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Pape béatifié : les JT béni oui-oui
Scoop : les JT croient aux miracles !
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erreur d'url (ci-dessus) http://backup.radio-libertaire.org/samedi/Chroniques_rebelles/Chroniques_rebelles.mp3 le vaticain
En France, les médias font systématiquement la propagande de l'état du Vatican, l'idéologie dominante étant celle de nos dominants.
On peut causer de Pie 11, Pie 12 etc... mais jamais on ne s'intéresse à l'histoire économique et sociale de l'état du Vatican du dix-neuvième et vingtième siècle...
La Curie romaine étant un état capitaliste, impérialiste, comme tous les autres. Cette histoire-là est plus intéressante !
Exemple Lacroix-Riz sur radio libertaire, cette historienne à la retraite a écrit "L'histoire contemporaine sous influence" mais aussi "Le Vatican, l'Europe et le Reich"; Son approche du Vatican est marxiste, donc plus sérieuse! http://www-radio-campus.univ-lille1.fr/ArchivesN/LibrePensee/101023_Annie_Lacroix_Riz_Radio_Libertaire.mp3
On peut causer de Pie 11, Pie 12 etc... mais jamais on ne s'intéresse à l'histoire économique et sociale de l'état du Vatican du dix-neuvième et vingtième siècle...
La Curie romaine étant un état capitaliste, impérialiste, comme tous les autres. Cette histoire-là est plus intéressante !
Exemple Lacroix-Riz sur radio libertaire, cette historienne à la retraite a écrit "L'histoire contemporaine sous influence" mais aussi "Le Vatican, l'Europe et le Reich"; Son approche du Vatican est marxiste, donc plus sérieuse! http://www-radio-campus.univ-lille1.fr/ArchivesN/LibrePensee/101023_Annie_Lacroix_Riz_Radio_Libertaire.mp3
Ah, Dieu que Djemmal, j'ai mal, mais Gamalu vient me récompenser de ma douleur par la béatification foetale du paroissien entre ses parois.
Pompastel, j'espère un peu vous faire sourire, même si ce texte est lancé comme ça, cassonade à la cantonade, forum, enfilade et salade. C'est très long, mais je réponds un peu à tout le monde et concentre pas mal de choses. Et puis on est dimanche, excusez-moi Mireille. S'il faut que je segmente, dites-le moi. Je parle de ver, quelque part : entre les méandres, deux anneaux, ça se tortille un peu, la douleur de l'autre, et le tour est joué.
Lorsqu'on cause divin, on est tout sauf l'être, et derrière le rideau métaphysique on braille puisque les preuves nous menacent moins encore que notre ignorance des choses sues, qui mord moins bien qu'un canari.
Alors allons-y, allons, os, muscles jarrets et autres morceaux encore joints qui imaginent les temps où ils ne le seront plus.
Ayant inventé le zéro, la suite, le zéro dieu, ne tarderait pas. Et Le Dieu Zéro suivait. A l'heure où je vous parle, Dieu n'est pas à moins de six zéros, et encore, on n'a pas bézef pour ce prix. Un chalet, petit, à Lourdes. Insoutenable légèreté des êtres suprêmes.
Mais oui, nous nous précipitons avec autant de frénésie à montrer les vers du jardins des autres, que nous nous stupéfions que quiconque puisse penser un instant que le notre en abriterait rien qu'un seul, même petit.
Qui s'occupe des parasites du voisin doit être un spécialiste des siens, ou sinon la rengaine du cordonnier ? Je n'ai même pas dit un docteur en parasitologie, voire, horreur, un professeur ! Chacun fuit manger son ascaris sous une sauce tellement bien faite qu'on croirait un ormeau. Il y a des mots d'or qui ne sont pas d'époque, tant ils gênent nos appétits d'être autre chose que les enfants de la banalité.
Il faut dire que six milliards de nous, ça fait trop de moi. Ils fuient donc dans la religion ? Alors ne fuyons pas nos pauvres mots : religion et métaphysique et spiritualité et ignorance, il y en a déjà quatre. Rien qu'avec ceux-là, la cuisine est pimentée. S'il faut tout de suite au piano du Grand Chef des longs couteaux, rajouter mimétisme identité croyance foi ou certitude, sans les maltraiter, on voit bien qu'on ne s'en sort pas en quelques coups de clavier entre un nespresso et la vaisselle.
C'est l'ère du micro-ondes, faut dire. Et on est allé dans l'espace inventer ça. Apollo. Du plus grand cosmique, en effet, du cosmique troupier. Que dis-je du micro... Du nano. Vous voyez, tout de suite, l'effet comique : Nano-président. Je n'aime pas cette obsession du nanisme physique représentation symbolique du nain politique. Le Géant De Gaulle, le nain Sarkozy. On hurlerait au nazisme si ce n'était lui.
Mais dire aussi que dans le même temps, on ne cesse de louer Céline, sans le dire, d'avoir cautionné de son génie les nécessités immorales de l'époque. Quelle extraordinaire ubiquité encore que celles des oui-oui (je l'avais écrit avant Mona) qui ont entre les mains quatre-cents pages de manuel comme par hasard à la fois honnies et adulées, qui autorisent à être Non-Non d'un simple contact sur un interrupteur mental.
le paradoxe est nourri puisque ceux qui conspuent notre époque et ses girouettes, pensent également la dichotomie indiscutable entre l'homme et l'oeuvre. Schizophrénie qui accompagne le Voyage mais l'arrête bien avant les conduites intérieures de Sigmaringen. Chez l'écrivain, la distinction, et encore plus chez l'homme qui a été acteur engagé de l'histoire, partager où ? Comment ? Je ne sais pas mais commémorer et mettre de côté (où ?) la fuite dans des bagnoles de SS, j'ai du mal, et ce n'est pas mon habitude.
Lisez d'Un Château l'autre, effrayant génie oui et quels tableaux, mais ne commémorez pas la collaboration, pitié, de grâce, dans ces lieux avalés par Gap Mc Donald and co où l'identité est tant poncée qu'en une multitude de villes de la planète entière et dix ans à peine, il est devenu difficile de savoir où l'on se trouve, et même, si on est bien parti.
La société des individus est réglée sur flingue. Le chemin du doigt n'est plus fléché que par la répression, l'éthique étant dissoute pour raison de rentabilité. Nous nous enrichissons. Je ne sais de quoi sinon de violence et si c'est le prix d'autres denrées, travaillons moins pour gagner moins de pains dans la tronche juste pour se faire tirer du plastique qui sonne et dérange, fabriqué par cent-millions de Spartacus avant leur révolte.
Je sais, ils ne le feront pas (je parle de commémoration attristée de décès). Mais tant s'insurgent de ça et sinon que de l'indignation des autres que oui, j'ai un peu de mal.
Allez, je passe, d'autres repassent, nous repassons vous repasserez. Les chiens aboient la caravane passe, sauf que c'est celle du Paris-Dakar. On n'a pas les chameaux qu'on mérite : Nous sommes les chameaux, nous sommes les chiens, c'est comme ça. Des chimères qui aboient, déblatèrent, font meute, huitres, anguilles, crabes, métamorphoses des cloportes. Des ornithorynques si vous voulez, Pingouin aéronome, puisque j'ai des yeux pour chimère.
D'ailleurs j'arrête, la partie canine à envie de cadavre de pote mammifère réchauffé; Le sang, comme Hondelatte nous le rappelle dans son émission de la peur,
http://programmes.france2.fr/faites-entrer-laccuse/2980442-fr.php
est difficile a rattraper, pareil sur un clavier. Et puis on ne cause pas la gueule pleine. L'humain sait se tenir, il est, ici, à l'image de ses dieux.
