Parlez moi d'argent
Pour que dure la chronique des affaires, et la colère qu'elle nous inspire
Comment dit-on déjà, en médialecte, cet effet de feuilleton dominant, qui court sur une période et tout à coup, floup, s’éteint sans générique de fin, parce qu’un autre feuilleton est venu prendre la relève? Une séquence, je crois. Une séquence, comme au cinéma. Et comme au cinéma, il y a parfois des séquences qu’on voudrait voir durer, longtemps, longtemps – parce qu’il s’y joue des choses essentielles – et qu’on regrette de voir supplantées par de moins dignes d’intérêt.
De l'alternance des feuilletons
On a vu cet été la séquence Woerth-Bettencourt ...
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