À Trappes, Mélenchon en hussard noir
Daniel Schneidermann a suivi Jean-Luc Mélenchon à Trappes, dans les Yvelines, ville populaire fréquemment épinglée dans les médias. En rock star des cités, Mélenchon est venu soutenir le candidat Nupes de l'ancienne circonscription de Benoît Hamon, convaincre les habitants d'aller voter, et pester contre le "job-dating" de l'académie de Versailles pour recruter des enseignants.
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Commentaires préférés des abonnés
Rendons hommage au " job dating " !
Si l'on peut recruter des professeurs lors d'un entretien de 30 minutes avec pour seul pré requis la validation d'un bac + 3 , nous pouvons résoudre la crise des urgences et le problème des déserts(...)
"Dans leur esprit, tout est sélection, tout est compétition, alors que pour nous tout est solidarité."
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Je décale un peu. Juste ce qu'il faut.
Il y a un mois, environ, au sortir des vacances de Pâques, l'association des parents d'élèves du collège du canton a lancé un appel sur fac Book cherchant personne parlant anglais pour assurer les cours des class(...)
Derniers commentaires
Le gros problème avec les salons de coiffure français, c’est surtout qu’à prestation identique (ex : coupe coiffure/séchage sur cheveux courts), les hommes payent 30% de moins que nous. Taxe rose.
Macron se "sarkozyse" de plus en plus. Sarkozy non plus ne pensait pas qu'enseignant était un vrai métier. C'est pour ça qu'il a supprimé les IUFM.
"Il n'y a pas vraiment de campagne. Ce n'est pas que les Français n'écoutent pas ou n'entendent pas, c'est que cette campagne est un non-objet", estime le directeur général délégué d'Ipsos. "Les Français ont seulement le sentiment que tout a été dit à la présidentielle"
Ben an Ardèche on manque même de maîtres-nageurs pour les piscines. Les gens veulent vraiment plus rien foutre. Un vote anti capitaliste avec les pieds ?
Ah merde ! ça va jouer dans la balance ça !
Michel Sardou se dit prêt à quitter la France ! le chanteur de 75 ans a juste... peur de voir Jean-Luc Mélenchon devenir Premier ministre.
On ne peut pas prendre le risque de perdre cet emblème national quand même...
.-)
oui, c'est effarant de voir des adultes complètement perdus dans un bureau de vote, ne sachant pas comment faire...
au sujet des prochaines élections, et pour compléter sur le thème "éducation civique pour les nuls", une vidéo pédagogique teintée d'ironie, tout ce que j'aime ^^
Le "job-dating" : ça doit marcher aussi pour l'hôpital ce truc là.
Moi j'ai aidé mes enfants dans toutes les matières, même le Français ce qui fait qu'ils l'ont appris avec moi, je pourrais être un professeur multitâche
Pas sûr que je me qualifierais d'enseignant mais plutôt de tuteur pour être tout à fait honnête
Va falloir que je vérifie si la SNCF ne fait pas du job dating pour ses mécaniciens, je ne sais pas mais je me sens quelques sueurs couler aux tempes
Bon c'est vrai que les mômes, c'est pas des trains, alors ça doit bien suffire le dating
Vite avant de lire l'article de Daniel Schneidermann : il faut écouter Monsieur Le Maire expliquer pourquoi il est offensif contre Monsieur Mélenchon à partir de la minute 19:50
Merci Lea Salamé et Nicolas Demorand de donner l'occasion d'entendre cette confession
Je décale un peu. Juste ce qu'il faut.
Il y a un mois, environ, au sortir des vacances de Pâques, l'association des parents d'élèves du collège du canton a lancé un appel sur fac Book cherchant personne parlant anglais pour assurer les cours des classes de 6 et 5 ième, n'ayant plus de prof (en maladie)
Allez, encore 5, 10 ans nos décideurs polytechniciens auront vidé Education Nationale et Hôpitaux.
Je trouve même qu'ils traînent un peu.
Cela démontre leur incompétence.
Nous vivons une époque formidable.
