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Si vous avez échappé au "Climategate"...
Des médias traditionnels arc-boutés sur une "vérité officielle", contre une myriade de blogs
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CLIPPERTON
quel joli nom...
et voilà le dernier espace préservé de la planète peut-être pollué par un chimiquier échoué...........et la presse n'en parlait pas ??!!!!
les http://www.dna.fr/france/20100227_DNA004899.html après 15 jours de silence !
comment est-il possible au XXIème siècle que de telles infos ne puissent traverser un anneau de corail..................
quel joli nom...
et voilà le dernier espace préservé de la planète peut-être pollué par un chimiquier échoué...........et la presse n'en parlait pas ??!!!!
les http://www.dna.fr/france/20100227_DNA004899.html après 15 jours de silence !
comment est-il possible au XXIème siècle que de telles infos ne puissent traverser un anneau de corail..................
Mieux vaut s'adresser au bon dieu qu'à ses saints. Vous parlez de 2000 climatologues réunis à Copenhague : le chiffre me semble énorme quand on sait qu'il ne doit y avoir dans nos facultés qu'une petite cinquantaine (peut-être) de géographes climatologues, car n'en déplaise à certains, la climatologie est une science géographique. Or on nous présente comme soit disant expert des gens qui n'ont qu'un lointain rapport avec cette matière : M Jouzel est chimiste glaciologue , M Allègre est spécialisé en vulcanologie, Hervé le Treut est un scientifique prof de mécanique à polytechnique qui s'est ultraspécialisé dans la modélisation mathématiques des phénomènes météorologiques (en oubliant de les observer simplement) , sans oublier les mégas experts photographes vue d'avion et les ex-présentateurs d'émissions télévisuelles depuis nacelle de ballons. Je vous ferais remarquer également qu'un météorologue (qui prévoit le temps) n'est pas un climatologue (qui étudie le climat). Bizarrement , on n'a jamais entendu parler (sauf dans les amphi de géo physique) de M Marcel Leroux, climatologue de renom qui a fait sa thèse sur le climat de l'Afrique , avant de s'intéresser à la circulation atmosphérique générale dans les hautes et moyennes latitudes à partir de l'observation des images satellites. Ces travaux ont été menés au sein du LCRE de l'Univ de Lyon 3 , dont je vous invite à découvrir le site.
Certes les articles sont parfois ardus pour un néophyte , mais je vous conseille les articles qu'il a envoyé aux journaux (dont le Monde en Février 2007) et qui n'ont à ma connaissance jamais été publiés. Je vous conseille également sa correspondance avec les pontes de météoFrance.
Je ne vous étonnerais pas en vous apprenant que ce professeur est décédé l'an dernier dans le silence le plus assourdissant médiatiquement (à moins que ce ne soit un immense ouf de soulagement pour certains experts) . Le même silence qui a accompagné le décès en mai 2007 d'un autre grand expert en glaciologie cette fois : M Robert Vivian, dont la lecture du site vous permettra là aussi de remettre en perspective certaines idées reçues.
Certes les articles sont parfois ardus pour un néophyte , mais je vous conseille les articles qu'il a envoyé aux journaux (dont le Monde en Février 2007) et qui n'ont à ma connaissance jamais été publiés. Je vous conseille également sa correspondance avec les pontes de météoFrance.
Je ne vous étonnerais pas en vous apprenant que ce professeur est décédé l'an dernier dans le silence le plus assourdissant médiatiquement (à moins que ce ne soit un immense ouf de soulagement pour certains experts) . Le même silence qui a accompagné le décès en mai 2007 d'un autre grand expert en glaciologie cette fois : M Robert Vivian, dont la lecture du site vous permettra là aussi de remettre en perspective certaines idées reçues.
Content de voir un tel niveau de débat sur le net, cela change d'autres forums, merci à tous.
Évidemment, on crie à la conspiration de-ci de-là, mais ce n'est pas très sérieux. Il s'agit d'échanges entre chercheurs sur des points de détails de telle ou telle publication. Hors contexte et sans un minimum de connaissances des travaux en questions et des sciences et techniques mises en œuvre (notamment, j'imagine, des modèles mathématiques et statistiques fort complexes), comment peut-on affirmer voir dans ces emails une preuve irréfutable d'une falsification ?
Des fois on n'a rien à dire.
Bon courage Daniel!
Bon courage Daniel!
Pour remarque, les JT, prudent (pour une fois) ne parlent plus de réchauffement climatique, mais de changement climatique... Mince quelle découverte stupéfiante ! le climat change ! Au secours, c'est la fin du monde...
On est dans le n'importe quoi : récemment j'ai du faire une petite illustration explicative avec la courbe de température du dernier millénaire pour présenter le danger du changement climatique, il y a tout une période entre l'an mille et 1900 que les scientifiques appellent "période de relative stabilité", et dans cette période on note un optimum et 2 petite airs glaciaire... j'ai beaucoup apprécié la totale contradiction des légendes de la courbe...
Les écologistes devraient mieux traquer de vrai pollution - c'est vraiment pas ce qui manque - plutôt que de jouer aux devins apocalyptiques du climat =___=;
On est dans le n'importe quoi : récemment j'ai du faire une petite illustration explicative avec la courbe de température du dernier millénaire pour présenter le danger du changement climatique, il y a tout une période entre l'an mille et 1900 que les scientifiques appellent "période de relative stabilité", et dans cette période on note un optimum et 2 petite airs glaciaire... j'ai beaucoup apprécié la totale contradiction des légendes de la courbe...
