"Les débats entre journalistes, c'est la facilité"
Des quotas de journalistes dans les radios et les télés publiques sont-ils nécessaires?En lançant ce débat, le responsable UMP Guillaume Peltier a déclenché une tempête de questions existentielles dans l'équipe de journalistes d'Arrêt sur images. Y a-t-il trop de journalistes de gauche dans l'audiovisuel public?Qu'est-ce qu'un débat gauche/droite à la télé?Est-ce encore de l'information ou déjà du spectacle? Et d'abord, qu'est-ce qu'un journaliste de gauche et qu'est-ce qu'un journaliste de droite? Pour répondre à ces questions, Hélène Jouan, directrice des magazines de France Inter, et Ivan Rioufol, éditorialiste au Figaro,sont venus sur notre plateau.
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Personne n'a dit que la présence plus grande des journalistes de gauche est la simple balance du fait qu'en France, même quand les gouvernements sont de gauche, il font majoritairement une politique de droite.
YD
http://jeanchristophegrellety.typepad.com/lactionlitteraire/2012/10/médias-publics-la-refondation-cest-pour-quand-après-une-lettre-à-madame-aurélie-filipetti-des-élus-d.html
Mais finalement je m'ennuie, je vais même pas aller jusqu'au bout.
La question n'est pas droite ou gauche, mais de savoir si les journalistes nous "servent la soupe". Et la réponse est majoritairement oui qui va dire le contraire...
Il se trouve que la soupe du moment c'est le PS donc ça ne plait pas à l'UMP, mais fondamentalement c'est exactement la même chose. Sous Sarkozy la presse était ridiculement partisane et l'UMP ne trouvait rien à redire, comme par hasard.
Mascarade électoraliste, la gauche n'existe plus dans les grands médias et depuis longtemps. On ne se bat que sur des broutilles sociales et quelques orientations sans grandes conséquences mais la soupe a le même arrière-goût, rien ne change.
Hypocrisie puante, mensonge nauséabond.
On a un petit transfuge du FN (qui du reste n'a pas tant abandonner les joyeuses idées du front que de les importer, avec accueil bienveillant, a lump) qui lâche un pet, et bon, comme c'est la corporation qui est mise en cause tout le monde saute à pied joint dans le piège. C'est pas tant sa question qui méritent qu'on s'y arrête, mais plutôt pourquoi tout d'un coup on ouvre grand les portes des plateaux télé à ce zig ? Ok ça fera le buzz pendant quelques jours et on oubliera ... Entre temps, les journaleux trop heureux de se draper dans leurs dignité parfois flottante ne sont pas de gauche de droite, ils sont journaleux ma brave dame. De tant de probité on en pleurerait presque.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
la question posée n'est pas "y a t il assez de journalistes de droite"
mais plutôt y a t il assez de journalistes pro UMP,
de manière symétrique, ce qui est appelé "journaliste de gauche" est en fait un journaliste pro PS.
pour moi le débat ne se situe pas là la bonne question étant " y a t il plus de journalistes Pro TINA ou plus de journalistes anti TINA ?"
la réponse est tellement évidente qu'il n'y a pas besoin de faire une émission. Tous ceux qui pensent qu'il n'y a pas d'alternative sont de droite, le PS et ses sympathisants sont de droite. On en a une preuve supplémentaire depuis le vote du traité budgétaire par la majorité de l'assemblée. Ils sont tous libéraux et copains comme cochon. Hollande restera dans l'histoire, comme l'homme qui a fait voter la règle d'or et qui a mis fin au Contrat de travail à Durée Indéterminée (oops pardon je parle de l'avenir là...mais l'avenir est déjà écrit depuis longtemps, Un journaliste de gauche nous l'a dit depuis le 18 avril : Hollande va tuer le CDI).
J'apprécie beaucoup vos émissions, mais parfois, je me demande si les sujets ne sont pas un petit peu trop "à côté du réel". Parce que chacun sait que l'information objective, le fait nu, ne peut pas exister. Mais est-ce vraiment cela qui doit nous préoccuper? Ne sommes-nous pas assez avisés pour savoir lire et écouter plusieurs versions d'un même fait ou sujet? Qu'est-ce que le métier de journaliste veut dire? Et qu'en attendons-nous en tant que citoyens, membres d'une collectivité?
Je vous livre ci-dessous une définition de Giuseppe D'Avanzo (vous trouverez l'original à la suite de la traduction):
"Une enquête journalistique, c'est le travail patient qui consiste à amener les faits à la lumière, à les montrer dans leur force incoercible et dans leur dureté. Le bon journalisme sait que les faits ne sont jamais en sûreté entre les mains du pouvoir, et ce journalisme s'en fait le gardien dans l'intérêt de l'opinion publique."
"Un'inchiesta giornalistica è la paziente fatica di portare alla luce i fatti, di mostrarli nella loro forza incoercibile e nella loro durezza. Il buon giornalismo sa che i fatti non sono mai al sicuro nelle mani del potere e se ne fa custode nell'interesse dell'opinione pubblica."
Dans le P.A.F il n'y a qu'un seul journaliste engagé à gauche, c'est Daniel Mermet...
Allez, vous m'avez-eu. Je n'en peux plus, j'ai épuisé mon coeffcient de tolérance.
Semaine après semaine, certains abonnés s'étonnent de vos choix, mais vous semblez ne pas vouloir en tenir compte.
Ce sera sans moi pour cette émission, et sans moi en 2013.