C'est dommage, on n'apprend pas grand chose. L'intérêt du terrain c'est la rencontre avec les gens, de sentir ce que l'on ne lit pas dans les médias. Là, c'est vrai que ça fait ballade, on filme Mélenchon qui marche dans la rue, qu'est-ce que ça raconte , Qu'il y a du monde, des gens qui marche à côté de lui.
Je me souviens de l'émission d'ASI avec Luc Bronner, l'ancien directeur de la rédaction du Monde qui parlait de l'importance du terrain. De l'importance du temps, différent de celui des médias actuels, instantannés, immédiats.
Pour le coup, cette ballade a des airs de ballade printannière qui aurait sans doute mérité plus de terrain.
rien à dire sur la partie Mélenchon. c'est bien que Jean-Luc aille là-bas.
par contre, DS répète ses poncifs habituels sur l'islamisme : circulez y'a rien à voir. Didier Lemaire ? ça n'existe pas. tout ça n'est que de la tambouille pour CNews et pour extrême-droitards.
3 coiffeurs mixtes dans une ville de plus de 30 000 habitants? incroyable, impressionnant.
Faites gaffe, en parlant de " hussard noir " , vous allez encore exciter le Zemmour ( Zob, pour les intimes ).
Rendons hommage au " job dating " !
Si l'on peut recruter des professeurs lors d'un entretien de 30 minutes avec pour seul pré requis la validation d'un bac + 3 , nous pouvons résoudre la crise des urgences et le problème des déserts médicaux.
Je propose pour recruter des chirurgiens , un entretien de 35 minutes et la présentation d'un brevet de secourisme ou un c.A.P. de boucher-charcutier ( récent ).
( je pourrais être consultant chez Mc Kinsey.... si je voulais ) .
Je pensais qu'Arrêt sur Images était un site de critique médiatique. Daniel Schneidermann (maintenant introduit par un chapeau qui parle de lui à la troisième personne, quel est l'intérêt ?) a choisi d'abandonner le matinaute (que j'aimais bien) pour faire du militantisme dans le pire sens du terme (absence totale d'objectivité voire compromission -- dans sa chronique sur Taha Bouhafs, on sent qu'il n'est pas d'accord avec Lénaïg Bredoux qui affirme que les révélations de Médiapart étaient d'utilité publique). Dans cet article (que je trouvais intéressant au début) Daniel Schneidermann nous apprend donc qu'il n'y a aucun problème à Trappes (c'est sûr qu'une synagogue brûlée et 77 jeunes trappistes partis en Syrie, ce n'est pas un problème !) et qu'aucun professeur ne s'autocensure (sa source : un seul témoignage, un professeur dont il est précise qu'il milite à la France Insoumise, sous-entendu : c'est un bon prof ! Des études montrent pourtant le contraire : https://www.jean-jaures.org/publication/les-enseignants-de-france-face-aux-contestations-de-la-laicite-et-au-separatisme/)
Donc résumons : c'est bien de dénoncer les violences sexuelles sauf quand elles sont le fait de candidats de son parti et il faut dire que l'islamisme n'existe pas afin de ne pas donner raison à l'extrême-droite (seuls des conspirationnistes d'extrême-droite pensent qu'il y a eu un attentat au Bataclan et qu'un professeur a été décapité, c'est bien connu !)
Si ce type d'articles se multiplie je ne pense pas que je vais renouveler mon abonnement à ASI. Il y a des journaux de gauche -- notamment Les Jours -- qui prouvent qu'on peut être de gauche et traiter intelligemment les sujets préférés de l'extrême-droite ; ils méritent donc davantage qu'on s'y abonne et qu'on leur fasse des dons.
Cet article bafoue de toute façon des principes élémentaires de déontologie (prétendre rendre compte d'une réalité sociale en passant une seule journée dans une ville et en se basant sur un seul témoignage qu'on a sélectionné parce qu'il confirme ce qu'on a envie de croire !) et c'est particulièrement scandaleux de la part d'un site qui se donne pour objectif (souvent atteint) de mettre en évidence les manquements à l'éthique des autres médias.