Les écologistes devraient mieux traquer de vrai pollution - c'est vraiment pas ce qui manque - plutôt que de jouer aux devins apocalyptiques du climat =___=;
Ce que personne n'a l'air de se demander, c'est qu'allaient chercher les hackers? Si il savaient où ils étaient , qui les a commandité et pour quelles raisons?
Enfin si le but étaient de discréditer le GIEC avant le sommet de Copenhague, comment peut-on être sur que tous les mails livrés à lémédias sont authentiques?
Je viens d'assister à un débat sur LCP entre Allègre et un membre du GIEC , Jean Jaussey (?)
Le pire c'est indépendamment du fait qu'Allègre est méprisant et insultant, je pense qu'ils ont tous raison.
Oui il faut s'occuper des conséquences du changement climatiques et oui il faut aussi s'occuper des autres pollutions, de la famine, des ressources en eau, etc.
Ce qui m'énerve, c'est qu'aucun de ces sommités n'arrivent à le comprendre.
Et il faut finir de stigmatiser le CO2 alors que d'autre gaz à effets de serre sont beaucoup plus néfastes. Le CO2 permet une croissance de la végétation entre autres. Développons des armes pour lutter efficacement contre les incendies de forêt, arrêtons de déforester,de polluer et vider les océans.
Certes la posture anti CO2 permet de redorer d'intérêts le nucléaire et de donner des primes écolo au diesel qui produit moins de CO2 mais qui pollue beaucoup plus en fines particules nettement plus dangereuses pour la santé.
Enfin si le but étaient de discréditer le GIEC avant le sommet de Copenhague, comment peut-on être sur que tous les mails livrés à lémédias sont authentiques?
Je viens d'assister à un débat sur LCP entre Allègre et un membre du GIEC , Jean Jaussey (?)
Le pire c'est indépendamment du fait qu'Allègre est méprisant et insultant, je pense qu'ils ont tous raison.
Oui il faut s'occuper des conséquences du changement climatiques et oui il faut aussi s'occuper des autres pollutions, de la famine, des ressources en eau, etc.
Ce qui m'énerve, c'est qu'aucun de ces sommités n'arrivent à le comprendre.
Et il faut finir de stigmatiser le CO2 alors que d'autre gaz à effets de serre sont beaucoup plus néfastes. Le CO2 permet une croissance de la végétation entre autres. Développons des armes pour lutter efficacement contre les incendies de forêt, arrêtons de déforester,de polluer et vider les océans.
Certes la posture anti CO2 permet de redorer d'intérêts le nucléaire et de donner des primes écolo au diesel qui produit moins de CO2 mais qui pollue beaucoup plus en fines particules nettement plus dangereuses pour la santé.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
@Totor
Oui c'est dommage Allègre est certainement un homme de qualité mais il se déconsidère tout seul à prendre les autres de haut. D'autant qu'il n'a pas plus autorité sur la question.
J'aurais d'ailleurs attendu des opposants au GIEC des arguments scientifiques, poussés, compréhensibles. Ce ne sont souvent que des affirmations, dénigrement des propos d'en face.
En tout cas l'affaire est grave et il faut absolument qu'une contre enquête soit faite par rapport aux travaux du GIEC. Maintenant le doute est semé.
Oui c'est dommage Allègre est certainement un homme de qualité mais il se déconsidère tout seul à prendre les autres de haut. D'autant qu'il n'a pas plus autorité sur la question.
J'aurais d'ailleurs attendu des opposants au GIEC des arguments scientifiques, poussés, compréhensibles. Ce ne sont souvent que des affirmations, dénigrement des propos d'en face.
En tout cas l'affaire est grave et il faut absolument qu'une contre enquête soit faite par rapport aux travaux du GIEC. Maintenant le doute est semé.
[quote=En tout cas l'affaire est grave et il faut absolument qu'une contre enquête soit faite par rapport aux travaux du GIEC.]
Ce n'est pas d'enquêtes qu'il s'agit, il s'agit de travaux scientifiques sur les différentes explications possibles
du changement climatique, et ils sont en cours.
Il y a même une petite possibilité pour que l'augmentation de CO2 provoque une baisse de la température, indirectement,
du fait d'une baisse de la vapeur d'eau. (induite comment , direz-vous? C'est tout le but de la recherche).
Il n'y a aucune étude actuellement publiée qui parle de l'évolution de la quantité de vapeur d'eau dans l'atmosphère,
alors qu'il s'agit du premier (et de loin) gaz a effet de serre.
Il reste a espérer que ces travaux aboutiront et ne verront pas leur publication contrariée par les tenants du tout CO2 qui
défendent leur point de vue générateur de crédits de façon inadmissible.
Ce n'est pas d'enquêtes qu'il s'agit, il s'agit de travaux scientifiques sur les différentes explications possibles
du changement climatique, et ils sont en cours.
Il y a même une petite possibilité pour que l'augmentation de CO2 provoque une baisse de la température, indirectement,
du fait d'une baisse de la vapeur d'eau. (induite comment , direz-vous? C'est tout le but de la recherche).
Il n'y a aucune étude actuellement publiée qui parle de l'évolution de la quantité de vapeur d'eau dans l'atmosphère,
alors qu'il s'agit du premier (et de loin) gaz a effet de serre.
Il reste a espérer que ces travaux aboutiront et ne verront pas leur publication contrariée par les tenants du tout CO2 qui
défendent leur point de vue générateur de crédits de façon inadmissible.
@JREM
Excusez moi je me suis mal exprimé. J'utilisais le mot enquête dans le sens recherche contradictoire à charge et à décharge pour les travaux du GIEC. En fait logiquement les travaux du GIEC s'ils sont scientifiques et non truqués ont dû subir ce processus; Mais bon on rentre très vite dans le débat du responsable de l'effet de serre. D'ailleurs il est possible que le réchauffement climatique nous protège d'une glaciation prévisible.
