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Nuit rouge, ou nuit debout ?
Nuit debout. Quel drôle de nom pour un mouvement né du succès d'un film ridiculisant un pédégé, et d'un projet de loi aux relents esclavagistes. Tout a commencé, raconte le site Reporterre, le 8 février à Paris avec une projection de Merci patron ! À la fin d'icelle , « François Ruffin prend la parole, et c’est pour dire qu’il faut aller plus loin, que son film veut servir la mobilisation générale. »
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Derniers commentaires
Merci Alain!
J'ai fait une copie du Hopper. C'est ballot, si j'avais choisi le même format, elle aurait pu facilement passer pour l'original.
Et hop un commentaire de plus.
Et hop un commentaire de plus.
Le symbole ne fonctionnerai donc pas si bien.
On tourne autour pour chercher désespérément à circonvenir l'expression.
Debout pour dire qu'on ne s'est pas couché devant le pouvoir, car se coucher c'est capituler devant l'adversité.
Le fait est qu'il s'agit de passer une nuit blanche (mais l'armée blanche, bof) et qu'au matin on sait qu'on s'en retrouve affaibli, le loup l'a mangé. Le fait est qu'il s'agit de passer une nuit dehors, c'est solidaire mais pas des travailleurs. Et mobiliser en prenant appui sur un aveu de faiblesse, quelle énergie tirer de ceux qui n'en ont plus parfois?
Se replier dans le surnaturel de la nuit et de ses peurs, ses rêves et ses cauchemars, comme pour compter sur la créativité du sommeil propre à résoudre les problèmes comme par magie.
Quand la nuit porte conseil, c'est que le jour nous a laissé démuni. Et c'est ben vrai ça alors. ( ma petite page de pub pour un mouvement auquel je peux pas participer car je suis racornie et de nature circonspecte de plus en plus, place aux jeunes).
On tourne autour pour chercher désespérément à circonvenir l'expression.
Debout pour dire qu'on ne s'est pas couché devant le pouvoir, car se coucher c'est capituler devant l'adversité.
Le fait est qu'il s'agit de passer une nuit blanche (mais l'armée blanche, bof) et qu'au matin on sait qu'on s'en retrouve affaibli, le loup l'a mangé. Le fait est qu'il s'agit de passer une nuit dehors, c'est solidaire mais pas des travailleurs. Et mobiliser en prenant appui sur un aveu de faiblesse, quelle énergie tirer de ceux qui n'en ont plus parfois?
Se replier dans le surnaturel de la nuit et de ses peurs, ses rêves et ses cauchemars, comme pour compter sur la créativité du sommeil propre à résoudre les problèmes comme par magie.
Quand la nuit porte conseil, c'est que le jour nous a laissé démuni. Et c'est ben vrai ça alors. ( ma petite page de pub pour un mouvement auquel je peux pas participer car je suis racornie et de nature circonspecte de plus en plus, place aux jeunes).
Hum... Nuit debout...
Ca fait moins violent que Nuit Rouge, mais c'est pas mal non plus.
Nuit debout... comme la nuit qui précède le combat. Nuit debout parce que de garde pour protéger ses camarades, ses alliés. Nuit debout comme le médecin de garde: solitaire, certes, mais pas désespéré, prêt à agir.
Ca fait moins violent que Nuit Rouge, mais c'est pas mal non plus.
Nuit debout... comme la nuit qui précède le combat. Nuit debout parce que de garde pour protéger ses camarades, ses alliés. Nuit debout comme le médecin de garde: solitaire, certes, mais pas désespéré, prêt à agir.
Je voudrais me plaindre ici du manque de commentaires relatifs à cette excelllllente chronique. (Et hop un commentaire de plus ! Chuis trop malin des fois !)
le collectif Convergence des luttes a justement pour objectif de rallier les rouges et les verts.
Pourquoi pas" Nuitverrederouge" appellation qui aurait le mérite de permettre de mémoriser cet objectif?
Pourquoi pas" Nuitverrederouge" appellation qui aurait le mérite de permettre de mémoriser cet objectif?
Quelle idée de nous parler de solitude et de tristesse à partir de Nuit Debout, où précisément il s'agit d'être nombreux et heureux ensemble...
Un lien vers quelque chose de plus drôle et multicolore. C'est pas la nuit, mais c'est debout, et le "rouge" (et noir) sont ceux de la Société Générale (quelle appellation symbolique, en effet!).
Un lien vers quelque chose de plus drôle et multicolore. C'est pas la nuit, mais c'est debout, et le "rouge" (et noir) sont ceux de la Société Générale (quelle appellation symbolique, en effet!).
Il y a certaines conjonctions d'articles qui son très éclairantes. Merci à @si de le mettre sous nos yeux.
Le mouvement Nuit Debout devait donc s'appeler Nuit Rouge « Mais Lordon nous a suggéré que c’était trop connoté ». En effet ! Il n'est pas certain qu'il eut reçu autant d'attention et de succès avec le nom original.
Parallèlement , le patron de ces lieux à décidé de consacrer son émission hebdomadaire à l'antispecisme dont il a découvert l'importance place de la République, avoue-t-il en début d'émission.
Le souhait de Lordon d'une convergence des luttes est en passe d'être exhaussé au delà de toutes ses attentes. Il va devoir composer non pas avec les ouvriers et la CGT mais avec les représentants des bonobos et de la bovidés ( bien rouge, même saignant pour moi svp ).
Bernard Pinaut et François Arnaud doivent bien se marrer.
Le mouvement Nuit Debout devait donc s'appeler Nuit Rouge « Mais Lordon nous a suggéré que c’était trop connoté ». En effet ! Il n'est pas certain qu'il eut reçu autant d'attention et de succès avec le nom original.
Parallèlement , le patron de ces lieux à décidé de consacrer son émission hebdomadaire à l'antispecisme dont il a découvert l'importance place de la République, avoue-t-il en début d'émission.
Le souhait de Lordon d'une convergence des luttes est en passe d'être exhaussé au delà de toutes ses attentes. Il va devoir composer non pas avec les ouvriers et la CGT mais avec les représentants des bonobos et de la bovidés ( bien rouge, même saignant pour moi svp ).
Bernard Pinaut et François Arnaud doivent bien se marrer.
Boston et Collonges-la-Rouge, il n'y a que ça de vrai.
C'est avec cette photo superbe que j'ai découvert Gregory Crewdson, il y a quelques années, à la boutique d'un musée de Boston.
Je l'ai gardée en mémoire, mais j'avais oublié le nom de son auteur. Merci de me l'avoir rappelé.
Je l'ai gardée en mémoire, mais j'avais oublié le nom de son auteur. Merci de me l'avoir rappelé.