Sarkozy, les humiliés, et la nationalité automatique
CHRONIQUE
D’abord pardon : je vais encore parler de lui. Malgré – ou à cause de- vos nombreuses protestations lors de ma dernière chronique. Combien d’entre vous m’ont suppliée : pitié, silence, black out, à défaut de le faire taire, taisons au moins nos commentaires sur lui, le trop nommé, le trop vu, trop entendu : le Sarkozy.
Et bien je poursuis. Parce que l’intensité des affects qu’il suscite me paraît sans égal, et particulièrement digne d’intérêt. Cela aussi, ce sont vos commentaires qui me l’ont appris. J’avais déjà constaté, parmi ses supporters, une spectaculaire dose d’émotion, une adhésion passionnelle, une sympathie viscérale. Du côté de ses détracteurs, la même chos...
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