Rape and revenge
, viol et vengeance : c'est un genre cinématographique. Avec ses codes. Avec ses passages obligés. Un genre, rappelle Rafik Djoumi, né du film gore, lui-même né de la libéralisation des mœurs des années 70. "Quand on s'est rendus compte que la nudité n'était plus sulfureuse, il a fallu trouver des choses qui choquent. Du sexe choquant
".
Passages obligés : un violeur (ou des violeurs), une violée (ou des violées) et donc, une vengeance. Une vengeance dont le spectateur savourera en toute bonne conscience les raffinements et les cruautés, parce qu'il sera en empathie avec la victime de viol.
Mais ici naissent toutes les questions (sans lesquelles il n'y aurait pas de bonne émission Post-pop
) : la vengeance peut-elle porter...
Vous ne pouvez pas (encore) lire cette vidéo...
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous