Au Salon de l'Agriculture, François Hollande a mangé du chabichou, bu de la bière, tripoté des grosses bêtes à cornes, avec un naturel digne de celui de son illustre modèle corrézien, lequel lui a très certainement prodigué ses précieux conseils.
Un diaporama sur Libé.fr offre quelques superbes images de sa visite, montrant, outre des exposants souriants, des vaches à l'oeil humide, des taureaux ébahis, des béliers attendris...
Les animaux, comme les humains, sont sensibles au charisme de Notre Président.

En plus de Libé et quelques émissions de télé où M. Iacub défendait DSK, il y a eu une émission de France Culture :

France Culture / 21 avril 2012 / Emission Répliques

Je m'en fiche moizaussi de ces étalages de "ma vie avec Dominique", Mesdames sucez-le en silence.

Un manque de respect ces temps-ci envers les animaux, particulièrement envers les cochons. :))

... j'ai vu qu'il y avait 101 messages sur ce fil.

Donc ça m'a fait penser aux dalmatiens que je viens de mettre en titre.

C'est tout.

Séance de rattrapage télévisuelle du faux derche Joffrin pour justifier sa Une putassière tout en se défaussant de ses responsabilités.
Du très très grand Joffrin, en grande forme...

"La femme de ménage n'a pas étét violée mais horriblement offensée" (Marcela Iacub)

Marie-Anne Soubré tempère le tout en affirmant "Il n'y a pas de prix pour un viol". "Oh, c'est pas vraiment un viol, arrête !" lui répond Sophie de Menthon. (Sur RMC, il y a quelque temps)

Sophie de Menthon-Marcela Iacub même combat !

Notre Dame des Landes est de retour sur @si. Rentrée par la petite porte, un "vite dit" à propos d'une pub sur France Bleu Loire Océan. Merci à David Medioni: même si, sur les "vite dit", on peut pas commenter, c'est mieux que rien.

A hurler de rire, le mec à l'écharpe rouge, de l'Express qui dit " nous on n'aurait jamais publié ces bonnes feuilles"...
http://www.lexpress.fr/actualite/medias/livre-de-marcela-iacub-sur-dsk-contrairement-au-nouvel-obs-l-express-n-aurait-pas-publie-ces-bonnes-feuilles_1223387.html
Jaloux, va ;o)))
Mon dieu ! Ces éditocrates sont devenus fous... rappelle-les à toi ;o))

Quand je pense que ce mec était pressenti pour être président de la république.

Le fin du fond du fond.

En tout cas, jolie chronique inspirée par un grand texte littéraire.

DS Ce sont les chiens, les grizzlys, les cochons et les truies, qui nous disent le mieux, ces jours-ci, le conte cruel de la vie.

L'Homme est un [s]cochon pour la Femme[/s] loup pour l'Homme.

Sinon, pour changer un peu des métaphores animales, une métaphore végétale : si DSK était un végétal, il serait... un marronnier.

J'en ai vraiment assez, je réclame un peu de respect pour ces pauvres animaux, perso je partage ma vie avec une chienne, j'admire le cochon (dont la vie est le plus souvent peu enviable) bien que n'en ayant pas frequenté de près et l'ours me fascine, alors je refuse ces amalgames douteux. Ils valent mieux que ça ! Il vaut mieux en rire tellement on sombre. Plus j'essaie de suivre l'actualité, plus j'ai envie de l'ignorer et plus j'aime ma chienne.

L’idéal du cochon, c’est la partouze?: personne n’est exclu de la fête, ni les vieux, ni les moches, ni les petits.

N'ayant jamais participé à des partouzes et en ayant rarement lu le récit, je ne sais pas si cette affirmation de Marcela Iacub est exacte.
Mais comme ça, au pif, au jugé (je n'ose dire: "au doigt mouillé"), j'ai la conviction que Marcela iacub se trompe (décidément, à qui se fier ?) et que dans les partouzes comme ailleurs, le sort des moches, des vieux et des petits n'est guère enviable .
Contrairement à beaucoup d'@sinautes, je trouve plutôt sympathique la démarche de cette journaliste. Elle s'apparente à celle des grands reporters qui, au lieu de rester les pieds au chaud dans leurs charentaises, vont sur le terrain pour enquêter.
Et je me marre de l'invraisemblable culot de DSK qui vient se plaindre d'une part que les faits relatés par son ex-maîtresse sont inexacts (lui dont la vie entière repose sur la dissimulation et le mensonge) et que l'usage qu'elle fait de la séduction n'est pas déontologiquement correcte... Même au cinéma t'entends pas ça. C'est fou! C'est jubilatoire !
La saga DSK est un merveilleux feuilleton. Un caviar dont je raffole et je n'ai pas honte d'en redemander. Sans @si, je n'aurais jamais su, par exemple, qu'Anne Sinclair (ex-future première dame) estime qu'il est normal de se faire sucer par une domestique. Encore! S'il-vous-plaît, encore, Daniel Schneidermann !