Le souci étant bien sur que les changements climatiques ne touche pas tout le monde de la même façon.
Excusez moi je me suis mal exprimé. J'utilisais le mot enquête dans le sens recherche contradictoire à charge et à décharge pour les travaux du GIEC. En fait logiquement les travaux du GIEC s'ils sont scientifiques et non truqués ont dû subir ce processus; Mais bon on rentre très vite dans le débat du responsable de l'effet de serre. D'ailleurs il est possible que le réchauffement climatique nous protège d'une glaciation prévisible.
Le souci étant bien sur que les changements climatiques ne touche pas tout le monde de la même façon.
[quote=recherche contradictoire à charge et à décharge]
Vous utilisez pour la recherche des termes juridiques inappropriés. Il n'y a pas de recherche
contradictoire.
L'utilisation de ces termes juridiques peut prêter à confusion sur la qualité de la recherche car
dans le domaine juridique vous avez des obligations qui n'existent pas en science.
Vous utilisez pour la recherche des termes juridiques inappropriés. Il n'y a pas de recherche
contradictoire.
L'utilisation de ces termes juridiques peut prêter à confusion sur la qualité de la recherche car
dans le domaine juridique vous avez des obligations qui n'existent pas en science.
Oui c'est dommage Allègre est certainement un homme de qualité mais il se déconsidère tout seul à prendre les autres de haut. D'autant qu'il n'a pas plus autorité sur la question.
pardon Mais allègre est tout sauf un homme de qualité. quand au scientifique il traine derrière lui un nombre colossal de casseroles
1. chevalier de l'ordre de la terre plate
Raymond Pierrehumbert, professeur de géosciences à l’université de Chicago, a corrigé sur le site real climate le bestseller de Claude Allègre, Ma vérité sur la planète (2007, 90 000 exemplaires vendus) dans un article cruellement moqueur : "Les chevaliers de la terre plate".
Quand un scientifique actif aussi distingué qu’Allègre ou Courtillot s’exprime, sa parole capte notre attention, quelle que soit sa pertinence. Ce serait néanmoins une erreur d’accepter les affirmations de tels phares uniquement à cause de leur renommée; on doit contrôler les arguments sur leurs mérites. Allègre ne publie pas ses idées sur le climat dans la littérature scientifique, de sorte que nous devons nous contenter de ses écrits de vulgarisation et déclarations publiques afin d’avoir un aperçu de ces arguments. Un trésor de ces allègreries (allègritudes ?, allègrations ?) est facilement accessible dans un petit ouvrage humblement intitulé Ma vérité sur la planète (Plon/Fayard, Paris, 2007). Beaucoup de choses que l’on y trouve ne sont que rabâchage d’arguments standard de sceptiques, arguments complétement discrédités auxquels il n’apporte rien de neuf. Par exemple : il répète à plusieurs endroits l’erreur classique de confondre le caractère imprévisible de la météorologie avec la détermination de la réponse du climat au forçage radiatif : « J’ai peine à croire qu’on puisse prédire avec précision le temps qu’il fera dans un siècle alors qu’on ne peut pas prévoir celui qu’il fera dans une semaine » (p.89). Il répète également le raisonnement faux que les relations de phase entre CO2 et température mesurés dans les carottes de glace de l’Antarctique prouvent que c’est la température qui est responsable des variations de CO2 plutôt que l’inverse – un raisonnement éculé et largement discrédité (lire ici un résumé des contre-arguments en anglais). Il y a peu de choses à ajouter sur ces arguments, sauf que la capacité d’Allègre à les répéter indique soit une remaquable crédulité, soit un inquiétant manque d’intégrité scientifique. Ailleurs, pourtant, Allègre excelle dans l’art de servir des balivernes comme arguments scientifiques. sur le lien suivant on peut lire 9 exemples.
http://www.realclimate.org/index.php/archives/2007/11/les-chevaliers-de-lordre-de-la-terre-plate-part-i-allgre-and-courtillot/langswitch_lang/fr/
2. les mines du pérou VSD novembre 99
CA président du BRGM de 92 à 97 , le "directeur comptable a scrupuleusement noté ses dépenses et souligné celles qui semblent ne pas concerner le BRGM, au total plus de 200 000 F" " document lié à un scandale financier se chiffrant lui en milliards de francs perdus par l'état français dans l'affaire des mines du Pérou Allègre est "mis en cause pour sa gestion du BRGM à cette période - il papillonait à gauche et à droite et n'a pas vu venir l'orage., Allègre a reconnu ses torts" " il a tenté de se défausser sans élégance sur le directeur du BRGM"
3. polémique avec haroun tazzief
Haroun Tazieff, La Recherche n°73, décembre 1976 : [...] la calomnie et l'affirmation de contre-vérités finissent par agacer.Je me permettrai deux remarques liminaires:
1° M. Allègre fait depuis longtemps courir la rumeur selon laquelle je ne suis pas, au contraire de lui, un scientifique véritable, mais un "baroudeur", un "cinéaste", un "sportif", un "vulgarisateur", etc. Sans rougir le moins du monde, au contraire, de ces qualificatifs, je tiens néanmoins à préciser que, entre autres, je sors de trois grandes écoles (agro, mines et géologie), alors que lui-même n'est jamais entré dans aucune.
