Les médias couvrent Delon en large
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Commentaires préférés des abonnés
Ne le prenez pas mal, mais je n’ai rien à faire des affres familiales de quelques happy few dilettantes ; dont l’utilité principale est de distraire l’attente de la clientèle de salon de coiffure avant d’échouer dans les cabinets.
Merci tout de même d(...)
ahahah, ASI se met au jeu de mot dans les titres
J'ai un souvenir personnel d'une rencontre avec Anthony Delon qui montre toute la morgue et la prétention dont ce type est capable. J'étais jeune journaliste à Arcachon et Anthony Delon, coureur automobile raté, était venu faire le tour des supermarc(...)
Derniers commentaires
Bon.
J'ose espérer que la seule motivation de la chronique était de faire un bon mot dans le titre.
Parce qu'est-ce qu'on en a à f... des avanies que s'infligent les membres de cette famille ?
Certes, les médias en parlent
Mais si vous faites une chronique chaque fois que les médias parlent de choses sans aucun intérêt, il va falloir augmenter vos effectifs.
Quelle famille …
l ' héritage Delon est à la serie Succession ce qu ' un polar français est à une série étrangère ( même Belge)
Il vaut mieux voir ou revoir ses films . Jeudi Arte a diffusé " Plein soleil" Delon remrquable , tout comme Marie Laforêt et aussi Maurice Ronet , acteur très complexe et malheureusement méconnu qui mériterait un portrait .
aucun intérêt de parler de ça. Comme dit Blanche Gardin, arrêter de regarder la télé merde pour savoir si c'est de la télé merde et faire monter les chiffres de son audience en retour. Je comprends qu'on décortique l'actualité politique mais ça ? Ou alors peut être seulement en mettant en parallèle des infos masquées et plus vitales pour le citoyen....
Mais qu'est-ce qu'on en a à faire, de la famille Delon ? Plus on raconte ces trucs, plus les gens collés à leur écran deviennent stupides . Ainsi, ils peuvent consommer plus et voter " mieux" ! " Panem et circenses " .. Tel est le rôle de ces médias.
J'ai un souvenir personnel d'une rencontre avec Anthony Delon qui montre toute la morgue et la prétention dont ce type est capable. J'étais jeune journaliste à Arcachon et Anthony Delon, coureur automobile raté, était venu faire le tour des supermarchés de la région avec une voiture de course pour une opération promotionnelle que jamais "Sud-Ouest" n'aurait dû couvrir. Mais on avait des consignes fermes de la direction (fallait soigner les annonceurs). D'ailleurs la chef d'agence m'accompagnait, pour dire à quel point c'était du sérieux. À un moment donné, elle me demande de faire une photo. On m'avait confié un appareil photo la veille, que je ne maîtrisais pas parfaitement. Trouvant que je prenais trop de temps à faire mes réglages, le fils Delon a alors lancé à ma chef, suffisamment fort pour que je puisse entendre : "vous n'avez pas les moyens d'embaucher des vrais professionnels ?" J'ai pu voir ce jour là que cet acteur raté (s'il tourne, c'est grâce à son nom car il est mauvais comme un cochon) montrait la même suffisance avec le petit personnel du magasin. J'en garde un préjugé qui m'empêche de voir la noblesse ds sentiments qui l'anime dans cette histoire d'héritage.
Je me souviens d'une ancienne interview de Delon (dans Première?) où il se montrait catégorique sur son projet de partir au premier signe de vieillesse, "comme Hemingway" (oooh). "Vous voulez dire vous suicider ?", avait demandé le ou la journaliste, et Delon avait juste répété "Comme Hemingway" (oooh).
Il y aurait beaucoup à dire sur cette romantisation-là, ou sur le scepticisme goguenard des lecteurices. Mais bref, on en est à aujourd'hui, et clairement, Delon n'a toujours pas vieilli, c'est super.
Je ne comprends pas ce que raconte son fils, du coup. Etat cognitif ? Il me semble parfaitement stable. En rien différent de l'époque des papouilles avec Le Pen.
Ne le prenez pas mal, mais je n’ai rien à faire des affres familiales de quelques happy few dilettantes ; dont l’utilité principale est de distraire l’attente de la clientèle de salon de coiffure avant d’échouer dans les cabinets.
Merci tout de même de nous apporter d’un exemple supplémentaire de la superficialité - puique inépuisable - de cette conception française de l’information. J’imagine que peu de pays envie ce particularisme quand l’actualité internationale aussi violente qui permet de constater la médiocrité de notre culture politique diplomatique occidentale et son double standard discriminatoire, colonialiste, voir raciste.
ahahah, ASI se met au jeu de mot dans les titres
J'avais échappé à ça.
Ah ben ! plus maintenant...
Merci ASI