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Mais oui, le Sarkozistan est encore là !
Ouf ! La primaire municipale de l'UMP s'est très bien passée. Ne riez pas, c'est vrai.
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Derniers commentaires
Non seulement il est encore là, mais il n'est pas près de disparaître.
C'est l'Ump qui a généré Sarkozy, qui lui a donné les moyens d'exprimer sa formidable désinvolture et son outrecuidante rapacité.
Sarko est le produit de cette république bananière que sont depuis trois quarts de siècle les Hauts de Seine Nord, là où la quintessence de la corruption et de la vénalité se distillent. Il a étendu les usages et les coutumes de ce petit coin merveilleux pour les rapaces à la France entière.
Tant qu'on n'y fera pas le ménage, le cancer se répandra.
C'est l'Ump qui a généré Sarkozy, qui lui a donné les moyens d'exprimer sa formidable désinvolture et son outrecuidante rapacité.
Sarko est le produit de cette république bananière que sont depuis trois quarts de siècle les Hauts de Seine Nord, là où la quintessence de la corruption et de la vénalité se distillent. Il a étendu les usages et les coutumes de ce petit coin merveilleux pour les rapaces à la France entière.
Tant qu'on n'y fera pas le ménage, le cancer se répandra.
Apparemment, d'après Copé, l'UMP, donc le Sarkozystan, est en train de découvrir la démocraite... ce qui est tout de même particulièrement mauvais signe... (mais Guillaume Erner en a parlé ce matin en chapeau de sa "séance le livre de France Inter", et mieux que moi).
A Paris, visiblement, la démocratie, connaissent pas non plus...
Je viens de voir au zapping un épisode croustillant : NKM dans le tromé ! Vingt-dieux, elle a fait une descente dans le métro !!! Elle se mouille, la candidate ;o)))). Après avoir été flattée par un passager de la même voiture (sous l'oeil de la caméra... à se demander s'il n'avait pas un micro déjà branché sur la veste... et s'il ne recevrait pas un salaire à la fin de la séquence)... elle se fait agresser par un passager qui, lui, descend. Ouf ! J'ai cru que les Parigots étaient tous des collabos ;o))
A Paris, visiblement, la démocratie, connaissent pas non plus...
Je viens de voir au zapping un épisode croustillant : NKM dans le tromé ! Vingt-dieux, elle a fait une descente dans le métro !!! Elle se mouille, la candidate ;o)))). Après avoir été flattée par un passager de la même voiture (sous l'oeil de la caméra... à se demander s'il n'avait pas un micro déjà branché sur la veste... et s'il ne recevrait pas un salaire à la fin de la séquence)... elle se fait agresser par un passager qui, lui, descend. Ouf ! J'ai cru que les Parigots étaient tous des collabos ;o))
Je ne peux même pas plaider la faute de frappe...
La qualité d'écriture des asinautes m'a toujours impressionné.
On touche là à un problème réel qui concerne tous les sites de qualité: La sélection par le français qui n'incite pas le bachelier moyen à venir donner son opinion. A moins de bac +4, peu d'espoir.
Si l'on ajoute la sélection par le temps personnel disponible, on aboutit immanquablement à la création d'un club d'échange des idées très convivial et de bonne tenue.
Mais je n'oublie pas que les lecteurs du site sont plus nombreux (du moins je l'espère) que les commentateurs.
La qualité d'écriture des asinautes m'a toujours impressionné.
On touche là à un problème réel qui concerne tous les sites de qualité: La sélection par le français qui n'incite pas le bachelier moyen à venir donner son opinion. A moins de bac +4, peu d'espoir.
Si l'on ajoute la sélection par le temps personnel disponible, on aboutit immanquablement à la création d'un club d'échange des idées très convivial et de bonne tenue.
Mais je n'oublie pas que les lecteurs du site sont plus nombreux (du moins je l'espère) que les commentateurs.
A propos du repas organisé par le lobbye du tabac, c'est bien de signaler la présence d'un(e) socialiste.
En temps qu'électeur socialiste, j'entends que l'on me le nomme. C'est la seule info qui mériterait attention.
La présence de Santini, le fumeur de cigare bien connu, ne nous apprend rien.
En temps qu'électeur socialiste, j'entends que l'on me le nomme. C'est la seule info qui mériterait attention.
La présence de Santini, le fumeur de cigare bien connu, ne nous apprend rien.
"La députée socialiste du Puy-de-Dôme Odile Saugues,"
Elle est bien nommée dans le JDD.
Elle est bien nommée dans le JDD.
[quote=jeannot]En temps qu'électeur socialiste, j'entends que l'on me le nomme. C'est la seule info qui mériterait attention.