2° Je suis géologue de profession, spécialisé dans l'étude des mécanismes éruptifs depuis mars 1948. M. Allègre, lui, n'a jamais encore de sa vie étudié la moindre éruption. Il est aussi incompétent en la matière qu'un anatomiste en cardiologie. Mais il est dévoré par le désir d'arriver; sa soif de puissance l'égare. [...]M .Allègre, qui a avancé des chiffres biaisés pour prendre le contre-pied de mes déclarations rassurantes et entretenir une inquiétude scientifiquement injustifiée, est mal placé pour évoquer la déontologie. A son avalanche d'accusations personnelles, je répondrai ceci : l'Institut de Physique du Globe, où M. Allègre, même avant d'en devenir le directeur, jouait un rôle majeur; accordait un crédit annuel ridicule à son service volcanologique. [...]Lors de la session de juin dernier, la commission, que M. Allègre préside maintenant, n'a même pas fait mention des candidatures, de haute qualité cependant, proposées pour la volcanologie. Par contre, M. Allègre, une fois déclenché le plan ORSEC, s'est fait attribuer par l'INAG trois postes de techniciens au titre de la volcanologie (et de la déontologie). [...] Les règlements de compte personnels de M. Allègre ont coûté odieusement cher : drame de l'évacuation de 75000 personnes, ruine de l'économie guadeloupéenne et milliards de dépenses que les contribuables vont devoir payer.
4.
C’est devenu un jeu chez les esprits les plus pointilleux : repérer les erreurs qui parsèment les livres publiés par Claude Allègre.
D’une discipline à l’autre, chacun a son favori. Pour Joël Martin, physicien du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) aujourd’hui à la retraite, c’est Un peu de science pour tout le monde (2003, 60 000 exemplaires vendus). Il a consigné les méprises les plus flagrantes dans une lettre envoyée à l’auteur et à son éditeur, Fayard. Missive restée sans réponse.
Il y a la mauvaise définition du joule, unité de mesure énergétique, pourtant enseignée au lycée ; le mauvais calcul de l’Unité Astronomique qui confond une distance traversée par la lumière en huit minutes et une parcourue en…3, 26 années.
Cette erreur a valu à Claude Allègre le « gluon d’honneur » de Scintillations, le journal de l’institut de recherche sur les lois fondamentales de l’univers.
La liste continue avec une vision approximative de l’atome ; une mauvaise interprétation astronomique : « la lune tourne autour de la Terre parce que cette dernière exerce sur elle une force d’attraction de type gravitationnel », alors que c’est parce qu’elle tourne autour de la Terre que la lune ne tombe pas sur elle malgré l’attraction gravitationnelle.
On note encore une définition erronée de la lumière « constituée de sept couleurs fondamentales » alors qu’elle est faite en réalité d’un dégradé de couleurs du violet au rouge. Enumération non exhaustive.
Mais surtout se joue dans cet ouvrage un nouvel épisode de la controverse de la balle de tennis et de la boule de pétanque qui va opposer quatre ans durant Claude Allègre au Canard enchaîné. Elle débute en 1999, sur un plateau de TF1, quand celui qui est alors ministre de l’Education nationale déclare : « Vous prenez un élève, vous lui demandez : vous prenez une boule de pétanque et une balle de tennis, vous les lâchez, laquelle arrive la première ? L’élève va vous dire : la boule de pétanque. Eh bien non, elles arrivent ensemble ». La semaine suivante, l’hebdo satirique corrige le membre de l’Académie des sciences : le principe énoncé n’est valable que dans le vide total. Dans l’air, « environnement le plus fréquent pour un ustensile sportif », la boule de pétanque touche terre la première.
Surprise, l’échange ne s’arrête pas là. Une autre lettre du ministre s’attire un nouveau démenti de l’hebdomadaire, lui-même suivi en 2003 d’une nouvelle justification par Claude Allègre dans son livre qui relance la discussion sur l’exemple, cette fois-ci, d’une boule de papier et d’un objet lourd. Dans un fax envoyé au Canard enchaîné, le prix Nobel de physique Georges Charpak confirme l’exactitude des propos du journal. Cinq ans après la parution du livre, et près de neuf ans après la sortie du ministre, on trouve encore en 2008 des sites internet qui calculent la différence de vitesse de chute entre la boule de pétanque et la balle de tennis.
Pour Joël Martin, « prise une à une, ces fautes passeraient inaperçues. Mais ce qui est remarquable, c’est la densité d’erreurs par ouvrage, et le refus de les corriger ». http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article2598
J'aurais d'ailleurs attendu des opposants au GIEC des arguments scientifiques, poussés, compréhensibles. Ce ne sont souvent que des affirmations, dénigrement des propos d'en face.
tout à fait et on peut même aller plus loin !
comme posté plus haut, le sieur COurtillot se fait démolir aussi par Raymond Pierrehumbert, professeur de géosciences à l’université de Chicago dans un argumentaire scientifique très accessible.
Comme la plupart des travaux du genre, celui-ci est construit sur un vide intellectuel –comme si tout ce que nous savions déjà en physique du climat devait être mis au rebut pour une idée nouvelle (et en fait pas si nouvelle). Mais les problèmes ne s’arrêtent pas là. Avec l’aide d’un Commentaire publié par Bard et Delaygue, nous exposerons un ensemble d’erreurs suspectes et d’omissions qui remplissent le papier de Courtillot. Je-m’en-foutisme et ignorance, est l’interprétation de loin la plus charitable que l’on puisse apporter à cet ensemble.
http://www.realclimate.org/index.php/archives/2007/12/les-chevaliers-de-l%E2%80%99ordre-de-la-terre-plate-part-ii-courtillots-geomagnetic-excursion/
HokeyGate ?
