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Mauduit dénonce "les imposteurs de l'économie"
"Pourquoi tant de haine ?" se demande l’économiste Jean-Hervé Lorenzi dans
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Derniers commentaires
Fouillé, précis, complet, merci Anne-Sophie.
Première remarque, qui est un coup de gueule : j'en ai marre qu'on nous dise d'aller voir un film quand il n'est distribué que dans une seule région de France. Ne vous en déplaise, je ne vais pas me taper plus de 700 km depuis Toulouse (en passant par Bordeaux) pour le plaisir de voir un film, fut-il génial.
Et d'ailleurs, hop, j'en profite pour pousser un coup de gueule à propos de tous ces spectacles évoqués dans les télés et radios, au sujet desquels il semble normal aux journalistes de donner l'accès par le périphérique, comme s'il était évident que tous leurs auditeurs habitaient comme eux la région parisienne. Il y a quand même 82% de la population qui vit en province, faudrait voir à pas l'oublier !
Ensuite, deuxième remarque : je trouve éminement suspect le fait qu'un gouvernement d'orientation néo-libérale mette en place une réforme qui permet au secteur privé de peser sur l'enseignement supérieur, quand les théories keynésiennes de l'économie, enseignées justement à l'université, sont en total désaccord avec les théories avancées par les entreprises les plus lucratives (et donc potentiellement les plus influentes), à savoir les banques.
Mis à part les arrestations en masse, je ne vois pas d'autre moyen pour l'état d'empêcher que des économistes sérieux ne soient formés.
Et d'ailleurs, hop, j'en profite pour pousser un coup de gueule à propos de tous ces spectacles évoqués dans les télés et radios, au sujet desquels il semble normal aux journalistes de donner l'accès par le périphérique, comme s'il était évident que tous leurs auditeurs habitaient comme eux la région parisienne. Il y a quand même 82% de la population qui vit en province, faudrait voir à pas l'oublier !
Ensuite, deuxième remarque : je trouve éminement suspect le fait qu'un gouvernement d'orientation néo-libérale mette en place une réforme qui permet au secteur privé de peser sur l'enseignement supérieur, quand les théories keynésiennes de l'économie, enseignées justement à l'université, sont en total désaccord avec les théories avancées par les entreprises les plus lucratives (et donc potentiellement les plus influentes), à savoir les banques.
Mis à part les arrestations en masse, je ne vois pas d'autre moyen pour l'état d'empêcher que des économistes sérieux ne soient formés.
J' étais a ce "débat" ou en faite les gens ne débattent pas mais parle chacun au public .... Et Mediapart est comme tous le système médiatique 1 seule femme et il a été difficile pour le présentateur de la présenter , j'en revenais pas , bafouille et autre difficulté de se rappeler qui elle était. Il n'a pas eu autant de mal avec les hommes ....
c'est du détail mais ca montre que même les hommes se disant différents , honnête, courageux , ... la vue d'une femme dans des habits d'experte c'est déstabilisant ...
En tous cas ce combat là est loin d'être gagner.
c'est du détail mais ca montre que même les hommes se disant différents , honnête, courageux , ... la vue d'une femme dans des habits d'experte c'est déstabilisant ...
En tous cas ce combat là est loin d'être gagner.
C'est quand même du foutage de gueule de la part de Laurent Mauduit. Il a été l'un des premiers à les faire rentrer dans le système médiatique ! Libération n'avait pas un journaliste économique pour ses chroniques ? Les patrons des médias remplacent les journalistes pas des spécialistes qui n'ont pas de carte de presse, ils n'ont aucune raison de leur rendre des comptes par la suite. Laurent Mauduit devrait plutôt faire le procès de la presse et non pas des économistes.
En prenant des économistes professionnels dans les médias, on se sert de leurs compétences pour avoir en gros de l'information et de l'analyses gratuite. Et au départ ils coûtent moins cher qu'un salaire de journalistes ! Mauduit est l'un des responsables de cette situation.
En prenant des économistes professionnels dans les médias, on se sert de leurs compétences pour avoir en gros de l'information et de l'analyses gratuite. Et au départ ils coûtent moins cher qu'un salaire de journalistes ! Mauduit est l'un des responsables de cette situation.
