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Vapotage et conflit d'intérêt : grave, docteur ?
La cigarette électronique ? Pas nette, la cigarette électronique
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Derniers commentaires
Oulalah, mais on me dit rien à moi !
Keskejapprends ? Ya une cigarette qui fait comme une cigarette sans faire comme la cigarette ? Une sorte de canada dry mais pas dry ?
Mais c'est géniââl !
On attend le whisky hors d'âge électronique, la chérie à son DSK électronique, les brozoufs à Tapie électroniques, le pouvoir à tant d'autres électronique, ...
et la paix pour nous autres, électronique aussi ?
On n'arrête pas le progrès. Il s'arrête tout seul, comme un grand.
Keskejapprends ? Ya une cigarette qui fait comme une cigarette sans faire comme la cigarette ? Une sorte de canada dry mais pas dry ?
Mais c'est géniââl !
On attend le whisky hors d'âge électronique, la chérie à son DSK électronique, les brozoufs à Tapie électroniques, le pouvoir à tant d'autres électronique, ...
et la paix pour nous autres, électronique aussi ?
On n'arrête pas le progrès. Il s'arrête tout seul, comme un grand.
Annessa,
Des élèves (de milieux "aisés" ?) "vapotent" en cours ?
Et si vous décidez de le mentionner (rien ne vous en empêche, je doute que cela soit un motif légitime de licenciement) soit directement aux parents ou dans leur carnet, ces derniers ne vont pas en parler avec leur enfant ?
* * *
Question : pourquoi deux titres différents entre la version "vite-dits gratuits" et version "forum" ?
Les liens médecins-labos (qui ne vont pas jusqu'à se marier ou fricoter ensemble) ne sont pas le véritable problème. Comme l'auteur de l'article le rappelle, il y a une loi, et c'est à vous - journalistes - d'être exigeants lors de l'interview. Mieux encore, le faire bien en amont par exemple lorsque vous lancez une invitation pour discuter d'un sujet ou vous renseigner.
En revanche, je m'interroge davantage quant à la relation de l'Etat avec des industries du tabac, de par les taxes imposées à ce produit, nocif pour la santé comme le stipule les pouvoirs publics sur les paquets.
De plus, rien n'empêche à chacun de s'informer - indépendamment et librement.
Rapport, Le tabac en France (2009) : http://dnf.asso.fr/IMG/pdf/Rapport_Tabac_en_France_.pdf (pp 41-43 "La cigarette électronique ou l'e-cigarette")
Rapport de l'OMS (2000) : http://www.who.int/tobacco/resources/publications/general/en/inquiry_fr.pdf
L'image sociale du tabac : INPES : http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/tabac/image-tabac/image-sociale.asp
Des élèves (de milieux "aisés" ?) "vapotent" en cours ?
Et si vous décidez de le mentionner (rien ne vous en empêche, je doute que cela soit un motif légitime de licenciement) soit directement aux parents ou dans leur carnet, ces derniers ne vont pas en parler avec leur enfant ?
* * *
Question : pourquoi deux titres différents entre la version "vite-dits gratuits" et version "forum" ?
Les liens médecins-labos (qui ne vont pas jusqu'à se marier ou fricoter ensemble) ne sont pas le véritable problème. Comme l'auteur de l'article le rappelle, il y a une loi, et c'est à vous - journalistes - d'être exigeants lors de l'interview. Mieux encore, le faire bien en amont par exemple lorsque vous lancez une invitation pour discuter d'un sujet ou vous renseigner.
En revanche, je m'interroge davantage quant à la relation de l'Etat avec des industries du tabac, de par les taxes imposées à ce produit, nocif pour la santé comme le stipule les pouvoirs publics sur les paquets.
De plus, rien n'empêche à chacun de s'informer - indépendamment et librement.
Rapport, Le tabac en France (2009) : http://dnf.asso.fr/IMG/pdf/Rapport_Tabac_en_France_.pdf (pp 41-43 "La cigarette électronique ou l'e-cigarette")
Rapport de l'OMS (2000) : http://www.who.int/tobacco/resources/publications/general/en/inquiry_fr.pdf
L'image sociale du tabac : INPES : http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/tabac/image-tabac/image-sociale.asp
Pour apporter une information non médicale dans le débat sur le "vapotage"
Dans les lycées, il est interdit de fumer mais pas de vapoter donc certains élèves "vapotent" en cours. Vous ne pouvez pas les exclure car ils ne font rien de répréhensible si ce n'est de se moquer de leur enseignant... mais cela n'est pas réellement un motif d'exclusion de cours. Si vous rajoutez que les cigarettes électroniques sont encore limitées aux milieux aisés, vous ne pouvez même pas mettre une ligne sur un carnet car les parents des milieux privilégiés sont toujours attentifs aux intérêts de leurs chers petits.