Un des courriers "dérobé" parle d'une ruse ou d'une astuce souvent décrite comme "ajouter les données réelles à la série de température" , c'était très vague et j'ai mis du temps à comprendre ce que celà signifiait finalement ça s'est un peu éclairci.
résumé de http://www.republiquedebananes.com/?p=7854
Les données de dendrochronologie après 1960 ne montrent plus de réchauffement (cf Keith Briffa), elles seraient donc peu fiables,
pour mieux décrire la réalité ("thèse anthropistes")/pour la déformer (thèse "non-anthropistes") les chercheurs ajoutent (ou substituent?) les températures thermométriques à ces données à partir de cette période (je suppose avec une pondération ?) et obtiennent à ce moment une courbe en croissance continue ("en crosse de hokey"), pour simplifier au XXeme siècle.
Cela soulève toutefois une question cruciale: si les données en provenance des cernes d'arbre ne sont pas fiables après 1960, comment peut-on présumer qu'elles le sont avant ?"
Un des courriers "dérobé" parle d'une ruse ou d'une astuce souvent décrite comme "ajouter les données réelles à la série de température" , c'était très vague et j'ai mis du temps à comprendre ce que celà signifiait finalement ça s'est un peu éclairci.
résumé de http://www.republiquedebananes.com/?p=7854
Les données de dendrochronologie après 1960 ne montrent plus de réchauffement (cf Keith Briffa), elles seraient donc peu fiables,
pour mieux décrire la réalité ("thèse anthropistes")/pour la déformer (thèse "non-anthropistes") les chercheurs ajoutent (ou substituent?) les températures thermométriques à ces données à partir de cette période (je suppose avec une pondération ?) et obtiennent à ce moment une courbe en croissance continue ("en crosse de hokey"), pour simplifier au XXeme siècle.
Cela soulève toutefois une question cruciale: si les données en provenance des cernes d'arbre ne sont pas fiables après 1960, comment peut-on présumer qu'elles le sont avant ?"
http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=6324
« Un groupe de "Jeunes populaires" a décidé de prendre un bain dans la Seine dimanche 29 novembre. Leur but : sensibiliser sur le réchauffement climatique avant le Sommet de Copenhague »
C’était une mise en [large]Seine[/large], comme c’est indiqué ici par l’UMP.
« Un groupe de "Jeunes populaires" a décidé de prendre un bain dans la Seine dimanche 29 novembre. Leur but : sensibiliser sur le réchauffement climatique avant le Sommet de Copenhague »
C’était une mise en [large]Seine[/large], comme c’est indiqué ici par l’UMP.
Un excellent article du toujours excellent George Monbiot sur le Climategate. Il est en anglais mais il mérite l'effort de le lire. Pour ceux qui ne le connaissent pas, George Monbiot écrit des chroniques sur les questions d'environnement dans le quotidien anglais, The Guardian.
Dans cet article, il reproche aux scientifiques visés par ce scandale de répondre avec les méthodes habituelles de leurs contradicteurs, et que ce n'est certainement pas la bonne stratégie pour contrer ces derniers.
http://www.guardian.co.uk/environment/georgemonbiot/2009/nov/25/monbiot-climate-leak-crisis-response
Dans le même ton, un article du New Scientist, excellent hebdomadaire anglais de vulgarisation scientifique:
http://www.newscientist.com/article/mg20427363.200-researchers-must-stay-on-the-moral-high-ground.html
Dans cet article, il reproche aux scientifiques visés par ce scandale de répondre avec les méthodes habituelles de leurs contradicteurs, et que ce n'est certainement pas la bonne stratégie pour contrer ces derniers.
http://www.guardian.co.uk/environment/georgemonbiot/2009/nov/25/monbiot-climate-leak-crisis-response
Dans le même ton, un article du New Scientist, excellent hebdomadaire anglais de vulgarisation scientifique:
http://www.newscientist.com/article/mg20427363.200-researchers-must-stay-on-the-moral-high-ground.html
La question première est ya -t-il réchauffement ou non?
Cherchez les responsables, de l'activité humaine ou du cycle solaire est un débat de cours d'école que je laisse au géologue Claude allègre.
Allons nous attendre de savoir qui a raison en se croisant les bras?
Alors si le GIEC a raison, on aura l'air malin!
Si les adversaires du GIEC ont raison, on aura eu chaud et on se félicitera qu'ils aient eu raison car il sera trop tard de toutes façons pour faire quoi que ce soit si jamais ils ont eu tort.
Je préfère donc suivre les prescriptions du GIEC car au pire si ils ont tort, on aura eu peur pour rien.
Quand bien même il n'y aurait pas de réchauffement, faut-il continuer à déboiser à tout va et perdre toute la diversité terrestre?
Faut-il avoir peur de la fin du monde pour devenir écolo? Pour ne plus empoisonner nos enfants et la planète?
Cherchez les responsables, de l'activité humaine ou du cycle solaire est un débat de cours d'école que je laisse au géologue Claude allègre.
Allons nous attendre de savoir qui a raison en se croisant les bras?
Alors si le GIEC a raison, on aura l'air malin!
Si les adversaires du GIEC ont raison, on aura eu chaud et on se félicitera qu'ils aient eu raison car il sera trop tard de toutes façons pour faire quoi que ce soit si jamais ils ont eu tort.
Je préfère donc suivre les prescriptions du GIEC car au pire si ils ont tort, on aura eu peur pour rien.
Quand bien même il n'y aurait pas de réchauffement, faut-il continuer à déboiser à tout va et perdre toute la diversité terrestre?
Faut-il avoir peur de la fin du monde pour devenir écolo? Pour ne plus empoisonner nos enfants et la planète?