Imaginez le 20 heures, d'un journaliste parlant de Mélenchon "le représentant des forces Judéo-massoniques", ou pour le sport vue par finkielkraut, « tous ces black, avant il y avait black blanc beure…
et quand la gauche c'est le Nouvel Observateur ou même France Inter, ça me laisse un tantinet rêveuse
Parce que, quoi qu'on pense de la politique du gouvernement actuel, il y a bien eu élections il y a 6 mois non ?
:-(
La suggestion de l'UMP a le mérite de poser une question primordiale sur le travail des journalistes : ne faudrait-il pas remettre en cause à la télé et à la radio cet exercice de la pseudo-objectivité, cette obligation de neutralité dont on se demande bien par quel miracle les journalistes sauraient s'y soumettre ?
Bizarrerie : la presse est ouvertement partisane mais la radio et la télé jouent la comédie de l'objectivité. Pourquoi ? Qu'est-ce qui dans la nature profonde de chacun de ces médias pourrait expliquer ces différences de positionnement ? ( N'oublions pas qu'il s'agit également d'une spécificité française, par exemple, par rapport aux Etats-Unis., où la télé est ouvertement orientée).
D'ailleurs, Arrêt sur images ne cesse de démontrer jour après jour ( et avec talent ) comment l'idéosyncrasie de chaque journaliste transpire à travers sa neutralité affichée. Le choix même des sujets d'un JT, l'ordre de sa présentation relève sans aucun doute d'un parti-pris idéologique. A force de vouloir tout soupeser, balancer, soumettre au contradictoire, la neutralité ne se transforme-t-elle pas en recentrage politique qui évacue des médias (je parle du traitement de l'info, pas des éditos) les points de vue radicaux, de gauche comme de droite ? Rendre compte du monde le mieux possible s'accommode-t-il vraiment bien de cette neutralité qui conduit plus au micro-trottoir - "je ne fais que relayer" - qu'à l'analyse - "moi je ne dis rien qui pourrait trahir mes opinions".
Finalement, la sortie de Peltier était pourtant l'occasion rêvée de traiter de cette question fondamentale.
Dommage.
Espérons que ce sera pour une autre fois.
Pauwells, c'est le GRECE, l'extrême-droite identitaire. Rioufol peut toujours se défendre de ne pas être un facho, c'en est un. Marchant dans les trace de son père professionnel.
Les Corses sont des gens bien mais la maffia est protégée ?
Tout va bien pour eux bien sur
Bref ! On en parle à la télé ? Non, je pense que c'est bien lié au fait que les impliqués ont des "amis" bien placés en haut et les journalistes sensés nous informés, ne nous disent que ce que l'on veux nous faire entendre. Ce qui plait au Prince ou au Roy.
Plus de journalisme d'investigation, juste des relais, ou courroies de transmission des apparatchiks en place en France ou UE ou atlantiste. Tous défendent les intérêts de la nouvelle équipe car ils n'en sont que les vecteurs et les hérauts. Les indépendants soit ont été remerciés ou partis car on leur a fait comprendre, que leur place n'était pas proche des grands de ce monde.
Et l'émission elle-même, effectivement, ne fait que confirmer les paroles de Hélène Jouan,"Les débats entre journalistes, c'est la facilité". Parce que même si l'émission n'était pas à proprement parler ratée, mais ce n'était pas la meilleure.
De toutes façons, même si ça pouvait paraître légitime de s'interroger sur le questionnement de Peltier, ce dernier avait biaisé le débat dès le départ : si on ne définit pas dès le départ ce que c'est la droite et la gauche, le débat se noie dans les marécages des a prioris et des à peu près.
En plus, Peltier étant un transfuge de l'extrême-droite, c'était encore plus suspect. C'est de la pensée Ovomaltine, pour les enfants, et ceux qui pensent à courte vue.
Si le problème de départ est que les journalistes des médias sont de gauche, alors pourquoi ? La réponse a été sans doute donnée en partie par l'émission, quand il a été signalé que dans les écoles de journalisme, les étudiants pensaient plus à gauche. Le métier n'attirerait-il tout simplement pas des jeunes qui aiment se poser des questions, se remettre en cause, ainsi que le monde qu'ils connaissent ?
Dès lors, si on voulait qu'il y ait plus de journalistes de droite, il faudrait faire quelque chose qui ressemblerait à des quotas. En plus du fait que c'est absurde et probablement contre-productif et anti démocratique, les journalistes seraient obligés de mentir sur leurs idées (qu'y a t il de plus facile à travestir que des idées) pour entrer plus facilement dans les médias. Des quotas de gens issus de la diversité ou de femmes, c'est évident à faire, mais à partir d'idéologies, comment définir ? Et combien de communistes ? De bayrouistes, d'altermondialistes ??? ???
En plus, c'est un des problèmes de l'époque, le brouillage idéologique entre la droite et la gauche sous la pression de la pensée néo-libérale. Alors, s'interroger uniquement sur le point focal des médias radio et télé, c'était mal parti.
C'est certainement facile de faire ce genre de réflexion a posteriori, mais je pense que c'est le problème de départ....
En plus du fait que la gauche, la droite, c'est forcément casse-pattes, parce que on est en plein dans la question du pouvoir.
Qu'on arrete de se moquer de nous quand meme!
En fait, tous ces aficionados du OUI étaient aussi bien de droite que de gauche, ce qui relativise beaucoup l'intérêt de ces deux catégories, surtout quand on n'essaie même pas de les (re)définir.