Ah oui, tous, naguère, n'étaient pas toujours très présentables. Mais leurs civilisations sont mortes, donc eux aussi. Les dieux meurent plus aisément que les héros de bande dessinée. En tout cas leurs représentations meurent. Nos représentations. Nos projections.
Arrêt sur images : Nous sommes des projecteurs soit. Mais le projecteur n'est pas le film. Et la qualité de projecteur ne renseigne pas sur la qualité de ce film. Ni sa nature : Fiction ou documentaire ? Documentarisation ou images brutes ? Le cadrage ne tue-t-il pas l'idée d'images brutes absolues ? Ce dernier point a dû être débattu.
Ou encore Allah, la lumière même émise par la lampe qui ne nécessite pas d'image et décrit tout celluloïd comme un filtre artificiel abîmant la réalité objective de l'ampoule et de son rayonnement, donc Allah-Aton, l'image-pollution ?
Je suis comme vous, Pompastel, fasciné par ces projections divines, parce que ce sont parmi les manifestations les plus riches, foisonnantes, de la pensée humaine, au carrefour de l'intime et de l'Universel. Croyance, dogme, foi, religion.
Tiens, j'ai un mythe :
Une des innombrables lectures des mythes, qui dit qu'au début était le verbe, qui s'emmerdait immensément au coeur de l'éternité. L'horreur absolue, infinie.
Pour ne plus être seul, il se fragmente. sujet verbe puis complément. Trinité que l'on retrouve absolument partout. De cet acte nait l'altérité, le faire, le temps. L'ennui est brisé. Plus il y a de brisures, moins le puzzle de l'ennui est lisible dans les fragments ("il paraît que le verre n’est jamais si bleu qu’à sa brisure")
Alors le verbe se pulvérise en un nombre toujours plus grand de ses morceaux, mais jamais l'oubli de son unicité n'est total. Il est toujours menacé par la possibilité d'un reflet qui lui rappellerait et son insoutenable situation originelle, et plus insoutenable encore, la nature atrocement artificielle de son univers. Il ne le sera plus que s'il se fragmente à l'infini. Mais nul ne peut atteindre ce dernier, il faut l'éternité pour ce faire. L'éternité lui rappelle l'ennui initial. Ce Dieu puisque à notre image n'est pas immanent. Notre "image" étant notre condition, notre structure, notre schéma. Ni la barbe de Marilyn Monroe, ni les pas de danse de Claude François.
Pensée matière. Ses voies ne sont pas impénétrables. Il agit sous la contrainte, une contrainte psychologique absolue. La béatitude est la stabilisation, la sainteté, l'absence totale de frottement, la fluidité du rayonnement. Ce Dieu-là ne peut être que dédoublé et en conflit.
On retrouve la dualité, éclatée et conflictuelle, ou bien compactée en vecteur de métamorphose ou encore en opposition d'équilibre respectivement du Christ et de Satan, de Çiva, ou du Yin et du Yang. Dans le dernier cas, il ne s'agit même plus de dieux mais de principes.
Une image projetée du symbole nette et stable s'obtient avec l'application d'une méthode.
Dans le mythe du Verbe éclaté, le combat est constant, l'appareillage lourd personnalisé et complexe. Le confessionnal est littéralement un cabinet de toilette où l'on se vide. Mais il faut aussi participer à une flopée de rites purgatoires des obsessions induites par la culpabilité affective, organique, La répression par la perspective d'une éternité à cuire est l'empêchement majeur d'une investigation rationnelle de l'être par ses propres moyens ou ceux de la concurrence irrationnelle, ce danger de trouver en soi une réponse interdite par le mythe et surtout, ce qu'il recouvre.
Au dessous, donc, monstrueusement et artificiellement fracturé, éclaté, il vit deux points de vue simultanés mais étanches, l'un intérieur et unique, omniscient, par lequel il sait communiquer avec tous les points de son univers corrélés, l'autre qui est autant de diversité de ces vues extérieures, dans chacune isolé et persuadé d'être un individu, malgré ces étranges appels qui semblent sourdre de sa cave.
Les versions divergent, les ressorts des chronologies pètent aux yeux des horlogers : Ici il invente la mort. C'est le bouclier. Il limite le temps de ses partitions. Nées de plus en plus longtemps après la partition initiale, elles n'en auront aucune mémoire autre que celle, profonde, de leur nature. Elles n'auront pas non plus le temps de se rappeler. Elles sont à son image puisqu'elles ont ses attributs. Morcelées, elles sont en quête de reconstitution. Elles collaborent, leur origine unique est la fondation de cette reconstitution, le verbe qu'elles sont est stratège. C'est donc Verbe contre verbe, contre le serpent qui chauffe, accélère, contre l'Arbre de Connaissance de cette origine, de l'acte fondateur du morcellement, de la raison initiale de celui-ci, contre Babel, il faut ralentir, refroidir, temporiser, retarder l'affaissement des cloisons qui séparent la cave du grenier.
Là, Dieu a peur de croiser la souffrance de son propre regard, masquée par le nombre des fractures. Il était Roi-lion, il se fait chameau, et emplit ces flancs rêches et brûlants.
Une fois repu, en éternel je reviendrai fendre les vagues d'or, la capitainerie immuablement horizontale, ruminant quelque vieux buisson ardent, paupière mi-close de ceux qui ont déjà vu, cinglant la Mer de Silice à deux kilomètre/heure, Zarathoustra léger plus haut, l'eau de vie dans la bosse, peu de pisse au sortir, mais du nectar, Causeur de Déblatère, Eau de parfum. Je fournis aussi le combustible.
En-tête oublié du Shakespeare mûr, Kundera l'a toutefois imité avec talent : "Tout sera oublié, rien ne sera réparé." dit-il en 1975. Les vents des sables effacent tout. Et sculptent de magnifiques jardins de roses. Salut, Théodore Monod, ami cosmique peu troupier, aumônier, scientifique, qui prédit le règne des céphalopodes dans soixante-dix millions d'années comme conséquence de notre autisme.
Le choix du délai est drôle. En effet, les rois tyrans sauriens ne sont plus. Nous passerons. Les enfants pieuvre iront-ils voir Quaternaire Park ? Trouvera-t-on des fossiles de cathédrale ?
Dans notre trajectoire de collision avec la galaxie d'Andromède, ce crash gigantesque et inéluctable qui s'écoule pétrifié sous nos yeux relatifs, nous n'aurons parcouru qu'un quinzième du trajet.
Il faudrait accélérer le film quelques millions de milliards de fois* pour saisir le mouvement. Pas beaucoup moins pour que les vagues des montagnes écument une carte du monde en mouvement, tandis que les planètes gravitent à la vitesse des électrons.
Pourtant une simple lunette montre déjà de visu, en direct, la rotation de la terre par le mouvement rapide des astres.
C'est très émouvant, je recommande un petit tour dans un club d'astronomie si vous ne l'avez jamais fait (je suis prosélyte donc à tout le forum, pensez-y), et les cratères de la Lune et les anneaux de Saturne qui vont se rouvrir petit à petit sont extraordinaires à contempler directement de nos yeux. Saturne arrive à tirer des larmes aux endurcis, c'est courant.
Les dieux, les éons, frénétique poussière qui se rêve.
Et qui cauchemarde également. Tant de tensions, toujours, et ici entre agnostiques ce qui dit beaucoup sur les véritables clivages, mieux masqués, moins discutés, c'est une paire. Ici, la définition des hiérarchies supposées autour du langage. La question de la démagogie est bien moins sensible que celle des savoirs.