DÉSINTOXICATION
L'économie, science molle s'il en est, compte parmi les domaines où il importe le plus d'effectuer régulièrement des cures de désintoxication.
N'étant ni médecin ni expert ès économie (ni de quoi que ce soit d'ailleurs), je ne saurais cependant trop recommander, à l'@sinaute désireux de ne pas rester @sinus, la lecture d'un article de Christiane Marty et Vincent Drezet, de la Fondation Copernic, paru dans Le Sarkophage n° 29 du 17 mars au 19 mai 2012 et dont j'extrais les passages qui suivent :
« On oublie que l'endettement est avant tout la conséquence de la baisse des rentrées fiscales, du refus de permettre à la Banque centrale européenne de financer directement les États et du choix d'une société productiviste qui n'envisage de solution que dans le “toujours plus”. […] La part des dépenses publiques dans le PIB était globalement stable avant la crise, voire décroissante depuis 1993. Jusqu'en 2008 et la crise, l'accroissement du déficit et de la dette vient pour l'essentiel de la baisse des recettes fiscales. […] De 1959 à 1985, le taux nominal d'imposition sur les sociétés est resté fixé à 50%. Ensuite, et par étapes, il a été abaissé jusqu'à 33,3% en 1993. En 1986, c'est l'impôt sur les grandes fortunes qui est supprimé par le gouvernement Chirac. Il est rétabli en 1989 sous le nom d'ISF, mais de nombreuses niches fiscales en affectent le rendement et il est plafonné. En 2006, le gouvernement de Villepin instaure le “bouclier fiscal” : un contribuable ne paiera pas plus de 60% de ses revenus en impôts directs. Sarkozy en 2007 descend ce niveau à 50%. Même évolution côté impôt sur le revenu : en théorie, c'est le plus juste des impôts car il est progressif. Mais les mesures adoptées depuis 1986 ont fortement réduit sa progressivité en passant par étapes de 13 tranches en 1986 à 5 tranches depuis 2007, et en baissant son taux supérieur de 65% en 1982 à 41% aujourd'hui. […] Grâce à à l'accumulation de ces mesures [les niches fiscales], le taux d'imposition du 1% le plus aisé oscille entre 15 et 20%. »
Ce même numéro du Sarkophage contient d'autres analyses tout aussi décapantes. À bon lecteur, salut !
L'économie, science molle s'il en est, compte parmi les domaines où il importe le plus d'effectuer régulièrement des cures de désintoxication.
N'étant ni médecin ni expert ès économie (ni de quoi que ce soit d'ailleurs), je ne saurais cependant trop recommander, à l'@sinaute désireux de ne pas rester @sinus, la lecture d'un article de Christiane Marty et Vincent Drezet, de la Fondation Copernic, paru dans Le Sarkophage n° 29 du 17 mars au 19 mai 2012 et dont j'extrais les passages qui suivent :
« On oublie que l'endettement est avant tout la conséquence de la baisse des rentrées fiscales, du refus de permettre à la Banque centrale européenne de financer directement les États et du choix d'une société productiviste qui n'envisage de solution que dans le “toujours plus”. […] La part des dépenses publiques dans le PIB était globalement stable avant la crise, voire décroissante depuis 1993. Jusqu'en 2008 et la crise, l'accroissement du déficit et de la dette vient pour l'essentiel de la baisse des recettes fiscales. […] De 1959 à 1985, le taux nominal d'imposition sur les sociétés est resté fixé à 50%. Ensuite, et par étapes, il a été abaissé jusqu'à 33,3% en 1993. En 1986, c'est l'impôt sur les grandes fortunes qui est supprimé par le gouvernement Chirac. Il est rétabli en 1989 sous le nom d'ISF, mais de nombreuses niches fiscales en affectent le rendement et il est plafonné. En 2006, le gouvernement de Villepin instaure le “bouclier fiscal” : un contribuable ne paiera pas plus de 60% de ses revenus en impôts directs. Sarkozy en 2007 descend ce niveau à 50%. Même évolution côté impôt sur le revenu : en théorie, c'est le plus juste des impôts car il est progressif. Mais les mesures adoptées depuis 1986 ont fortement réduit sa progressivité en passant par étapes de 13 tranches en 1986 à 5 tranches depuis 2007, et en baissant son taux supérieur de 65% en 1982 à 41% aujourd'hui. […] Grâce à à l'accumulation de ces mesures [les niches fiscales], le taux d'imposition du 1% le plus aisé oscille entre 15 et 20%. »
Ce même numéro du Sarkophage contient d'autres analyses tout aussi décapantes. À bon lecteur, salut !
