Commentaires
Pourquoi Big Brother ne fait pas (vraiment) peur
Maintenant, les choses sérieuses commencent.
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Et en chanson, ça va mieux ? sale fé ?
Gare aux godillots
Et dans la vraie vie alors ?
complètement à la masse, la surveillance
Gare aux godillots
Et dans la vraie vie alors ?
complètement à la masse, la surveillance
Triste peuple de moutons bientôt massacré par l'oligarchie financière !
A propos de "Ni Pigeons, ni Espions" : amendement sur les boîtes noires :
« Victoire pour les pigeons ? Pigeons 1, Gouvernement 0 ? » Qu’est-ce que c’est que ce langage façon supporters du PSG, pour commencer un article de @si ? Un projet de décision est juste ou injuste, pertinent ou pas pertinent, c’est pas un match de foot. @si, décrypteur de médias, ne s’est pas rendu compte que c’est cette vision show-biz qui pollue beaucoup de décisions publiques et leur transcription médiatique ? Et à quoi ça rime de dénoncer le sensationnalisme des médias si c’est pour faire pareil, au niveau décryptage ?
« Comme @si vous le racontait hier », c’est pareil. Raconter ? Ecoute, il faut que j’te raconte … Expliquer, commenter, analyser, remettre en perspective, ne serait-ce point, par hasard, la vocation de @si ?
Dis-moi comment tu parles, je te dirai comment tu penses.
« Victoire pour les pigeons ? Pigeons 1, Gouvernement 0 ? » Qu’est-ce que c’est que ce langage façon supporters du PSG, pour commencer un article de @si ? Un projet de décision est juste ou injuste, pertinent ou pas pertinent, c’est pas un match de foot. @si, décrypteur de médias, ne s’est pas rendu compte que c’est cette vision show-biz qui pollue beaucoup de décisions publiques et leur transcription médiatique ? Et à quoi ça rime de dénoncer le sensationnalisme des médias si c’est pour faire pareil, au niveau décryptage ?
« Comme @si vous le racontait hier », c’est pareil. Raconter ? Ecoute, il faut que j’te raconte … Expliquer, commenter, analyser, remettre en perspective, ne serait-ce point, par hasard, la vocation de @si ?
Dis-moi comment tu parles, je te dirai comment tu penses.
La peur de l'Etat, une valeur en baisse ? Voilà qui me fait rire très jaune. Et si on disait au contraire que la peur tout entière, diffuse, inconsciente, refoulée, le pressentiment que de toute manière "ils font ce qu'ils veulent", l'angoisse de la répétition sans fin de l'Histoire, la constatation de l'impuissance individuelle, sociale et démocratique, l'asservissement du quotidien, la peur encore de perdre la liberté, la sécurité, son emploi (pour ceux qui en ont un décent), son permis, sa famille, si tout cela instillait au plus profond la peur de l'autorité masquée dans ses formes les plus grotesques ou les plus cyniques ? Que savons-nous et quelle peur avons-nous des pouvoirs souterrains, dont nous sommes nombreux à craindre qu'ils nous broient ? Combien sommes-nous à croire au "système idéal", la démocratie, en ces temps de déni constant de la "chose", de mépris des peuples ? Tout semble devenir peur, on ne nous parle que de cela, et les raisons de l'entendre se multiplient.
Comment croire, dans un système qui se robotise à mort, que le petit cri démocratique ait la moindre importance et pire, comment ne pas craindre que, dans le foutoir des fichiers informatisés croisés, assurances, santé, génétique, policier, internet, tout ceci multiplié et partagé entre les multinationales et la confrérie supranationale policière, politique, économique, une opinion mal venue, une comportement auparavant banal et soudain devenu suspect, ne risque pas de faire basculer notre vie dans une zone de non droit ? Parce que nous sommes probablement nombreux à avoir compris que dans un monde qui se dit en guerre contre la barbarie mais qui désigne tout citoyen comme un danger potentiel, présumé coupable, le droit des hommes a été repeint en gris militaire en quelques années. Et quel crédit le public accorde-t-il vraiment à la Justice, de nos jours ? Pour moi, cette question induit une réponse dramatique. DS écrivait "il y aura un après janvier 2015". Il y a toujours un après, d'autant moins maîtrisable que nous aurons perdu l'espoir, la force (les moyens) et la légitimité à faire valoir nos droits fondamentaux.