Pourtant, la confusion entre jargon, emploi délibéré de mots compliqués et richesse de l'expression est préjudiciable justement tant à la qualité globale des échanges qu'à celle des relations entre intervenants. Ces trois thèmes sont distincts, et tout en faisant l'économie des intentions, il faudra vraiment y regarder de plus près.
C'est du méta (Discussion à propos des discussions), mais il est indispensable parce que rarement traité ailleurs ou alors bien mal. De plus, c'est ici typiquement le lieu pour le faire. J'avais voulu intervenir suite à l'émission avec Quatremer qui évoquait l'usage d'un jargon économique. Mais remets à demain, remets au sapin.
Avec cette contribution quelque peu éloignée de la nouvelle candidature de Mélenchon ou du départ de son économiste (encore que le paragraphe au-dessus est assez central), mais surtout son caractère il est vrai on ne peut plus éclaté (même si je tiens mon fil d'Ariane et ne le lâche pas) je ne devrais pas être loin de gagner une nouvelle paire de lunettes 3D spéciales Professeur Rollin. Peut-être deux ou trois d'un seul coup d'un seul, Dieu seul le sait.
A dix paires, un ummite vient me chercher en soucoupe pour un dîner autour de Sirius. C'est la banlieue, mais ça ne se refuse pas. Le ban de la Terre, peut-être alors le paradis ? Celui du voyageur au moment ou il pose le pied sur la passerelle, qu'il se dit : "je suis en train de partir, Icimort est maintenant derrière moi et Possible est devant.
Dieu que c'est bon.
* Retour à Giono et son superbe film Crésus, donc, parbleu !
Pompastel, j'espère un peu vous faire sourire, même si ce texte est lancé comme ça, cassonade à la cantonade, forum, enfilade et salade. C'est très long, mais je réponds un peu à tout le monde et concentre pas mal de choses. Et puis on est dimanche, excusez-moi Mireille. S'il faut que je segmente, dites-le moi. Je parle de ver, quelque part : entre les méandres, deux anneaux, ça se tortille un peu, la douleur de l'autre, et le tour est joué.
Lorsqu'on cause divin, on est tout sauf l'être, et derrière le rideau métaphysique on braille puisque les preuves nous menacent moins encore que notre ignorance des choses sues, qui mord moins bien qu'un canari.
Alors allons-y, allons, os, muscles jarrets et autres morceaux encore joints qui imaginent les temps où ils ne le seront plus.
Ayant inventé le zéro, la suite, le zéro dieu, ne tarderait pas. Et Le Dieu Zéro suivait. A l'heure où je vous parle, Dieu n'est pas à moins de six zéros, et encore, on n'a pas bézef pour ce prix. Un chalet, petit, à Lourdes. Insoutenable légèreté des êtres suprêmes.
Mais oui, nous nous précipitons avec autant de frénésie à montrer les vers du jardins des autres, que nous nous stupéfions que quiconque puisse penser un instant que le notre en abriterait rien qu'un seul, même petit.
Qui s'occupe des parasites du voisin doit être un spécialiste des siens, ou sinon la rengaine du cordonnier ? Je n'ai même pas dit un docteur en parasitologie, voire, horreur, un professeur ! Chacun fuit manger son ascaris sous une sauce tellement bien faite qu'on croirait un ormeau. Il y a des mots d'or qui ne sont pas d'époque, tant ils gênent nos appétits d'être autre chose que les enfants de la banalité.
Il faut dire que six milliards de nous, ça fait trop de moi. Ils fuient donc dans la religion ? Alors ne fuyons pas nos pauvres mots : religion et métaphysique et spiritualité et ignorance, il y en a déjà quatre. Rien qu'avec ceux-là, la cuisine est pimentée. S'il faut tout de suite au piano du Grand Chef des longs couteaux, rajouter mimétisme identité croyance foi ou certitude, sans les maltraiter, on voit bien qu'on ne s'en sort pas en quelques coups de clavier entre un nespresso et la vaisselle.
C'est l'ère du micro-ondes, faut dire. Et on est allé dans l'espace inventer ça. Apollo. Du plus grand cosmique, en effet, du cosmique troupier. Que dis-je du micro... Du nano. Vous voyez, tout de suite, l'effet comique : Nano-président. Je n'aime pas cette obsession du nanisme physique représentation symbolique du nain politique. Le Géant De Gaulle, le nain Sarkozy. On hurlerait au nazisme si ce n'était lui.
Mais dire aussi que dans le même temps, on ne cesse de louer Céline, sans le dire, d'avoir cautionné de son génie les nécessités immorales de l'époque. Quelle extraordinaire ubiquité encore que celles des oui-oui (je l'avais écrit avant Mona) qui ont entre les mains quatre-cents pages de manuel comme par hasard à la fois honnies et adulées, qui autorisent à être Non-Non d'un simple contact sur un interrupteur mental.
le paradoxe est nourri puisque ceux qui conspuent notre époque et ses girouettes, pensent également la dichotomie indiscutable entre l'homme et l'oeuvre. Schizophrénie qui accompagne le Voyage mais l'arrête bien avant les conduites intérieures de Sigmaringen. Chez l'écrivain, la distinction, et encore plus chez l'homme qui a été acteur engagé de l'histoire, partager où ? Comment ? Je ne sais pas mais commémorer et mettre de côté (où ?) la fuite dans des bagnoles de SS, j'ai du mal, et ce n'est pas mon habitude.
Lisez d'Un Château l'autre, effrayant génie oui et quels tableaux, mais ne commémorez pas la collaboration, pitié, de grâce, dans ces lieux avalés par Gap Mc Donald and co où l'identité est tant poncée qu'en une multitude de villes de la planète entière et dix ans à peine, il est devenu difficile de savoir où l'on se trouve, et même, si on est bien parti.
La société des individus est réglée sur flingue. Le chemin du doigt n'est plus fléché que par la répression, l'éthique étant dissoute pour raison de rentabilité. Nous nous enrichissons. Je ne sais de quoi sinon de violence et si c'est le prix d'autres denrées, travaillons moins pour gagner moins de pains dans la tronche juste pour se faire tirer du plastique qui sonne et dérange, fabriqué par cent-millions de Spartacus avant leur révolte.
Je sais, ils ne le feront pas (je parle de commémoration attristée de décès). Mais tant s'insurgent de ça et sinon que de l'indignation des autres que oui, j'ai un peu de mal.
Allez, je passe, d'autres repassent, nous repassons vous repasserez. Les chiens aboient la caravane passe, sauf que c'est celle du Paris-Dakar. On n'a pas les chameaux qu'on mérite : Nous sommes les chameaux, nous sommes les chiens, c'est comme ça. Des chimères qui aboient, déblatèrent, font meute, huitres, anguilles, crabes, métamorphoses des cloportes. Des ornithorynques si vous voulez, Pingouin aéronome, puisque j'ai des yeux pour chimère.
D'ailleurs j'arrête, la partie canine à envie de cadavre de pote mammifère réchauffé; Le sang, comme Hondelatte nous le rappelle dans son émission de la peur,
http://programmes.france2.fr/faites-entrer-laccuse/2980442-fr.php
est difficile a rattraper, pareil sur un clavier. Et puis on ne cause pas la gueule pleine. L'humain sait se tenir, il est, ici, à l'image de ses dieux.
Ah oui, tous, naguère, n'étaient pas toujours très présentables. Mais leurs civilisations sont mortes, donc eux aussi. Les dieux meurent plus aisément que les héros de bande dessinée. En tout cas leurs représentations meurent. Nos représentations. Nos projections.
