le pionnier d'un jeu vidéo élevé comme un art original, et d'autre part comme le vecteur d'une acculturation positive, et ces deux éclairages me semblent à la fois justes et originaux.
Merci, Rafik, car vous combinez largeur du spectre et rigueur sur des sujets inédits, dans un style très vivant. Je suis vos chroniques avec la même ferveur que Les Cinglés du Music Hall de J-C Averty à l'époque des débuts de Mario.
[sub]La photo en 3D du monde de Mario elle ne viendrait pas d'un Super Paper Mario?![/sub]
Une fois de plus on nous sort l'argument marketing.... :-(
Petite anecdote personnelle : j'étais en 6ème lorsqu'un pote m'a montré sa console NES. Il m'a collé alors devant un jeu dont je n'avais jamais entendu parlé : Super Mario. .Et bien après 6 heures de jeu non-stop chez mon pote, je n'ai plus pensé qu'à ca.... Force du marketing ou GAME PLAY de génie !?
Le jeu vidéo a enfin sa place en tant que média sur arrêtsurimages.net
Et le tout par des développeurs indépendants (Frictional games), au prix d'une vingtaine de dollars sur leur site (ou sur Steam, etc.).
Croyez moi si vous aimez les jeux/films d'horreur testez-le vous ne regretterez pas.
mais finalement, peut-être qu'il ne s'appelait pas Mario non plus ?.....
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
"le premier jeu c'est ceci"
"le scroling c'est ça"
Peu importe qui est le premier, peu importe la technique, mario est celui qui reste, on en parle toujours aujourd'hui, 25 ans plus tard il reste une reference alors que dans le milieu jeu video (comme au cinema) on aurait tendance a dire qu'une licence s'éssoufle au bout du 2eme épisode, mais mario reste, dans son domaine, le meilleur representant, celui qui satisfera autant le novice que le passionné.
Je pense que l'une des raisons du succé de mario c'est aussi le plaisir simple et facilement identifiable : on s'amuse et c'est une bonne raison pour tout le monde de continuer à aimer.
juste deux petites remarques :
Peter Molyneux, n'est-ce pas plutôt le Jeu anglo-saxon que le jeu américain ? Lionhead c'est britannique me semble-t-il, et je pense qu'il y a une british touch, comme il y a une french touch dans le jeu vidéo.
Par ailleurs, votre description description des journalistes de jeux vidéo m'a rappelé la frustration que j'avais à lire la presse vidéoludique pendant des années, n'y trouvant aucune des informations que je voulais avoir... Ça a désormais changé avec le magasine Amusement, qui traite de manière différente le jeu vidéo, avec de vrais articles de fond, à lire notamment un article sur Miyamoto avec interview de l'artiste, dans je ne sais plus quel numéro, je peux essayer de le chercher si ça en intéresse certains.
Cordialement,
Nary.
Il y a quelques erreurs factuelles évidemment, relevées pour la plupart, mais elles sont toutes excusables (et sont quelque part le pendant de ce point de vue si intéressant justement). La presse vidéoludique "spécialisée" multiplie elle aussi ce type d'erreurs sans avoir l'ombre d'une analyse en échange. A propos le passage de l'article sur la nullité complète des questions qu'elle réservait à Miyamoto est absolument délicieux.
Pourriez-vous nous donner, 7 ans après, la teneur des réponses de Shigeru à vos deux questions ?
En revanche, réagir à ça, oui :
[quote=Rafik Djoumi]On se souvient que les premières tentatives de faire du cinéma "d’Art" consistaient, au début du XXème siècle, à filmer des pièces de théâtre prestigieuses sous un angle unique, celui qu'aurait eu un spectateur du troisième rang face à la scène. Il s’agissait, ni plus ni moins, que de capturer une image en s’assurant que cette dernière soit labellisée "artistique", le cinématographe n'étant, après tout, qu'un appareil de prise de vue. Et pendant ce temps, Max Linder, Chaplin ou Keaton développaient des techniques narratives par le plan et le mouvement; des procédés inconcevables au Théâtre et qui leur permettraient de faire fonctionner un gag visuel auprès du grand public. Ce faisant, ils initiaient les notions d’enchaînement de plans, de découpage, qui allaient donner au cinéma sa vraie spécificité.
À lire ce qu'écrit Rafik, on comprend que le cinéma à vocation artistique (qu'est-ce donc, d'ailleurs ?) s'est contenté de peu, n'inventant pas formellement, se contentant de filmer platement des pièces de théâtre.
Alors que les "comiques", en revanche, considérés, toujours selon Rafik, comme des "ovnis" n'ayant pas leur place dans un cinéma labellisé "artistique" ou bénéficiant de l'attention des tenants d'une certaine culture (ces derniers seraient "aussi désemparé[s] [...] qu’auraient pu l'être des professeurs d'Art dramatique du Second Empire face aux cabrioles de Chaplin ou de Buster Keaton"), eux, ont inventé, innové, "développ[é] des techniques narratives par le plan et le mouvement", "initi[é] les notions d’enchaînement de plans, de découpage, qui allaient donner au cinéma sa vraie spécificité."