Conclusion : je ne sais toujours pas si le "vapotage" est nuisible aux poumons mais je suis pour son interdiction car il est source de dépressions...
Dans les lycées, il est interdit de fumer mais pas de vapoter donc certains élèves "vapotent" en cours. Vous ne pouvez pas les exclure car ils ne font rien de répréhensible si ce n'est de se moquer de leur enseignant... mais cela n'est pas réellement un motif d'exclusion de cours. Si vous rajoutez que les cigarettes électroniques sont encore limitées aux milieux aisés, vous ne pouvez même pas mettre une ligne sur un carnet car les parents des milieux privilégiés sont toujours attentifs aux intérêts de leurs chers petits.
Conclusion : je ne sais toujours pas si le "vapotage" est nuisible aux poumons mais je suis pour son interdiction car il est source de dépressions...
Bonjour
Tout ceci est un nuage de fumée…
Pendant ce temps là un des 3 juges arbitre du contentieux Tapie est mis en garde à vue.
Ça commence à sentir le roussi pour la clique précédente de l'Elysée.
Tout ceci est un nuage de fumée…
Pendant ce temps là un des 3 juges arbitre du contentieux Tapie est mis en garde à vue.
Ça commence à sentir le roussi pour la clique précédente de l'Elysée.
Suis-je la seule mesquine?
Voici ma question, très terre-à-terre comme toujours : à combien se montent des revenus "négligeables?
Voici ma question, très terre-à-terre comme toujours : à combien se montent des revenus "négligeables?
[quote=Le Matinaute]Le plus désolant dans l'épisode, c'est qu'il est tout à fait possible que le vapotage présente, en effet, des risques.
On réinvente le stratagème de la servante d'Ali Baba: ne pouvant plus empêcher la révélations des nuisances, on met des croix sur toutes les portes. Elle en est où, la "recherche participative"? C'est pas urgent, de libérer l'expertise de ces conflits d'intérêt tous azimuts qui nous embrouillent (volontairement) les idées?
Quand même, j'aimerais pas ingurgiter, en plus de la nicotine, du propylène glycol et des arômes indéterminés... D'autant que, j'imagine, la composition exacte du produit restera secrète. Bah, on en a "avalé" d'autres. Sans compter le micro-processeur. C'est raisonnable, du point de vue plus global de la préservation de la planète, de mettre un microprocesseur dans une fausse clope?
On réinvente le stratagème de la servante d'Ali Baba: ne pouvant plus empêcher la révélations des nuisances, on met des croix sur toutes les portes. Elle en est où, la "recherche participative"? C'est pas urgent, de libérer l'expertise de ces conflits d'intérêt tous azimuts qui nous embrouillent (volontairement) les idées?
Quand même, j'aimerais pas ingurgiter, en plus de la nicotine, du propylène glycol et des arômes indéterminés... D'autant que, j'imagine, la composition exacte du produit restera secrète. Bah, on en a "avalé" d'autres. Sans compter le micro-processeur. C'est raisonnable, du point de vue plus global de la préservation de la planète, de mettre un microprocesseur dans une fausse clope?
On pourrait aussi demander les liens entre le pédopsychiatre qui commente l'actualité du matin et France Inter ? J'ai beaucoup de mal à comprendre son utilité dans cette séquence...
Une question technique sur la cigarette électronique :
Est-il possible de remplacer la nicotine par de l'extrait de cannabis ?
Est-il possible de remplacer la nicotine par de l'extrait de cannabis ?
Ça m'agace, la cigarette électronique. Et je n'arrive pas bien à savoir pourquoi. Mais ça m'agace. Peut-être car c'est un produit qui incarne des aspects de notre époque qui m'agacent ?
(...) d'autant que le vapotage, remarquent les mauvais esprits, prive aussi l'Etat de recettes fiscales liées à la consommation du tabac véritable (...)
Allez comprendre.
Comment l'Etat, dont l'action se doit être conforme à l'intérêt public, peut-il mettre en place une taxe et percevoir des recettes sur un produit - jugé toxique pour la santé des citoyens ?
En outre, avoir l'idée de mettre sur les paquets ce produit (qui n'est pas bon pour la santé publique) des "avertissements" et images (un peu beaucoup choquantes) destinées aux personnes qui contribuent à ces recettes publiques générées ?
Allez comprendre.
Comment l'Etat, dont l'action se doit être conforme à l'intérêt public, peut-il mettre en place une taxe et percevoir des recettes sur un produit - jugé toxique pour la santé des citoyens ?
En outre, avoir l'idée de mettre sur les paquets ce produit (qui n'est pas bon pour la santé publique) des "avertissements" et images (un peu beaucoup choquantes) destinées aux personnes qui contribuent à ces recettes publiques générées ?
[quote=Ab]Comment l'Etat, dont l'action se doit être conforme à l'intérêt public, peut-il mettre en place une taxe et percevoir des recettes sur un produit - jugé toxique pour la santé des citoyens ?
C'est le principe d'une Taxe Pigouvienne, dont le but initial est de corriger les externalités négatives causées par une activité (ici le coût des problèmes de santé causés par le tabagisme).
C'est le principe d'une Taxe Pigouvienne, dont le but initial est de corriger les externalités négatives causées par une activité (ici le coût des problèmes de santé causés par le tabagisme).
Merci !
Cependant, mes interrogations demeurent.
Est-ce, véritablement, le moyen le plus efficace pour lutter contre un produit dit (par l'Etat) nocif pour la santé ?
Qu'est-ce qui est le plus grave et endosse davantage de responsabilité : l'agent qui vend un produit (addictif et nocif pour la santé) ou celui qui l'achète ?
De quel côté un Etat et ses pouvoirs publics devraient-ils soutenir : les intérêts (santé) de ses citoyens ou les intérêts économiques d'une entreprise (qui vend un tel produit, ayant de tels effets sur la santé publique) ?
Si l'Etat décide qu'un agent est libre d'acheter un produit (avec des effets indésirables sur sa santé). Dans ce cas, pourquoi : a) faire des "campagnes" soit-disant de "prévention" ; b) les imposer une taxe (à partir de quels critères ? Pourquoi ne pas cibler directement les vendeurs de ces produits ?) avec des photos horribles ?
Pourquoi ces règles "exceptionnelles" appliquées au tabac et non pas à d'autres produits - interdits de vente - et qui contiennent des substances addictives et nocives pour la santé.
Jetez un petit coup d'oeil au Monde daté du 28/05/2013. C'est assez alarmant le rapport des Français et des jeunes par rapport aux drogues.
Cependant, mes interrogations demeurent.
Est-ce, véritablement, le moyen le plus efficace pour lutter contre un produit dit (par l'Etat) nocif pour la santé ?
Qu'est-ce qui est le plus grave et endosse davantage de responsabilité : l'agent qui vend un produit (addictif et nocif pour la santé) ou celui qui l'achète ?
De quel côté un Etat et ses pouvoirs publics devraient-ils soutenir : les intérêts (santé) de ses citoyens ou les intérêts économiques d'une entreprise (qui vend un tel produit, ayant de tels effets sur la santé publique) ?
Si l'Etat décide qu'un agent est libre d'acheter un produit (avec des effets indésirables sur sa santé). Dans ce cas, pourquoi : a) faire des "campagnes" soit-disant de "prévention" ; b) les imposer une taxe (à partir de quels critères ? Pourquoi ne pas cibler directement les vendeurs de ces produits ?) avec des photos horribles ?
Pourquoi ces règles "exceptionnelles" appliquées au tabac et non pas à d'autres produits - interdits de vente - et qui contiennent des substances addictives et nocives pour la santé.
Jetez un petit coup d'oeil au Monde daté du 28/05/2013. C'est assez alarmant le rapport des Français et des jeunes par rapport aux drogues.
Vos interrogations (comme les miennes) demeurent ... et pour cause !
il me semble que vous posez ici la question de l'intérêt d'interdire la distribution (voire de pénaliser l'usage ?) de substances dont la consommation entraîne des dépenses de santé, c'est à dire un coût pris en charge par tous.
Vaste et complexe sujet. Chacun ses idées, ses théories. Aucune société contemporaine n'a encore défini et mis en pratique une attitude satisfaisante ...
Concernant les mauvais esprits dont parle le matinaute, on peut sans trop de risque dire qu'ils se fourrent le doigt dans l’œil, et peut-être même qu'ils voient le mal partout (ce qui peut sembler antinomique ... ou pléonastique).
Les dépenses de santé engendrées par les pathologie liées au tabac dépassent les recettes issues de la taxe sur les cigarettes.
A ce propos (ou pas très loin), un article du bulletin épidémiologique hebdomadaire paru aujourd'hui rapporte qu'un remboursement à 100% des méthodes médicamenteuses actuelles (essentiellement les patchs à la nicotine) serait "coût-efficace" . C'est-à-dire que les économies réalisées dépasseraient le coût engendré par un tel remboursement. Les mauvais esprits en question mesurent mal l'ampleur des coûts générés par les pathologies liées au tabac (1 fumeur sur 2 meurt d'une pathologie liée au tabac, le plus souvent des suites d'une longue et coûteuse maladie ...)