Arrêt sur images : Nous sommes des projecteurs soit. Mais le projecteur n'est pas le film. Et la qualité de projecteur ne renseigne pas sur la qualité de ce film. Ni sa nature : Fiction ou documentaire ? Documentarisation ou images brutes ? Le cadrage ne tue-t-il pas l'idée d'images brutes absolues ? Ce dernier point a dû être débattu.
Ou encore Allah, la lumière même émise par la lampe qui ne nécessite pas d'image et décrit tout celluloïd comme un filtre artificiel abîmant la réalité objective de l'ampoule et de son rayonnement, donc Allah-Aton, l'image-pollution ?
Je suis comme vous, Pompastel, fasciné par ces projections divines, parce que ce sont parmi les manifestations les plus riches, foisonnantes, de la pensée humaine, au carrefour de l'intime et de l'Universel. Croyance, dogme, foi, religion.
Tiens, j'ai un mythe :
Une des innombrables lectures des mythes, qui dit qu'au début était le verbe, qui s'emmerdait immensément au coeur de l'éternité. L'horreur absolue, infinie.
Pour ne plus être seul, il se fragmente. sujet verbe puis complément. Trinité que l'on retrouve absolument partout. De cet acte nait l'altérité, le faire, le temps. L'ennui est brisé. Plus il y a de brisures, moins le puzzle de l'ennui est lisible dans les fragments ("il paraît que le verre n’est jamais si bleu qu’à sa brisure")
Alors le verbe se pulvérise en un nombre toujours plus grand de ses morceaux, mais jamais l'oubli de son unicité n'est total. Il est toujours menacé par la possibilité d'un reflet qui lui rappellerait et son insoutenable situation originelle, et plus insoutenable encore, la nature atrocement artificielle de son univers. Il ne le sera plus que s'il se fragmente à l'infini. Mais nul ne peut atteindre ce dernier, il faut l'éternité pour ce faire. L'éternité lui rappelle l'ennui initial. Ce Dieu puisque à notre image n'est pas immanent. Notre "image" étant notre condition, notre structure, notre schéma. Ni la barbe de Marilyn Monroe, ni les pas de danse de Claude François.
Pensée matière. Ses voies ne sont pas impénétrables. Il agit sous la contrainte, une contrainte psychologique absolue. La béatitude est la stabilisation, la sainteté, l'absence totale de frottement, la fluidité du rayonnement. Ce Dieu-là ne peut être que dédoublé et en conflit.
On retrouve la dualité, éclatée et conflictuelle, ou bien compactée en vecteur de métamorphose ou encore en opposition d'équilibre respectivement du Christ et de Satan, de Çiva, ou du Yin et du Yang. Dans le dernier cas, il ne s'agit même plus de dieux mais de principes.
Une image projetée du symbole nette et stable s'obtient avec l'application d'une méthode.
Dans le mythe du Verbe éclaté, le combat est constant, l'appareillage lourd personnalisé et complexe. Le confessionnal est littéralement un cabinet de toilette où l'on se vide. Mais il faut aussi participer à une flopée de rites purgatoires des obsessions induites par la culpabilité affective, organique, La répression par la perspective d'une éternité à cuire est l'empêchement majeur d'une investigation rationnelle de l'être par ses propres moyens ou ceux de la concurrence irrationnelle, ce danger de trouver en soi une réponse interdite par le mythe et surtout, ce qu'il recouvre.
Au dessous, donc, monstrueusement et artificiellement fracturé, éclaté, il vit deux points de vue simultanés mais étanches, l'un intérieur et unique, omniscient, par lequel il sait communiquer avec tous les points de son univers corrélés, l'autre qui est autant de diversité de ces vues extérieures, dans chacune isolé et persuadé d'être un individu, malgré ces étranges appels qui semblent sourdre de sa cave.
Les versions divergent, les ressorts des chronologies pètent aux yeux des horlogers : Ici il invente la mort. C'est le bouclier. Il limite le temps de ses partitions. Nées de plus en plus longtemps après la partition initiale, elles n'en auront aucune mémoire autre que celle, profonde, de leur nature. Elles n'auront pas non plus le temps de se rappeler. Elles sont à son image puisqu'elles ont ses attributs. Morcelées, elles sont en quête de reconstitution. Elles collaborent, leur origine unique est la fondation de cette reconstitution, le verbe qu'elles sont est stratège. C'est donc Verbe contre verbe, contre le serpent qui chauffe, accélère, contre l'Arbre de Connaissance de cette origine, de l'acte fondateur du morcellement, de la raison initiale de celui-ci, contre Babel, il faut ralentir, refroidir, temporiser, retarder l'affaissement des cloisons qui séparent la cave du grenier.
Là, Dieu a peur de croiser la souffrance de son propre regard, masquée par le nombre des fractures. Il était Roi-lion, il se fait chameau, et emplit ces flancs rêches et brûlants.
Une fois repu, en éternel je reviendrai fendre les vagues d'or, la capitainerie immuablement horizontale, ruminant quelque vieux buisson ardent, paupière mi-close de ceux qui ont déjà vu, cinglant la Mer de Silice à deux kilomètre/heure, Zarathoustra léger plus haut, l'eau de vie dans la bosse, peu de pisse au sortir, mais du nectar, Causeur de Déblatère, Eau de parfum. Je fournis aussi le combustible.
En-tête oublié du Shakespeare mûr, Kundera l'a toutefois imité avec talent : "Tout sera oublié, rien ne sera réparé." dit-il en 1975. Les vents des sables effacent tout. Et sculptent de magnifiques jardins de roses. Salut, Théodore Monod, ami cosmique peu troupier, aumônier, scientifique, qui prédit le règne des céphalopodes dans soixante-dix millions d'années comme conséquence de notre autisme.
Le choix du délai est drôle. En effet, les rois tyrans sauriens ne sont plus. Nous passerons. Les enfants pieuvre iront-ils voir Quaternaire Park ? Trouvera-t-on des fossiles de cathédrale ?
Dans notre trajectoire de collision avec la galaxie d'Andromède, ce crash gigantesque et inéluctable qui s'écoule pétrifié sous nos yeux relatifs, nous n'aurons parcouru qu'un quinzième du trajet.
Il faudrait accélérer le film quelques millions de milliards de fois* pour saisir le mouvement. Pas beaucoup moins pour que les vagues des montagnes écument une carte du monde en mouvement, tandis que les planètes gravitent à la vitesse des électrons.
Pourtant une simple lunette montre déjà de visu, en direct, la rotation de la terre par le mouvement rapide des astres.
C'est très émouvant, je recommande un petit tour dans un club d'astronomie si vous ne l'avez jamais fait (je suis prosélyte donc à tout le forum, pensez-y), et les cratères de la Lune et les anneaux de Saturne qui vont se rouvrir petit à petit sont extraordinaires à contempler directement de nos yeux. Saturne arrive à tirer des larmes aux endurcis, c'est courant.
Les dieux, les éons, frénétique poussière qui se rêve.
Et qui cauchemarde également. Tant de tensions, toujours, et ici entre agnostiques ce qui dit beaucoup sur les véritables clivages, mieux masqués, moins discutés, c'est une paire. Ici, la définition des hiérarchies supposées autour du langage. La question de la démagogie est bien moins sensible que celle des savoirs.
Pourtant, la confusion entre jargon, emploi délibéré de mots compliqués et richesse de l'expression est préjudiciable justement tant à la qualité globale des échanges qu'à celle des relations entre intervenants. Ces trois thèmes sont distincts, et tout en faisant l'économie des intentions, il faudra vraiment y regarder de plus près.
C'est du méta (Discussion à propos des discussions), mais il est indispensable parce que rarement traité ailleurs ou alors bien mal. De plus, c'est ici typiquement le lieu pour le faire. J'avais voulu intervenir suite à l'émission avec Quatremer qui évoquait l'usage d'un jargon économique. Mais remets à demain, remets au sapin.
