Ces lecteurs pointilleux qui rendent fous les médias
Aux États-Unis ou en France, ils traquent coquilles, erreurs ou anglicismes
Certains lecteurs sont plus attachés que d'autres à faire savoir aux journalistes ce qu'ils pensent de la manière dont ils écrivent leurs articles, et à surveiller le travail des plus influents. Que leur examen minutieux concerne le plus prestigieux des journaux, le New York Times
, ou l'ensemble de la presse française, une certitude : il n'est pas sans conséquences sur le travail journalistique.
Trois comptes Twitter dédiés au New York TImes
Comme beaucoup d'autres médias aux États-Unis, le quotidien new-yorkais, dans sa quête de référencement en ligne mais aussi afin de corriger un impair, n'hésite pas à modifier, parfois de manière importante, ses titres et introductions d'articles après publication. En 2009, le média à but non lucratif Pr...
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