Sur l'affaire Didier Lemaire cet article de Marianne me paraît bien plus sérieux (oui il arrive qu'on trouve de meilleurs articles dans des médias subventionnés par des milliardaires...) : https://www.marianne.net/societe/education/trappes-didier-lemaire-mytho-ou-heros
Bienvenue dans le monde merveilleux des éditoriaux. Je vous propose, pour éviter de cracher inutilement votre bile lors du prochain article, la définition de cet objet journalistique:
éditorial, éditoriaux
nom masculin
- Article de fond, commentaire, signé ou non, qui exprime, selon le cas, l'opinion d'un journaliste ou celle de la direction ou de la rédaction du journal, de la radio ou de la télévision. (Abréviation familière : édito.)
Ok mais Arrêt sur Images c'est censé être (et c'est souvent) un site de critique médiatique. Ce n'est pas un journal d'opinion. Le Matinaute, ce n'était pas (du moins rarement) un éditorial politique. Un éditorial c'est rarement intéressant et en plus ça ne correspond pas à la vocation d'ASI.
Je vous renvoie à la description de la rubrique dont relève cet article:
Initiales DS
Daniel Schneidermann est envoyé spécial dans la post-vérité, avec petite boussole et torche anti-brouillard. Ici : états d'âme et dérapages possibles.
Je n'avais jamais prêté attention à la description de la rubrique mais j'aimais bien les articles de Initiales DS avant cette chronique consacrée au 3ème tour. Là DS s'égare complètement : il va assister à un meeting à Trappes, copine avec les militants et les candidats (il fait des selfies avec eux qu'il met sur son compte Instagram, se fait inviter à déjeuner...) puis se permet d'affirmer que tout va bien à Trappes (où il a dû passer moins de 24 heures) parce qu'il a papoté avec un enseignant qui lui a dit qu'il ne s'autocensurait pas.
Je ne crache pas ma bile, je considère vraiment que ce type d'articles est indigne d'ASI. Si un éditorialiste de droite allait copiner avec les candidats de LREM, faisait des selfies avec eux puis écrivait que la France est confrontée au risque du séparatisme en se basant sur un seul témoignage, il se ferait épingler -- à juste titre -- par ASI. Ce serait bien que DS fasse son autocritique.
il y a peu, ASI a publié un article sur les éditos, justement.
Je ne l'ai pas lu, mais le titre est "inutiles et moutonniers, que faire des éditos politiques?", ce qui est peu flatteur.
Vous noterez que je n'ai pas fait de jugement de valeur dans mes précédents commentaires. A chacun son avis sur la question.
C'est justement pour ça que j'estime que ce type d'articles n'a rien à faire sur ASI (cf. ma réponse ci-dessus...)
les chroniques de DS sont elles des editaux? J en doute et j’espère que non. Je le prends pour des billets d’humeur (qui pour moi n’ont rien à faire sur ASI car les opinions de DS ne m’intéressent pas )
Evidemment que ce sont des éditos ! Il y donne son avis depuis des années, ce qui est littéralement la définition d'un éditorial.
"les opinions de DS ne m’intéressent pas "
Pourquoi tout ce pataquès alors ?
Un "billet d'humeur" et un "éditorial" c'est exactement la même chose. Et les "chroniques" de DS ont toujours fait partie de cette case, depuis le début du site.
Ce qui serait cohérent ce serait de vous en foutre depuis 2007, moment où le rôle de cette rubrique était déjà claire, mais visiblement ce n'est que maintenant que vous réagissez...
Il y a meilleure source que le journal "bougnoulophobe" Marianne, qui s'efforce de jour en jour (et ce n'est pas d'aujourd'hui) de ressembler à Causeur, l'organe d'Élisabeth Lévy, quand il n'essaie pas de copier Valeurs actuelles.
voilà le truc : vous décidez quelle source il faut prendre ou pas.
papier de Marianne fouillé et documenté = on jette à la poubelle.
papier-édito de ASI = on prend ça comme argent comptant.