Premier point, d'où viennent Linder, Chaplin, Keaton ?
Du théâtre...
Conservatoire de Bordeaux pour Linder (horreur, de l'Art dramatique...), remplacement de ses parents, puis tournées avec différentes troupes pour Chaplin, travail avec ses parents pour Keaton.
Cet éternel débat entre deux clans, pffou, c'est lassant, non ?
Surtout quand c'est encore au prix d'une ré-écriture de l'histoire du cinéma...
Problème chronologique d'abord. Au début du XXe, aucun des trois mentionné n'est actif.
À moins de considérer que le "début" du XXe ne courre jusqu'à 1910 avec l'arrivée du personnage de Max (Linder), 1914 pour le personnage de Charlot (qui se prend en charge après son travail chez Sennett) ou 1917 pour Buster Keaton (qui se lancera seul en 1920, après trois années passées avec Arbuckle). Mais pourquoi pas...
Ces trois géants du cinéma ont été d'excellents gagmen, concepteurs, acteurs, auteurs, réalisateurs.
De là à faire croire qu'ils ont "développ[é] des techniques narratives par le plan et le mouvement", "initi[é] les notions d’enchaînement de plans, de découpage, qui allaient donner au cinéma sa vraie spécificité." alors que les tâcherons de "l'Art officiel" n'imaginaient rien, il y a une énorme marge...
Prenons 1895 comme date de création du cinéma.
Que s'est-il donc passé d'un point de vue formel entre 1895 et 1910-1915, pour ne prendre que la fourchette temporelle découlant du papier de Rafik ?
Les frères Lumière, comprenant rapidement toute l'importance du cinéma (à mettre en perspective avec la sentence de Rafik : "Tout comme Méliès, Miyamoto fut l’un des premiers à percevoir un média là où d’autres n’apercevaient qu’un gadget à la durée de vie limitée."), dépêchent dans le monde entier des réalisateurs-caméramen.
L'un d'eux, Eugène Promio, a une idée de génie, inventant l'un des procédés les plus utilisés au cinéma.
Laissons-le en parler :
"C'est en Italie que j'eus la première fois l'idée de vues panoramiques. Arrivé à Venise et me rendant en bateau de la gare à mon hôtel, sur le Grand Canal, je regardais les rives fuir devant l'esquif et je pensais que si le cinéma permettait de reproduire les objets immobiles, on pouvait peut-être retourner la proposition et reproduire à l'aide du cinéma mobile les objets immobiles."
Cité dans Anthologie du Cinéma, Marcel Lapierre, 1946.
Aussitôt dit, aussitôt fait, il pose sa caméra sur une gondole, et réalise pour Vues de Venise (1896), le premier travelling de l'histoire du 7e art.
En Angleterre, en 1900, George Albert Smith, réalise entre autres As Seen Through a Telescope et Grandma's Reading Glass dans lesquels, il crée du sens par le montage, par changement de point de vue, en intercalant gros plans et plans moyens ou d'ensemble.
Toujours en 1900, et autre Anglais, James Williamson réalise Attack on a China Mission.
Commentaire de Georges Sadoul : “incomparablement plus évolué qu’aucun film américain ou français de cette époque. […] Williamson usait d’un procédé qui n’est pas concevable au théâtre et découvrait un des grands moyens du cinéma : l’alternance des actions se déroulant simultanément dans deux lieux éloignés.”
Autre invention de Williamson, le gros plan avec fondu au noir (la caméra s'approche de "l'objet" filmé, ou l'inverse, très près jusqu'au noir à l'écran, ce qui permet d'enchaîner sur une autre séquence) dans The Big Swallow (1901).
Et il réalise le premier film-poursuite de l'histoire avec Stop The Thief! qui se permet de plus un superbe montage alterné.
Réunis sous le nom de "l'école de Brighton" (par Sadoul, encore), ils se posent toutes les questions formelles, loin d'un prétendu filmage théâtral (ce qui était plutôt l'apanage de Méliès...*), en posant le point essentiel de tout discours cinématographique, le montage narratif.
Aux USA aussi, ça bouge. Voyons ce qu'en dit Jean Mitry dans Esthétique et Psychologie du cinéma : “Mais si les pionniers de Brighton furent les premiers à poser les conditions élémentaires du montage, c’est à l’Américain Edwin Porter qu’il appartient de leur avoir donné un sens”.
L'exemple le plus flagrant en est son film The Great Train Robbery (1903).
Sans oublier , bien sûr le tout premier cinéaste d'importance, D.W. Griffith (on ne parle pas ici de son idéologie...) qui utilisera au maximum toutes les possibilités offertes, montage alterné, champ/contrechamp, montage parallèle, travelling, gros plan de visages, profondeur de champ, panoramique, insert, etc.
