À la "Manche Libre", les LGBT n'ont plus le droit de cité
À la tête de La Manche Libre, premier hebdomadaire de France, la famille Leclerc, sorte de Bolloré normand, fait régner l’ordre et la peur. Les violences managériales et les consignes éditoriales réac anéantissent le potentiel des journaux du groupe et ruinent la santé des salariés. S’appuyant sur plus d’une vingtaine de témoignages, "Arrêt sur images" décrypte les méthodes de cette famille catholique conservatrice qui tente d’imposer ses obsessions sur un empire en extension.
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Commentaires préférés des abonnés
Affligeant !
Bon courage à celles et ceux encore sur place ou sur le départ !
si il y avait que Bolloré... mais cet article prouve qu'il y a plein de petits Bollorés, tout aussi toxiques pour les journalistes, impliquant censure et auto censure... c'est tres inquietant pour l'information
Derniers commentaires
Que fait la justice ?
si il y avait que Bolloré... mais cet article prouve qu'il y a plein de petits Bollorés, tout aussi toxiques pour les journalistes, impliquant censure et auto censure... c'est tres inquietant pour l'information
Affligeant !
Bon courage à celles et ceux encore sur place ou sur le départ !