Odile Saugues, Puy de Dôme, c'est dans l'article du JDD. Mais elle prétend que ça ne l'influence vraiment pas!!! alors qu'on peut déduire du seul fait de sa présence à ce mange-mange qu'elle est DÉJÀ influencée. Fumeuse de cigares, ça te pose une femme, hein?
Tiens, l'autre soir, Philippe Sollers, sur 28 minutes, nous la jouait libertaire. Heureusement, une ou deux autres invitées ont enfoncé le clou: dans la mesure où il s'agit d'addiction, fumer n'est PAS une liberté, c'est une dépendance.
Odile Saugues, Puy de Dôme, c'est dans l'article du JDD. Mais elle prétend que ça ne l'influence vraiment pas!!! alors qu'on peut déduire du seul fait de sa présence à ce mange-mange qu'elle est DÉJÀ influencée. Fumeuse de cigares, ça te pose une femme, hein?
Tiens, l'autre soir, Philippe Sollers, sur 28 minutes, nous la jouait libertaire. Heureusement, une ou deux autres invitées ont enfoncé le clou: dans la mesure où il s'agit d'addiction, fumer n'est PAS une liberté, c'est une dépendance.
Merci Cultive
Par ailleurs votre comparaison avec les médecins et leurs "repas de labos" est tout à fait pertinente. Happy few, entre-soi, reconnaissance du ventre, mise sous influence... tout y est.
Par ailleurs votre comparaison avec les médecins et leurs "repas de labos" est tout à fait pertinente. Happy few, entre-soi, reconnaissance du ventre, mise sous influence... tout y est.
Pas nécessairement. Il faut distinguer : les médecins du service public et ceux du service privé. Dans le service public, c'est plutôt transparent et c'est l'hôpital qui paie les frais après jugé s'il était nécessaire (ou pas) qu'un médecin participe à telle ou telle autre conférence.
Sinon sur le lobbying des industriels du tabac, dans un autre pays et sur un autre continent, il y avait eu un excellent film (j'ai adoré) : "Thank You For Smoking" (lien vers la vidéo... je pense OK).
Sinon sur le lobbying des industriels du tabac, dans un autre pays et sur un autre continent, il y avait eu un excellent film (j'ai adoré) : "Thank You For Smoking" (lien vers la vidéo... je pense OK).
[quote=Ab]Dans le service public, c'est plutôt transparent et c'est l'hôpital qui paie les frais après jugé s'il était nécessaire (ou pas) qu'un médecin participe à telle ou telle autre conférence.
Ah ouais? Où ça? De ce que j'en sais, au contraire, les crédits pour la formation continue sont soit rikikis, soit inexistants. Une petite journée par ci par là, ça ne fait pas une véritable formation continue. Les soirées EPU (Enseignement Post Universitaire) sont assurées par des bénévoles, s'ils veulent bien, et ce sont les labos qui louent la salle et paient le buffet. Ça n'a rien de luxueux, mais comment dire aux généralistes venus pour s'informer que (par exemple) la "pilule" est sur-utilisée, tandis que le DIU ne l'est pas assez... si ce sont les labos fabricants de pilules qui offrent la salle et le couvert? Comment dire tout le mal qu'on pense de telle prothèse, qui a généré de nombreux accidents, en présence de la petite visiteuse médicale si mignonne et si sympa qui s'est employée à organiser la soirée?
Si les médecins, pour se former, ne comptaient que sur du fric public, la formation continue en prendrait un coup!
Anecdote: un chef de service organise une formation pour que l'allaitement maternel soit mieux connu, mieux mis en place, mieux soutenu par le personnel de la maternité. Il finance, paradoxalement, (et parce qu'il n'a pas le fric nécessaire) avec le fric du "tour de lait". C'est à dire le fric que les fabricants de lait, à tour de rôle, octroient généreusement à une association "amie" en échange du fait que leur lait sera utilisé pour les biberons (revenues chez elles, les mères resteront fidèles, ou utiliseront le lait au moment du sevrage). Les labos n'apprécient pas que le taux d'allaitement maternel monte de façon visible dans cet établissement, et le montant du cadeau va baisser, voire disparaître.
Ah ouais? Où ça? De ce que j'en sais, au contraire, les crédits pour la formation continue sont soit rikikis, soit inexistants. Une petite journée par ci par là, ça ne fait pas une véritable formation continue. Les soirées EPU (Enseignement Post Universitaire) sont assurées par des bénévoles, s'ils veulent bien, et ce sont les labos qui louent la salle et paient le buffet. Ça n'a rien de luxueux, mais comment dire aux généralistes venus pour s'informer que (par exemple) la "pilule" est sur-utilisée, tandis que le DIU ne l'est pas assez... si ce sont les labos fabricants de pilules qui offrent la salle et le couvert? Comment dire tout le mal qu'on pense de telle prothèse, qui a généré de nombreux accidents, en présence de la petite visiteuse médicale si mignonne et si sympa qui s'est employée à organiser la soirée?
