Aides à l'automobile : les jités n'ont pas vu le recul de Sarkozy
Une reculade sur laquelle les télés ne se sont pas franchement attardées. Nicolas Sarkozy, qui avait promis de ne pas verser "un centime" aux constructeurs automobiles qui délocalisent, a finalement renoncé à cette exigence face à la Commission Européenne. Les journaux télévisés n'ont pas jugé bon de mentionner ce recul présidentiel. En revanche, Marine Le Pen n'a pas manqué de signaler cette victoire du "diktat européiste de Bruxelles". |
Des mesures conséquentes, encadrées par des conditions strictes, et un accord paraphé en grande pompe par les constructeurs français. C'est ce qu'on avait rete... |
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