Voir ses courts-métrages, et surtout The Birth Of A Nation (1915) à cet égard.
Pour finir, une citation de Lev Vladimirovitch Koulechov, dont on ne remettra pas en doute la pertinence en ce qui concerne le montage :
“Le premier réalisateur qui utilisa le montage comme un élément de création cinématographique fut Griffith".
Source principale de ce petit post, en dehors de celles déjà mentionnées : Le language cinématographique, Marcel Martin.
* “Méliès, entravé par la fixité de sa caméra, ne comprit pas la nature du montage et n’en soupçonna pas les apports possibles. En 1904 encore, dans Le voyage à travers l’impossible, il commet de graves erreurs de montage imputables à son optique théâtrale.”
Le language cinématographique, Marcel Martin
Je trouve personnellement qu'ils apportent un véritable plus au site, un peu de fraîcheur et d'ouverture d'esprit. Comme je l'ai lu plus haut, effectivement, le jeu vidéo est un média qui a atteint une immense ampleur, et décrypter cet univers ne me parait pas du tout inapproprié; bien au contraire.
On ne traite que trop rarement des jeux vidéos de façon sérieuse (il n'y a qu'à voir le traitement que les grands médias en font généralement !).
Donc j'apporte tout mon soutien à Rafik qui, selon moi, a parfaitement sa place dans l'équipe d'ASI.
Sinon, comme d'habitude.
C'est bien, les habitudes, ça permet de savoir quand ne pas perdre du temps à discuter quand on pourrait à la place jouer à Mario, par exemple.
Pour rester dans le ton, je propose pour la prochaine chronique une analyse psychologique de pacman... ;-))
Merci
"J’avais choisi de citer Georges Méliès plutôt que de m’en référer au traditionnel "Spielberg du jeu vidéo" qui désigne habituellement Miyamoto dans la presse. Car cette dernière comparaison, certes flatteuse, s’en tient au succès mondial du personnage plutôt qu’à sa place chronologique dans l’Histoire du média qu'il représente (le Spielberg du jeu vidéo, ce sera pour l’an 2045)."
Le premier jeu vidéo, c'est Spacewar en 1962. Si on prend comme point de départ du cinéma les Lumière en 1895 (plutôt que Edison en 1891), ça fait qu'on devrait avoir notre Melies dans les années 1960. Miyamoto, c'est vingt ans après. Peut-être le Chaplin du jeu vidéo ? :)
Alors que les jeux vidéo des années 70 avaient pour modèle des jeux de table, empruntant leur dynamique aux cartes, aux dames, aux échecs, à la bataille navale (Pong, Space Invaders, Q*bert, Pacman etc.), Donkey Kong initia la vague du jeu dit "de plateforme". Et soudain, l’intérêt ne résidait plus dans l’idée de faire un score ou de mettre en échec un adversaire.
Pour modèle les jeux de table ?!? Là, on est en plein délire. S'il y a un modèle, il est bien plutôt du côté de l'industrie du flipper, de l'amusement mécanique (jukebox...). Même Atari commence avec un contrat pour Bally, l'un des plus gros fabricants de Chicago.
Je ne vois pas en quoi Space Invaders, par exemple, ressemble à un jeu de plateau ?
Sur le "jeu de plateforme", il me semble qu'il y a aussi une confusion : sur Donkey Kong, il s'agit encore de faire un score, c'est encore un jeu en un seul tableau... Il n'y a pas la dimension de découverte d'un monde qui est liée justement aux jeux "Mario".
Super Mario Bros a imposé l’idée que l’écran de la machine ne désignait plus les limites d’un jeu de table, à la notice préalablement identifiée. Il devenait une fenêtre sur un monde nouveau dont les règles se dévoilaient au fil du périple.
Les jeux en scrolling, là encore, c'est très antérieur à Mario. Il y a des jeux de course, en scrolling horizontal, vers 1976 (de mémoire) ; c'est vrai que le scrolling horizontal est un exploit technique et que Mario a popularisé le genre. Mais Zaxxon est déjà un peu comme ça aussi.
Sinon, l'autre truc important, c'est la 3D, avec l'écran qui s'ouvre sur un monde en profondeur. Là, il y a des choses extraordinaires aussi bien du côté de l'arcade (Night Driver, ou les jeux en vectoriels à la Tail Gunner, Battlezone), que du côté du jeu universitaire et/ou sur micro-ordinateur (avec le jeu de rôle en particulier, Ultima, Wizardry au début des années 1980, ou avant sur le système PLATO).
Le rapport fusionnel qui s’établit avec Mario, lorsque ce dernier répond aussi parfaitement aux réflexes et à l’intuition de son maître joueur, a forcément du peser de tout son poids dans la rapide starification du personnage. Là où Q*bert ou Pacman se contentaient d’être des emblèmes du jeu d'arcade, Mario devint en moins de cinq ans le symbole du jeu vidéo tout entier.
La starification du personnage ne tient pas seulement à des raisons de Gameplay. A l'époque, Nintendo, ça doit être 80% du marché américain des consoles avec la NES. Et un matraquage monumental en termes de merchandising : magazines, séries télé, hamburger, etc.
Sans parler des films, The Wizards ou même le Mario de sinistre mémoire.
C'est aussi cela Mario ...
Jusqu’au milieu des années 80, le jeu vidéo, de nationalité d’abord américaine, avait eu pour principe ludique le sens de la compétition et le réflexe consumériste qui en découle («Hi-score», «Insert Coin», «Game Over»). L’idée était d’interpréter un héros bigger than life et de tuer avant d’être tué. De par sa structure même, Super Mario Bros et toutes ses suites (ainsi que les Zelda) allaient bouleverser cette donne.
Amusant, l'éloge du Japon se mue en anti-américanisme. L'esprit des peuples n'est pas loin...
Typiquement, vous passez sous le tapis tout un continent du jeu américain, celui des micro-ordinateurs (Apple II en tête), qui va être "recolonisé" par les jeux NES, avec le genre "jeu de rôle" en particulier. Qui ne colle pas au tableau que vous faites.
La structure du High-Score est liée à l'exploitation commerciale en arcade. Il ne faut pas oublier que les pratiques de Nintendo sont particulièrement dégueulasses en matière de verrouillage : censure et contrôle extrême des développeurs tiers, pression sur le retail pour ne pas distribuer les concurrents... En termes de pratiques monopolistiques, c'est un sommet, Nintendo dans les années 1980...
Ce n’est qu’à cette condition que l’ouvrier peut monter à l’étage supérieur, et acquérir ainsi toutes les compétences qui lui permettront d’affronter le "grand boss" final , non pas pour prendre sa place, mais pour restaurer l’équilibre originel. Difficile de ne pas voir dans ce schéma la notion de cohésion sociale et d’appartenance au groupe qui a présidé à la culture d’entreprise nippone.
A moins, que ça ne soit la structure narrative de base ! Un récit, c'est un héros, un ordre perturbé, des obstacles, et "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants"...
sorry, moi chui GW...
Merci pour cette précision cruciale.
Balthaz, tu sais maintenant à quoi ressemble un commentaire "hyper intéressant et tellement constructif ".
J'imagine qu'à la naissance et pendant sa scolarité prolétarienne, "Super Mario" aurait été moins facile à porter. Merci pour cette précision cruciale. Balthaz, tu sais maintenant à quoi ressemble un commentaire "hyper intéressant et tellement constructif ".Modifié 1 fois. Dernière modification le 23:05 le 10/10/2010 par Fan de canard.
ça change tout de dire Supermario au lieu de Super Mario, de la même manière que d'écrire Super Man, ou Superman, si tu comprends pas ça, on peut pas faire grand chose pour toi mon gars.
Il faut répondre aux gens dans votre genre, c'est sûr que je préfèrerais développer la discussion sur les jeux de mise en abime du média mais bon quand on voit vos commentaires, on n'a pas d'autre choix que de vous corriger.
.. desquels apparemment, vous êtes une source intarissable.
Au plaisir, Supermanne :-)
ohlalalalalalala !!!!
mea culpa mea maxima culpa
je ne savais pas que ça pouvait atteindre un tel degré euh....épistémologique
ça change tout de dire Supermario au lieu de Super Mario ohlalalalalalala !!!! mea culpa mea maxima culpa je ne savais pas que ça pouvait atteindre un tel degré euh....épistémologique
un tel degré épistémologique non, certes pas, mais une telle volonté de destruction, de dédain, de mépris dans l'emploi volontaire de mot tronquée, changée, d'assertion stupide, (le marketing a fait de Mario le succès qu'il est, ah bon, que dire du jeu Enter the Matrix alors ? considéré comme un des plus gros bide, un jeu pas fini, avec un gameplay mauvais comme un cochon, seul le système de piratage de la Matrice était efficace, à tel point que j'ai fini par penser que le jeu était un suicide artistique voulu comme manière de montrer ce qu'était le monde réel dans le 3 d'une autre manière, mais vendre ce suicide à 70 euros, ça me semblait beaucoup trop gros, et j'ai fini par me rendre comme tout le monde aux mêmes conclusions, jeux pas finis, baclés pour sortir en même temps que les films => "saquage" sans appel :) Mais heureusement que le marketing fais tout, sinon qu'est-ce que ça serait)
La preuve ultime que vous vous moquez totalement du sujet dont vous parlez, et si ça ne suffit pas, je vous renvoie au message de Gavroche. Vous vous imaginez que les geeks sont des crétins, immatures, obnubilés par le jeu vidéo, mais vous savez, nous ne sommes pas si cons, on sait voir quand les gens utilisent un vocable plutôt qu'un autre et ce que ça souligne intrinsèquement comme raisonnement.
