Wikileaks : qui sont ces "sources humaines" qu'Assange aurait mises en danger ?
18 chefs d'accusation, chacune pouvant lui coûter jusqu'à dix ans de prison... La charge portée par la justice américaine contre Julian Assange, fondateur de Wikileaks, est lourde. Parmi les chefs d'inculpation : celui d'avoir révélé, dans l'immense fuite de documents militaires et diplomatiques en 2010 et 2011, le nom de "sources humaines", les mettant consciemment en danger. Mais de quoi parle-t-on exactement ?
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Je crois qu'il faudrait commencer de répertorier les prisonniers, condamnés et accusés politiques. Depuis 175 ans jusqu'à un mois avec sursis, ils commencent à être nombreux. Et ça fait un petit moment qu'ils ont cessé d'être uniquement russes ou chinois.
Allez, je me permet de ne pas être dans la mesure... pardonnez moi mais je n'ai vraiment qu'un mépris insondable pour ces plumitifs qui, pendant des années, ont craché sur Assange, "le violeur, l'antisémite (comme tout le monde à un moment ou à un autre à ce qu'il semble), l'agent des russes, le trumpiste" et qui, maintenant qu'il est définitivement condamné à mort et qu'il est trop tard, versent des larmes de crocodiles et poussent des hauts cris sur la liberté de la presse. Franchement une telle médiocrité, une telle lâcheté, je n'ose dire ce que ça mériterait en bonne justice.
Il y a un problème à citer le Washington Post comme si c'était encore le journal de Bob Woodward et Carl Bernstein. Le journal appartient maintenant à Jeff Bezos.
Jeff Bezos, patron d'Amazon qui héberge des services informatiques pour… la CIA pour un montant de 600 millions de dollars. Il n'est donc pas étonnant que ce journal "de référence" publie un éditorial critiquant violemment Julian Assange.
Croire que Jeff Bezos a racheté le Washing Post pour défendre une haute idée de la liberté de la presse serait bien naïf.
Pour ceux qui n'auraient pas de doutes quant à la possibilité des journalistes d'écrire ce qu'ils veulent lorsque le journal appartient à un milliardiaire, référez-vous à l'article d'Arrêt sur images, ESPIONNAGE DE FAKIR : AUCUN ÉCHO DANS LES ECHOS.