Allez lire l'article au moins (ce n'est pas du tout un article qui encense Didier Lemaire)... ASI s'est intéressé à la ligne éditoriale de Marianne. Je crois me souvenir que dans un article il était écrit qu'en 2017 la majorité de ses journalistes avaient voté à gauche (je ne pense pas que ce soit le cas des journalistes de Causeur pour ne même pas parler de Valeurs Actuelles...) La position de Causeur ou de Valeurs actuelles serait d'encenser n'importe quel professeur disant que ses élèves sont islamisé(e)s. Ce n'est pas du tout ce que fait l'auteur de l'article que j'ai mis en lien.
C'était cet article très fouillé de Pauline Bock https://www.arretsurimages.net/articles/lhebdo-marianne-se-voit-il-encore-a-gauche et le passage que j'évoque ci-dessus c'est celui-ci : "Dans la rédaction, les journalistes sont personnellement "de gauche radicale jusqu'à la droite", dit Kévin Boucaud-Victoire. Lors de la présidentielle en 2007, un vote interne faisait état d’une majorité pour Royal et Bayrou, avec de bons scores pour Besancenot (le vote Sarkozy y était virtuellement "inexistant") ; en 2012, Hollande et Mélenchon étaient en tête. L’expérience n’a pas été renouvelée en 2017 mais la rédaction reste aujourd’hui "plurielle, avec une sensibilité de gauche," dit-il. "Contrairement à ce que l’on peut penser, il y a un vrai pluralisme dans la rédaction", acquiesce Mathoux."
La ligne éditoriale de Marianne est bien réactionnaire, les commentaires des lecteurs c'est l'extrême droite depuis un moment, nous ne sommes plus en 2017, désolé de vous l'apprendre. Si ce sont les idées qui vous plaisent, c'est sûr qu'un reportage amène sur la campagne de Mélenchon ne peut que vous déplaire.
Si on met Hollande à gauche, je peux comprendre que certains se sentent à gauche.
je ne peux que partager votre analyse de cette évolution (malsaine car politiquement engagée). Je ne me suis pas abonné depuis le début pour ça.
Je ne croirai plus un mot de ce que dira ou écrira à l’avenir DS. Il a perdu, pour moi, toute neutralité objective. Partant, cela lui enlève tout esprit critique vis à vis de JL Melenchon et de Nupes (vous évoquez à juste titre son traitement de l’affaire Bouhafs).
J’espere qu’E Walter saura retrouver puis maintenir l’esprit initial d’ASI.: le décryptage des biais des medias français.
Il a perdu, pour moi, toute neutralité objective.
Donc vous n'avez toujours pas compris que la "neutralité" ou "l'objectivité" n'existent pas ?
Vous avez raison, mieux vaut vous désabonner, vous n'en retirez rien visiblement...
Ah mince, j'arrive trop tard!
^^
"Il a perdu, pour moi, toute neutralité objective ".
Non, sérieusement, vous y croyez encore à la neutralité objective, pourtant analysée, disséquée, éventée depuis des années comme une des plus grandes escroqueries des dominants.
Décidément, vraiment trop tard! Bon j'aurais pu m'en douter vu l'énormité du truc.
Comment on peut lire un site qui s'emmerde à longueur d'année à faire de la pédagogie, à expliquer que neutralité et objectivité n'existent pas, ne peuvent pas exister dans les médias.... Et en conclure un message pareil ?
@ ASI : vous deviez pas faire un glossaire du journalisme de mémoire ? Y a urgence visiblement.
Pour répondre d'un coup aux trois messages, on pourrait aussi faire un article pour rappeler une bonne fois pour toute que "la neutralité n'existe pas" c'est juste un constat, pas une profession de foi. Pas un moyen de s'exonérer magiquement de toute rigueur ou de toute déontologie journalistique, en mode "c'est la fiesta, on est subjectifs, donc rien à foutre de mes propres biais, vautrons-nous dedans avec joie !". Cette phrase, répétée en boucle sur les réseaux sociaux de gauche, est devenue le joker qu'on sort devant n'importe quel éditorial ni fait ni à faire déguisé en article journalistique.