D'aillers vous ne vous en cachez pas même pas "mon commentaire était du second degré, juste pour dire que pour supermario sur @si, c'est hors sujet". Appeler Super Mario, supermario est symptomatique de votre état d'esprit quand vous venez sur ces pages. Je vais pas vous faire l'analyse de votre pensée, mais déjà enlever les majuscules du nom c'est caractéristique. Sans même lire votre "c'est hors-sujet sur @si", le simple fait de lire supermario en dit beaucoup.
La même personne qui s'irriterait et à raison, qu'on parle de bourdieux, ou de gils Deuleuzze. Bref, ne faites pas aux autres ce que vous n'aimeriez pas qu'ils vous fassent.
ben voyons
vous n'avez pas imaginé que :
1- je n'en connais pas l'orthographe
2- je n'attache pas d'importance a la façon d'écrire super mario, non pas dédain mais juste paske...
3- je n'ai simplement pas fait exprès de l'écrire comme ça
Balthaz : N'oublie pas que tu es sur un forum ou les intervenants ont ete livres sans imagination ni matiere grise dans le bundle de baseModifié 2 fois. Dernière modification le 16:52 le 11/10/2010 par L-P R ( maintenant a "tu et a toi" avec tout le monde ( quand j'oublie pas ( damn education ! ))).
et Balthaz est livré sans avoir appris à lire ? quelle mauvaise foi manifeste :) on atteint des sommets là.
1) je n'en connais pas l'orthographe : oki pourquoi pas, mais quand même, c'est pas comme si Rafik n'avait pas écrit au moins 50 fois le mot.
2)je n'attache pas d'importance a la façon d'écrire super mario, non pas dédain mais juste paske... ? juste pasque quoi ? Parce que ça ne vous intéresse pas, oki :) enfin je m'intéresse pas à Bruno Dumont mais je sais écrire son prénom et sans oublier les majuscules.
3) je n'ai simplement pas fait exprès de l'écrire comme ça ??? Admettons mais de voir le mot écrit sans cesse dans l'article, ça ne vous a pas "conditionné" à l'écrire telle qu'il l'était ?
y a pas de fôte d'ortograf sur les noms propres
franchement, y a pas aut'chose à faire que de diverser sur l'orthgraphe de supeeeeeeeeeer ............mario ?
et la chro de rafik, je l'ai lue largement plus qu'en diagonale.....
d'ailleurs, c'est la dernière fois que j'interviens sur cette chronique que je trouve peu intéressante
et merci au veilleur aussi....
Tu as vu comment qu'il nous a tout de suite cernés, nous autres, ben dis donc. Les "gens dans notre genre qu'il faut corriger "... ça en jette sur un forum.
Je te fiche mon billet qu'il doit leur mettre des piles, aux posteurs des jeux vidéos, sur les forums dédiés.
On ne la lui fait pas au veilleur, tu remarqueras: tu oublies une liaison (fatale) à son joujou favori et bam: te voilà devenu subitement un mec qui "détruit, dédaigne, méprise, tronque (volontairement puisqu'on te dit que lui sait,... alors)".
(d'ailleurs, je suis un peu pareil. Des copains à lui, suite à deux lignes sur une... pépite... fimographique [Bad taste], m'ont bien remis à ma place, j'ai carrément dû m'esquiver devant les adorateurs supérieurs du 7ème art - tu m'aurais vu, comment j'étais pas fier après)
Tu le savais, toi, que tu étais entré dans une case qui englobe ceux qui dénigrent les geeks: mais siii, le veilleur l'a écrit: tu les considères comme des "crétins", des "immatures" - suite à ta façon d'écrire SuPerMARIiO !
Un profilage qui enfonce tous les Sherlock Holmes du monde, tu en conviendras. On voit tout de suite que ce n'est pas une de ces tapettes (gauchistes si ça se trouve) qui s'emmerdent avec des preuves et autres déductions logiques pénibles et fastidieuses.
Ah, et heureusement qu'il précise qu'il ne va pas "analyser ta pensée ", dis donc. Imagine un peu le carnage sémantique.
Même qu'au bout du compte tu ne peux rien dire, parce-que le monsieur te cite à la fin des références-massues (Bourdieu, Deleuze.. ben d'là, ils ne seraient pas les seuls à se demander ce qu'ils font là ^^).
Dis Balthaz, une telle bouillie lexicale et confuse ne te rappellerait pas celle d'une autre pointure bien fissurée aux entournures ? Un certain héros, qui se désagrégeait petit à petit dans le forum ?
Je ne vous ai pas présenté ce bon vieux Mike, le tro... le veilleur ? Quel oubli.
Du genre de ceux qui privent le forum de fabuleux échanges, et donc, de grands moments. Une grande amitié épistolaire pourrait naitre entre vous, vue la liste de vos points communs longue comme le bras... qui sait ?
