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Sur BFMTV, Marine Tondelier a affronté Apolline De malherbe

Après la polémique, le débat, ou plutôt les débats. Comme prévu, Gabriel Attal, puis Marine Tondelier, puis Jordan Bardella se sont succédé le 3 juillet sur le plateau de BFMTV. Focus sur le passage de la candidate Nouveau Front Populaire, qui n’a de fait pas pu débattre avec le leader du Rassemblement National, mais a eu fort à faire face aux… journalistes de BFMTV, Apolline de Malherbe en tête.

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Mais quand est-ce que les gens qui se disent de "gauche" comprendront qu'ils doivent gagner leurs électeurs dans la rue et le porte à porte, et non pas chez dans ces médias chiens de garde le l'ordre social si favorables aux grands patrons qui les po(...)

Marine Tondelier s'en est bien sorti. Notemment quand Duhamel l'a asticotée sur ses alliés de LFI antisémites. Elle a eu beau jeu de rappeler que l'antisémitisme est un délit et que personne à LFI n'a été condamné, contrairement aux nombreux RN éping(...)

Quand on en face de soi, le rejeton Duhamel, la contesse de Malherbe , et Doze l'ultra libéral, ce n'est plus une interview, mais un interrogatoire.

Sur que le traitement réservé à Attal et Bardella a été plus complaisant. 

Et pourtant dame Tondel(...)

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Une écolo pour débroussailler Apolline de Mauvaise-Herbe, c'est insuffisant....


Le bicarbonate de soude, peut-être ?  Le purin d'ortie ? 

Marine Tondelier aurait dû faire un croche-pied à Bardella en le croisant quand elle a quitté le plateau.

Merci pour cette analyse. Et chapeau à Marine Tondelier. Je ne sais pas comment elle a réussi à garder son calme, son "alignement". Et ses arguments, plutôt bien placés. Et sa générosité, sur le plan social. 


Je ne connaissais pas son expérience humanitaire, seulement son côté "luttes écolos de terrain".

Cela m'a fait du bien de l'écouter... tous les politiques ne sont pas narcissiques, youpee.

Les Malherbe, Doze et Duhamel piaffent d’impatience,  ils n’en peuvent plus d’attendre l’arrivée du RN.

Au bout de ces quinze minutes d'interview, on en sait finalement plus sur la vision économique de Nicolas Doze, que sur celle de Marine Tondelier.  


C'est exactement ça, ! Et même pire, c'était presque du mansplaining, lui qui savait, expliquait à elle qui était juste trop débile... Regarder par exemple de 35'30 à 37', ce ton condescendant, ces "Je sais", je connais par coeur"... Il était là pour l'interviewer ! 


Objectif atteint pour BFM, elle n'a pas pu parler de son programme, tandis que Bardella a pu tranquillement dérouler son funeste projet. BFM comme Cnews  avec leurs journalistes de pacotille, sont des parasites de l'information. 

La sequence sur l'appel a la VAR aurait du figurer dans l'article 😼

Affligeant

No pasaran c'est quand meme un sacré clip de campagne pour le RN.

Quand on en face de soi, le rejeton Duhamel, la contesse de Malherbe , et Doze l'ultra libéral, ce n'est plus une interview, mais un interrogatoire.

Sur que le traitement réservé à Attal et Bardella a été plus complaisant. 

Et pourtant dame Tondelier est devenue la nouvelle égérie de la presse bourgeoise. Genre l'immonde, Libé, qui ont fait leurs gros titres sur elle. Façon de marginaliser ceux qu'ils redoutent le plus : LFI.

Mais quand est-ce que les gens qui se disent de "gauche" comprendront qu'ils doivent gagner leurs électeurs dans la rue et le porte à porte, et non pas chez dans ces médias chiens de garde le l'ordre social si favorables aux grands patrons qui les possèdent? 

Il peut y avoir pire bien sûr dans l'obéissance intéressée aux moeurs de ces "médias".  Certaines  gens se prétendant de gauche qui, espérant conquérir des voix, sont près à mettre la morale et leur honneur sous le tapis en reprenant la chanson que leur impose les médias: Mélanchon est antisémite, LFI soutient le Hamas, etc, etc (et Tondelier est prête à aller dans cette voix visiblement).
Le Monde Diplo, dans son hors série sur l'immigration, se disait que si un jour les immigrés arrivaient à faire une grêve générale tous ensemble, l'économie française s'effondrerait. Les vrais gens de gauche devraient faire la grêve des médias. On n'en peut plus de cette fausse démocratie où on nous fait croire qu'il faut aller se faire massacrer et passer à tabac par des journalistes ouvertement engagés à droite et malhonnêtes en toute tranquilité. Ça suffit, on étoufe  !