Et le temps est trop court,trop précieux, pour le perdre à lire des cochoncetés...

Une question me taraude: combien ça vaut une passe de Iacub? 100000 €? plus? moins? payés par le portefeuille de l'ex ou par celui du porc?

Cette femme écrivait en effet, le 14 décembre dernier dans sa chronique pour le quotidien de Rotschild:

"Celles qui dénoncent la prostitution devraient se demander si elles ne seraient pas prêtes à laisser leurs principes de côté si on les payait, comme à la spectaculaire Nafissatou Diallo, 6 millions de dollars pour une pipe. On peut imaginer que certaines des militantes les plus acharnées seraient prêtes à se trahir pour une telle somme - fût-ce pour financer les associations qui luttent contre la prostitution. Et si à cette prestation à 6 millions leur en était proposées d’autres au même tarif, ces militantes regarderaient la suggestion comme un miracle comparable au fait de gagner au loto. Il est fort probable que, même pour un million, elles seraient aussi contentes. C’est pourquoi - même si beaucoup d’entre elles l’ignorent - ce qui les dérange dans la prostitution n’est pas que ce soit du sexe monnayé, mais qu’il soit trop bon marché."

Elle écrivait aussi, le 9 novembre 2012:

"Pour les femmes des sociétés démocratiques contemporaines, le sexe continue à être quelque chose qu’elles échangent contre des positions sociales, contre des biens matériels et symboliques. Les femmes continuent à se mettre en couple avec des hommes plus riches et plus âgés qu’elles grâce auxquels elles ont accès à une position sociale supérieure. Elles obtiennent d’eux, parfois contre leur gré, des avantages pour avoir mis au monde un enfant, elles reçoivent des dédommagements quand elles ont été l’objet des violences sexuelles… Ainsi, le sexe est la monnaie des femmes et c’est la raison pour laquelle elles sont plus habituées que les hommes à se maîtriser, à se contrôler, à ne pas se laisser aller à leurs pulsions comme eux."

Alors, je me pose simplement la question: c'est combien une pipe taillée par Iacub?

Et pour conclure, un dernier extrait, daté du 5 octobre: "L’affaire du Carlton de Lille ressemble à maints égards au procès de Meursault, le héros de l’Etranger d’Albert Camus."

Oui, oui, elle ose tout, c'est à ça qu'on la reconnaît.

Suite au magnifique coup commercial du Nouveau Joffrin, qui développe son rayon « jus de bidet », DSK a écrit une lettre furieuse au tenancier Jean Daniel pour trouver que donner écho aux ragots chics de Iacub, vous savez, la dame qui pense que le viol c’est pas si grave que ça, était indigne d’un journal qui « fut une grande conscience de gauche ».

« Qui fut ». En parler au passé, c’est effectivement bien vu.

Mais c’est bien la première fois qu’on voit DSK déplorer que quelqu’un ne soit plus de gauche.

(Je serais Libé, je me priverais des services tarifés de cette dame de petite vertu. Varlin, su tu me lis, vois comment on peut écrire « s...e » sans le dire !)

http://blogs.lexpress.fr/media/2013/02/21/dsk-pour-lune-de-ses-ex-marcela-iacub-un-etre-double-mi-homme-mi-cochon-un-poete-de-labjection-et-de-la-salete/

Sur la dame de grande cupidité, Revel envoie le pâté.

Entendu par la bouche d'Elise Lucet, annonçant les titres du jité de France 2, que la suppression par Marylise Lebranchu du jour de carence des fonctionnaires (instauré en 2011 par Fillon), faisait polémique. Pas difficile de deviner qui sont les incurables connards qui contestent cette réforme. On les trouve parmi ceux qui, à droite, pronent la rigueur tout en bénéficiant de substantielles augmentations de salaire (votées par leurs soins) et en se goinfrant de frais de réprésentation.
Une de mes très proches, grippée, a repris le travail après trois jours d'arrêt, puis ayant rechuté, a dû de nouveau s'arrêter. Résultat : deux jours sucrés pour le seul mois de février. Elle aurait pu attendre le vote du prochain budget pour tomber malade.