D'après les quelques emails que j'ai lu je ne suis pas choqué et il me semblent qu'ils sont représentatifs de ce qu'est la science en train de se faire dans ses bons et ses mauvais côtés. Je n'y vois ni complot ni manipulation.
Il est vrai que le grand public à une image faussée de ce qu'est la science en construction. Pour caricaturer légèrement, il s'imagine des chercheurs coupés du monde, vivant dans la contemplation, qui attendent que l'idée géniale jaillisse sur fond de musique classique. Idée qui s'imposera naturellement à tous immédiatement comme une vérité révélée car elle sera la plus rationnelle.
Or la pratique scientifique n'est absolument pas de cette ordre. L'ouvrage de référence pour y voir plus clair est : La science en action de Bruno Latour
Les chercheurs sont des gens comme tout le monde, soumis à une forte concurrence, cherchant la reconnaissance et prêt à défendre leur bout d'idée contre vent et marée, lâchant difficilement le morceau face à des idées nouvelles, élaborant ainsi des stratégies de conquête pour convaincre le reste de la communauté. Ce qui est appelé découverte scientifique est alors le résultat de ces batailles argumentatives issu d'un consensus.
Du coup oui les arrières cuisines de la fabrication des découvertes scientifiques sont brouillonnes, avec des bouts de ficelle, des contradictions, des pistes abandonnées. Les chercheurs ne sont parfois pas tendre entre eux et il arrive également comme dans tout groupe humain de débiner un collègue en pensant qu'il est nul. Cette « violence » toute relative tranche effectivement avec ce qui est résumé en deux lignes définitives auprès du grand public.
Mais ce qui compte au final est la publication qui a passé la sélection de l'acceptation par les pairs qui est la seule à même d'être critiquée.
Là aussi il fait nuancer car le souligne PetitPiteux le « publish or perish » qui veut que le chercheur soit évalué selon ses publications provoque des publications de mauvaise qualité.
Ps : sinon d'autres lien sur cette question ici puis ici sur realclimate.org
Il est vrai que le grand public à une image faussée de ce qu'est la science en construction. Pour caricaturer légèrement, il s'imagine des chercheurs coupés du monde, vivant dans la contemplation, qui attendent que l'idée géniale jaillisse sur fond de musique classique. Idée qui s'imposera naturellement à tous immédiatement comme une vérité révélée car elle sera la plus rationnelle.
Or la pratique scientifique n'est absolument pas de cette ordre. L'ouvrage de référence pour y voir plus clair est : La science en action de Bruno Latour
Les chercheurs sont des gens comme tout le monde, soumis à une forte concurrence, cherchant la reconnaissance et prêt à défendre leur bout d'idée contre vent et marée, lâchant difficilement le morceau face à des idées nouvelles, élaborant ainsi des stratégies de conquête pour convaincre le reste de la communauté. Ce qui est appelé découverte scientifique est alors le résultat de ces batailles argumentatives issu d'un consensus.
Du coup oui les arrières cuisines de la fabrication des découvertes scientifiques sont brouillonnes, avec des bouts de ficelle, des contradictions, des pistes abandonnées. Les chercheurs ne sont parfois pas tendre entre eux et il arrive également comme dans tout groupe humain de débiner un collègue en pensant qu'il est nul. Cette « violence » toute relative tranche effectivement avec ce qui est résumé en deux lignes définitives auprès du grand public.
Mais ce qui compte au final est la publication qui a passé la sélection de l'acceptation par les pairs qui est la seule à même d'être critiquée.
Là aussi il fait nuancer car le souligne PetitPiteux le « publish or perish » qui veut que le chercheur soit évalué selon ses publications provoque des publications de mauvaise qualité.
Ps : sinon d'autres lien sur cette question ici puis ici sur realclimate.org
Enfin!
amha avis, le principale interet de l'affaire est de parler de science en train de ce faire, et de rappeler quelques questions épistémologique de base, souvent oublier par tous (public, politique comme scientifique), sur la science et les liens entre la science et la société. D'autant plus pertinent que notre ministre a décrété récement que la science existant pour rendre service à la société, confondant allègrement (pun not intended) science et technologie, mais c'est une autre histoire.
L'autre point intéressant est un gros plan sur les effets collatéraux du 'publish or perish' (cf http://tomroud.com/2009/11/28/un-regard-deconomiste-sur-le-climategate-nope/). On ne peut pas pressurer indéfiniment les chercheurs via une compétition permanente entre eux pour des ressources et des postes, rajouté des pressions de la société civile, et attendre d'eux qu'ils restent la perfection rationnelle et désintéressé incarné...
L'autre point intéressant est un gros plan sur les effets collatéraux du 'publish or perish' (cf http://tomroud.com/2009/11/28/un-regard-deconomiste-sur-le-climategate-nope/). On ne peut pas pressurer indéfiniment les chercheurs via une compétition permanente entre eux pour des ressources et des postes, rajouté des pressions de la société civile, et attendre d'eux qu'ils restent la perfection rationnelle et désintéressé incarné...
Quelques remarques quand même:
1) Les scientifiques sont des humains avec leurs travers et leurs faiblesses. Ils trichent et s'entredéchirent autant que tout le monde. Mais la plupart des articles scientifiques subissent une inspection détaillée par d'autres scientifiques indépendants, ce qui n'est le cas ni des blogs, ni des discours des politiques. Imaginez que les discours de Sarkosy doivent tous être approuvés par le PS et le Modem pour pouvoir être prononcés...