Avec cette contribution quelque peu éloignée de la nouvelle candidature de Mélenchon ou du départ de son économiste (encore que le paragraphe au-dessus est assez central), mais surtout son caractère il est vrai on ne peut plus éclaté (même si je tiens mon fil d'Ariane et ne le lâche pas) je ne devrais pas être loin de gagner une nouvelle paire de lunettes 3D spéciales Professeur Rollin. Peut-être deux ou trois d'un seul coup d'un seul, Dieu seul le sait.
A dix paires, un ummite vient me chercher en soucoupe pour un dîner autour de Sirius. C'est la banlieue, mais ça ne se refuse pas. Le ban de la Terre, peut-être alors le paradis ? Celui du voyageur au moment ou il pose le pied sur la passerelle, qu'il se dit : "je suis en train de partir, Icimort est maintenant derrière moi et Possible est devant.
Dieu que c'est bon.
* Retour à Giono et son superbe film Crésus, donc, parbleu !
L'église catholique peut même, si ça lui chante, affirmer que JPII marchait sur l'eau.
Elle a bâtit son succès pendant des siècles en faisant prendre aux gens des vessies pour des lanternes,
c'est son fond de commerce, elle aurait bien tort de ne pas persévérer.
Pour autant, la question de savoir pourquoi la plupart des JT continuent eux aussi à nous vendre cette soupe
sans le moindre regard critique ni la moindre réserve oratoire est une excellente question.
En matière de justice, présomption d'innocence oblige, un individu sera qualifié avec prudence
de "tireur présumé", "assassin présumé" ... pourquoi cette absence de réserve des JT dans le cas de ces présumés "miracles" ?
Ces "miracles" bénéficieraient-ils d'une présomption de réalité de la part de ces journalistes
ou bien s'agit-il de l'effet d'une bête soumission routinière à l'institution catholique ?
Elle a bâtit son succès pendant des siècles en faisant prendre aux gens des vessies pour des lanternes,
c'est son fond de commerce, elle aurait bien tort de ne pas persévérer.
Pour autant, la question de savoir pourquoi la plupart des JT continuent eux aussi à nous vendre cette soupe
sans le moindre regard critique ni la moindre réserve oratoire est une excellente question.
En matière de justice, présomption d'innocence oblige, un individu sera qualifié avec prudence
de "tireur présumé", "assassin présumé" ... pourquoi cette absence de réserve des JT dans le cas de ces présumés "miracles" ?
Ces "miracles" bénéficieraient-ils d'une présomption de réalité de la part de ces journalistes
ou bien s'agit-il de l'effet d'une bête soumission routinière à l'institution catholique ?
Les bagarres entre laïques et croyants me fait irrésistiblement penser à [large]Ça[/large]
S'il se vante je l'abaisse
S'il s'abaisse je le vante et je le contredis toujours,
jusqu'à ce qu'il devienne un monstre incompréhensible/
Pascal, Pensées
S'il s'abaisse je le vante et je le contredis toujours,
jusqu'à ce qu'il devienne un monstre incompréhensible/
Pascal, Pensées
C'est marrant les forums quand ça parle de religion ! Il y a un côté XIXe siècle assez intéressant, mais complètement dépassé. Que l'Église se fasse son petit coup de promo, que les médias français, généralement catholiques ou athées, reportent l'événement d'une façon légère et consensuelle, personnellement je ne vois pas vraiment le problème.
En fait ce que je trouve bizarre, c'est d'être anticlérical à notre époque, et de voir une grande manipulation obscurantiste dans les histoires de miracles de JP II.
Comme si la religion était encore l'opium du peuple alors que, franchement, c'est à peine un joint de temps en temps.
En fait ce que je trouve bizarre, c'est d'être anticlérical à notre époque, et de voir une grande manipulation obscurantiste dans les histoires de miracles de JP II.
Comme si la religion était encore l'opium du peuple alors que, franchement, c'est à peine un joint de temps en temps.
Les JT ne cessent de renier la laïcité française. Pujadas sur France 2 semble être le serviteur de l'Église catholique. Après le lourd dérapage resté dans l'impunité de la propagande anti-avortement pendant la messe de Noël, voilà maintenant un long sujet à sens unique sur la béatification de Jean-Paul II, ce qui n'intéresse personne, si ce n'est les fervents croyants (en forte diminution si l'on en croit les statistiques), qui suit quelques jours avant un sujet entier reprenant les paroles de l'Église catholique suite aux deux morts au Niger.
Ne pas se faire d'illusion, l'archevêque de je ne sais où sera invité en plateau pour parler de crime quand il s'agira de parler du projet de loi sur l'euthanasie en France.
Ne pas se faire d'illusion, l'archevêque de je ne sais où sera invité en plateau pour parler de crime quand il s'agira de parler du projet de loi sur l'euthanasie en France.
Félicitation madame DAUSSY !
En parcourant le forum, je constate que votre article sur la religieuse miraculée (ou non), qui voulait, je veux le croire, poser la problématique du respect de la laïcité sur les chaines TV nationales, a su réveiller et galvaniser une meute survoltée de bouffeurs de curés et autres matraqueurs de cornettes que la seule évocation d'une possible existence de Dieu ou de phénomènes surnaturels fait entrer en éruption.
Il est vrai que la planète abrite quelques milliards de croyants tous plus abrutis les uns que les autres et que fort heureusement notre belle terre de France et singulièrement la communauté de @si regroupent comme par "miracle" ce qui se fait de mieux en matière d'intellectuels divinement sceptiques.
Comme je suis fier d'appartenir à cette petite minorité de clairvoyants que n'effleure jamais le doute, pour lesquels tout s'expliquera toujours à la lumière flamboyante de la science et sur les chemins rectilignes du raisonnement hypothéticodéductif.
Que je suis soulagé de voir que survit en ces lieux bénis la forme la plus sectaire du laïcisme fondamentaliste (maladie infantile de la laïcité républicaine) et du crétinisme réunis.
Je suis bien content d'avoir payé ma cotisation à @si.
En parcourant le forum, je constate que votre article sur la religieuse miraculée (ou non), qui voulait, je veux le croire, poser la problématique du respect de la laïcité sur les chaines TV nationales, a su réveiller et galvaniser une meute survoltée de bouffeurs de curés et autres matraqueurs de cornettes que la seule évocation d'une possible existence de Dieu ou de phénomènes surnaturels fait entrer en éruption.
Il est vrai que la planète abrite quelques milliards de croyants tous plus abrutis les uns que les autres et que fort heureusement notre belle terre de France et singulièrement la communauté de @si regroupent comme par "miracle" ce qui se fait de mieux en matière d'intellectuels divinement sceptiques.
Comme je suis fier d'appartenir à cette petite minorité de clairvoyants que n'effleure jamais le doute, pour lesquels tout s'expliquera toujours à la lumière flamboyante de la science et sur les chemins rectilignes du raisonnement hypothéticodéductif.
Que je suis soulagé de voir que survit en ces lieux bénis la forme la plus sectaire du laïcisme fondamentaliste (maladie infantile de la laïcité républicaine) et du crétinisme réunis.
Je suis bien content d'avoir payé ma cotisation à @si.
Le second miracle de J-P 2, c'est d'arriver à faire oublier que c'était lui le pape pendant que tant de pédophiles sévissaient au sein de l'Eglise avec la protection, voire la coopération active (*), de celle-ci.
Saint Jean-Paul (2), saint patron des pédophiles.
(*) par la délocalisation des pédophiles pour qu'ils puissent faire d'autres victimes ailleurs, ni vu ni connu.