Et pendant ce temps. (désolé pour le hors sujet malgré tout ce que l'on pourrait ajouter à ce fabuleux sujet qu'est DSK)
Le PS reprend la communication du projet du futur aéroport:
http://pays-de-la-loire.france3.fr/2013/02/19/notre-dame-des-landes-eelv-denonce-la-campagne-de-pub-en-faveur-de-laeroport-202909.html
Une petite galerie d'images pour montrer, si malheureusement ça se réalise, sur quel terreau vont se faire les fondations:
http://www.google.fr/search?q=notre+dame+des+landes&hl=fr&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=kQMmUbn7Eaeb1AW62IHIAg&sqi=2&ved=0CGcQsAQ&biw=1920&bih=929
Circulez, il n'y a plus rien à décrypter...

Je sais je sais, on pourrait aussi parler de Manuel Valls qui fustige les Femen et s'excuse à leur place auprès des catholiques offensés.:
http://iejnews.com/manuel-valls-consterne-par-laction-des-femen/
Pourtant, il est peu suspect de charité chrétienne, vu la rapidité avec laquelle il s'occupe des pauvres:
http://iejnews.com/les-roms-dans-la-ligne-de-mire/
(désolé, pas facile de trouver des liens récents sur le sujet, vu que tous les grands médias se foutent de ce qu'il se passe depuis quelques mois - il suffit de taper "Valls expulsions" pour constater la date des derniers billets..)

Ou du commercial Hollande en Grèce, dont on se souvient qu'il avait naguère applaudi et louangé l'arrivée au pouvoir de la droite face à Syriza. Dans ce pays ravagé davantage par les mesures européennes que la crise fabriquée de toutes pièces, il trouve le moyen d'essayer de les tondre davantage en leur vendant des conneries.
http://balkans.courriers.info/article21853.html
Un pays aux abois, c'est pratique.

Et toujours pas de forum sous les articles des "vite dit". Vivement le prochain billet sur la réintroduction des farines animales.
Les lobbies se portent toujours mieux avec la crise

mal placé.

Si je relis les commentaires approbateurs du Taylor d’emplois, si je les relie à la métaphore provocatrice de la Iacub de bites (j’ai pas dit couilles, surtout que celles du Dodo ne faisaient pas mollement dodo), je me dis qu’on est, dans la mondialisation, au cœur d’une gigantesque partouze sado-maso.

- Les Taylor nous traitent de merdes et comme des merdes.

- Nous les merdes (enfin, les lecteurs du Figaro etc) les approuvons et acceptons de souffrir (enfin, de faire souffrir les ouvriers, faut quand même pas pousser Arthur dans les bégonias – du Luxembourg).

Un bémol : dans une vraie relation sado-maso, les deux compliqués sont d’accord. Alors que pour les masos de la mondialisation, c’est ça ou crève. Quel choix a la femme seule avec gosses qui bosse chez Lideule à pas d’heures pour un salaire de chiotte ? Le tapin ? Même là, il y a la concurrences des pays plus pauvres que le nôtre ! Bon, si elle essaie le tapin sado-maso, à condition de se laisser sadiser, ça peut le faire…

"Communisme sexuel" ?!! Mais quelle bande de s. !

Il est urgent de ne plus leur laisser le mésusage des mots dans le but - conscient ou non - de les vider de leur substance !!
J'ai des envies de revoir l'émission d'@SI avec l'équipe de lmsi.net (les mots sont importants). Vous pourriez peut-être la remettre en avant dans le fil de l'actualité...

D. S. écrit :"une confidence DE Anne Sinclair", Aragon a écrit "Le con D'Irène".
A tout prendre, je préfère Aragon.

[quote=DS] Iacub, Taylor, deux textes inclassables, deux textes de dévoilement. Taylor se dévoilait lui-même...

Taylor ?
De quel Taylor s'agit-il? Quelqu'un peut-il m'éclairer ?