il y a probablement une grande part de corruption de la part des journalistes qui adorent cotoyer le pouvoir mais je pense qu'il y a aussi en france une sorte d'immaturite,un retour a la recre et la peur d'etre un vulgaire "denonciateur" sans vrai scoop .
et puis il y a un petit nombre de francais qui se croit faire partie de l'elite francaise et qui aime bien se croire au dessus des regles,non pas tant par corruption mais aussi parce qu'ils s'imaginent tellement sophistiques (probablement le cas de certains des economistes cites)
parfois on a vraiment l'impression d'etre en plein sketch caricatural.
et puis il y a un petit nombre de francais qui se croit faire partie de l'elite francaise et qui aime bien se croire au dessus des regles,non pas tant par corruption mais aussi parce qu'ils s'imaginent tellement sophistiques (probablement le cas de certains des economistes cites)
parfois on a vraiment l'impression d'etre en plein sketch caricatural.
On redécouvre la lune, déesse instable et nécessaire aux prédications!... que le Soleil tourne à nouveau autour de la Terre!... que la Terre est redevenue enfin plate! Qu'il existe à nouveau des abîmes pour les aveugles! les incroyants de la loi du Marché y seront précipités! dansez! dansez! voilà revenus nos prédicateurs, nos sorciers, nos faiseurs de pluie...
Non Non rassurez-vous, votre sainte indignation, aux vertus aphrodisiaques, veille sur votre raison, tout çà vous le saviez, c'est de la foutaise, juste bon à faire peur aux lecteurs d'Harry Potter,
A propos des imposteurs de l'économie, nous faut-il en rire ou en pleurer? Imaginez le drame , à peine sauvée, une vieille pizza décongelée oubliée au fond d'un frigo de Fukushima sera dévorée! Par qui? sûr par des affamés, rats ou banquiers, peu importe, n'est-ce pas là le destin des pizza? Quant au fils Mauduit, prince au pied de la belle au bois dormant, que dit-il de plus de notre époque joyeusement dans la merde, çà fait pourtant un sacré bout de temps qu'on dénonce ces experts qui ont édifiés en un indestructible chäteau de sable notre monde pourrissant. Bon, si j'en crois ma vieille expérience, à part faire de beaux rêves éveillés, cette longue conversation avec l'histoire, la science et la raison n'est pas prête de se terminer.
Non Non rassurez-vous, votre sainte indignation, aux vertus aphrodisiaques, veille sur votre raison, tout çà vous le saviez, c'est de la foutaise, juste bon à faire peur aux lecteurs d'Harry Potter,
A propos des imposteurs de l'économie, nous faut-il en rire ou en pleurer? Imaginez le drame , à peine sauvée, une vieille pizza décongelée oubliée au fond d'un frigo de Fukushima sera dévorée! Par qui? sûr par des affamés, rats ou banquiers, peu importe, n'est-ce pas là le destin des pizza? Quant au fils Mauduit, prince au pied de la belle au bois dormant, que dit-il de plus de notre époque joyeusement dans la merde, çà fait pourtant un sacré bout de temps qu'on dénonce ces experts qui ont édifiés en un indestructible chäteau de sable notre monde pourrissant. Bon, si j'en crois ma vieille expérience, à part faire de beaux rêves éveillés, cette longue conversation avec l'histoire, la science et la raison n'est pas prête de se terminer.
Il y a la loi qui pourrait leur faire obligation de déclarer leurs liens avec les intérêts économiques privés, des banques et autres grandes entreprises.
Et puis il y a aussi l'éthique professionnelle qui devrait leur dicter d'informer le public, afin que celui-ci sache d'où parle l'économiste.
Leurs dénégations outragées valent celles des journalistes quand on les interroge sur leur indépendance par rapport aux intérêts des annonceurs ou des propriétaires des journaux.