Pour preuve de la qualité de cette critique, remarquons cette phrase de DS :"Tant qu'il ne s'agissait que de la Quadrature du Net, et d'une poignée de journalistes spécialisés, on pouvait les laisser s'égosiller ", Ah, si même la caste des journalistes s'égosille en vain, le sans-dent, le sans-droit peut aller en enfer sans escale au purgatoire. S'il fallait un signe de la dérive inconsciente de la valeur démocratie, je le verrais dans cet énoncé. Et quand j'entends le philosophe lui-même prôner le principe de réalité selon lequel il est acceptable de tuer une personne dont le pouvoir considère qu'elle met en danger une collectivité, je m'étonne que l'on ait pas plus peur. Avons-nous désormais épuisé notre quota ?
Comment croire, dans un système qui se robotise à mort, que le petit cri démocratique ait la moindre importance et pire, comment ne pas craindre que, dans le foutoir des fichiers informatisés croisés, assurances, santé, génétique, policier, internet, tout ceci multiplié et partagé entre les multinationales et la confrérie supranationale policière, politique, économique, une opinion mal venue, une comportement auparavant banal et soudain devenu suspect, ne risque pas de faire basculer notre vie dans une zone de non droit ? Parce que nous sommes probablement nombreux à avoir compris que dans un monde qui se dit en guerre contre la barbarie mais qui désigne tout citoyen comme un danger potentiel, présumé coupable, le droit des hommes a été repeint en gris militaire en quelques années. Et quel crédit le public accorde-t-il vraiment à la Justice, de nos jours ? Pour moi, cette question induit une réponse dramatique. DS écrivait "il y aura un après janvier 2015". Il y a toujours un après, d'autant moins maîtrisable que nous aurons perdu l'espoir, la force (les moyens) et la légitimité à faire valoir nos droits fondamentaux.
Pour preuve de la qualité de cette critique, remarquons cette phrase de DS :"Tant qu'il ne s'agissait que de la Quadrature du Net, et d'une poignée de journalistes spécialisés, on pouvait les laisser s'égosiller ", Ah, si même la caste des journalistes s'égosille en vain, le sans-dent, le sans-droit peut aller en enfer sans escale au purgatoire. S'il fallait un signe de la dérive inconsciente de la valeur démocratie, je le verrais dans cet énoncé. Et quand j'entends le philosophe lui-même prôner le principe de réalité selon lequel il est acceptable de tuer une personne dont le pouvoir considère qu'elle met en danger une collectivité, je m'étonne que l'on ait pas plus peur. Avons-nous désormais épuisé notre quota ?
Je ne sais pas si vraiment les gens ont peur d'une perte démocratique, quand je vois comment on accepte les petits coups de canifs dans le contrat, Comment l'on peut si facilement se contenter de la longueur de la laisse , de l'arbitraire.
Combien de gens sont-ils réellement démocrates ? J'en connais très peu, très très peu.
Combien entend-ton de gens crier à la "dérive inconsciente de la valeur démocratie" et qui en pratique n'[s]est[/s]ne sont pas plus démocrate pour le moins ?
Quid de la responsabilité du troupeau qui accuse le berger ? Le loup n'est pas dans la bergerie, puisqu'elle ressemble plutôt à une louverie !
Mais surtout ce que je constate c'est les gens se forgent eux mêmes des cages dans leur tête ! On est toujours plus libre que ce que l'on croit !
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
@si décrypte mais qui est autorisé à décrypter @si
Combien de gens sont-ils réellement démocrates ? J'en connais très peu, très très peu.
Combien entend-ton de gens crier à la "dérive inconsciente de la valeur démocratie" et qui en pratique n'[s]est[/s]ne sont pas plus démocrate pour le moins ?
