Procès Le Scouarnec : "vulnérabilité chimique", la notion oubliée ?
Le procès de Joël Le Scouarnec pourrait être à la "vulnérabilité chimique" ce que le procès de Dominique Pélicot a été à la "soumission chimique" : une occasion de faire connaître au grand public une notion importante dans la prévention des violences sexuelles. Ce n'est, jusqu'ici, pas le cas. Et cela s'explique pour des raisons plus ou moins solides.
Comme l'écrit France info, dans le procès de Joël Le Scouarnec - cet ancien chirurgien accusé d'agressions sexuelles et de viols sur de multiples patient·es - "une grande partie des 299 victimes recensées étaient sous anesthésie générale ou en phase de réveil lors des agressions sexuelles et viols décrits par Joël Le Scouarnec dans ses carnets". Le cas de figure correspond à la défini...
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