Voilà des mois que je me demande pour quelle raison les gens qui se disent de "gauche" ou le sont continuent d'aller sur ces plateaux et n'obéissent pas à un embargo total de ces médias. Qu'y a t il à y gagner, ces médias manipulent jusqu'à l'affichage avec des bandeaux ce que les interviewés sont en train de dire, et ne parlons pas des coupures de parole, des interventions de présentateurs qui sont tout sauf respectueux de leurs interviewé.es

et pour quel résultat ????

que peut penser après un tel interview le téléspectateur/trice qui est déjà front-nationalisé.e à bloc à force de regarder ces programmes!!!!

Une écoute attentive des propos de la personne interviewée serait de l'ordre du miracle

Et si la gauche ne se rend plus dans les médias, que croyez vous qu'il se passera : disparition totale du discours de gauche. Il n'y a pas mieux à faire ?

"dans CES médias" (cnews, bfmtv, ....) , ne pas leur donner une caution de soi-disant débat, et ne pas servir à leur offre de pugilat en direct


Ne fréquenter que les médias où il y a encore des possibilités de contradiction, de présentation du discours de gauche comme vous dites sans que celui-ci face l'objet d'un matraquage ou d'une bastonnade immédiate, voire d'une "ratonnade"

Le problème, c'est si les politiques, aussi bien de gauche que de droite, continuent à laisser les empires des Bolloré, Saadé et autres milliardaires s'accroître. Je n'oublie pas que ce sont les socialos qui, du temps de Mitterrand, ont élargi le périmètre de ce que les patrons de presse pouvaient posséder.

Je ne comprends pas en quoi c'est un drôle de reproche ? Et le lien que vous donnez n'a rien à voir avec ce que je dis. La libéralisation contrôlée des ondes ne devant pas forcément aboutir à la concentration des médias entre les mains d'une poignée de milliardaires. 

Et puis le raisonnement de Jeanneney est tordu. Si les socialos n'avaient pas ouvert les vannes en grand en permettant aux requins de racheter les radios dites libres après leur avoir coupé les vivres (je le sais pertinamment, j'étais de l'aventure des radios libres et j'ai vu le fond de péréquation prélevé sur les ressources publicitaires s'amenuiser d'année en année), il y aurait encore des radios associatives en nombre.

Par ailleurs, quand j'évoquais la responsabilité des socialos, je pensais surtout à la presse écrite. J'ai eu l'occasion de rappeler sur un autre fil que lorsque le collabo Hersant, propriétaire du Figaro, violait allègrement les lois anti-concentrations en rachetant des journaux, son ami François Mitterrand (ils étaient tous les deux dans le même parti quand ils étaient jeunes) a fait changer par la loi le périmètre de ce qu'un même propriétaire pouvait posséder afin qu'il rentre dans les clous.

"il y aurait encore des radios associatives en nombre."


Oui, la disparition programmée des radios associatives, après tout le boulot qu'elles avaient fait, et les espoirs qu'elles avaient suscité, mériterait bien un petit rappel historique et une analyse politique de la manière dont ça s'est passé. 


Un beau sujet pour un  ou une journaliste d'ASI

Voire pour une série d'été.

Cette soirée électorale était déplorable de bout en bout.
Que BFM cède à la demande de Bardella, que l'écologie ne soit abordée nulle part (sauf vite fait par Attal en mode vive le nucléaire et les voitures électriques), les questions partisanes à Tondelier (on en parle de "l'effet Laffer" ?) et les questions molles à Bardella.

En dessous de tout.

Comme toute cette campagne et la précédente.


Marine Tondelier s'en est bien sorti. Notemment quand Duhamel l'a asticotée sur ses alliés de LFI antisémites. Elle a eu beau jeu de rappeler que l'antisémitisme est un délit et que personne à LFI n'a été condamné, contrairement aux nombreux RN épinglés pour racisme, antisémitisme ou violence. Elle n'a pas manqué de demander à Duhamel d'interroger Bardella (qui devait lui succéder sur le plateau) sur le sujet. Duhamel l'a promis, mais je ne sais pas s'il l'a fait.

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