Sarkozy candidat, un bain de foule très orchestré
Bain de foule et applaudissements… iTELE et LCI n’ont pas manqué, le mardi 23 août, de relayer l’image d’un Nicolas Sarkozy ovationné par un parterre de sympathisants lors de l’inauguration de son nouveau QG de campagne, au lendemain de l'officialisation de sa candidature à la primaire des Républicains. Quoi de mieux pour faire mentir les sondages qui ne le donnent qu'à la 6e place des politiques préférés des sympathisants Les Républicains. Seul hic : ce comité d’accueil sarkomaniaque n’avait rien d’un rassemblement spontané, comme l’a relevé la journaliste de BFMTV Salhia Brakhlia (ex-Petit Journal).
Abonnez-vous pour pouvoir commenter !
si vous êtes déjà abonné Connectez-vous Connectez-vous
Derniers commentaires
Certes.
Perso, je trouve qu'il ressemble de plus en plus à Christian Clavier.
Ils ont le même impresario ?
Oui, mais le petit journal a été exécuté pour cause de lèse-majesté au pote de boll0ré.
On se doute bien que si ces gens sont là c'est qu'ils ont été prévenus.
On se doute bien également qu'ils sont sympathisants, voire militants UMP.
Un rassemblement spontané ça n'existe pas, c'est toujours motivé par une information et quelque chose que l'on partage. Non ?
Un dessin vaut mieux qu'un commentaire. Le dessinateur a toutefois oublié de lui attacher des casseroles.
Magnifique pléonasme de LCI...
Eh bien, la bande à Sarko nous prend pour des chiens de meute qui vont se précipiter derrière lui, entretenant son statut de dominant.
Je ne sais pas si ça va marcher. Notre cerveau reptilien est un peu en panne.
Mollo quand même sur Sarko : en ces temps incertains où on s'hystérise sur le burkini, il suffira d'une étincelle pour que ce sot embrase sans retour toute la société française.
La solution : le centre de Strasbourg était ville close, on ne pouvait se déplacer librement. Il fallait un laisser passer. Le quartier où le grand manie-tout résidait et où il fit son footing était circonscrit à 100 mètres autour de son hôtel (ce qui fait qu'il a couru en rond comme un petit hamster dans sa cage).
Et devant le Palais de Rohan, les Strasbourgeois venus l'acclamer avaient un accent inconnu chez nous sinon sous le nom d'accent du XVIème-Passy-Neuilly : ils étaient tous encartés UMP et venus en groupe de Paris sous "commande".
Croyez-vous qu'une ombre de honte effleura le visage du grand manie-tout pour la France. Nenni, non, nein. Et il ose remettre ça.
Accessoirement, qu'on nous dise aussi pourquoi il n'est plus question de sa batterie de casseroles.