Après Ménard, une étude sur le FN utilise aussi les prénoms "arabo-musulmans"
Le fichage interdit, les statistiques pas toujours
"Les prénoms disent les confessions. Dire l'inverse, c'est nier une évidence". Robert Ménard en est persuadé, les prénoms des enfants dans les écoles de sa ville le renseignent sur leur religion, comme il l’a expliqué sur le plateau de Mots Croisés dimanche. Après le tollé sur ces "statistiques religieuses" maisons du maire proche du FN -Ménard a été entendu aujourd'hui par la police judiciaire de Montpellier- le débat sur les statistiques ethniques est inévitablement relancé.
Coïncidence : une étude, publiée hier, utilise elle aussi la variable de "prénom arabo-musulman", sans que cela n’&ea...
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