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Les Soulèvements face au "journalisme de préfecture" du "Parisien"

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Il ne reste plus à l'éminent journaliste du magnifique  " Parisien " de supposer que la flamme olympique sera éteinte par Xavier Dupont du Ligonnés.

 

On pourrait demander (devant un tribunal) la dissolution des Jeux Olympiques?

Ils sont en train de préparer l'opinion au  prochain massacre , comme dirait shuppy on en est pas encore à Bachar , mais en suivant la tangente , regarde là bas au bout de mon majeur , tu le vois arriver le petit dictateur ?

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Selon le Parisien, c'est le moment d'acheter.

Ne serait il pas un pourvoyeur des médias "PIMPOM".

Pour celles et ceux qui l’ignorent ou l’ont oublié, Decugis s’était déjà illustré avec l’annonce de l’arrestation de Dupont de Ligonnes à Galway. On a affaire à un cador. C’est à se demander ce qu’il pourrait écrire par lui-même sans son smartphone, dont le répertoire doit comporter un grand nombre de flics qui lui balancent n’importe quoi, sans que cela ne semble le faire douter. Darmanin remercie le Parisien.

Je me demande quelle est l'origine de la formule "journalisme de préfecture". Je me souviens l'avoir entendu maintes fois prononcer, il y a bien des années, par Henri Maler, du temps où il était président d'Acrimed. En tous cas, sur cette ébauche de fiche Wikipédia, on peut voir qu'Acrimed est en bonne place parmi ceux qui l'utilisent. C'est juste par curiosité que je m'interroge, la question de la primauté étant secondaire (il n'y a pas de droits d'auteur). Il ne faut donc pas  hésiter à pointer le journalisme de préfecture partout où sévissent ceux qui ceux qui confondent le métier de journaliste et celui d'attaché de presse (ou de "petit télégraphiste" selon la formule assassine*, qui a fait florès depuis, de Mitterrand à l'encontre de Giscard).

* Mitterrand, à Cartes sur table d'Elkabbach, le 16 mars 1981 :

« Il fallait bien que le voyage à Varsovie puisse recevoir un salaire… L’Afghanistan est envahi, c’est la fin de la détente.On se demande si ce n’est pas un retour à la guerre froide. Le sort de la paix est peut-être en jeu.
Et tout à coup arrive un petit facteur, ou un petit télégraphiste : c’est M. Giscard d’Estaing. Il amène une dépêche dans sa poche. Là, les autres sont émus et un peu mortifiés de ne pas avoir droit aux mêmes secrets ou à la même confiance de M. Brejnev.»

                    

Ils sont en train de préparer l'opinion au  prochain massacre , comme dirait shuppy on en est pas encore à Bachar , mais en suivant la tangente , regarde là bas au bout de mon majeur , tu le vois arriver le petit dictateur ?

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