Va falloir aussi redéfinir fissa la catégorie "extrême droite", vu la vitesse à laquelle elle diffuse ses idées et ses arguments hors de sa niche initiale.
Quant à (ce qu'on appelle) l'extrême gauche... vous connaissez beaucoup de journalistes ayant pignon sur rue et qui en font partie? À part Mermet, qui a vu son émission déplacée en plein milieu d'après midi et dont la disparition programmée a été un échec... grâce à internet. Les journalistes du Diplo? Cités quand, invités quand? Ceux de l'Huma? Ceux de Politis?
Aussi, très classe la remarque de Rioufol qui qualifie la victoire du PS aux présidentielles d'accidents. Très représentatif de sa méthode de pensée.
une radio de gauche qui licencie comme la pire entreprise de droite.
Que des présentateurs.
Il n'y a pas de journalistes dans les grands journaux.
Que des relayeurs de la pensée unique.
Il n'y a pas de droite ni de gauche.
Qu'une même classe politique (voir le vote quasi unanime du TSCG cette semaine a la va-vite par l'AN puis le Sénat).
Et des présentateurs, relayeurs de la doxa, manipulateurs de masses.
Ce débat ne sert a rien, les prémisses sont fausses.
Le pavé dans la mare lancé par le FN n'a aucun besoin d’être débattu.
c'est quoi être de gauche/de droite? La pensée unique? etc.
Pourquoi l'économie n'est pas considérée comme objet politique?
Ensuite pourquoi faire une émission à partir du délire d'un type d'extreme droite comme Peltier, j'espère que la prochaine sera pas sur le vol de viennoiseries.
J'attends impatiemment le retour d'Anne-Sophie Jacques, car y a du sujet à traiter. Les pigeons, le vote du TSCG.
Le traitement des élections au Vénézuela par les medias français aurait pu faire une bonne émission aussi.
J'espère qu'Arrêt sur images va se ressaisir parce que les dernière émissions était pas top.
***********************
A cette heure (10.58) aucun commentaire de la rédaction sur le forum pour expliquer la "chose".
Ne tardez pas trop quand même. Merci !
:-(
Rioufol me fait vomir......mais je suis certainement de "gôche" !!!!
Disent-ils lors d'un débat entre journalistes.
Merci ASI pour cette émission que je ne regarderai pas.
Ton son spéctacle est réduit à néant par sa poltronnerie.
Yves...
http://www.droitesociale.fr/la-gauche-anti-plurielle-ou-le-maccarthysme-de-gauche-d170.html
Cette gauche « morale » n’a qu’altruisme à la bouche, mais ne supporte aucune altérité véritable. Le vocabulaire qu’elle emploie est symptomatique de son étroitesse d’esprit. Le mot « dérapage » adopté par la novlangue journalistique postule qu’il existe une autoroute de la pensée conforme de laquelle il ne faudrait jamais dévier ; autoroute qui ne peut être qu’une déroute de la pensée critique. La paresse intellectuelle d’une partie de la gauche ne peut survivre qu’à la condition qu’elle érige constamment des épouvantails à tous les coins du champ médiatique. Le Nouvel Observateur et les Inrockuptibles poursuivent quotidiennement la basse œuvre de Rappel à l’ordre initiée par Daniel Lindenberg en 2002 : après les « néo-réacs », voilà la menace des « néo-fachos ». A croire que MacCarthy serait passé à gauche…
Ces « nouveaux réactionnaires » qui permettent à la gauche tolérante de se complaire dans le camp du bien n’ont de nouveau que le nom : ce sont toujours les mêmes qu’elle prend pour cible, ceux dont le seul « crime » commun est de ne pas être de gauche. L’arsenal d’anathèmes s’enrichit tous les jours : racisme, racialisme, culturalisme, nationalisme, xénophobie, islamophobie, homophobie et même biphobie dans une récente tribune du Monde. Ces mots sont utilisés à tort pour décrédibiliser toute pensée divergente, ce qui finit par les galvauder. Impossible de vouloir maîtriser les flux migratoires sans être taxé de xénophobie, impossible de s’opposer au droit à l’enfant sans être étiqueté homophobe, impossible d’être conservateur sans être aussitôt dénoncé comme réactionnaire. C’est la formule de Leo Strauss, « reductio ad Hitlerum », faite système. En 1974, Pier Paolo Pasolini s’attaquait déjà virulemment à « l’antifascisme de tout confort et de tout repos » et au « terrorisme idéologique » de la gauche.
Les exemples de cette facilité manichéenne sont légion. Notamment à travers son grotesque « Appel à la vigilance républicaine », Marianne a cru ou feint de croire la République en danger pendant les cinq années de présidence Sarkozy dont Alain Badiou faisait d’ailleurs la généalogie pétainiste. Juste avant qu’on apprenne que « le tueur de Toulouse » était Mohammed Merah, François Hollande visait hypocritement Nicolas Sarkozy : « Il y a des mots qui influencent, qui pénètrent, qui libèrent, ceux qui ont des responsabilités doivent maîtriser leur vocabulaire. » Les supposés « réacs » seraient donc indirectement responsables de tous les maux de la terre : vote Le Pen, terrorisme, néofascisme… Combattre les mots plutôt que les maux.
