Comment le terme "ensauvagement" s'est imposé
"Moi j’entends qu’il y a un débat de mots entre ensauvagement, généralisation, banalisation de la violence, je crois que c'est le rôle du ministre de l’Intérieur d'avoir des mots forts et d'être offensif. (...) Je crois qu'il a tout à fait raison de l'utiliser ce terme." Le 31 août sur France Inter, Marlène Schiappa, désormais ministre déléguée à la Citoyenneté, valide. Le 1er septembre sur Europe 1, le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti est, lui, sceptique : "L
’ensauvagement, c’est un mot qui développe, me semble-t-il, le sentiment d’insécurité.
"
Un sentiment alimenté, entre autres, par "le discours populiste, la surenchère, ceux qui en rajoutent en permanence." Ce débat par médias interposés fait suite à l'utilisation par Gérald Darmani...
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