Si les médecins, pour se former, ne comptaient que sur du fric public, la formation continue en prendrait un coup!
Anecdote: un chef de service organise une formation pour que l'allaitement maternel soit mieux connu, mieux mis en place, mieux soutenu par le personnel de la maternité. Il finance, paradoxalement, (et parce qu'il n'a pas le fric nécessaire) avec le fric du "tour de lait". C'est à dire le fric que les fabricants de lait, à tour de rôle, octroient généreusement à une association "amie" en échange du fait que leur lait sera utilisé pour les biberons (revenues chez elles, les mères resteront fidèles, ou utiliseront le lait au moment du sevrage). Les labos n'apprécient pas que le taux d'allaitement maternel monte de façon visible dans cet établissement, et le montant du cadeau va baisser, voire disparaître.
Je ne peux que me baser sur les faits que je connais. Je ne peux pas faire de généralités, ni vous parler de ce que je ne connais pas.
Dans ce pays (toujours une démocratie), rien ne vous empêche d'être indépendant, libre de vos choix et opinions tant que c'est dans les limites définies par nos institutions démocratiques. Rien ne vous empêche de le revendiquer, de l'appliquer et de ne laisser personne vous imposer ce que vous penser ou faire, tout en ayant un esprit critique. Cela fait (aussi) partie de la formation et raisonnement enseigné à l'école ou après, dans le monde professionnel. Il faut juste tomber sur les bonnes personnes.
Rien n'empêche ou n'a empêché aucun acteur professionnel, d'avoir un esprit critique dans sa démarche professionnelle.
Je ne connais pas les soirées dont vous parlez. Les (quelques) soirées que j'ai connues avaient été organisées par les étudiants eux-mêmes ou enseignants-chercheurs à leurs propres frais (en faisant une collecte générale, tombola etc.).
J'estime que toute prescription médicale doit rester entre le médecin et son patient (être unique avec son propre antécédent médical et caractéristiques physiologiques). Vous prenez l'exemple du stérilet... qui convient davantage aux femmes d'un certain âge, qui ont eu un enfant etc. en n'oubliant pas les risques d'hémorragie en cas d'accident (stérilet cassé). Donc, il m'est impossible de dire ce que telle ou telle autre personne (x ou y) devrait (ou non) faire comme choix personnel - de surcroît un choix qui concerne sa propre santé.
Tout médicament contient des risques et des effets secondaires. Dans la vie, le risque (sécurité, santé, etc.) zéro n'existe pas.
Je ne connais pas, ni je n'ai connu le genre d'anecdote dont vous mentionnez. Dans un service, ce ne sont pas tous les médecins qui assistent à une (ou la même) conférence ou séminaire. Enfin, parce qu'entre autre de ce que je connais ils n'ont pas les mêmes spécialités entre autres. C'est une équipe et ils sont complémentaires (avec bien évidemment de la compétition, mais loyale), en tant que professionnels. Lorsque vous n'êtes pas chercheur ou dans le privé, les labos ce sont les derniers de vos soucis.
Dans ce pays (toujours une démocratie), rien ne vous empêche d'être indépendant, libre de vos choix et opinions tant que c'est dans les limites définies par nos institutions démocratiques. Rien ne vous empêche de le revendiquer, de l'appliquer et de ne laisser personne vous imposer ce que vous penser ou faire, tout en ayant un esprit critique. Cela fait (aussi) partie de la formation et raisonnement enseigné à l'école ou après, dans le monde professionnel. Il faut juste tomber sur les bonnes personnes.
Rien n'empêche ou n'a empêché aucun acteur professionnel, d'avoir un esprit critique dans sa démarche professionnelle.
Je ne connais pas les soirées dont vous parlez. Les (quelques) soirées que j'ai connues avaient été organisées par les étudiants eux-mêmes ou enseignants-chercheurs à leurs propres frais (en faisant une collecte générale, tombola etc.).
J'estime que toute prescription médicale doit rester entre le médecin et son patient (être unique avec son propre antécédent médical et caractéristiques physiologiques). Vous prenez l'exemple du stérilet... qui convient davantage aux femmes d'un certain âge, qui ont eu un enfant etc. en n'oubliant pas les risques d'hémorragie en cas d'accident (stérilet cassé). Donc, il m'est impossible de dire ce que telle ou telle autre personne (x ou y) devrait (ou non) faire comme choix personnel - de surcroît un choix qui concerne sa propre santé.