Dans le domaine des idées, le lynchage médiatique est devenu une industrie qui rapporte. Vous avez aimé les affaires Camus, Dantec, Zemmour et consorts, vous adorerez l’affaire Millet. Les grands méchants réactionnaires sont mis à mort symboliquement dans l’arène médiatique. Le fait qu’il existe bien des gladiateurs de vocation faisant de la provocation leur fond commerce ne légitime en rien le panurgisme médiatique. Sans justifier le très contestable « Eloge littéraire d’Anders Breivik », on peut simplement interroger la possibilité d’une critique raisonnée en pleine hystérie de masse. Non contente que Gallimard ait fini par « démissionner » Millet, la meute continue d’aboyer. Et un écrivain d’exiger très sérieusement, dans une tribune sur Mediapart, qu’on établisse « un cordon sanitaire isolant Richard Millet, ses complices et porte-voix » et « un cordon sanitaire autour des porte-voix du fascisme ». Cet hygiénisme de la pensée rêve de mettre en quarantaine les mal-pensants : formons vite des « cordons sanitaires » pour assainir nos esprits !
La plume assassine de Philippe Muray manque terriblement à ceux que l’anti-pluralisme contemporain irrite ; Philippe Muray qui se moquait avec tant de talent du « tous contre seul » des lyncheurs professionnels. Il est regrettable qu’une certaine gauche (Matthieu Pigasse ou Jean-Luc Mélenchon ont le mérite de l’assumer) préfère Saint Just à Voltaire, le terrorisme intellectuel à la libre pensée : « pas de liberté pour les ennemis de la liberté », quitte à sacrifier la liberté elle-même."
Ce qui aurait été dommage, je me permets de le dire, car à sa manière, il est instructif, ce billet.
Vous n'avez pas su résister.
Quel est ce contexte ? L'éclatement progressif, depuis le début des années 2000, du projet néolibéral des années 80 d'une "République du centre" (Julliard, Rosanvallon, Furet), sensé mettre de coté les divers "extrémismes" de nature forcément totalitaire. C'était la merveilleuse époque de la fin des conflits et des idéologies. Tout le monde pourrait enfin profiter paisiblement de ses propriétés et en faire libre usage ! (Même s'il est vrai que ceux qui n'ont comme propriété que leur force de travail avaient un effort supplémentaire à réaliser pour embrasser ce nouvel avenir de la France. Mais le "cercle de la raison" n'est pas toujours facile d'accès, hélas.)
En plus, avec la chute du monstre bolchévique de l'autre coté du Rideau, une nouvelle cosmopolitique s'annonçait, la "Fin de l'Histoire" sous la protection du benevolent empire des États-Unis.
Évidemment, tout cela était faux et stupide, et s'écroula donc assez vite intellectuellement. Quand l'Inégalité et l'Injustice parcourent ce monde moderne comme Gog et Magog dans les Anciens temps, difficile de faire croire à la plèbe que nous vivons dans une société apaisée et avancée. Les centristes se déchirèrent entre eux, et vint le temps des vaines polémiques. Notre temps.
Ils pouvaient le faire d'autant plus facilement que leurs anciens adversaires soit s'étaient intégrés à l'air du temps, soit se perdaient dans des débats byzantins pour comprendre leur défaite historique et ne proposaient plus qu'une pensée critique tiède et timide.
Et nous en sommes là : lire la ridicule tribune d'un club de fripons et de philistins voulant nous faire croire que leurs complices du centre-gauche sont des crypto-staliniens, des pourritures totalitaires en devenir. Ou alors assister à des "débats" pour déterminer le nombre de journalistes de "gôche" ou de "drouate" nécessaires dans les médias du Parti de la presse et de l'argent. Et pour déterminer également le nombre hebdomadaire de saloperies que l'on peut lâcher sur les fourbes mahométans.
Au fond, ceux qui progressent, ce sont les néonationalistes fascisants du FN : d'un coté prendre le langage de la République centriste pour se dédiaboliser, de l'autre coté piller le langage de la contestation pour se démarquer, et ainsi nous rapprocher patiemment du jour du Matin brun.
Ou comment faire la peau aux classes sociales.
Un groupe dont le nom sonne comme "la droite de gauche" qui affiche un article qui dit que "la gauche est de droite".
Enfin je cherche à dégager quelque chose de ce texte, car je n'ai pas réussi à trouver à quoi faisait allusion ces paroles. Une défense de Sarkozy, Zemmour, etc. (représentants d'une droite qui n'a rien de sociale) ce qui est égo-centré sur le raffut médiatique et non pas sur la politique, la vraie celle qui a des effets sur nous et la société.
Beaucoup de reproches à faire à la gauche, dont le problème majeur est l'existence d'un patronat exerçant une sommation permanente envers le pouvoir de gauche, (et même de droite quiand il essaye de contrarier leurs petits trafics).
Beaucoup d'hypocrisie est générée par la course aux électeurs, preuve qu'ils possèdent encore un certain pouvoir.
Participer au brouillage des ambitions de chaque camp finit de les en déposséder, encore au delà de l'hypocrisie de la langue de bois.
Tout ça vient du fait que l'on pourrait définir, dans le sens délimiter, idéalement , gauche/droite en les superposant sur les classes sociales, ouvriers et employés, immigrés: de gauche, possédants cadres patrons, expatriés: de droite. Une vision qui appartient à l'inconscient collectif, qu'on la rejette ou qu'on y croit, peu importe. Elle n'est pas une réalité ou une vérité, elle est un fond de sauce, qui à mon avis explique l'embrouillamini des idées et les discours au ras des pâquerettes pour débattre de l'opposition gauche/droite.