L'objectivité devrait rester un horizon, quand bien même il est inatteignable. Une auto-discipline absolument nécessaire à tout journaliste qui se respecte. J'ai toujours beaucoup de mal, personnellement, à avoir du respect ou à accorder du crédit à un média qui ne fait aucun effort visible pour lutter contre ses propres biais. Quelque soit l'idéologie du média concerné, c'est rédhibitoire.
Pourquoi l'objectivité devrait être un horizon ? Je l'assume, je suis journaliste et ce n'est pas le mien. Et ça ne m'empêche pas, je le crois en tout cas, de travailler avec déontologie, bien au contraire. J'assume mon regard, je suis conscient d'où j'écris et je vise toujours l'exhaustivité.
La nuance me semble fondamentale. Mon but c'est d'offrir un article honnête, qui donne toutes les clés possibles sur un sujet, sans cacher ni l'angle, ni les interrogations soulevées, ni ma propre subjectivité.
Pour finir, contrairement à ce que vous semblez penser, se croire objectif non seulement c'est impossible, mais ça ne réduit pas les biais, au contraire c'en est un de plus ! De mon expérience les biais s'identifient et se travaillent un par un justement par un examen attentif de nous même, sans se voiler derrière des concepts de neutralité ou d'objectivité.
L'exemple pourtant ici donné, d'un journaliste qui va dans la ville une journée juste pour vérifier ce qu'il a envie d'y voir, en interrogeant uniquement quelques personne sde son bord, sans même confronter ce qu'on lui dit aux données statistiques, et sans chercher le contradictoire, est quand même un bel exemple extrême de ce qu'on parle. Alors appelons-ça exhaustivité si vous préférez, je m'en fiche, c'est en tout cas cruellement absent, et trouve son excuse (il suffit de voir les messages ci-dessus) dans le fait que "de toute façon aucun média n'est objectif".
Je pense que vous fusionnez deux aspects du journalisme; l'information et l'opinion.
Il me semble que le premier peut être plutôt objectif et neutre, i.e. factuel ('le soleil se lève à l'est' ou 'le temps d'antenne utilisé par tel candidat est de tant de minutes au cours du mois dernier') quand la seconde est évidemment inévitablement ni neutre ni objective.
En m'abonnant aux débuts d'ASI, j'avais eu la promesse d'informations sur le fonctionnement des médias.
Pour ce qui est des opinions, je ferai observer que DS a souvent répété qu'il était important de dire '"d'où l'on parlait". Mais depuis que je suis abonné à ASI (et avant sur France5), je ne l'ai jamais entendu dire d'où il parlait, ni lu d'ailleurs. Mais je n'ai peut-etre pas eu accès à toute sa production.
Ce n'est pas moi qui confond, comme divers articles sur ce site vous l'expliquerons bien mieux que moi. Il est tard et je suis trop fatigué pour faire de la pédagogie, vous m'en excuserez.
Donc en très bref : neutre, objectif et encore plus factuel sont des concepts fondamentalement distincts les uns des autres. Vous ne pouvez les amalgamer ainsi. Pour les détails, je vous laisse chercher, de nombreuses ressources sémantiques, journalistiques et philosophiques existent sur le sujet.
Promis, la prochaine fois, je lis les commentaires avant d'écrire!
"Il a perdu, pour moi, toute neutralité objective." (emoticon qui pleure de rire)
ça c'est énorme pour un commentaire sur ASI, site qui passe son temps à démontrer que ça n'existe pas!
les quartiers populaires, ceux dont la mobilisation fera, ou non, la victoire de la gauche, ces quartiers si éloignés de la politique et de ses commentateurs en cravate, ne connaissent pas les élections législatives.
s'il n'y avait que les quartiers populaires...
Malheureusement; c'est un peu général cette indifférence pour les Législatives
"Dans leur esprit, tout est sélection, tout est compétition, alors que pour nous tout est solidarité."