Tout médicament contient des risques et des effets secondaires. Dans la vie, le risque (sécurité, santé, etc.) zéro n'existe pas.
Je ne connais pas, ni je n'ai connu le genre d'anecdote dont vous mentionnez. Dans un service, ce ne sont pas tous les médecins qui assistent à une (ou la même) conférence ou séminaire. Enfin, parce qu'entre autre de ce que je connais ils n'ont pas les mêmes spécialités entre autres. C'est une équipe et ils sont complémentaires (avec bien évidemment de la compétition, mais loyale), en tant que professionnels. Lorsque vous n'êtes pas chercheur ou dans le privé, les labos ce sont les derniers de vos soucis.
Ajout : par rapport à la recherche publique
Lorsqu'en tant que chercheur vous avez à tester le produit d'une entreprise, et cette dernière finance en contrepartie les travaux de recherche (ex. à l'université). Je ne vois pas les chercheurs en question, biaiser les résultats de ses travaux pour complaire à l'entreprise. L'entreprise ne cherche nullement cela, car elle joue : sa réputation, l'image de sa marque. Elle doit se baser sur des tests scientifiques fiables pour vendre son produit (ex. cosmétique). L'entreprise ainsi que ceux qui conduisent les travaux de recherche scientifique jouent gros : leur réputation professionnelle et individuelle. C'est assez bizarre, je dirais même saugrenu, d'avoir un raisonnement inverse.
Un chercheur est davantage motivé par l'obtention d'un prix, une reconnaissance publique etc. Il en est de même pour l'entreprise. Ils ne vont pas aller, consciemment et intentionnellement, contre leurs intérêts dans ce partenariat.
Lorsqu'en tant que chercheur vous avez à tester le produit d'une entreprise, et cette dernière finance en contrepartie les travaux de recherche (ex. à l'université). Je ne vois pas les chercheurs en question, biaiser les résultats de ses travaux pour complaire à l'entreprise. L'entreprise ne cherche nullement cela, car elle joue : sa réputation, l'image de sa marque. Elle doit se baser sur des tests scientifiques fiables pour vendre son produit (ex. cosmétique). L'entreprise ainsi que ceux qui conduisent les travaux de recherche scientifique jouent gros : leur réputation professionnelle et individuelle. C'est assez bizarre, je dirais même saugrenu, d'avoir un raisonnement inverse.
Un chercheur est davantage motivé par l'obtention d'un prix, une reconnaissance publique etc. Il en est de même pour l'entreprise. Ils ne vont pas aller, consciemment et intentionnellement, contre leurs intérêts dans ce partenariat.
Les cosmetiques des études scientifiques et fiables?????????????????
Il reste aussi à comprendre qu'une étude clinique n'est pas faiseable dans n'importe quelles conditions.
La femme enceinte et les medicaments en est un bon exemple. Bcps d'études de suivis montrent un risque teratogéne des antalgiques chez la femme enceinte. par contre ce risque depend de la molecile et du stade de la grossesse où l'antalgique est pris. Toute etude autre qu'une etude de suivis est impossible; or essayez de vous rappeler 6 mois ou 2 ans après les faits du nom du medicament que vous avez, pris, du stade réel de la grossesse où vous l'avez pris et de la quantitée de medicaments que vous avez pris pour des medicaments qui sont en libre service.
Etude prothése de hanche versus prothése mamaire. Une prothese de hanche ne se pose qu'a des patient traumatisés, qui sont souvent agés (polypathologie, traitements medicamenteux multiples parfois à l'origine de la chute, esperance de vie limité, .....) alors qu'une prothese mamaire peut être posé en l'absence d'indications, chez des personnes jeunes souvent sans autres pathologies associées (en dehors de la reconstruction après cancer du sein). Les conditions d'etude cliniques ne sont pas du tout les memes pour ces deux types de protheses. On ne va poser une prothese de hanche à une personne qui ne présente pas de pathologie et le modele animal pose des problemes par rapport à la mecanique (poids différents, anatomie et direction des éfforts différents du fait de la station debout exclusive chez l'homme.
Une etude clinique chez l'homme est souvent impossible pour des raisons déontologique. Les etudes clinique sur la pillules ont été réalisées à porto rico à l'époque en raison des problemes déontologiques. Faire des études cliniques chez les enfants et la femme enceinte posent de nombreux probleme déontologiques qui interdiront certaines experiences dont pas mal de double aveugles.