Des malins de la catégorie 1 ont trouvé un moyen de promotion sociale rapide en ralliant la droite, d'autres de la catégorie 2 un statut de je peux me regarder dans une glace en se rangeant dans la catégorie 2. Je vise les gens qui ne payent pas de leur personne, qui prennent le beurre et l'argent du beurre par ce petit tour de passe-passe, et qui m'agacent. Le moindre cas de conscience qui se présente fait tomber leur masque. Ils ont occupé le terrain, car plus soucieux de se faire valoir, à la place de ceux qui rament vraiment toujours en recherche de gages humains de leur efficacité et que j'admire.
Bref, Tocqueville avait raison !
http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/11/24/bref-tocqueville-avait-raison_1608792_3232.html
C'est amusant, ça me rappelle une vieille conversation...
Presque quatre ans déjà, ça ne rajeunit pas.
C'est marrant, je me souviens de ça, car c'est pas fréquent qu'un @sinaute qui change de pseudo demande au webmaster de l'époque, de modifier également le contenu des commentaires de ceux et celles qui lui ont répondu à ce moment-là, sans même les en informer. Ce doit être la magie du web.
Bon, tout ça pour dire que "droite sociale", effectivement de mon point de vue de gauchiste débridé, ça sonne un peu comme l'oxymore du jour.
Surtout quand on essaye de faire passer le suppo en se basant sur un équilibre des "droits et des devoirs", qui très curieusement, tout comme sous le règne de Sarkozy défendu par icelui, sonne comme "moins de droits et plus de devoirs". S'agit de rétablir l'équilibre, 'comprenez.
Mais c'est bien que ces opinions puissent s'exprimer, même si elles comportent des contre-vérités tellement énormes que je suis sûr que l'auteur a dû lui-même se dire "celle-là, elle est quand même bien bonne, faut que je la place en conclusion, on n'attrape pas les pigeons avec du plomb ! ". Méluche le fossoyeur de la liberté, bon sang, mais c'est bien sûr, comment rallier une bonne frange du PS et l'ensemble du FN - en passant par la DroiteFortePopulaire" - dans un même troupeau.
Ce bon vieux crédédé de nos forums va se mettre à la droite sociale, du coup, c'est vrai que ça fait élégant.
Crédédé.
Quand j'y repense.
Hein? Quoi? Mon avis sur l'émission elle-même ? puisqu'on insiste.
Très instructive, comme souvent. Bon ici, c'est dans le registre "le bal des faux-culs" à un niveau élevé sur le thème du jeu de rôles, mais ça reste intéressant. Rioufol "pas de droite mais libéral mais il s'en fout du journalisme droite/gauche mais quand même qu'esse qu'y a comme gauchistes dans les rédactions mais moi ça me concerne pas vu que quand même jusqu'en 2002 je faisais des billets qui étaient équilibrés". Avis à ceux et celles de ses lecteurs zé lectrices, qui pensaient encore que depuis cette date (coïncidence: la même que le début de la phase I du Sarkoland) il écrivait toujours de la même manière. Équilibrée.
Jouan "surtout-ne-nous-fâchons-pas", Zemmour et Giesbert sont quand même des gens formidables si on y réfléchit deux minutes, j'ai piqué du nez jusqu'au lapsus bienvenu du casque à pointe au sujet de la Pen qui déboule en citadelle fortifiée (ou forteresse assiégée, ou.. un truc comme ça). Enfin un peu d'action, mais ça n'a pas duré longtemps. Juste ça et la blague de Rioufol, libéral mais pas de droite. Moi c'est pareil, je suis pour la nationalisation de l'eau et c'est pourquoi je vais voter Copé aux primaires, Fillon est trop mou et doit de toutes façons carburer à l'eau minérale, c'est dire s'il s'en fout de la nationalisation de l'eau. C'est vrai que ça aide à choisir.
Pour nos invités, la gauche c'est le PS, juste après c'est l'extrême, bon sang (paume paf! de la main sur le front) il fallait quand même y penser; mais j'aurais dû avoir la puce à l'oreille, avec les billets où l'on devine l'extrême-gauche de l'auteur sur les bien belles ondes de la radio de service public. Bon, à part Sophia Aram, Daniel Mermet et anciennement Didier Porte (qui a préféré démissionner pour cause d'incompatibilité d'humeur avec la direction comme tout le monde se souvient ici) - trois bolchos notoires anti-pluriels est-il encore besoin de le préciser... vraiment je ne vois pas qui d'autre pourrait supporter cette appellation fourre-tout.
Sinon, je n'ai pas revisionné cette scène, quelqu'un me dira à l'occasion si j'ai mal compris, monsieur Schneidermann, mais vous avez assimilé les anti-traité actuel et les partisans de la sortie de l'euro ? Faut que je ré-écoute ça, je ne devais plus être très attentif à ce moment-là.
Bref, les deux meilleurs moments de l'émission furent pour moi la chronique de Didier Porte et l'intervention de Sébastien Bohler, même si le schéma de coupe du cerveau est superflu à mon avis (encore qu'il peut être utile à crédédé qui peut en faire une capture d'écran à des fins de coloriage *). J'ai trouvé intéressant le prisme par lequel on réceptionne les mêmes infos, et avec lequel on sélectionne les trucs qui ne nous plaisent pas afin de le trouver à charge, selon le camp dans lequel on se trouve. Je pense avoir de temps à autre ce travers, peut-être même ici aussi, allez savoir - avis aux détracteurs, ça peut servir d'argument contre moi.