2) Si vos email des 10 dernières années se retrouvaient sur le net à votre insu, êtes-vous certain qu'ils seraient exempts de toute mesquinerie et autre manquement éthique ou moral? N'y aurait-il pas moyen d'en instrumentaliser l'un ou l'autre pour vous faire passer pour un tricheur ou un incompétent?
3) La climatologie est une science et il est impossible de transmettre au grand public toutes ses subtilités et les débats qui y ont lieu. Le problème, c'est qu'il faut communiquer sur le climat puisque qu'il est nécessaire de prendre des décisions politiques à son sujet. Hélas, la seule façon de faire passer des messages à des non-experts est de le sur-simplifier et de le déformer.
Je trouve ça intellectuellement lamentable, mais je pense vraiment que le débat sur le climat ne peut et ne doit pas être un débat public. L'homme de la rue ne peut pas être pour ou contre le changement climatique. Soit on est climatologue et on a des arguments scientifiques soit on n'a rien à dire.
4) Je travaille dans un labo qui fait aussi de la climatologie. S'il est certain que des perturbations climatiques sont apparues au cours du dernier millénaire sans l'intervention de l'homme et que, par conséquent d'autre phénomènes dirigent aussi le climat (soleil, mouvement de la Terre, etc.), il est aussi indéniable que jamais dans l'histoire on n'a relâche autant de CO2 dans l'atmosphère en un temps si court. Et on ne voit pas non plus comment une telle quantité de CO2 supplémentaire dans l'atmosphère n'engendrerait pas d'effet de serre.
5) Je n'ai rien lu sur ces emails qui discrédite réellement des travaux du GIEC. On peut chicaner sur deux jeux de données qui divergent, on peut discuter sur la signification de statistiques sur seulement 10 ans en climatologie, on peut réfléchir sur le sens même du concept de température globale, ça ne change rien au fait que l'homme injecte des quantités pharaoniques de gaz à effet de serre dans l'atmosphère pour le moment, que le climat évolue plus rapidement que jamais dans l'histoire récente et que les deux sont indéniablement liés.
1) Les scientifiques sont des humains avec leurs travers et leurs faiblesses. Ils trichent et s'entredéchirent autant que tout le monde. Mais la plupart des articles scientifiques subissent une inspection détaillée par d'autres scientifiques indépendants, ce qui n'est le cas ni des blogs, ni des discours des politiques. Imaginez que les discours de Sarkosy doivent tous être approuvés par le PS et le Modem pour pouvoir être prononcés...
2) Si vos email des 10 dernières années se retrouvaient sur le net à votre insu, êtes-vous certain qu'ils seraient exempts de toute mesquinerie et autre manquement éthique ou moral? N'y aurait-il pas moyen d'en instrumentaliser l'un ou l'autre pour vous faire passer pour un tricheur ou un incompétent?
3) La climatologie est une science et il est impossible de transmettre au grand public toutes ses subtilités et les débats qui y ont lieu. Le problème, c'est qu'il faut communiquer sur le climat puisque qu'il est nécessaire de prendre des décisions politiques à son sujet. Hélas, la seule façon de faire passer des messages à des non-experts est de le sur-simplifier et de le déformer.
Je trouve ça intellectuellement lamentable, mais je pense vraiment que le débat sur le climat ne peut et ne doit pas être un débat public. L'homme de la rue ne peut pas être pour ou contre le changement climatique. Soit on est climatologue et on a des arguments scientifiques soit on n'a rien à dire.
4) Je travaille dans un labo qui fait aussi de la climatologie. S'il est certain que des perturbations climatiques sont apparues au cours du dernier millénaire sans l'intervention de l'homme et que, par conséquent d'autre phénomènes dirigent aussi le climat (soleil, mouvement de la Terre, etc.), il est aussi indéniable que jamais dans l'histoire on n'a relâche autant de CO2 dans l'atmosphère en un temps si court. Et on ne voit pas non plus comment une telle quantité de CO2 supplémentaire dans l'atmosphère n'engendrerait pas d'effet de serre.
5) Je n'ai rien lu sur ces emails qui discrédite réellement des travaux du GIEC. On peut chicaner sur deux jeux de données qui divergent, on peut discuter sur la signification de statistiques sur seulement 10 ans en climatologie, on peut réfléchir sur le sens même du concept de température globale, ça ne change rien au fait que l'homme injecte des quantités pharaoniques de gaz à effet de serre dans l'atmosphère pour le moment, que le climat évolue plus rapidement que jamais dans l'histoire récente et que les deux sont indéniablement liés.
Est ce que les 1073 mails parlent de 2012 ?????
Bonjour,
Puisque des liens sont demandés, je voudrais faire partager la conférence donnée l'été dernier à Nantes par Vincent Courtillot qui est géophysicien et non climatologue ce qui lui donne (d'après lui) un regard neuf sur le sujet. Je casse le suspense tout de suite : il fait partie des climato-sceptiques. Son discours est clair et accessible (je pense) à un non-scientifique. La conférence est disponible en audio ou en vidéo (que je conseille plus que l'audio, c'est plus intéressant quand on commente des courbes). Le but de son propos n'est pas de donner tort au rechauffistes mais de se demander pourquoi ils ont choisis d'occulter certaines théories (comme l'importance de l'influence de l'activité du soleil) d'emblée et de nous donner les clés pour décortiquer les images utilisées par les rechauffistes comme par exemple par Al Gore dans son fameux documentaire.
lien vers le site de l'université de nantes :
http://www.js.univ-nantes.fr/14918022/0/fiche___pagelibre/&RH=1246367987292
Puisque des liens sont demandés, je voudrais faire partager la conférence donnée l'été dernier à Nantes par Vincent Courtillot qui est géophysicien et non climatologue ce qui lui donne (d'après lui) un regard neuf sur le sujet. Je casse le suspense tout de suite : il fait partie des climato-sceptiques. Son discours est clair et accessible (je pense) à un non-scientifique. La conférence est disponible en audio ou en vidéo (que je conseille plus que l'audio, c'est plus intéressant quand on commente des courbes). Le but de son propos n'est pas de donner tort au rechauffistes mais de se demander pourquoi ils ont choisis d'occulter certaines théories (comme l'importance de l'influence de l'activité du soleil) d'emblée et de nous donner les clés pour décortiquer les images utilisées par les rechauffistes comme par exemple par Al Gore dans son fameux documentaire.
lien vers le site de l'université de nantes :
http://www.js.univ-nantes.fr/14918022/0/fiche___pagelibre/&RH=1246367987292
La politique ne devrait pas avoir sa place dans un débat scientifique.
Il est honteux de dresser les partisans d'une thèse contre les autres, laissons les faire leur travail qui nécessite des années sans aucun doute, pour démêler les approximations nécessaires au raisonnement, des manipulations.
Il est honteux de dresser les partisans d'une thèse contre les autres, laissons les faire leur travail qui nécessite des années sans aucun doute, pour démêler les approximations nécessaires au raisonnement, des manipulations.
Comment mettre en doute le modèle du réchauffement climatique? Le modèle
prévoit une hausse des températures et la courbe prévisionnelle qui en découle est
si affolante que la survie même de l'humanité est en jeu.
La réflexion scientifique se "heurte" à un consensus, qui lui même est entretenu
par des intérêts économiques et l'implication de tous les politiques, qui ne peuvent pas
ne pas intervenir sur un sujet aussi grave.
Le hic c'est qu'en effet les 10 premières années d'observation ne suivent pas cette courbe
et contredisent le modèle, c'est pour le moins gênant.
Alors la polémique va continuer de plus belle. Les pros et les contre, vont continuer à
polémiquer en sortant de nouveaux modèles, se battant à grand renfort d'arguments
d'autorité ou de sondages.
Mais tout ce débat est vain depuis le début, car quand on parle de climat on n'est pas
à notre échelle, on n'est même pas à l'échelle de l'histoire.
Absurde de parler de changement climatique à court terme.
Le modèle du réchauffement est bon ou non, 10 ans ne permettent pas de conclure,
dans un sens ou dans l'autre. Seule l'observation à long terme permettra, non de le valider,
personne ne peut avoir la prétention d'avoir un modèle juste sur un phénomène aussi complexe,
mais de l'améliorer.
Il n'y a pas de "climatgate". Les scientifiques discutent entre eux, depuis toujours. Que l'on
mette sur la place publique ces discussions est assez sain, c'est même assez jouissif tant
l'on est agacé d'entendre "le réchauffement" à toutes les sauces. D'ailleurs Sarkozy y est plus
sensible qu'Obama,...c'est un signe.
Réchauffement climatique?
Vous ne trouvez pas qu'il fait très froid ce matin?
prévoit une hausse des températures et la courbe prévisionnelle qui en découle est
si affolante que la survie même de l'humanité est en jeu.
La réflexion scientifique se "heurte" à un consensus, qui lui même est entretenu
par des intérêts économiques et l'implication de tous les politiques, qui ne peuvent pas
ne pas intervenir sur un sujet aussi grave.
Le hic c'est qu'en effet les 10 premières années d'observation ne suivent pas cette courbe
et contredisent le modèle, c'est pour le moins gênant.
Alors la polémique va continuer de plus belle. Les pros et les contre, vont continuer à
polémiquer en sortant de nouveaux modèles, se battant à grand renfort d'arguments
d'autorité ou de sondages.
Mais tout ce débat est vain depuis le début, car quand on parle de climat on n'est pas
à notre échelle, on n'est même pas à l'échelle de l'histoire.
Absurde de parler de changement climatique à court terme.
Le modèle du réchauffement est bon ou non, 10 ans ne permettent pas de conclure,
dans un sens ou dans l'autre. Seule l'observation à long terme permettra, non de le valider,
personne ne peut avoir la prétention d'avoir un modèle juste sur un phénomène aussi complexe,
mais de l'améliorer.
Il n'y a pas de "climatgate". Les scientifiques discutent entre eux, depuis toujours. Que l'on
mette sur la place publique ces discussions est assez sain, c'est même assez jouissif tant
l'on est agacé d'entendre "le réchauffement" à toutes les sauces. D'ailleurs Sarkozy y est plus
sensible qu'Obama,...c'est un signe.
Réchauffement climatique?
Vous ne trouvez pas qu'il fait très froid ce matin?
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
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Pour moi, la phrase la plus inquiétante de ces e-mails piratée, beaucoup plus grave que de s'écharper sur le sens du mot "trick" , si elle était vraie (et pour l'instant, à ma connaissance, elle n'a pas été démentie), serait cette phrase de Keith Briffa à Michaël Mann :
I tried hard to balance the needs of the science and the IPCC , which were not always the same
en français :
Je me suis donné beaucoup de mal pour trouver un équilibre entre les besoins de la science et ceux du GIEC qui n'ont pas toujours été les mêmes.
Ainsi, le GIEC ne serait pas de la science
I tried hard to balance the needs of the science and the IPCC , which were not always the same
en français :
Je me suis donné beaucoup de mal pour trouver un équilibre entre les besoins de la science et ceux du GIEC qui n'ont pas toujours été les mêmes.
Ainsi, le GIEC ne serait pas de la science