Commentaires
Porte défend Emmanuelli
Mais non, ce n'était pas un doigt d'honneur !
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Derniers commentaires
Tiens, Pétillon vous a piqué le coup du berger Landais, en dernière page du Canard de cette semaine.
Pourquoi n'a-t-on pas accès à la dernière chronique sur Mediapart ? On voit l'annonce sur leur site, mais pas de lien !
Il est à noter, à l'attention du juge de Cherbourg, qu'une autre chanson de Brassens dont je vous laisse deviner le titre, se termine par la sodomie d'un juge dans les fourrés par un gorille ! A bon entendeur...
En guise d'antidote, j'ai été déçu que Didier n'aie pas choisi le dernier couplet !...
Merci Didier pour Brassens : j'ai ressorti mon bouquin de chansons et j'ai fait une interrogation à mon mari puis lui à moi pour contrôler notre mémoire : on est encore très fort avec Georges et on a bien rigolé
Pour Emanuelli ça m'embête que ça tombe sur lui... c'est le seul membre de gauche du PS ...( à mon humble avis).. mon chouchou en quelque sorte !
Pour Emanuelli ça m'embête que ça tombe sur lui... c'est le seul membre de gauche du PS ...( à mon humble avis).. mon chouchou en quelque sorte !
Il n'y a plus personne pour crier mort aux vaches, vive l'anarchie, il n'y personne capable de nous offrir une bacchanale telle que ce marché de Brive la gaillarde. Maintenant on ne se moque plus de la force policière bottée et matraquée, elle fait peur et les "gaillardes" des marchés n'ont plus grand chose à mettre dans leur panier et si elles se crêpent le chignon ce n'est pas pour des bottes d'oignons mais parcequ'elles ne sont pas du même pays.
Les stupidités gagnent du terrain et nul Brassens ne vient mettre un peu de raison, un peu d'humour, une philosophie tranquille pour mettre à bas les préjugés les plus ridicules.
A l'assemblée nationale on vote de belles saloperies mais avec du style et du maintien. Pas de gestes mal placés ,pas d'outrages, du lisse et du distingué. Emmanuelli ne s'est pas bien tenu, le premier ministre ne supporte pas les gestes un peu trop expressifs.
Les stupidités gagnent du terrain et nul Brassens ne vient mettre un peu de raison, un peu d'humour, une philosophie tranquille pour mettre à bas les préjugés les plus ridicules.
A l'assemblée nationale on vote de belles saloperies mais avec du style et du maintien. Pas de gestes mal placés ,pas d'outrages, du lisse et du distingué. Emmanuelli ne s'est pas bien tenu, le premier ministre ne supporte pas les gestes un peu trop expressifs.
Merci pour cette chronique Didier.
Et merci pour m'avoir donné l'occasion de réécouter Hécatombe. Quel bonheur.
Et merci pour m'avoir donné l'occasion de réécouter Hécatombe. Quel bonheur.
y'a un souci sur dailymachin, la kro de Porte s'appelle "best of....." et y'a pas le best of,
comment voulez-vous qu'on fasse de la pub pour l'émission ;)
comment voulez-vous qu'on fasse de la pub pour l'émission ;)
Je n'arrive jamais à voir les vidéos de Didier Porte en passant par le site d'ASI. Je profite des chroniques de DP seulement par le téléchargement et l'enregistrement intégral des émissions hebdomadaires. Quelqu'un peut-il proposer ici un lien qui me permettrait d'accéder à cette vidéo ?
Merci d'avance pour la solidarité entre Asinautes.
Merci d'avance pour la solidarité entre Asinautes.
Souvenir ému d'un vieux sujet régional dans un téléjournal de TF1, il y a quelques années, consacré au populaire marché de Brive-la-Gaillarde, célébré par Brassens. Entrecoupé des microtrottoirs de maraîchers et acheteurs locaux, la chaîne nous repassait en boucle "aaauuu marchédebrivlagaillarde à propos de bottes d'onions", fade out, "aaauuu marchédebrivlagaillarde à propos de bottes d'onions", fade out, "aaauuu marchédebrivlagaillarde à propos de bottes d'onions". Manifestement un peu rayées, les archives sonores de Canal Flic.
J'aime énormément la gestion des gloires nationales par les chantres du né-quelque-part, et les petits louvouyements que leur fière récupération nécessite à chaque fois. Le fait qu'à notre époque Brassens soit, pour les agitateurs de fanions eux-mêmes, d'adoration obligatoire mais d'interprétation interdite, est un délice récurrent pour le contemplatif goguenard.
J'aime énormément la gestion des gloires nationales par les chantres du né-quelque-part, et les petits louvouyements que leur fière récupération nécessite à chaque fois. Le fait qu'à notre époque Brassens soit, pour les agitateurs de fanions eux-mêmes, d'adoration obligatoire mais d'interprétation interdite, est un délice récurrent pour le contemplatif goguenard.