Mi-septembre 38, la presse française se couche devant Hitler
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Belle chronique
Belle réaction de L'Humanité qui contraste avec celles qu'elle aura plus tard une fois scellé l'accord Berlin-Moscou
Petite critique de forme : quand un journal est présenté en arrière plan, j'aimerai bien pour ma part à ce qu'aucune pa(...)
Cômme 80'ans plus tard Macron se couche devant Merkel sous les applaudissement de la presse unanime qui loue un tel réalisme alors que cela provoque l'éclatement de l'Europe.
Superbe parallèle historique, fin, approprié, argumenté, et tout.
Derniers commentaires
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Merci pour cette chronique
Arrêtons ces parallèles historiques anachroniques par essence .... et surtout plein d'arrières pensées .
La situation à celle n'à strictement rien a voir avec celle des années 30 sauf ce sentiment de flottement et de tension de nos'pays.
Le problème est que l'Humanité de Péri se rangera en août 39 à la nouvelle ligne de Staline signant le pacte de non-agression avec Hitler. Pour quelques mois, certes, et même si Péri lui-même ne semble pas avoir accepté cette nouvelle ligne. Grandeur de l'homme, fusillé en 1941 par les nazis.
Cômme 80'ans plus tard Macron se couche devant Merkel sous les applaudissement de la presse unanime qui loue un tel réalisme alors que cela provoque l'éclatement de l'Europe.
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Septembre 2018, ce qui reste du PCF ne plie pas face à la tendance rouge-brun, et ça fait plutôt plaisir
http://www.regards.fr/politique/article/reponse-a-djordje-kuzmanovic
Extrait du "livre jaune français (38-39)" , page 8 /n° 11:
Extrait du discours de M. Hitler au Palais des sports de Berlin , 26/09/38
Et maintenant nous avons devant nous le dernier problème qui doit être résolu et qui sera résolu. C'est la dernière revendication territoriale que j'aie à formuler en Europe , mais c'est une revendication dont je ne m'écarterai pas et que je réaliserai s'il plaît à Dieu.
Je n'ai que peu de choses à déclarer: je suis reconnaiss&ant à M. Chamberlain de tous ses efforts. je l'ai assuré que le peuple allemand ne veut rien d'autre que la paix; mais je lui ai aussi déclaré que je ne puis pas reculer les limites de notre patience. Je l'ai en outre assuré, et je le répète ici, que -une fois ce problème résolu- il n'y a plus pour l'Allemagne en Europe de problème territorial. Je l'ai en outre assuré que, du moment où la Tchécoslovaquie aura résolu ces problèmes, c'est à dire où le tchèques se seront expliqués avec les autres minorités, non par par l'oppression, mais pacifiquement, qu'alors je n'aurai plus à m'intéresser à l’État tchèque. Et, cela, je le lui garantis. Nous ne voulons pas du tout de Tchèques.
... le 29 septembre , ce seront les accords de Munich.
Étonnante perspicacité de l'Huma ! Quelle pouvait donc être la source de cette réflexion visionnaire , s'il en est , de quelle info géopolitique si mal partagée disposait Perri ? Comment une telle déduction était-elle possible contre toute la presse ? On aimerait en savoir plus.
Belle chronique
Belle réaction de L'Humanité qui contraste avec celles qu'elle aura plus tard une fois scellé l'accord Berlin-Moscou
Petite critique de forme : quand un journal est présenté en arrière plan, j'aimerai bien pour ma part à ce qu'aucune partie de la page ouverte disparaisse derrière le visage du conférencier.
Si les Tchèques voulaient être pris au sérieux, ils n'avaient qu'à arrêter de revenir du marché les mains vides ! Qui prendrait la peine de consacrer du temps à des Tchèques sans provisions ?
Trêve de plaisanteries, bravo pour cette chronique, hyper instructif.