Bon, je conclue avec une piqûre de rappel afin de stimuler la salubrité intellectuelle vis-à-vis de ce genre de spectacle, et dont on peut dire qu'elle n'inonde pas les colonnes d'@si depuis des mois:
Les nouveaux chiens de garde.
Nécessaire, indispensable... et urgent.
* Depuis, au milieu de vos innombrables bêtises couchées en deux trois lignes, la fois où vous avez quasiment assimilé les homosexuels au rang de l'animalité, comptez pas sur moi pour vous prendre pour autre chose que ce que vous êtes, André. Il est vrai que votre pseudo actuel - Marine - vous sied comme un gant.
Moi qui ne savais pas trop si j'allais regarder cette émission, je pense qu'à la place que vais passer l'aspirateur. Ça fait longtemps.
Parce que :
- Sur le site aucune news depuis mai, pour ce que j'en sais il passe plus en salle (sorti en janvier c'est pas très étonnant)
- Indisponible en DVD (ni sur le site, ni chez le distributeur)
- Aucun lien pour le télécharger
- Aucune réponse a mes mails
Il a effectivement l'air très intéressant mais on pourrait croire qu'ils s'en tapent un peu...
Il faut juste être patient pour ceux et celles qui ne l'ont pas vu en salle, vu les moyens dont ils ont bénéficié et les amis qu'ils se sont faits, la distribution ne va pas être la même qu'une production M6/TF1.
Le mode de distribution a été plutôt loupé, le film aurait du être disponible en streaming sur dailymotion (par exemple) dès janvier, et sorti en DVD 3 mois plus tard, ou bien dispo en téléchargement sans DRM directement sur le site de l'équipe entre 5 et 10 euros, ce qui aurait fait des ventes énormes et une diffusion large des idées, vu la qualité et l'efficacité du documentaire et du bouche à oreille...
Quand le DVD sortira, début décembre, rien ne vous empêche, si vous voulez faire un geste, de l'acheter plutôt à Acrimed qu'à la FNAC.
Info complémentaire, pour la sortie du DVD, une soirée spéciale est prévue avec des "personnalités" qui honoreront vos éditocrates préférés. Nicolas Lambert est pressenti pour l'animer, avec la compagnie Jolie Môme. Elle aura lieu, hélas pour les provinciaux, en banlieue parisienne. Mais sans doute y-aura-t-il une captation pour que tout le monde en profite.
;-)
gamma
[sub]Kesse qui nous arrive ?[/sub]
À nettoyer vos chiottes, selon vous. Pour les caresses, à vous de voir si c'est avant ou après le nettoyage.
Gloire à toi, ô canard!
Jusqu'à présent, vous vous êtes toujours cassé les dents dans nos discussions (pollution au pétrole, extrême-droite et j'en passe), et vous finissiez systématiquement par les insultes (Damien en sait quelque-chose, et il n'est pas le seul) dès que vous ne saviez plus quoi opposer.
Là, vous arrivez directement à cette option, sans même évoquer de quoi il est question plus haut.
Je vous répondrais bien que les moutons et le reste de votre logorrhée ne vivent que dans votre esprit (comme à chaque fois), s'il n'était acquis d'avance que c'était inutile quand vous êtes dans cet état.
Cré djinneo, il faudrait que vous avanciez, désormais, et remettiez en place vos idées tout seul comme un grand.
Je vous souhaite une bonne fin de nuit.
Ressortir les vieux dossiers, démasquer anciens pseudos en fouillant telle une mouche dans les fiches personnelles des abonnés... rien n'est trop glorieux, ni trop grand pour toi. Comptant jusqu'aux heures et minutes des messages postés. Tu croyais faire le journaliste en barbotant dans la #### ?
ô grand fan de canard, aucun argument ne saurait te résister, car ils glissent sur toi auxquelles les flatulences dont tu nous congratules.
Un argument ? Quel argument ? Mais lol, il n'y a dans la précédente phrase qu'une faute de syntaxe qui révèle l'auteur nécessairement drogué, vil, sale et décrédibilisable pour duquel tu rebondiras.
Tes velléités t'ont fait chercher les balles vertes, jaunes et grises que je t'ai lancées... Et encore une fois, dès que je te siffle, te voilà présent. Comme un bon vieux petit toutou: fidèle et prévisible.
Tu veux jouer aux justiciers cérébraux ? No problemo.
Je saisis mon g(l)ant dans ma main et je te gifle avec: je prétends que la pensée humaine, dont la tienne, est la plus méprisable et insignifiante que la Terre et ce site puisse porter.
A vai dire, je ne m'attends pas vraiment à ce que tu me répondes: tu es ####. A moins que tu flatules une spectaculaire pirouette qui n'impressionnera que ton cheptel que tu congratules de caresses flatteuses.
Sinon, nous aiguiserons nos neurones (mise en abîme, toussa) sur la pensée humaine dont il est déjà question sur ce forum.
... et vous avez le culot de dire que j'accours dès que vous me sifflez ?? alors que c'est vous que l'on voit débouler ici pour nous offrir vos propres délires paranoïaques ?
J'en commencerais presque à regretter vos messages privés injurieux, c'est dire ce que m'inspire votre prose ci-dessus.
Le plus triste, c'est que je pense vraiment que vous ne vous rendez même pas compte à quel point vous exsudez la tristesse, la vieille rancœur,.. l'obsession, depuis tout à l'heure.