Et il n'y a pas de quoi, Balthaz :-)
Après, le troll est obligé de contourner sinon il n'a pas suffisamment de matière pour partir en live, juger l'autre, lui faire dire ce qu'il n'a pas dit et délirer à partir de rien.
C'est une phénomène assez fascinant, comment à partir d'un post de Balthaz qui ne fait qu'émettre son avis sur l'article, l'autre lui tombe sur le râble et le descend dès qu'il le peut un peu partout dans le forum - comme il le fait aussi avec Gavroche par exemple; puis appelle papa systématiquement dès le premier grain de sable. Oui, tu as dû le remarquer, le troll aime appeler ouvertement au modérateur dès qu'il a bobo.
Il aime aussi, pour se sentir moins seul, prétendre que comme lui est tout plein énervé, et bien c'est tous les gens qui sont énervés. Le syndrome Zemmour, en quelque sorte ("les Français pensent que..." "les Français ne veulent pas de..." .. bref tu connais l'engin).
-> voir son post ci-dessous.
Il parsème en général sa suite de mots de nouveaux appels réguliers aux modos face aux trolls que sont les autres (c'est bien connu aussi, le troll, étant inconscient d'en être un, du coup appréhende ses contradicteurs comme tels -> voir §2, et suivants, ci-dessous). Le syndrome Mike dans toute sa splendeur, pour résumer.
Le troll n'a plus grand chose à dire après en général, mais ça ne l'empêche pas de tartiner, tu remarqueras (cf. les § suivants ci-dessous). "Balthaz toi vilain, tout comme Gavroche pisqu' y font rien qu'à insulter les gens, etc etc. "
Il aime enfin terminer en apothéose. Après avoir dit aux autres "bande de cons, l'article vous l'aimez ou vous le quittez", il prétend ensuite que ce sont les autres qui font rien qu'à l'embêter, que c'est lui qui se défend face à la meute (un terme qu'affectionne le troll, assez solitaire en général - il n'emploie pas forcément le mot, mais utilise souvent un habile subterfuge, du style "les gens dans votre genre" - voir plus haut) - il affectionne aussi l'utilisation des mêmes mots que ses interlocuteurs.
Tu le traites de troll ? Ce sont tous les autres qui sont des trolls.
Tu parles ci-dessus d'incontinence verbale ? Devine ce qu'il a écrit ci-dessous ?
Il a fallu des mois à Mike pour débloquer de manière générale - ce qu'il ne faisait que ponctuellement au début.
Vu la fréquence des posts du Veilleur à écrire n'importe quoi sur les autres, je pense que dans 2, 3 semaines max, il devrait être à son tour cuit à point, et finalement tous nous traiter de larves.
Tu as des nouvelles d'Alex, sinon, mmmhhhhh ? :-)
Bon calme-toi Fan, prends tes pilules, tu sais, le Veilleur ne mérite pas tant d'attention que ça, c'est un gamin qui cherche à s'affirmer, il a choisi la stratégie de l'inondation, bon c'est pas le choix le plus judicieux je te l'accorde, mais il fait avec ses moyens. Ça peut se comprendre, et il faut être indulgent avec lui. A douze ans t'étais mature toi? ;o)
Cela dit, pendant les inondations, l'un des premiers réflexes, c'est d'écoper quand ça déborde.
Bon ben tant pis pour Alex. Je vais envoyer un texto à PJLSM, p'têt ben qu'il aura des nouvelles, lui ^^
C'est marrant, vous ne l'avez pas écrit expressément, mais il est pourtant audible. C'est étrange, non ?
Quant à l'attitude, réfléchissez donc à la vôtre au moins 5 minutes.
Si après ça, vous n'avez toujours pas compris que vous ne faites que récolter, en définitive, l'ivraie que vous semez, et bien... comment disiez-vous déjà un peu plus haut ?... ah oui:
"on peut pas faire grand chose pour toi mon gars. "
Bonne méditation, quant à l'attitude que l'on a face à quelqu'un qui ne s'exprime la plupart du temps que de cette manière face aux autres.
quand tu écris toutes tes tartines et tes nouvelles tartines, tu horssujetise à mort le topic, et forcément comme je te réponds depuis ton premier hors-sujet, je fais de même, sauf que moi c'est contre ma volonté, pour ne pas que des trolls dans ton genre ait le dernier mot, mais je pense que je vais te le laisser et avertir la modération par un autre biais.
si tu ne vois pas ce que le message de Gavroche a de méprisant (par contre pas hors-sujet) alors que le premier des tiens en réponse à ma rectification à Balthaz est totalement hors-sujet et on va dire moyennement méprisant, c'est que tu es sacrément aveugle.
J'inclus dans le lot des post inutiles, toutes mes réponses hors du sujet bien évidemment. Pourquoi tu fais jamais ça sur les autres topics que Rafik ? Pose toi cette simple question, réponds-y et on aura fait un grand pas.
