Petit à petit, les NuitDeboutistes inventent leur relation aux médias
Comment parle-t-on d'un mouvement en cours d'éclosion, mais déjà scruté de toutes parts ? Qui répond (ou non) au micro qui se tend, lorsqu'on souhaite construire un mouvement social sans chefs ? Faut-il répondre aux médias grand public pour faire connaître son projet politique, ou s'en abstenir pour ne pas risquer de le voir déformé ou tourné en dérision ? Ces redoutables questions, ce sont celles qu'affrontent les initiateurs de la Nuit Debout, qui investit la place de la République chaque soir depuis le 31 mars. @si a interrogé deux de ses initiatrices, Johanna (du journal Fakir) et Camille (référente de la commission communication de la Nuit debout).
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Derniers commentaires
Par contre cela prouvera bien aux citoyens qu'ils vivent sous un régime policier oligarchique et plantera ainsi les graines d'une vrai rébellion populaire !
http://www.franceculture.fr/emissions/l-invite-des-matins-2eme-partie/coleres-sociales-de-la-resignation-la-mobilisation
Refus de débattre avec:
Michaël Foessel : philosophe, professeur à l’école Polytechnique.
Clémentine Autain : conseillère régionale d'île-de-France, porte-parole de Ensemble ! (Front de gauche)
Manuel Cervera-Marzal : chercheur en philosophie politique et en sociologie, ATER à l'EHESS
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Je me suis aperçue aussi, ce que j'ignorais totalement, que le conte d'origine était kabyle. À moins que ce conte kabyle ne soit qu'un des relais d'un conte populaire plus ancien venu encore d'ailleurs?
Les utopies se matérialisent en vagues mouvantes et émouvantes.
Le poétique comble les interstices des solitudes.
Le corps se forme et marche le chemin.
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