Mais bien sûr, le seul vrai miracle serait d'avoir un jour, une seule fois, des JTs de TF1, F2, etc. sans erreur grossière, ni parti pris.
Alléluïa.
Saint Jean-Paul (2), saint patron des pédophiles.
(*) par la délocalisation des pédophiles pour qu'ils puissent faire d'autres victimes ailleurs, ni vu ni connu.
Mais bien sûr, le seul vrai miracle serait d'avoir un jour, une seule fois, des JTs de TF1, F2, etc. sans erreur grossière, ni parti pris.
Alléluïa.
"La religion existe depuis que le premier imbécile a rencontré le premier hypocrite."
François-Marie Arouet, dit Voltaire.
François-Marie Arouet, dit Voltaire.
Qui disait aussi :
"L'univers m'embarrasse, et je ne puis songer
Que cette horloge existe et n'ait point d'horloger."
(C'était ma petite contribution au débat : Il n'y a pas les athées d'un coté et les imbéciles de l'autre. Moi-même, je suis athée et imbécile à la fois !)
"L'univers m'embarrasse, et je ne puis songer
Que cette horloge existe et n'ait point d'horloger."
(C'était ma petite contribution au débat : Il n'y a pas les athées d'un coté et les imbéciles de l'autre. Moi-même, je suis athée et imbécile à la fois !)
Ca pourrait être le mot de la fin : la question de la religion et ses débordements souvent condamnables d'une part et celle du questionnement toujours recommencé à propos de l'existence de Dieu d'autre part ne gagnent rien à être traitées de manières confuses et confondues.
Molière a le mot de la fin,
Sganarel a le raisonnement qui se casse le nez par terre...
la scène en entier:
http://www.site-moliere.com/pieces/domjua31.htm
Sganarel a le raisonnement qui se casse le nez par terre...
la scène en entier:
http://www.site-moliere.com/pieces/domjua31.htm
comme quoi on peut être athée et humble face à la connaissance
ben mince alors... je n'ai pas eu le courage de tout lire...
simplement, mettons que ledit miracle soit existant... ben du coup, pourquoi y-a-t-il encore des parkinsonie(ne)s ? Bon dieu de bon dieu, mais c'est bien sûr ! Le bon dieu a des partis pris, et paf que je te file parkinson, et paf que je te l'enlève par représentant interposé...
Mais c'est dégueulasse ! le bon dieu serait dég......... ?
merde alors, on m'aurait menti ?
Bise à tous, pardon, à ceux qui en veulent... des bises
simplement, mettons que ledit miracle soit existant... ben du coup, pourquoi y-a-t-il encore des parkinsonie(ne)s ? Bon dieu de bon dieu, mais c'est bien sûr ! Le bon dieu a des partis pris, et paf que je te file parkinson, et paf que je te l'enlève par représentant interposé...
Mais c'est dégueulasse ! le bon dieu serait dég......... ?
merde alors, on m'aurait menti ?
Bise à tous, pardon, à ceux qui en veulent... des bises
Plutôt que de titiller sur des détails, je ne vois pas d'article sur la défense de huchon qui a volé en éclats. C'est quand même plus important de savoir si la région idf, qui possède un réseau de transport en commun à peu près équivalent à celui d'un pays en développement a à sa tête quelqu'un qui semblerait utiliser les budgets à des fins électorales!
je sais qu'il n'est pas de droite donc la critique est surement plus difficile pour asi mais quand même.
je sais qu'il n'est pas de droite donc la critique est surement plus difficile pour asi mais quand même.
Heureusement pour mon état de nervosité suite au visionnage du Jt de F2, j'ai vu le Magazine de la Santé le lendemain, où on a bien remis les pendules à l'heure : en plus des causes psychiatriques pouvant conduire à un mauvais diagnostic, évoquées dans l'article de Laure Daussy, les neurologues consultés par la rédaction du Magazine ont aussi évoqué des lésions vasculaires rares entraînant des symptômes de Parkinson puis régressant ensuite, et les effets secondaires de certains médicaments agissant comme des neuroleptiques alors qu'ils sont prescrits dans une tout autre intention. Enfin, il a bien et bel été question des "guérisons inexpliquées", qui ne peuvent, en l'état actuel des connaissances, être analysées scientifiquement ; ce qui ne signifie en aucun cas qu'il n'existe pas d'explication scientifique.
http://www.france5.fr/images/emissions/010866/92/magsante_20110118.asx
(C'est à 6'14")
D'ailleurs, Michel Cymes a indiqué qu'une prochaine chronique serait bientôt consacrée à ces guérisons dites miraculeuses.
http://www.france5.fr/images/emissions/010866/92/magsante_20110118.asx
(C'est à 6'14")
D'ailleurs, Michel Cymes a indiqué qu'une prochaine chronique serait bientôt consacrée à ces guérisons dites miraculeuses.
Rien d'étonnant, l'esprit et la parole de la vieille ORTF agissent encore comme un vieux cerveau reptilien chez nos « modernes » présentateurs de JT.
Celui là, vous ne l'aurez pas, sauf si vous y mettez beaucoup de convictions pour convaincre vos concitoyens; alors, le ciel vous aidera, mais il ne fera pas de miracle ....
Du ciel je n'attends qu'un miracle : que 2012 nous débarrasse de la clique au pouvoir en nous proposant une véritable alternative !
"Much ado about nothing"
William Shakespeare
William Shakespeare
Bravo pour votre expertise qui vous a permis de relever l'erreur de France 2, confondant la béatification qui fait de vous un bienheureux et la canonisation qui vous attribue l'auréole de la sainteté.
Tout à fait d'accord pour regretter que les J.T. n'introduisent pas des formules dubitatives ou alternatives dans l'exposé de ce genre d'affaires.
Le catholique défenseur de laïcité républicaine que je suis, rappelle pour mémoire que l'Église romaine ne fait obligation à personne de croire aux miracles et qu'il serait dommage que les journalistes de la petite lucarne se montrent plus directifs que le pape dans ce domaine.
Par contre, opposer à la thèse du miracle les seules explications confuses "d'un neurologue" non nommé qui n'a sûrement pas eu accès au dossier médical de la sœur ni aux pièces du procès en béatification et qui nous explique que ses confrères sont
des nullards qui se sont plantés dans leur diagnostic, je trouve que cela fleure le fondamentalisme laïcard du début du siècle dernier.
Pourquoi ne pas admettre tout simplement que des phénomènes échappent encore à notre formidable intelligence et qu'une personne souffrant d'une maladie incurable peut en guérir pour des raisons "mystérieuses" et non miraculeuses, jusqu'à démonstration contraire tout du moins.
Cela ouvrirait plus valablement le débat, me semble-t-il et éviterait qu'il soit brutalement refermé par l'éventuelle production de documents établissant que la sœur (guérie, Dieu merci si je puis dire) était bien atteinte de la maladie de Parkinson.
Tout à fait d'accord pour regretter que les J.T. n'introduisent pas des formules dubitatives ou alternatives dans l'exposé de ce genre d'affaires.
Le catholique défenseur de laïcité républicaine que je suis, rappelle pour mémoire que l'Église romaine ne fait obligation à personne de croire aux miracles et qu'il serait dommage que les journalistes de la petite lucarne se montrent plus directifs que le pape dans ce domaine.
Par contre, opposer à la thèse du miracle les seules explications confuses "d'un neurologue" non nommé qui n'a sûrement pas eu accès au dossier médical de la sœur ni aux pièces du procès en béatification et qui nous explique que ses confrères sont
des nullards qui se sont plantés dans leur diagnostic, je trouve que cela fleure le fondamentalisme laïcard du début du siècle dernier.
