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Mort de Bowie : "Alors, qu'est-ce qu'on fait ?"
Attendre confirmation, annoncer en direct, puis trouver des spécialistes prêts à réagir au pied levé, à 8 heures du matin : la tâche des journalistes qui ont annoncé en direct la mort de David Bowie, ce 11 janvier, n'était pas évidente. Des (longues) pauses publicitaires aux invités qui tombent à pic, revue des prestations des uns et des autres.
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Derniers commentaires
Ha ben maintenant c'est au tour de Ravi Shankar...
Apparemment, la disparition de David Bowie laisse un grand vide...
Apparemment toujours, la médiasphère a horreur du vide.
Quitte à traiter tout ce qui se passe de la même façon : interruption du programme "normal" et mise en demeure d'en dire quelque chose à défaut d'en penser quoi que ce soit.
Comme le chantait un autre grand déjanté, The show must go on.
Apparemment toujours, la médiasphère a horreur du vide.
Quitte à traiter tout ce qui se passe de la même façon : interruption du programme "normal" et mise en demeure d'en dire quelque chose à défaut d'en penser quoi que ce soit.
Comme le chantait un autre grand déjanté, The show must go on.
Vous savez quoi, l'équipe de arrêt sur images, si pour une fois vous pouviez ne pas décortiquer tout ça...
On peut évoquer la mort de Pierre Boulez et les différences de traitement médiatique ?
Les journalistes Français sont assez nuls en musique anglo-saxonne, ne parlons même pas de son histoire et de son impact sociétal, simplement parce qu'il n'en écoutent pas. Dans les rédactions, les Who, les Kinks, The Jam, Springsteen, Tim Buckley, The Cure, ce ne sont que des noms un peu connus et sans contenu. Qu'un Lemmy de Motorhead décède et ils sont perdus. Il leur faut un spécialiste musical, un Philippe Manoeuvre ou un JD Beauvallet des Inrocks. Et même là, il faudra leur pondre une histoire plein de clichés qui rentreront dans leur imaginaire ; punk = drogue, metal = satan, hip hop = mysoginie.
Tandis que pour Delpech, les mots sont venus d'autant plus facilement que c'est de la variété française, et ça, ils en écoutent.
Tout comme très peu de monde parle anglais dans ce milieu. Dylan est compris surtout grâce aux traductions d'Hugues Aufray :) C'est davantage culturel qu'autre chose.
Tandis que pour Delpech, les mots sont venus d'autant plus facilement que c'est de la variété française, et ça, ils en écoutent.
Tout comme très peu de monde parle anglais dans ce milieu. Dylan est compris surtout grâce aux traductions d'Hugues Aufray :) C'est davantage culturel qu'autre chose.
Trividic, on l'envoie sur Mars, dites ?
Franchement, en ces temps agités d'attentats et entendre en allumant la radio :" on fait quoi là? On arrête le journal?" ( Cohen) ca fiche vraiment la trouille...
Alors quand on comprend, une minute après que ce n'est que la mort d'un chanteur, on trouve l'événement bien banal...
Cela ne serait-il un tout petit peu exagéré, hein ???
Alors quand on comprend, une minute après que ce n'est que la mort d'un chanteur, on trouve l'événement bien banal...
Cela ne serait-il un tout petit peu exagéré, hein ???
Je n'aimerais pas être invité d'un journaliste au moment du décès d'une vedette qu'on doit obligatoirement admirer, au risque de passer pour un inculte ou un sans coeur ...
I've heard a rumour from Ground Control. Oh no, don't say it's true…
Qu'est ce qu'on fait ?
On écoute cette fabuleuse reprise de Space Oddity !
On écoute cette fabuleuse reprise de Space Oddity !
C'était qui ?