Dessaoulez, djinneo, c'est depuis 2007 que les uns les autres, sur le forum de discussion, nous plussoyons les uns les autres, en fonction de ce que nous écrivons, pas en fonction de ce que nous sommes dans un espèce de fantasme qui qui n'existe que dans votre cerveau perturbé. Depuis 2008, on a même la possibilité de voter les uns pour les autres, vous-mêmes vous retrouvez parfois en tête de gondole, et vous nous faites une histoire de "cheptel", de "moutons", de "toutous", de "baballes" et j'en passe... c'est curieux, vous ne les avez pas affublés ainsi, dans ces moments de pure grâce.
Sans rire: m'avez-vous vu me ridiculiser à venir vous pleurnicher dans vos jupes quant certains affirmaient être d'accord avec ce que vous écriviez, on vous donnant du +1 et autres "voté" ? pensez-vous même que j'en avais quelque chose à faire ? Croyez-vous que même l'espace d'une seconde, j'ai envisagé de vous faire un petit numéro d'ancien gosse malheureux dans le style de celui que vous déversez ici ?
Je n'ose qu'à peine vous dire à quel point vous êtes pathétique, djinneo, car je vous soupçonne, vu la haine que vous êtes capable d'épancher sur un forum de discussion d'une banale émission d'un site internet de décryptage des médias; d'être un danger pour vous-même et pour les autres.
Juste un tuyau, quand même, qui pourra peut-être vous servir quand vous aurez recouvré vos esprits: si vous ne voulez pas qu'on vous ramène les bêtises que vous avez proférées et les insultes que vous avez prodiguées à d'autres @sinautes durant ces dernières années, c'est extrêmement simple.
Ne les écrivez pas.
Allez, je vous laisse le dernier mot, si ça peut éviter que vous blessiez quelqu'un dans votre entourage, ce ne sera pas en vain.
En attendant, bon "aiguisage de neurone"...
....avec la main, là aussi ?
"mais lol"
Mais je suis en pleine séance de paranoïa...
Pour continuer sur la lancée, je serais bien curieux de me remémorer mes injures à votre encontre qui, selon vos dires, auraient eu lieu en MP. Et surtout, s'il y a lieu, du sujet de notre discorde. Parce-que tout pathétique que je suis, les MP de mon côté se font plutôt rares; et si je ne les archive pas comme un nerd que vous êtes certainement, j'en garde généralement un bon souvenir. Demandez donc à Bysonne, avec qui je suis devenu presque tout doux comme un agneau.
Par contre pour ce qui est de mes mots en public je dirais ceci... Comme S.Royale face à N.Sarkozy: "il y a de saines colères". Et vous me mettez régulièrement en colère. Oh oui je vous exècre. Je vous exècre à un tel point que je ne savais plus si l'on se vouvoyait ou si l'on se tutoyait. C'est dire... Que j'ai été grossier à votre égard en public? Cela ne me surprend pas le moins du monde. Et il y a des chances que cela se renouvelle.
Pour plein de raisons: en particulier parce-que vous ne voyez pas plus loin que le bout de votre nez; ce qui vous a conduit, pas plus tard que presque récemment; à me prendre pour un type de droite. Avec votre mélenchonite aiguë que je presque partageais.
Bien sûr que quand je vous siffle, vous rappliquez. Vous commettez vos commentaires sur à peu près tous les forums. A diffusez votre ADN de pensée un peu partout quelque-soit le sujet de la conversation. Vous êtes, en somme, un peu le Giesberg de ces forums.
Et dès que je claque du doigt en vous apostrophant -les archives sont là pour en témoigner- vous accourez pour me ramener la baballe.
Vous vous croyez subtil avec vos galipettes de chien juvénile et primesautier, en me ramenant la baballe ici à gauche, ici à droite, là entre les jambes, là en croyant la cacher dans un trou à mes pieds... Toujours est-il que bien fidèle et prévisible, vous répondez toujours présent.
Nous sommes effectivement un WE, et j'ai effectivement un coup dans l'aile. Je laisse à des personnages tels que vous, le soin de comptabiliser les jours où vous communiquer et moi pas. Préférant l'animalité de l'anarchie des vécus chaotiques à l'ambition de dispenser mon auguste savoir. Là aussi, les archives sont là pour témoigner.
Ah... mes quart d'heure de gloire où mes commentaires sont scotchés sur le haut du panier comme une pin-up dans l'armoire d'un vestiaire de footeux. D'une part ils se comptent sur les doigts d'une main d'un lépreux, ensuite, j'en retire effectivement une gratification personnelle.
Néanmoins, vous ne pouvez que constater que je fais des efforts non feins pour me rendre détestable par quiconque. Et entre autre par vous. Ce qui, jusqu'à maintenant, marche plutôt bien. Et j'ai pas mal de saloperies et de ressources pour que ça continue. Mais là il s'agit de ce que vous croyez être du spectacle.
Sinon, ce qu'il y a de plus gratifiant et de plus enrichissant reste les aller-retour. Quand bien sûr il ne s'agit pas juste que vous alliez chercher mes baballes. Vous avez un réel talent pour la soumission, cela va sans dire. Tout comme vous avez le sens du marketing, de la publicité et cette avilissante propension à la gloire en vous cherchant piteusement un fan-club. Que dire de ceux qui y adhère? C'est une autre planète...
Effectivement, ce qu'il y a d'enrichissant, ce sont les allers-retours. Même si en face, le gars est con comme un balai, acculturé comme un militant politique, ou prévisible comme un toutou. Faut-il encore qu'il soit curieux et généreux.