(l'article est consultable en ligne, en plus d'autres articles très intéressants autour du tabagisme : la conception et les pratiques des mineurs, l'intérêt des paquets "banalisés", etc : http://www.invs.sante.fr/Publications-et-outils/BEH-Bulletin-epidemiologique-hebdomadaire/Derniers-numeros-et-archives/Archives/2013/BEH-n-20-21-2013)
il me semble que vous posez ici la question de l'intérêt d'interdire la distribution (voire de pénaliser l'usage ?) de substances dont la consommation entraîne des dépenses de santé, c'est à dire un coût pris en charge par tous.
Vaste et complexe sujet. Chacun ses idées, ses théories. Aucune société contemporaine n'a encore défini et mis en pratique une attitude satisfaisante ...
Concernant les mauvais esprits dont parle le matinaute, on peut sans trop de risque dire qu'ils se fourrent le doigt dans l’œil, et peut-être même qu'ils voient le mal partout (ce qui peut sembler antinomique ... ou pléonastique).
Les dépenses de santé engendrées par les pathologie liées au tabac dépassent les recettes issues de la taxe sur les cigarettes.
A ce propos (ou pas très loin), un article du bulletin épidémiologique hebdomadaire paru aujourd'hui rapporte qu'un remboursement à 100% des méthodes médicamenteuses actuelles (essentiellement les patchs à la nicotine) serait "coût-efficace" . C'est-à-dire que les économies réalisées dépasseraient le coût engendré par un tel remboursement. Les mauvais esprits en question mesurent mal l'ampleur des coûts générés par les pathologies liées au tabac (1 fumeur sur 2 meurt d'une pathologie liée au tabac, le plus souvent des suites d'une longue et coûteuse maladie ...)
(l'article est consultable en ligne, en plus d'autres articles très intéressants autour du tabagisme : la conception et les pratiques des mineurs, l'intérêt des paquets "banalisés", etc : http://www.invs.sante.fr/Publications-et-outils/BEH-Bulletin-epidemiologique-hebdomadaire/Derniers-numeros-et-archives/Archives/2013/BEH-n-20-21-2013)
Merci pour toutes ces informations !
L'idée de base est logique... mais incomplète en effet. Si une activité est nuisible, il vaudrait mieux la stopper que de lui faire payer le droit de continuer à nuire. Cela met en évidence une déviance profonde de notre société: l'argent est devenu la mesure de tout.
Bien pratique pour les destructeurs de nos vies: il leur suffit de faire payer un peu plus cher leurs "services" pour gagner le fric qui servira à compenser les dommages causés par leurs trafics. Les pollués sont les payeurs, en bout de chaîne. Et ils le sont doublement. En fric et en "nature".
Bien pratique pour les destructeurs de nos vies: il leur suffit de faire payer un peu plus cher leurs "services" pour gagner le fric qui servira à compenser les dommages causés par leurs trafics. Les pollués sont les payeurs, en bout de chaîne. Et ils le sont doublement. En fric et en "nature".
On a pourtant un clown-médecin (pas un membre de l'association "le rire médecin" laquelle fait un job incroyable à mon avis) qui passe sur les antennes du service public pour un oui ou pour un non... et s'amuse beaucoup à faire des grosses blagues de salles de garde à l'antenne... et à aller parler des zanimos de la savane avec Adriana... (vu la bande-annonce)
Ce ne serait donc pas sérieux non plus, les zinformations médicales des duettistes Marina et Michel ? Pourtant, l'autre jour, chez le dentiste, dans la salle d'attente, ça ne bruissait qu'à leur sujet... Tous les vieux regardent leur magazine de la santé.
Pour en revenir au rapport anti-vapotage, je suis tout sauf étonnée de ces révélations.
Mais vapotez donc tranquille, rien n'est aussi cracra que la clope !
Ce ne serait donc pas sérieux non plus, les zinformations médicales des duettistes Marina et Michel ? Pourtant, l'autre jour, chez le dentiste, dans la salle d'attente, ça ne bruissait qu'à leur sujet... Tous les vieux regardent leur magazine de la santé.
Pour en revenir au rapport anti-vapotage, je suis tout sauf étonnée de ces révélations.
Mais vapotez donc tranquille, rien n'est aussi cracra que la clope !
Comment ça le mal est incurable?
J'ai du mal à comprendre un tel pessimisme... Surtout venant d'un journaliste qui critique les médias tout en travaillant pour ou avec eux (Libé, rue 89, Médiapart, Canard PC et on cherche encore des partenariats...)
J'ai du mal à comprendre un tel pessimisme... Surtout venant d'un journaliste qui critique les médias tout en travaillant pour ou avec eux (Libé, rue 89, Médiapart, Canard PC et on cherche encore des partenariats...)