Pas mal de secteurs sont en absence de certitudes scientifiques pour des raisons déontologiques. et les études de cohorte de longues durées posent beaucoup de probleme méthodologiques (patients qui ne se font plus suivre car ils demenagent, patients qui meurrent pour une autre raison, variation sur de nombreux facteurs environnementaux ..........) tout en ayant une certidude scientifique plus faible qu'un double aveugle où un seul parametre change entre les deux échantilons.
Il reste aussi à comprendre qu'une étude clinique n'est pas faiseable dans n'importe quelles conditions.
La femme enceinte et les medicaments en est un bon exemple. Bcps d'études de suivis montrent un risque teratogéne des antalgiques chez la femme enceinte. par contre ce risque depend de la molecile et du stade de la grossesse où l'antalgique est pris. Toute etude autre qu'une etude de suivis est impossible; or essayez de vous rappeler 6 mois ou 2 ans après les faits du nom du medicament que vous avez, pris, du stade réel de la grossesse où vous l'avez pris et de la quantitée de medicaments que vous avez pris pour des medicaments qui sont en libre service.
Etude prothése de hanche versus prothése mamaire. Une prothese de hanche ne se pose qu'a des patient traumatisés, qui sont souvent agés (polypathologie, traitements medicamenteux multiples parfois à l'origine de la chute, esperance de vie limité, .....) alors qu'une prothese mamaire peut être posé en l'absence d'indications, chez des personnes jeunes souvent sans autres pathologies associées (en dehors de la reconstruction après cancer du sein). Les conditions d'etude cliniques ne sont pas du tout les memes pour ces deux types de protheses. On ne va poser une prothese de hanche à une personne qui ne présente pas de pathologie et le modele animal pose des problemes par rapport à la mecanique (poids différents, anatomie et direction des éfforts différents du fait de la station debout exclusive chez l'homme.
Une etude clinique chez l'homme est souvent impossible pour des raisons déontologique. Les etudes clinique sur la pillules ont été réalisées à porto rico à l'époque en raison des problemes déontologiques. Faire des études cliniques chez les enfants et la femme enceinte posent de nombreux probleme déontologiques qui interdiront certaines experiences dont pas mal de double aveugles.
Pas mal de secteurs sont en absence de certitudes scientifiques pour des raisons déontologiques. et les études de cohorte de longues durées posent beaucoup de probleme méthodologiques (patients qui ne se font plus suivre car ils demenagent, patients qui meurrent pour une autre raison, variation sur de nombreux facteurs environnementaux ..........) tout en ayant une certidude scientifique plus faible qu'un double aveugle où un seul parametre change entre les deux échantilons.
Relisez mes propos et ce dont j'ai formulé.
Ensuite, ma réponse portait sur la recherche scientifique (publique) et non pas sur les études cliniques des laboratoires (avant d'obtenir l'AMM). En effet, ces essais cliniques sont encadrés.
http://ansm.sante.fr/Activites/Autorisations-de-Mise-sur-le-Marche-AMM/Definition-et-modalite-des-AMM/(offset)/Activites/Autorisations-de-Mise-sur-le-Marche-AMM/Definition-et-modalite-des-AMM/(offset)/0
Par ailleurs, ne pas oublier aussi : le développement de la technologie médicale ; et dans certaines conditions (encadrées par la loi), il est toujours possible à un malade de tester des nouvelles molécules, traitements ou solutions pour améliorer son état.
Les etudes clinique sur la pillules ont été réalisées à porto rico à l'époque en raison des problemes déontologiques.
Ah bon ? Si c'est vrai... dans ce cas, cela n'est pas très logique, ni à mon sens, très conforme en matière de déontologie.
Ensuite, ma réponse portait sur la recherche scientifique (publique) et non pas sur les études cliniques des laboratoires (avant d'obtenir l'AMM). En effet, ces essais cliniques sont encadrés.
http://ansm.sante.fr/Activites/Autorisations-de-Mise-sur-le-Marche-AMM/Definition-et-modalite-des-AMM/(offset)/Activites/Autorisations-de-Mise-sur-le-Marche-AMM/Definition-et-modalite-des-AMM/(offset)/0
Par ailleurs, ne pas oublier aussi : le développement de la technologie médicale ; et dans certaines conditions (encadrées par la loi), il est toujours possible à un malade de tester des nouvelles molécules, traitements ou solutions pour améliorer son état.
Les etudes clinique sur la pillules ont été réalisées à porto rico à l'époque en raison des problemes déontologiques.
Ah bon ? Si c'est vrai... dans ce cas, cela n'est pas très logique, ni à mon sens, très conforme en matière de déontologie.