L'êtes vous assez, ô grand fan de canard de mes #### pour risquer vos soirées d'alcoolique ou de nerd ou les deux à dispenser votre grand savoir canardesque sur ce qu'est la pensée humaine ? Ou bien resterez-vous à vous prélasser dans le confort silencieux de votre fan-club ?
J'aurais bien cliqué "Alerter" mais c'est trop instructif.
Un tel niveau d'obsession, je n'avais pas vu ça depuis le grand Mike.
EDIT: Il est vraiment dommage que cet article sur Seralini ne dispose pas d'un forum...
EDIT: Il est vraiment dommage que cet article sur Seralini ne dispose pas d'un forum...
Sur cet article je me pose 2 questions :
Pourquoi y a t il une importance de connaître le lieu où ont été faites les expériences ? Il y avait eu des menaces physiques contre les chercheurs ?
La seconde découle de la première, s'il y avait eu un article forumé, peut être aurai-je eu une réponse à mes questions.
Heureusement que je suis bourré de fric
@si, faut sortir de l’ornière, la.... parce que tout est faux débat, les journalistes qui n'existent pas, la gauche la droite, que c'est pareil, bref, bla bla bla...
Pourtant il ne manquait pas de sujet a débattre cette semaine (me semble-t-il, ou bien ?)
Ce sont toujours les mêmes pantins qui sont vissés dans leur fauteuil a débiter la doxa du Nouvel Ordre Mondial, a droite, a gauche, bla bla bla.
Et @si nous concocte des sujets sans matière ? @si fait de la télé comme a la télé ?
La, vraiment, ça touche le fond.
On débat du journalisme droite/gauche sans inviter de journaliste de gauche. Qualifier France Inter de gauche au motif qu'il y a Mermet (qui ne passe qu'en après-midi) quand dans la tranche la plus écoutée, le 6/9, la triplette sociale-libérale Cohen/Clark/Legrand tient l'antenne, c'est juste du foutage de gueule. Se rappeler la campagne de propagande pro-Hollande durant les présidentielles et le mépris affiché pour les "petits" candidats (l'agent de la circulation intellectuelle Cohen ayant même avoué sur @SI que si le CSA ne l'avait pas contraint, il n'aurait pas invité Cheminade. Au nom de qui ? De quoi ?).
Ensuite, on débat du journalisme entre journalistes, débat dès le départ verrouillé par un corporatisme qui fait qu'aucune des deux parties ne s'avance ("moi je ne juge pas" "moi je ne suis pas de gauche ni de droite je suis journaliste" et tout le discours de façade habituel...) sauf Rioufol pour pigner qu'on le stigmatise.
En définitive on se retrouve avec un débat à l'américaine entre un républicain et une démocrate, tacitement d'accord sur l'essentiel et débattant sur l'accessoire, "les principes"...
Seul le cas du FN est intéressant. Pourquoi ne pas leur donner la parole plus souvent sur le service public ? J'exècre ce parti et ses idées mais soit il est (comme c'est le cas) considéré comme légal et à ce moment on le laisse parler pour démonter ses arguments foireux un par un, soit on lui coupe le sifflet et on l'interdit. D'autant qu'aujourd'hui, bien malin celui qui fait une différence fondamentale entre Marine Le Pen et JF Copé.
...
Je vais choisir le clip.
Trouvons un éditorialiste de gauche ? en ce qui concerne les journalistes, on parle de quoi les précaires payer au signe a la pige, et ça vous étonnerait qu'ils votent a gauche ?
27:30
Rioufol : "Mais je tiens un discours de gauche!"
xpdr
Un pays qui donne des leçons au monde entier et qui ne représente plus grand chose. Les intellectuels continuent à faire semblant de croire et les autres rigolent de ce pays au bord de l'effondrement.
Ils ont perdu l'Alsace Loraine en 1870. Ils l'ont récupérée en 1917. Ils l'ont reperdue en 1940 pour la récupérer en 1945. Ils dirigeait une partie de l'Afrique. Ils l'ont perdue en laissant les américains reprendrent le contrôlent. Ils ont des dettes et une armée capable de détruire la Libye sans pourtant avoir vu qu'ils ont mis le bazard au Mali.
L'Allemagne est devenu aujourd'hui ce qu'elle cherchait à être dans les années trente. Tout cela sans tirer un seul coup de fusil. Mon dieu ce que ce Hitler a été stupide de croire que pour diriger l'Europe il fallait la mettre à feu et à sang.
Richard Millet n'était pas dispo? lol
Pas encore regardé, mais j'espère qu'il va manger sévère...
*soupir*
Pour les questions politiques par exemple,
le léger mépris avec lequel elle questionnait les gens de gauche qui souhaiteraient "que l'on sorte du cadre" (définition de la gauche donnée par Frédéric Lordon) laisse penser que ses indignations sont parfois un peu jouées et que la facilité pourrait l'empêcher de s'attaquer vraiment au "système".
ça pourrait ressembler à de l'Apathie de centre gauche ...
En même temps elle est dans "le machin médiatique quotidien" qui contraint nécessairement à ne pas tenter de casser la baraque sinon t'es morte au bout d'une semaine.
Pas assez de journalistes de droite ? Et pourquoi pas plus de journalistes qui font leur métier, c'est à dire qui nous informent sans colorer l'information de leurs propres croyances et qui se concentrent sur les faits ?
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
Je vais me forcer à regarder l'émission et tester ma capacité à endurer ce type à côté duquel Zemmour passe pour un gauchiste hirsute.