Pourquoi ne pas admettre tout simplement que des phénomènes échappent encore à notre formidable intelligence et qu'une personne souffrant d'une maladie incurable peut en guérir pour des raisons "mystérieuses" et non miraculeuses, jusqu'à démonstration contraire tout du moins.
Cela ouvrirait plus valablement le débat, me semble-t-il et éviterait qu'il soit brutalement refermé par l'éventuelle production de documents établissant que la sœur (guérie, Dieu merci si je puis dire) était bien atteinte de la maladie de Parkinson.
À vomir !
J'ai également été choqué en voyant les reportages des JT !
" Lors de ses obsèques, de très nombreux fidèles avaient crié : "Santo subito !" ("saint tout de suite")"
Ce qui devrait donner matière à l'information, ce sont les motivations de l'Eglise à vouloir béatifier aussi vite Jean-Paul II, car s'il avait été un pape tolérant envers les homosexuels, le mariage des prêtres, etc, je ne pense pas qu'il serait autant en odeur de sainteté, cela me semble être une manoeuvre que de vouloir canoniser une pensée, une politique qui inclut aussi l'appui à l'écroulement du communisme. On notera que l'information telle qu'elle est ditillée tend à faire croire que l'origine de la volonté de béatifier serait d'origine spontanée et populaire, or il avait été démontré, me souviens t'il, que les pancartes demandant à ce qu'il devienne saint brandies lors des cérémonies d'enterrement avait été préparées par l'entourage proche du pape, aussi spontanées que les photos de Ben Ali brandies à Tunis récemment.
Ce qui devrait donner matière à l'information, ce sont les motivations de l'Eglise à vouloir béatifier aussi vite Jean-Paul II, car s'il avait été un pape tolérant envers les homosexuels, le mariage des prêtres, etc, je ne pense pas qu'il serait autant en odeur de sainteté, cela me semble être une manoeuvre que de vouloir canoniser une pensée, une politique qui inclut aussi l'appui à l'écroulement du communisme. On notera que l'information telle qu'elle est ditillée tend à faire croire que l'origine de la volonté de béatifier serait d'origine spontanée et populaire, or il avait été démontré, me souviens t'il, que les pancartes demandant à ce qu'il devienne saint brandies lors des cérémonies d'enterrement avait été préparées par l'entourage proche du pape, aussi spontanées que les photos de Ben Ali brandies à Tunis récemment.
La religion catholique serait-elle en train de redevenir religion d'état?
merci Laure.
Dans ce cas précis, le péché des grand-messes ( grandes-messes?) c'est effectivement de ne pas avoir donné de point de vue contradictoire, d'un neurobiologiste comme dans 20 minutes ou d'un athée militant comme Onfray ou encore Siné : au moins on se serait marré.
Quand on est depuis toujours et définitivement athée,on devrait rester complètement indifférent au traitement que font en effet les deux chaînes de cette information Ce n'est pas le cas pour moi puisque j'éprouve de la gêne.Pourtant je me pense tolérante.
Dans son cours d'histoire une de mes amies ayant prononcé les mots suivants :"Jeanne d'Arc prétendit avoir entendu des voix " se le vit reprocher par certains parents.Collège public,laÏc et républicain .La formulation ne pouvait être en aucun cas que la pucelle AVAIT entendu des voix
Affirmer que la guérison provient d'une intervention divine est dérangeant.
Dans son cours d'histoire une de mes amies ayant prononcé les mots suivants :"Jeanne d'Arc prétendit avoir entendu des voix " se le vit reprocher par certains parents.Collège public,laÏc et républicain .La formulation ne pouvait être en aucun cas que la pucelle AVAIT entendu des voix
Affirmer que la guérison provient d'une intervention divine est dérangeant.
Notre condition commune d'êtres humains ne serait-elle pas de chercher un sens à la conscience de notre éphémère présence sur terre?
Face à l'apparante absurdité de venir sur terre sans le désirer et de mourrir de la même façon, l'animal humain est perdu et est en quête de repères...
Certains le trouvent (ou croient le trouver) au travers de la religion, d'autres par d'autres voies, il n'en est pas moins vrai que nous sommes tous soumis à la même loi...Qu'elle soit divine, scientifique ou autre, un jour on nait, un jour on meurt...
L'humain l'accepte-t-il, ou se donne-t-il des raisons de rendre l'inacceptale acceptable? Cette quête de rationalité, cherchant des explications à tout est le "rempart utile"de la non acceptation de notre condition de "périssables"...
Je pense que l'humain est tout aussi déconcerté devant la mort qu'il pourrait l'être sur sa naissance s'il en avait conscience...
Imaginez-vous en un instant projeté dans un néant sans aucuns repères...Qu'aurait le sens de votre moi? Donc on se construit par rapport à des repères, qui donnent l'illusion du moi, puisque conditionnés par d'autres...Je pense donc je suis...être ou ne pas être...la vie ne vaut d'être vécue sans amour... qui suis-je, d'où viens-je, où vais-je?...Autant d'interrogations ou d'affirmations qui montrent que l'homme se pose des questions, cherche des réponses, et quelque fois "en oublie " d'être tout simplement...
L'espèce de compte à rebours déclenché à la naissance en rapport à la mort, fait naître une sorte d'exigence, d'attente, que l'humain rempli de la façon qui lui paraît acceptable, qui donnera un sens à l'ensemble.
Il y a donc des morts acceptables, d'autres moins. On dira, "il a eu une belle vie", "il a eu une belle mort", "il est mort comme il a vécu"...Ou, "c'est dommage, il est mort trop jeune", "c'est pas juste, il n'a pas pu en profiter"...
Le point commun de tout cela est un jour on nait, un jour on meurt, juste, injuste c'est comme cela.
La mort n'est pas l'opposé de la vie, c'est un tout...
La conscience d'être vivant n'a pas de rapport avec la mort, car elle se situe dans l'instant, la mort faisant partie d'un instant. l'instant n'a pas à être juste ou injuste, il est instant, la vie est une succession d'instants. l'humain en quête de sens est en fait en quête de lui-même et s'il a la chance de se trouver, trouvera ses questionnements passés bien "futiles"et très éloignés de la réponse qu'il pensait trouver...Car en final, c'est en toute simplicité qu'il pourra dire "je suis"...
Face à l'apparante absurdité de venir sur terre sans le désirer et de mourrir de la même façon, l'animal humain est perdu et est en quête de repères...
Certains le trouvent (ou croient le trouver) au travers de la religion, d'autres par d'autres voies, il n'en est pas moins vrai que nous sommes tous soumis à la même loi...Qu'elle soit divine, scientifique ou autre, un jour on nait, un jour on meurt...
L'humain l'accepte-t-il, ou se donne-t-il des raisons de rendre l'inacceptale acceptable? Cette quête de rationalité, cherchant des explications à tout est le "rempart utile"de la non acceptation de notre condition de "périssables"...
Je pense que l'humain est tout aussi déconcerté devant la mort qu'il pourrait l'être sur sa naissance s'il en avait conscience...
Imaginez-vous en un instant projeté dans un néant sans aucuns repères...Qu'aurait le sens de votre moi? Donc on se construit par rapport à des repères, qui donnent l'illusion du moi, puisque conditionnés par d'autres...Je pense donc je suis...être ou ne pas être...la vie ne vaut d'être vécue sans amour... qui suis-je, d'où viens-je, où vais-je?...Autant d'interrogations ou d'affirmations qui montrent que l'homme se pose des questions, cherche des réponses, et quelque fois "en oublie " d'être tout simplement...