Oui les essais cliniques sont encadré et c'est très bien.
Le fait que les essais cliniques soient encadrés empêche un certain nombre d'experiences qu'elles soient réalisées par des équipes publiques ou par des équipes privées.
Le fait de ne pouvoir recourrir à ces experiences fait que nombre de resultats ne pourront être obtenus que par des études de cohortes longue, qui contiennent obligatoirement un certain nombre de biais methodologiques, et pour lesquelles les résultats sont polluées par différents facteurs envirronnementaux.
Sans les esais cliniques à Porto rico, il n'y aurait pas de pillules 1ere generation, ni pour les generations suivantes. L'avortement et la contraception ne respectaient pas la déontologie à cette époque. C'est bien pour cela que les essais cliniques n'ont pas été réalisés complétement aux états unis.
Le fait que les essais cliniques soient encadrés empêche un certain nombre d'experiences qu'elles soient réalisées par des équipes publiques ou par des équipes privées.
Le fait de ne pouvoir recourrir à ces experiences fait que nombre de resultats ne pourront être obtenus que par des études de cohortes longue, qui contiennent obligatoirement un certain nombre de biais methodologiques, et pour lesquelles les résultats sont polluées par différents facteurs envirronnementaux.
Sans les esais cliniques à Porto rico, il n'y aurait pas de pillules 1ere generation, ni pour les generations suivantes. L'avortement et la contraception ne respectaient pas la déontologie à cette époque. C'est bien pour cela que les essais cliniques n'ont pas été réalisés complétement aux états unis.
"En temps qu'électeur socialiste"
Vous êtes un électeur socialiste... "furtitf" ?
Vous êtes un électeur socialiste... "furtitf" ?
Quelle horreur, je reprends :
"En temps qu'électeur socialiste"
Vous êtes un électeur socialiste... "furtif" ?
"En temps qu'électeur socialiste"
Vous êtes un électeur socialiste... "furtif" ?
Vous avez raison.
Santé!
Santé!
A propos de la rubrique "Les matinautes", c'est intéressant de voir, pratiquement chaque jour, le titre de la rubrique changer, souvent à quelques minutes d'intervalle. Ce matin, on avait d'abord Primaires, cigares : bienvenue au néo-Sarkozistan, puis 7 minutes plus tard, Mais oui, le Sarkozistan est encore là !.
Que s'est-il passé ? La présence des deux points, chère à Google a-t-elle été jugée trop classique ? L'allusion au cigare est-elle politiquement inappropriée ?
En tous les cas, c'est une petite leçon de journalisme assez amusante.
PS : pour observer le phénomène, on peut utiliser le "feed" RSS suivant : [www.arretsurimages.net]
Il y a toujours deux titres différents : celui du billet du 9'15 et celui dans le forum pour la discussion. Ce n'est pas la première fois.
La France n'est pas, n'a jamais été, ce "petit état voyou" comme, reprenant une expression de Bush junior, vous avez cru pouvoir la caractériser par ce nom de Sarkozistan dont vous n'avez, semble-t-il, pas interrogé la portée en matière de connotation: le despotisme n'est pas oriental par définition.
Précisément, cela pose la question et interroge. Des pratiques non dignes d'une démocratie, sont-elles une caractéristique d'une culture ou d'un continent ?
Pourquoi, y-avait (a)-il cette présomption et préjugé "le despotisme est (serait) "oriental" par définition" ?
La diversité des pratiques démocratiques et de la régulation des institutions de ce régime politique parmi les pays occidentaux (par exemple), empêche de poser cette définition comme étant un fait, une vérité absolue et incontestable.
Est-ce que vous, vous êtes interrogé en faisant vous-même ce lien qui établit ce "par définition" ?
On n'a pas certainement pas eu la même lecture de ce livre, mais ce qui le caractérisait à mes yeux c'était son indépendance et raconter cette histoire - bien encadrée et définie par des caractéristiques posées, concernant et interrogeant certains personnages aux hautes responsabilités au sein des institutions de notre démocratie.
L'auteur de l'ouvrage parlait de la France, de son régime démocratique, du journalisme et de toute cette histoire des liens construits au cours d'une partie de l'histoire de la Ve République. Il ne s'agissait pas d'un autre pays. Mais de notre pays, de notre régime démocratique et de nous, citoyens.
Je ne m'attends pas et je ne le souhaite pas, dans une démocratie digne de ce nom, qu'un journaliste soit soumis à un pouvoir ou serve des intérêts politiques particuliers. C'est comme si on s'attendait à ce qu'un mathématicien résolve un problème scientifique en fonction de ses idéologies politiques ou que ces dernières l'influence dans son raisonnement scientifique.
