Les prisons s'ouvrent aux journalistes, l'opacité persiste
Pour faire face aux polémiques et redorer son image, l'administration pénitentiaire tente de maîtriser sa communication en entrouvrant ses portes. Malgré la volonté de transparence affichée, des journalistes témoignent d'obstacles persistants sur le terrain, qui mettent à mal le traitement de l'actualité carcérale.
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Commentaires préférés des abonnés
Merci pour cet article, très intéressant !
bienvenue à vous !!!
Ils sont nul en com' .
"Devenez maton vous pourrez laisser libre cours a votre racisme , votre sadisme .Un lot exeptionnel de victimes potentielles .Assis toute la journée a boire le café avec les potes , a monter des plans pour faire chier les detenu(...)
Derniers commentaires
Je vous remercie pour cet article passionnant.
Pour la parole des détenus, plusieurs ont écris un ouvrage racontant leur expérience carcérale durant laquelle ils font état de l'enquête les conduisant en prison et des composantes de ce lieu.
Certains font état de traitements inhumain et dégradants.
Peu de médias omettent, aussi, de préciser que la France a été condamnée pour ces traitements par la Cour Européenne des Droits de l'Homme.
Cela permettrait aux différents gouvernements successifs de prendre leurs responsabilités pour améliorer le sort des détenus en France.
Votre article est intéressant, surtout en ce qui concerne l'absence de transparence revendiquée par les ournalistes.
Toutefois, cet article s'abstient de mentionner les rapports émis par l'actuelle contrôleuse des lieux de privation de liberté (les prisons, donc), madame Dominique Simonnot, elle-même journaliste.
Ses rapports mentionnent-ils ou pas, cette "opacité persistante" et les journalistes eux-mêmes en informent-ils la contrôleuse ?
Vous-même, que savez-vous du contenu de ses rapports sur votre sujet ?
Madame Esther Benbassa a été exclue du groupe EELV du Sénat en septembre 2021 pour harcelement moral...
Quand il s'agit d'une prison modèle, comme ici à Mauzac et Grand Castang, le village de Dordogne où je passe tous les étés, il n'y a aucune difficulté pour faire un reportage et interroger les détenus, l'encadrement, et tout le personnel qui prépare la sortie des prisonniers (on a presqu'envie de dire "des pensionnaires"). Faut dire que c'est un centre de détention tel que voulu par Badinter et que le modèle est assez unique. Faut pas rêver pour qu'il soit multiplié.
On ne me fera jamais croire qu'un être humain sans perversion particulière envisage comme profession de maintenir enfermés d'autres etres humains.
Ils sont nul en com' .
"Devenez maton vous pourrez laisser libre cours a votre racisme , votre sadisme .Un lot exeptionnel de victimes potentielles .Assis toute la journée a boire le café avec les potes , a monter des plans pour faire chier les detenus dont une bonne mloitié n'a rien a foutre là , mais faut pas faire perdre de pognon a Bouygues , faire semblant d'oublier les parloirs , massacrer les colis de noel , oublier les promenades , fouiller au fond du cul après chaque parloir .Vous n'étiez pas là en 40 ? Engagez vous ,vous aurez un aperçu des possibilités étendues de laisser libre cours a votre sadisme devant des individus a votre merci , et ce sans aucuns risque ! Mieux que chez les flics ! Vous ferez votre loi dans cette zone de non droit ."
Voilà ,si vous trouvez pas du monde avec ce programme , c'est que la société française est foutue !
Vous avez appris ce qu'était les flics lors des gilets jaunes ? Apprenez ce que sont les matons !
Merci pour cet article, très intéressant !
bienvenue à vous !!!