Mercure dans le thon : problème sanitaire ou panique médiatique ?
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Les océans, les mers, les lacs et les rivières sont des poubelles. Il ne faut pas s'étonner que le poisson qui (sur)vit dans un environnement dégueulasse présente quelques doutes à propos de la qualité sanitaire. Libre à celles et ceux qui n'y croien(...)
Toute cette histoire aura eu le mérite de me faire réaliser que je donnais trop de thon à mon chat difficile.
Il ne me reste plus qu’une alternative : le coup de pied au cul.
"pour la minorité qui mangerait, par exemple, plusieurs sandwichs au thon par semaine"
Le thon en boîte est (était) une option simple, peu coûteuse en argent et en temps, facile à stocker, pour agrémenter une salade de riz ou de coquillettes, ou une s(...)
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Finalement, Bloom est ou n'est pas financée par une société pétrolière ? Bloom a ou n'a pas déposé plainte pour diffamation à ce sujet ? Quand Bloom annonce lutter pour empêcher la surpêche et défendre l'application des règlementations de préservation du milieu marin, c'est du flan ? Avez-vous des infos à ce sujet ? Comment expliquez-vous que Bloom refuse de répondre à vos sollicitations ?
Mais combien de thon mange t on par semaine ?
50 g d'après l'article
60 g de thon par semaine ça me semble beaucoup pour un enfant de moins de 15 mois !
Il faut aussi regarder la moyenne de ME par boite car on ne trie pas ses boites en choisissant les plus riches en ME.
Il y a tjs un petit pb quand on se pose des questions de type pragmatique
Maintenant si on pense qu'il ne faut pas manger de thon pour des raisons écologiques, pourquoi pas, mais même si c'est moins efficace il me semble préférable de toujours rester objectif et d'utiliser des arguments en conséquence
Euh j'ai pas compris grand choses au propos des interviewé : une des personne dit que ce n'est pas vraiment un problème sanitaire et la ligne en dessous il dit qu'il vaut mieux pas en donner aux femmes de moins de 45 ans ...
Y'a pas une énorme contradiction entre ces deux phrases ??
Bonjour, merci pour votre commentaire : ce qu'il m'expliquait est que ce qui est considéré comme un "problème sanitaire" du point de vue de l'Anses ne l'est qu'à partir d'un seuil où une part substantielle (plus de 5 %) de la population est touchée. Ici, la consommation de thon étant en moyenne plutôt faible, ce n'est pas le cas du point de vue des autorités sanitaires et par rapport aux normes fixées (que dénonce Bloom)... et des actions fortes ne sont donc pas considérées comme indispensables : ce qui revient plus ou moins à abandonner les 5 % ou moins de personnes concernées si elles n'ont pas l'information.
"ce qui revient plus ou moins à abandonner les 5 % ou moins de personnes concernées si elles n'ont pas l'information."
Merci, ça aussi c'est important. D'autant que les 5% de population abandonnées au mercure sont probablement les plus vulnérables.
"pour la minorité qui mangerait, par exemple, plusieurs sandwichs au thon par semaine"
Le thon en boîte est (était) une option simple, peu coûteuse en argent et en temps, facile à stocker, pour agrémenter une salade de riz ou de coquillettes, ou une sauce tomate, et pour fournir ainsi en protéines l'ensemble de la famille, jeunes enfants compris.
Je ne serais pas étonnée que ça concerne un nombre important de familles à bas revenus. Nombreux enfants, donc, et nombreuses femmes en âge de procréer. Qui outrepassent ainsi les "doses" prévues, pourtant largement surestimées.
Toute cette histoire aura eu le mérite de me faire réaliser que je donnais trop de thon à mon chat difficile.
Il ne me reste plus qu’une alternative : le coup de pied au cul.
Les océans, les mers, les lacs et les rivières sont des poubelles. Il ne faut pas s'étonner que le poisson qui (sur)vit dans un environnement dégueulasse présente quelques doutes à propos de la qualité sanitaire. Libre à celles et ceux qui n'y croient pas de continuer à en manger.