Une guerre. Un ennemi. Un Front. Une première ligne, une deuxième ligne, une troisième ligne. À quoi sert ce vocabulaire martial, déployé à la télévision aussi bien par les politiques que les médecins ou... les journalistes ? À mobiliser le pays, derrière une union sacrée. Mais aussi, à masquer la divergence des intérêts des uns et des autres. Et enfin, à interdire, ou entraver, toute critique des actions menées.
Accessoirement, le vocabulaire de guerre a aussi pour fonction de faire entrer le chef de l'État dans un personnage de leader charismatique. Sauf que dans ce rôle, il pourrait bien rencontrer une concurrence inattendue....
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