J'ai jamais dit que la modération était là pour obéir à mon moindre caprice ou à supprimer les post que j'aimais pas (j'aime pas les post de IT pourtant ils sont intéressant et loin d'être hors-sujet, j'aime pas LPR mais ces post ont un minimum d'argumentation et sont intéressant et dans le sujet. Maintenant jouer à qui a le plus gros kiki comme tu le fais sur les topics de Rafik avec quelques autres, ça j'avoue que j'ai passé l'âge. Donc lors que je m'adresse à la modération c'est juste pour qu'on retrouve un semblant de lisibilité sur le topic (comme ont la chance de l'avoir plus ou moins les autres topics qui ne portent pas la mention "Rafik Djoumi".
Et puis même sans parler de moi, ça rend le topic illisible ce hors-sujet lancé par toi sur plus de 25 post au moins (j'ai arrêter de compter), donc pour la lisibilité c'est gênant, pour les gens qui veulent voir du contenu sur le post (et pas des jugements de valeurs) c'est gênant, bref, personne y gagne (-même pas toi) et tout le mondey perd).
C'est toi qui récolte ce que tu sèmes en plus, parce que tu t'imaginais que j'allais m'écraser en te souhaitant de continuer à pourrir le topic et à me le faire pourrir en te répondant par la même occasion, c'est peine perdue. Et si je veux régler le problème à la source, je t'en parle à toi, puisque c'est ton intervention qui est la source du problème, pas ma réponse à Balthaz qui n'avait rien d'agressive en soi, juste un peu d'agacement peut-être. Tu n'aurais pas ajouté de l'huile sur le feu, j'aurais pas embrayé au quart de tour, mais tu as voulu avoir le dernier mot alors qu'en soi Balthaz avait tort d'orthographié "supermario" ainsi et au lieu de ça tu prends sa défense, chose que tu n'aurais jamais fait si un autre nom avait été mal orthographié par quelqu'un sur un autre topic, mais ça tu veux pas le reconnaitre alors on va en rester là, parce que le gamin je vois trés bien où il est.
Ah oui c'est clair, je vois ça :-)))
Vous êtes grandiose, sans parler de votre écriture magnifique.
Si vous pouviez d'ailleurs détailler un peu plus, parce-que je trouve que vous avez répondu trop succinctement ci-dessus.
Pour le plus grand bonheur de vos admirateurs, et de la modération ^^
Quel grand moment
D'ailleurs, je te promets que le prochaine fois que je lui réponds, ce sera pour lui faire tout plein de compliments.
Même que je n' suis même pô sûr qu'il les apprécie à sa juste mesure, mais j'ai plus l' choix, maintenant que j' l'ai dit.
Pas dit que ça vous relaxe, et si au passage vous tentez l'expérience et que vous avez envie en cours de route, de vous en coller une, ne soyez pas inquiet: ce sera parfaitement naturel.
"allo modo, bobo..."
Désolé d'insister mais c'est la pure vérité.
c'est tout, ya rien à troller, rien à discuter, juste à constater, tu serais pas venu t'en mêler et faire ton malin yaurais pas 25 posts hors sujet sans aucun intérêt à part le plaisir de lire ta prose de justicier, complètement inutile et inintéressante au possible, et dont beaucoup de monde, moi y compris se passerait trés bien.
Quant à nier l'agressivité et le mépris du post de Gavroche sur ce topic, faut que tu ais une sacré bon dieu de saloperie de mauvaise foi mon cochon, remarque tu es pas à ça près niveau mauvaise foi. Me traiter de troll alors que de toute évidence celui qui entretient la sauce à coup de remarque acerbe, et insultante c'est toi ici, et uniquement toi, toi et tes petits copains que tu traines dans ton sillage comme un bon troll des familles que tu es.
Vraiment trop facile:
§1 - auto-citation
§2 - auto-congratulation ("comment j'ai trop eu raison").
§3 - auto-défense puérile ("même que c'est toi qu'as commencé, d'abord") suivie de la parfaite validation de ce que je disais ci-dessus: le troll pense que c'est l'autre, avec les gens dans son genre, qui en est un, et parle de lui-même en disant "on".. "beaucoup de monde".. "les gens"...
vous êtes fascinant.
§4 - Accusation de l'autre de ses propres tares, un grand classique des héros du forum: dans la même phrase, il pointe l'agressivité de Gavroche, et juste après lit-on une déferlante de douceurs: "une sacré bon dieu de saloperie de mauvaise foi mon cochon, remarque tu es pas à ça près niveau mauvaise foi ".. et je passe la suite.
[et non, pow wow, à douze ans je ne parlais pas comme ça :-)]
(je garde votre expression "troll des familles" pour plus tard, j'en ai encore des larmes, et j'ai idée que ça pourra resservir dans un futur proche).
Ah, et pas mal, la tactique de tutoyer les autres alors que visiblement nous ne sommes pas, à proprement parler, des amis. Un peu éculée, mais pow wow avait raison: vous faites avec ce que vous avez, en définitive.