C'est cette liberté et indépendance des acteurs professionnels - notamment médias qui sont le lien entre le citoyen et le pouvoir élu - qui garantira, en grande partie, la vitalité du meilleur des régimes politiques.
Ce que vous définissez comme de la dérision permettait justement de garder une sérénité (en s'interrogeant afin de faire preuve de sagesse) et surtout espoir.
Je pense qu'il y a beaucoup plus à "perdre" ou en jeu, si l'on se voile la face ou qu'il y (et "crispation") a une crise de confiance entre ceux qui sont le médium entre le citoyen et ceux qui les représentent.
Je ne comprends pas cette différence ("crispée" pour reprendre votre terme) ou plutôt différentes pratiques professionnelles entre la France et autres pays Anglo-saxons.
Néanmoins, le pouvoir a changé. Donc, ce n'est pas la caractéristique propre à un parti, une personne ou pouvoir de notre Ve République. C'est à ce seul niveau que je diffère avec l'auteur.
Que s'est-il passé ? La présence des deux points, chère à Google a-t-elle été jugée trop classique ? L'allusion au cigare est-elle politiquement inappropriée ?
En tous les cas, c'est une petite leçon de journalisme assez amusante.
PS : pour observer le phénomène, on peut utiliser le "feed" RSS suivant : [www.arretsurimages.net]
Il y a toujours deux titres différents : celui du billet du 9'15 et celui dans le forum pour la discussion. Ce n'est pas la première fois.
La France n'est pas, n'a jamais été, ce "petit état voyou" comme, reprenant une expression de Bush junior, vous avez cru pouvoir la caractériser par ce nom de Sarkozistan dont vous n'avez, semble-t-il, pas interrogé la portée en matière de connotation: le despotisme n'est pas oriental par définition.
Précisément, cela pose la question et interroge. Des pratiques non dignes d'une démocratie, sont-elles une caractéristique d'une culture ou d'un continent ?
Pourquoi, y-avait (a)-il cette présomption et préjugé "le despotisme est (serait) "oriental" par définition" ?
La diversité des pratiques démocratiques et de la régulation des institutions de ce régime politique parmi les pays occidentaux (par exemple), empêche de poser cette définition comme étant un fait, une vérité absolue et incontestable.
Est-ce que vous, vous êtes interrogé en faisant vous-même ce lien qui établit ce "par définition" ?
On n'a pas certainement pas eu la même lecture de ce livre, mais ce qui le caractérisait à mes yeux c'était son indépendance et raconter cette histoire - bien encadrée et définie par des caractéristiques posées, concernant et interrogeant certains personnages aux hautes responsabilités au sein des institutions de notre démocratie.
L'auteur de l'ouvrage parlait de la France, de son régime démocratique, du journalisme et de toute cette histoire des liens construits au cours d'une partie de l'histoire de la Ve République. Il ne s'agissait pas d'un autre pays. Mais de notre pays, de notre régime démocratique et de nous, citoyens.
Je ne m'attends pas et je ne le souhaite pas, dans une démocratie digne de ce nom, qu'un journaliste soit soumis à un pouvoir ou serve des intérêts politiques particuliers. C'est comme si on s'attendait à ce qu'un mathématicien résolve un problème scientifique en fonction de ses idéologies politiques ou que ces dernières l'influence dans son raisonnement scientifique.
C'est cette liberté et indépendance des acteurs professionnels - notamment médias qui sont le lien entre le citoyen et le pouvoir élu - qui garantira, en grande partie, la vitalité du meilleur des régimes politiques.
Ce que vous définissez comme de la dérision permettait justement de garder une sérénité (en s'interrogeant afin de faire preuve de sagesse) et surtout espoir.
Je pense qu'il y a beaucoup plus à "perdre" ou en jeu, si l'on se voile la face ou qu'il y (et "crispation") a une crise de confiance entre ceux qui sont le médium entre le citoyen et ceux qui les représentent.
Je ne comprends pas cette différence ("crispée" pour reprendre votre terme) ou plutôt différentes pratiques professionnelles entre la France et autres pays Anglo-saxons.
Néanmoins, le pouvoir a changé. Donc, ce n'est pas la caractéristique propre à un parti, une personne ou pouvoir de notre Ve République. C'est à ce seul niveau que je diffère avec l'auteur.
[quote=Le Matinaute]Cuisses de grenouilles, rognons, cigare, quelque chose de très simple. Addition : 10 000 euros. Qui a payé ?
Qui a payé, bonne question. Mais la question la plus vitale, c'est: qui va, au final, rembourser tout ça en payant ses clopes et ses chimiothérapies? C'est qui, la socialiste qui n'a pas craint de s'acoquiner ainsi?