L'espèce de compte à rebours déclenché à la naissance en rapport à la mort, fait naître une sorte d'exigence, d'attente, que l'humain rempli de la façon qui lui paraît acceptable, qui donnera un sens à l'ensemble.
Il y a donc des morts acceptables, d'autres moins. On dira, "il a eu une belle vie", "il a eu une belle mort", "il est mort comme il a vécu"...Ou, "c'est dommage, il est mort trop jeune", "c'est pas juste, il n'a pas pu en profiter"...
Le point commun de tout cela est un jour on nait, un jour on meurt, juste, injuste c'est comme cela.
La mort n'est pas l'opposé de la vie, c'est un tout...
La conscience d'être vivant n'a pas de rapport avec la mort, car elle se situe dans l'instant, la mort faisant partie d'un instant. l'instant n'a pas à être juste ou injuste, il est instant, la vie est une succession d'instants. l'humain en quête de sens est en fait en quête de lui-même et s'il a la chance de se trouver, trouvera ses questionnements passés bien "futiles"et très éloignés de la réponse qu'il pensait trouver...Car en final, c'est en toute simplicité qu'il pourra dire "je suis"...
Béatification, sanctification de JP2.... ah, bienheureux les cathos de la planète qui n'ont pas d'autres problèmes à résoudre....
Je n'ai pas vraiment d'avis là dessus....si ça peut les amuser un moment en oubliant la misère du monde !
Si on me demandait néanmoins mon avis, (mais personne ne me le demande sniff :)), il est évident que je ne pourrai béatifier ni JP2, ni son successeur B16 (touché, coulé !) qui ont regardé mourir des milliers, voire des millions d'individus, en leur intimant l'ordre en bons cathos de se préserver du sida par l'abstinence !!
Vous me direz c'est pas plus ignoble que Mame Bachelot qui refourgue ses doses de vaccins contre la grippe AH1N1, à l'Afrique en passant par l'OMS, dixit le Professeur Marc Gentilini, juste pour rentrer dans ses frais !!
Autre petit bémol, il me semblait que les évangiles nous parlaient de partage des richesses et condamnaient les marchands du temple, alors quand je vois la Principauté du Vatican qui s'est enrichi au cours des siècles sans jamais partager quoi que ce soit, même pas à leurs collègues pauvres curés de campagne, ben ça donne pas envie de sanctuariser !!!
http://www.rfi.fr/actufr/articles/046/article_24393.asp
Les médias feraient bien de rester prudents quant à ce genre de guérison ; on a connu d'autres personnes se mettre en arc de cercle et c'était pas non plus le Parkinson....
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:1887_Charcot_Arc_de_cercle.JPG?uselang=fr
Bon, inutile que je m'acharne sur cette jeune femme, tant mieux si elle est en bonne santé, je m'en réjouis pour elle ; et surtout qu'elle continue à croire car grâce à cela, peu importe qu'elle ne sache peut-être jamais la cause de ses symptômes, la foi lui suffira toujours..........
Je n'ai pas vraiment d'avis là dessus....si ça peut les amuser un moment en oubliant la misère du monde !
Si on me demandait néanmoins mon avis, (mais personne ne me le demande sniff :)), il est évident que je ne pourrai béatifier ni JP2, ni son successeur B16 (touché, coulé !) qui ont regardé mourir des milliers, voire des millions d'individus, en leur intimant l'ordre en bons cathos de se préserver du sida par l'abstinence !!
Vous me direz c'est pas plus ignoble que Mame Bachelot qui refourgue ses doses de vaccins contre la grippe AH1N1, à l'Afrique en passant par l'OMS, dixit le Professeur Marc Gentilini, juste pour rentrer dans ses frais !!
Autre petit bémol, il me semblait que les évangiles nous parlaient de partage des richesses et condamnaient les marchands du temple, alors quand je vois la Principauté du Vatican qui s'est enrichi au cours des siècles sans jamais partager quoi que ce soit, même pas à leurs collègues pauvres curés de campagne, ben ça donne pas envie de sanctuariser !!!
http://www.rfi.fr/actufr/articles/046/article_24393.asp
Les médias feraient bien de rester prudents quant à ce genre de guérison ; on a connu d'autres personnes se mettre en arc de cercle et c'était pas non plus le Parkinson....
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:1887_Charcot_Arc_de_cercle.JPG?uselang=fr
Bon, inutile que je m'acharne sur cette jeune femme, tant mieux si elle est en bonne santé, je m'en réjouis pour elle ; et surtout qu'elle continue à croire car grâce à cela, peu importe qu'elle ne sache peut-être jamais la cause de ses symptômes, la foi lui suffira toujours..........
Nul doute que les JT se précipiteront sur le prochain miracle.
J'ai bien une vague idée... Pourraient faire appel à l'écrivain célèbre, leur ancien collègue à qui on cherche des poux dans la tonsure. Il leur raconterait que tout à coup ses faux cheveux sont devenus vrais pendant que la vie du pape s'écrivait toute seule sur son ordinateur au moment où il construisait le plan de son prochain bouquin sur Ernest Hemingway.
Et si tu crois pas celle là, t'inquiète, il t'en racontera une autre...
Dommage qu'il n'ait pas guéri Sarko de ses tics, notre bon Pape JP II. La faute au téléphone portable. L'esprit saint a été parasité.
Quelqu'un aura sans doute confondu "TF1" et "Théophane" !
Erreur de prononciation.
Erreur de prononciation.
"Nul doute que les JT se précipiteront sur le prochain miracle."
Que l'église et nombre de ses fidèles manquent en ce domaine d'esprit critique, c'est une chose, que les médias en fassent de même en est une autre. Merci de dénoncer la complaisance de ces derniers face au pouvoir religieux (je n'ai pas mis au pluriel, tant on sent le favoritisme vis-à-vis d'un culte culturellement mieux implanté qu'un autre). Qu'ils soient les uns comme les autres à la recherche avant tout de fidèles, explique peut-être cela, mais ne l'excuse pas.
yG
Que l'église et nombre de ses fidèles manquent en ce domaine d'esprit critique, c'est une chose, que les médias en fassent de même en est une autre. Merci de dénoncer la complaisance de ces derniers face au pouvoir religieux (je n'ai pas mis au pluriel, tant on sent le favoritisme vis-à-vis d'un culte culturellement mieux implanté qu'un autre). Qu'ils soient les uns comme les autres à la recherche avant tout de fidèles, explique peut-être cela, mais ne l'excuse pas.
yG
C'est sûr, les JT pourraient aussi raconter comment lors de l'hominisation, les hominidés en train de devenir humains, singes arboricoles dans des groupes dominés par des singes dominants se sont métamorphosés en des hominidés avec des comportements de meute qui nécessitent des dominants coopératifs, et comment le cerveau a gardé le besoin d'un hyperdominant, ce qui a généré le besoin d'un dieu et le sentiment religieux, ce qui s'est perpétué quand nous sommes devenus des sapiens sapiens .
Ce qui fait que des tas de gens croient des choses grotesques et délirantes.
Mais là, ce serait la révolution. On ferait brûler les sièges des médias qui le raconteraient. Parce que personne de religieux ne peut accepter qu'il est un descendant de singe et que le besoin de dieu est dans le cervelet, quelque part .
Faisons donc comme si tout était normal, tout le monde sait qu'il ne faut pas contrarier les fous.
Ce qui fait que des tas de gens croient des choses grotesques et délirantes.
Mais là, ce serait la révolution. On ferait brûler les sièges des médias qui le raconteraient. Parce que personne de religieux ne peut accepter qu'il est un descendant de singe et que le besoin de dieu est dans le cervelet, quelque part .
Faisons donc comme si tout était normal, tout le monde sait qu'il ne faut pas contrarier les fous.