Sur ce, je vous laisse sur votre mode inondation de forum: énième prise.
Ça, vous savez faire.
"Même qu'au bout du compte tu ne peux rien dire, parce-que le monsieur te cite à la fin des références-massues (Bourdieu, Deleuze.. ben d'là, ils ne seraient pas les seuls à se demander ce qu'ils font là ^^). "
Le rapport ? Je parle de Bourdieu et de Deleuze, comme ça, sans aucune raison, comme j'aurais pu parler de n'importe quel nom propre à ne pas martyriser, ça n'a rien à voir avec des références-massues, à part la massue que vous devez encore sans doute utiliser dans votre caverne. Parce que je sais trés bien que certaines personnes ici, serait les premiers à rectifier une mauvaise orthographe, alors ce qu'on ne souffrirai pas sur l'ortographe de Deleuze, pourquoi le souffrir sur l'ortho de Mario ?
Merci donc aux modéros de supprimer les post de ces trolls (et les quelques miens hors-sujet du topic par extension) qui n'ont rien à dire sur le jeu vidéo et la critique de Rafik, juste dire que ça n'a pas sa place sur @si à leurs avis (mais leurs avis en l'occurence on s'en contrefout) et ça je pense d'ailleurs que c'est à Daniel de le dire (lui qui a proposé cette chronique et ce sujet en particulier à Rafik).
ahlala toujours les mêmes sujets, toujours les mêmes personnes, quand c'est toléré, c'est essentiellement des louanges, jamais aucune remise en question de l'info (cf le DAL) et on cire les pompes des chroniqueurs. Par contre dès que c'est Rafik, c'est des insultes, des ça n'a rien à faire là, de l'infantilisation des goûts de ses lecteurs (cf Gavroche) etc...
Et me prend pas pour un con Balthaz, j'aime pas beaucoup ça, tu aurais eu un doute sur l'orthographe du mot, tu aurais vérifié avant de l'écrire, à moins que tu t'en foutes totalement du sujet, ce qui est le cas je le rappelle "supermario sur @si, c'est hors sujet" dixit yourself, tout ça sans chercher à comprendre pourquoi justement c'est pas du tout hors sujet.
Qui plus est, le troll agressif, celui qui souffre d'incontinence verbale, c'est pas moi, mon premier message après celui de Balthaz n'avait rien d'agressif, en revanche; après la réponse insultante de Fan de canard, je n'ai fait que contre-attaquer.
"Super Mario, pourquoi toujours ce besoin de faire d'un nom un autre, c'est pas Supermario comme ce serait Superman, c'est pas un héros indéfini, c'est son nom Mario".
je vous mets au défi de trouver la moindre trace d'agressivité dans ce post.
la réponse la plus naturelle aurait été : "ah pardon, désolé d'avoir mal écrit le mot, Super Mario donc" et on passe à autre chose. Fan de canard lui est d'une autre stature, non seulement il ne s'excuse pas (bon ça à la limite on s'en fout un peu il est vrai) mais en plus il en rajoute une couche et attaque la personne qui a rectifié le propos de Baltaz en défendant Balthaz, c'est du jamais vu quand même.
tout est dit
pas besoin de faire une si longue tartine
(mais leurs avis en l'occurence on s'en contrefout) tout est dit pas besoin de faire une si longue tartineModifié 1 fois. Dernière modification le 18:48 le 12/10/2010 par balthaz.
c'est vraiment de la mauvaise foi hein :) on se contrefout pas d'un avis argumenté comme peut l'être celui de IT, ou même celui de LPR, mais venir dire une fois de plus que c'est hors-sujet sur @si, ça oui on s'en contrefout un peu, faut dire, yen au moins un de vous qui le dit à chaque article de Rafik, une ou plusieurs fois, on commence à être habitué hein, c'est plus la peine de le répéter, c'est rentré :)
Sur le fond je trouve la comparaison vidéo avec Buster Keaton assez intéressante, car il est vrai que ce qui est flagrant avec la série des Mario c'est le format des niveaux qui restent toujours brefs, sous forme de scénettes, chacun d'entre eux étant un petit court-métrage interactif s'il on veut. Un format de plus en plus rare dans les jeux qui ne sont pas destinés à des plateformes portables.
(EDIT: grillé deubeule) A lire aussi le billet d'Eric Viennot (Game Designer) sur Mario Galaxy, qui fait la comparaison avec Chaplin cette fois, et parle de ce qui fait de ce jeu une œuvre de génie.
Une petite larme en ce qui me concerne, j'ai grandi avec le plombier moustachu à la fois en virtuel et en réel, car nous partageons le même âge :)
Et puis bon je sais pas vous, mais moi la plus grosse claque c'était Super Mario 64...
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
et destinés à distraire les salarimène dans les transports en commun....créa le gèïmènouatch....
juste pour les nostaliques de kivoussavé...
toutenbateau