Quid de la responsabilité du troupeau qui accuse le berger ? Le loup n'est pas dans la bergerie, puisqu'elle ressemble plutôt à une louverie !
Mais surtout ce que je constate c'est les gens se forgent eux mêmes des cages dans leur tête ! On est toujours plus libre que ce que l'on croit !
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
@si décrypte mais qui est autorisé à décrypter @si
Laure Daussy signe son premier article dans le Charlie Hebdo de cette semaine !
Je comprends très bien cette réaction, d'antant plus que je l'avais étant jeune : « ça ne me dérange pas car je n'ai rien à me reprocher ».
Depuis j'ai appris certaines choses...
Qu'en pensent les journalistes de ArretSurImages, Medipart etc... qui enquêtent sur les manip. foireuses de l'oligarchie, des elites mondialistes qui ne se préoccupent plus du bétail que nous sommes ?
Moi, je n'ai rien à me reprocher, mais ces journalistes qui enquêtent pour montrer le vrai visage et le danger des ces gouvernants pourtant non fascistes, quelque part, ils se battent pour moi, et l'épée de Damoclès, elle va être sur eux... :o/
Depuis j'ai appris certaines choses...
Qu'en pensent les journalistes de ArretSurImages, Medipart etc... qui enquêtent sur les manip. foireuses de l'oligarchie, des elites mondialistes qui ne se préoccupent plus du bétail que nous sommes ?
Moi, je n'ai rien à me reprocher, mais ces journalistes qui enquêtent pour montrer le vrai visage et le danger des ces gouvernants pourtant non fascistes, quelque part, ils se battent pour moi, et l'épée de Damoclès, elle va être sur eux... :o/
Picrate , ce sont pas les piussances chites qui financent l'E I MAIS les Sunites "Arabie Saoudite, Quatar ect.. Les Chites sont les victimes ,comme en Irak..
Dans une hyper connexion imposée par des usages velléitaires, c'est la servitude volontaire qui justifie l'absence de peur.
La Boétie pose une question troublante : comment peut-il se faire que « tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations endurent quelquefois un tyran seul, qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent ? »
(wikipédia)
La Boétie pose une question troublante : comment peut-il se faire que « tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations endurent quelquefois un tyran seul, qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent ? »
(wikipédia)
Bonjour
Ce qui est indolore ne fait jamais réagir ("qu'est-ce qu'on en a à faire des grévistes de Radio France ou d'une loi liberticide")
C'est quand ça vous tombe dessus qu'on voit enfin le problème ("Merde pourquoi on me licencie moi et pas duchmole")
Le monde tourne autour de moi !!! Galilée revient.
Ce qui est indolore ne fait jamais réagir ("qu'est-ce qu'on en a à faire des grévistes de Radio France ou d'une loi liberticide")
C'est quand ça vous tombe dessus qu'on voit enfin le problème ("Merde pourquoi on me licencie moi et pas duchmole")
Le monde tourne autour de moi !!! Galilée revient.
"c'est plutôt une demande d'Etat qui monte [...] contre l'impunité, fiscale par exemple, des Géants du Net. Ce n'est qu'une hypothèse."
Mais quand la presse française se fait financer par un de ces géants ( Google ), avec la bénédiction de l'Etat, la fiscalité des GAFA ne risque pas faire le gros titre des journaux.
Mais quand la presse française se fait financer par un de ces géants ( Google ), avec la bénédiction de l'Etat, la fiscalité des GAFA ne risque pas faire le gros titre des journaux.
Béatrice Pignède qui fût un temps Perline, modératrice des forums d('@si, est décédée.
Il paraît donc que Big Brother ne fait pas (vraiment) peur.
Moi, c'est surtout mes si tant con porains (San Antonio dixit) qui me foutent la trouille.
Moi, c'est surtout mes si tant con porains (San Antonio dixit) qui me foutent la trouille.
Je vois que la coquille "Briother" a été corrigée. Je me demandais justement si c'était un jeu de mots dot la clé m'aurait échappé.