Merci de relayer, encore, une de ces informations qui passent à la trappe, alors qu'on nous harcèle de niaiseries inutiles. (on le sait, que l'UMP, et pas seulement elle, est un panier de crabes)
Qui a payé, bonne question. Mais la question la plus vitale, c'est: qui va, au final, rembourser tout ça en payant ses clopes et ses chimiothérapies? C'est qui, la socialiste qui n'a pas craint de s'acoquiner ainsi?
Merci de relayer, encore, une de ces informations qui passent à la trappe, alors qu'on nous harcèle de niaiseries inutiles. (on le sait, que l'UMP, et pas seulement elle, est un panier de crabes)
Bonjour
Comme dirait l'autre: pendant les travaux, le commerce continue !!!
Comme dirait l'autre: pendant les travaux, le commerce continue !!!
" Nabilla"
Allez, même avec un(e) "l" de moins, elle ne volera pas très haut.
Allez, même avec un(e) "l" de moins, elle ne volera pas très haut.
A propos de la rubrique "Les matinautes", c'est intéressant de voir, pratiquement chaque jour, le titre de la rubrique changer, souvent à quelques minutes d'intervalle. Ce matin, on avait d'abord Primaires, cigares : bienvenue au néo-Sarkozistan, puis 7 minutes plus tard, Mais oui, le Sarkozistan est encore là !.
Que s'est-il passé ? La présence des deux points, chère à Google a-t-elle été jugée trop classique ? L'allusion au cigare est-elle politiquement inappropriée ?
En tous les cas, c'est une petite leçon de journalisme assez amusante.
PS : pour observer le phénomène, on peut utiliser le "feed" RSS suivant : http://www.arretsurimages.net/tous-les-contenus.rss
Que s'est-il passé ? La présence des deux points, chère à Google a-t-elle été jugée trop classique ? L'allusion au cigare est-elle politiquement inappropriée ?
En tous les cas, c'est une petite leçon de journalisme assez amusante.
PS : pour observer le phénomène, on peut utiliser le "feed" RSS suivant : http://www.arretsurimages.net/tous-les-contenus.rss
[quote=Daniel Schneidermann] : c'était notre rubrique, après le Sarkozistan, c'est encore le Sarkozistan.
La France n'est pas, n'a jamais été, ce "petit état voyou" comme, reprenant une expression de Bush junior, vous avez cru pouvoir la caractériser par ce nom de Sarkozistan dont vous n'avez, semble-t-il, pas interrogé la portée en matière de connotation: le despotisme n'est pas oriental par définition. Vous obstinant dans le parti de la dérision, vous ne faites ainsi que continuer d'ajouter diffamation à diffamation. Une véritable critique de certains comportements politiques en France (à ne pas confondre avec la politique de la France) exigerait plus de sérénité, fût-elle "crispée": comme celle que René Char nous a enseignée.
La France n'est pas, n'a jamais été, ce "petit état voyou" comme, reprenant une expression de Bush junior, vous avez cru pouvoir la caractériser par ce nom de Sarkozistan dont vous n'avez, semble-t-il, pas interrogé la portée en matière de connotation: le despotisme n'est pas oriental par définition. Vous obstinant dans le parti de la dérision, vous ne faites ainsi que continuer d'ajouter diffamation à diffamation. Une véritable critique de certains comportements politiques en France (à ne pas confondre avec la politique de la France) exigerait plus de sérénité, fût-elle "crispée": comme celle que René Char nous a enseignée.
Voté!!!A Paris continue le soap opéra "Plus moche la vie à l'UMP" Mais franchement,dans ma campagne,tout le monde s'en fout.Perso,si j'avais à choisir,ce serait la brune,mais là aussi,tout le monde s'en fout...
Quant au voyou,amateur bien connu de cigares,dont j'ai oublié le nom,pas étonnant qu'il soit dans ce coup-là.et pas tout seul.Faire un festin pour pas un rond tout en faisant plaisir à un des fabricants d'un truc que par ailleurs on combat,c'est possible,la preuve.
Ps:C'est Santini,bien sûr.
Quant au voyou,amateur bien connu de cigares,dont j'ai oublié le nom,pas étonnant qu'il soit dans ce coup-là.et pas tout seul.Faire un festin pour pas un rond tout en faisant plaisir à un des fabricants d'un truc que par ailleurs on combat,c'est possible,la preuve.
Ps:C'est Santini,bien sûr.
Ah ! Bournazel a lui aussi écrasé son chihuahua en s'asseyant dessus ?