Pour les économistes, il y a une autre source de mélange des genres et de complaisance qui doit être en plein développement depuis la fameuse réforme sur l'autonomie des universités dont Madame Pécresse est si fière. C'est le financement des structures de recherche par le privé. J'ai entendu parler aujourd'hui d'une chaire sur le réchauffement climatique financée par EDF ! Imaginez la crédibilité du professeur titulaire de cette chaire s'il était intérrogé par un journaliste sur l'intérêt comparé de la filière nucléaire et de la filière gaz ...
Cette omerta sur les conflits d'intérêt des économistes est particulièrement difficile à supporter dans l'émission hebdomadaire de France Culture l'"Economie en questions" animée par Olivier Pastré.La transparence pourrait permettre de comprendre pourquoi les questions posées sont si feutrées, comme si la communauté des économistes n'était pas traversée de profondes et violentes oppositions.
Et puis il y a aussi l'éthique professionnelle qui devrait leur dicter d'informer le public, afin que celui-ci sache d'où parle l'économiste.
Leurs dénégations outragées valent celles des journalistes quand on les interroge sur leur indépendance par rapport aux intérêts des annonceurs ou des propriétaires des journaux.
Pour les économistes, il y a une autre source de mélange des genres et de complaisance qui doit être en plein développement depuis la fameuse réforme sur l'autonomie des universités dont Madame Pécresse est si fière. C'est le financement des structures de recherche par le privé. J'ai entendu parler aujourd'hui d'une chaire sur le réchauffement climatique financée par EDF ! Imaginez la crédibilité du professeur titulaire de cette chaire s'il était intérrogé par un journaliste sur l'intérêt comparé de la filière nucléaire et de la filière gaz ...
Cette omerta sur les conflits d'intérêt des économistes est particulièrement difficile à supporter dans l'émission hebdomadaire de France Culture l'"Economie en questions" animée par Olivier Pastré.La transparence pourrait permettre de comprendre pourquoi les questions posées sont si feutrées, comme si la communauté des économistes n'était pas traversée de profondes et violentes oppositions.
En ce qui concerne ceux d'entre eux qui sont fonctionnaires (université, CNRS...) il y a aussi des règles qui limitent les cumuls de rémunérations. Pas plus respectées que le reste, je suppose...
La corruption des économistes... Mais la "science économique" toute entière est née d'une réflexion sur la corruption, c'est la "théorie des sentiments moraux" d'Adam Smith, suivie de "La richesse des nations", visant à concilier, par la " main invisible", les vices privés et les vertus publiques. Soyez corrompus ! ( enrichissez -vous, disait Guizot) L'intérêt général sera toujours égal à la somme des intérêts particuliers ! La morale est superflue ! Que dis-je superflue: Elle est nocive! Aider les pauvres, c'est les multiplier (Malthus), et les enfoncer dans l'assistanat (Friedman) Rockefeller 1er serait en taule aujourd'hui pour fraude fiscale, entrave à la concurrence libre et non faussée, menées mafieuses, et alors? Il a enrichi son entreprise, les USA, le monde, l'humanité...Vive la corruption, seul ferment de la richesse !
Delamarche président
Berruyer président
Lordon président !!!!!!
Berruyer président
Lordon président !!!!!!
Plusieurs remarques :
- Si effectivement, la loi est censée obliger les experts de l'Anses (ex Afssa) à remplir leurs DPI (déclarations publiques d'intérêts), d'une part c'est très récent (depuis l'affaire du Médiator) et d'autre part, la mise à jour de ces DPI est laissée à leur seule initiative.
- Vous avez oublié, chère Anne-Sophie, de préciser que M. Cohen était le "conseiller" de Papandréou (bonjour le résultat) mais "conseille" aujourd'hui ... François Hollande. Ça promet des lendemains qui chantent...
Parce qu’en économie, qui conseille notre futur présidu ? Ben les mêmes que ceux qui conseillent l’autre… Lu dans le dernier numéro de Fakir, p.13 :
Qui conseille François Fillon ?