Et maintenant Marcela Iacub !!!
Après yasmina reza et ...
Ça va devenir un genre littéraire comme il y a quelques années une tripottée d'écrivains ayant pris le transsibérien pour aller à un salon littéraire à vladivostok, de retour, chacun y était allé de son opuscule sur cette expérience transcendantale (merci salvator dali !) du voyage à travers les steppes de Sibérie bercé par le léger balancement des wagons et les odeurs de cuisine dans les compartiments sans oublier cette belle langue incompréhensible parlée par les indigènes exotiques !
Toutes les femmes qui ont partagé avec Strauss Khan quelques moments d'échange d'humeurs vont écrire une œuvre modernissime
Ça promet ! La prochaine rentrée littéraire va être encombrée.
Après le romantisme, le surréalisme, la classicisme, le récit de voyage, les polards, la science fiction voici l'expérience vécue de l'intérieur avec Dominique : De l'échange d'humeur avec un personnage politique énergique en période électorale transatlantique !

à propos de la "crise des subprimes" et des opérations de titrisation, Bernard Maris a trouvé le mot juste pour désigner le cumul de l'expertise partouzarde et financière: Il parle des " galipettes" des financiers.

Bon allez, je sais que c'est idiot mais......dans le cochon tout est bon !

A part ça, je pense que si M. cochon n'avait pas été aussi friqué, cela lui aurait été plus difficile de cochonner à tout va !

[quote=Ne discutons pas du livre, que je n'ai pas lu (à l'inverse de l'hebdo, que j'ai couru chercher au kiosque dans le frimas, comme quoi le gratuit-payant peut fonctionner, pour peu que).]

Oui ? Pour peu que ? Qu'on se vautre dans le people, le cul sordide, les confidences érotico-pathétiques d'une exhibitionniste et d'un maniaque sexuel ?
Si c'est ça qui fait vendre et courir à son kiosque à journaux, que les dits journaux et journalistes cessent de mépriser Gala, Voici, Ici Paris, Closer ou Entrevue qui vendent la même merde mais qui eux au moins l'assument...
La frontière entre la presse de "divertissement" et celle "d'information générale et politique" est une vaste tartuferie, les preuves nous sont offertes quotidiennement.

A lire ou relire: Demain les chiens (en VO: City) , de Clifford Simak.

Et le haro sur les syndicats (et la CGT) lancé par les éditocrates depuis qqs semaines, on en fait quoi ?
Parce que, Iacub et DSK, c'est vrai que, perso, je m'en contrefiche !

Laissons les morts enterrer leurs morts

A lire Marcela Iacub, on en vient à regretter que DSK se soit fait gauler pour une pipe même pas honteuse.
Un cochon et ses cochonnes installés à l'Elysée. Des partouzes merveilleuses sous les ors et les lambris. Des grands de ce monde invités avec leurs conjoints, et initiés aux plaisirs de l'échangisme.
Puis, par contagion, la France transformée en un gigantesque lupanar. L'avènement du "communisme sexuel" comme dit Marcela. Les barrières de classes abolies.
Malheureusement, les pisse-froid ont imposé leur loi et le rêve est passé...

allez c'est reparti avec DSK et Anne Sinclair, j'attends mieux d'ASI en général et de Daniel en particulier ; je ne me suis pas abonnée pour ces ragots d'égoût et si ASI suit la pente que prend également le Monde, quel dommage ! Cela fait longtemps que je n'attends rien du Nouvel Obs
Yvonne Schmitt

L’idéal du cochon, c’est la partouze : personne n’est exclu de la fête, ni les vieux, ni les moches, ni les petits

Elle a raison, Marcela ! Mais elle oublie de préciser leur place dans la partouze : celle des niqués. Un peu comme dans la partouze économo-mondialiste : moi exploiteur et toi exploité, pour me faire bander, et qu’est-ce qu’on se marre, hein. Tu ris pas ? Ah ben tant pis, hein…

Bon, j’ai écrit « oublier », mais à me relire, j’ai un doute sur le caractère involontaire de cet oubli. Parce que Marcela n’est pas du côté des vieux des moches et des petits.

"il n'y a aucun mal à se faire sucer par une femme de ménage". Dit par Madame Sinclair, une dame pas vraiment pauvre, pas vraiment modeste (se rappeler qu’elle rêvait de devenir co-Présidente de la République).

Voilà qui me rappelle une phrase terrible dans la Blanche Morte (Cothias et Juilliard), au moment où un camarade d’orgie de Henri VI va se taper le petit Louis XII : « il n’y a pas de fruit défendu pour les puissants de cette terre ».

Là, l’icône de la madone qui souffrait stoïquement les fredaines de son Dodo le saumâtre, elle tombe de sa niche.

(Les agents de la circulation verront avec plaisir que je n’ai pas parlé de lui. Remonterai-je au baromètre de leur approbation ?)

Nous les moutons...