Les mêmes membres du “Cercle des économistes” occupent le Conseil d’analyse économique. Christian de Boissieu (banque Neuflize OBC), Jean-Hervé Lorenzi (Rotschild), Patrick Arthus (Natixis), Jean-Paul Betbèze (Crédit agricole). Et pour apporter un peu de diversité: Daniel Cohen (banque Lazard), Augustin Landier (qui dirige son propre hedge fund), Olivier Garnier (Société générale), Mathilde Lemoine (HSBC-France).
Qui conseille François Hollande?
Jean-Hervé Lorenzi (banque Rotschild) et Emmanuel Macron (Rotschild aussi). Pour assurer le pluralisme, Martine Aubry est conseillée par Daniel Cohen (banque Lazard – qui porte chance: lui guidait également Georges Papandréou, l’ex-Premier ministre grec).
- dans le chapitre "fulgurants retournements de veste", vous avez aussi oublié l'ex gauchiste Bernard Maris, nommé depuis peu à la Banque de France, et depuis, curieusement, beaucoup moins revendicatif...
Bref... merci pour cette chronique.
Au fait, c'est "devoir de réserve"... ;-))
- Si effectivement, la loi est censée obliger les experts de l'Anses (ex Afssa) à remplir leurs DPI (déclarations publiques d'intérêts), d'une part c'est très récent (depuis l'affaire du Médiator) et d'autre part, la mise à jour de ces DPI est laissée à leur seule initiative.
- Vous avez oublié, chère Anne-Sophie, de préciser que M. Cohen était le "conseiller" de Papandréou (bonjour le résultat) mais "conseille" aujourd'hui ... François Hollande. Ça promet des lendemains qui chantent...
Parce qu’en économie, qui conseille notre futur présidu ? Ben les mêmes que ceux qui conseillent l’autre… Lu dans le dernier numéro de Fakir, p.13 :
Qui conseille François Fillon ?
Les mêmes membres du “Cercle des économistes” occupent le Conseil d’analyse économique. Christian de Boissieu (banque Neuflize OBC), Jean-Hervé Lorenzi (Rotschild), Patrick Arthus (Natixis), Jean-Paul Betbèze (Crédit agricole). Et pour apporter un peu de diversité: Daniel Cohen (banque Lazard), Augustin Landier (qui dirige son propre hedge fund), Olivier Garnier (Société générale), Mathilde Lemoine (HSBC-France).
Qui conseille François Hollande?
Jean-Hervé Lorenzi (banque Rotschild) et Emmanuel Macron (Rotschild aussi). Pour assurer le pluralisme, Martine Aubry est conseillée par Daniel Cohen (banque Lazard – qui porte chance: lui guidait également Georges Papandréou, l’ex-Premier ministre grec).
- dans le chapitre "fulgurants retournements de veste", vous avez aussi oublié l'ex gauchiste Bernard Maris, nommé depuis peu à la Banque de France, et depuis, curieusement, beaucoup moins revendicatif...
Bref... merci pour cette chronique.
Au fait, c'est "devoir de réserve"... ;-))
Bravo pour cette chronique.
Bon, en même temps, je ne pense pas que Jacques Généreux soit l'alternative à tous ces chiens de garde. Ces propositions sont tellement ubuesques... On doit pouvoir trouver mieux !
Bon, en même temps, je ne pense pas que Jacques Généreux soit l'alternative à tous ces chiens de garde. Ces propositions sont tellement ubuesques... On doit pouvoir trouver mieux !
Quand Mélenchon sera président, obligation à tous les économistes d'assister à tous les concerts de Lara Fabian (juste à coté des enceintes)
Excellent papier Anne-Sophie !!
(comme d 'habitude)
ON comprend la critique de Mauduit: quand on finit par reprendre aussi tard des théses et points de vue qui ont été énnoncées depuis bien longtemps par d'autres, il convient de les assortir d'une critique afin de ne pas passer pour ce qu'on est: un simple suiveur, un "wagon jumper"...
(comme d 'habitude)
ON comprend la critique de Mauduit: quand on finit par reprendre aussi tard des théses et points de vue qui ont été énnoncées depuis bien longtemps par d'autres, il convient de les assortir d'une critique afin de ne pas passer pour ce qu'on est: un simple suiveur, un "wagon jumper"...
Les réactions indignées de certains économistes-banquiers font très "je vais voir les putes, mais je ne consomme pas !"