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Aphatie-Mélenchon, un "salaud" d'adieu

Fin de partie. C'est peut-être la dernière fois qu'ils se retrouvent face à face,

Derniers commentaires

Curieux , tres curieux D.S.

le muppet schow , c'est tout , ni-plus , ni-moins...? N'oublie pas , petit homme , que Marchais n'a jamais dit "taisez-vous elkabach"....Ce sont des journalistes "fatigués" qui l'ont dit , puis écrit , puis fait croire pour remplir les bétisiers .....

Allons D.S. ! Haut les coeurs ! un petit jeûne de printemps et c'est reparti !

des nouvelles d'aloys..?
On ne pourra pas reprocher à RTL de ne pas savoir se renouveler.
C'est en effet le jeune Olivier Mazerolle qui remplacera J.M. Aphatie pour l'interview politique de sa matinale.
"Mélenchon, oui, mais finalement.... NON":

Toujours la même rengaine qui sert d'analyse. Intéressée par Mélenchon, mais surtout par la notion d'écosocialisme, rebutée par certains de ses travers, le productivisme qui pointe sons nez, et qui, associé au "patriotisme", peut glisser en "cocorico les Rafales", agacée de voir toujours l'arbre Mélenchon cacher la forêt de la gauche dans toute sa biodiversité, j'attends un vrai travail sur ce thème. Qui s'y colle?

Autre chose en tout cas que cette dichotomie entre détracteurs (plus ou moins feutrés, hypocrites mais évidents) et ses inconditionnels. Qui ne sont peut être pas si inconditionnels que ça, mais qui voudraient bien, eux aussi, qu'on soit moins binaire.

Et en effet, comme l'a fait remarquer un autre commentateur, c'est rigolo de voir que c'est Aphatie qui traite Mélenchon de salaud, mais que (la force de l'habitude?) c'est Mélenchon qui se fait reprocher ses "insultes". Même le titre est ambigü, ceux qui ne lisent que les titres, et ils sont nombreux, imagineront que c'est Mélenchon qui a traité Aphatie de salaud.
Melenchon=Marchais......acceptons en l'augure.....à cette époque le Pc était à25%,le monde ouvrier était représenté,ses idées influençaient tout le champs politique.....
Je me souviens de soirées télevisées familiales(ce fut mon éveil à la politique) devant des émissions POLITIQUES.....simplement parceque George Marchais
parlait,nous parlait....Depuis une descente jusqu'à 2%......
Alors ,on peut le (les)repeindre en ringard......Dans une société ou l'on met l'efficacité ,le mérite en avant.....N'y aurait-il pas une petite contradiction?
il y a deux haines à scheidermann.
celle de mélenchon.
et celle de mélenchon.
il y a deux "n " à abonnement.
et deux "é" à résilié.
Je lis en retard mais je n'ai pas raté grand chose. Cette chronique est désespéremment "mainstream".

Peut-être le lider maximo n'a-t-il pas lu ceci.
Aujourd'hui, pour exister en politique, il faut faire parler de soi en permanence.
Si on n'a pas d'actualité, on est mort, surtout si on est dans l'opposition.
Sarkozy fait des discours, Mélenchon écrit des livres.
Le livre publié, l'homme politique fait sa promo. A ce moment là, il bénéficie peut-être de l'activisme de l'éditeur, qui peut pallier la faiblesse de son parti politique, qui d'ailleurs ne peut pas être d'un grand secours en cette circonstance.
Mais écrire des livres ne suffit pas . Pour avoir accès aux médias, un homme politique doit porter en lui la promesse d'un bon audimat pour le média qui l'invite. Ces contraintes étant incontournables, Mélenchon s'y plie et fait son numéro, qu'il prépare avec soin (l'effet monologue est du au fait qu'il ne peut guère espérer briller dans une improvisation totale et qu'il essaie de ne pas laisser l'initiative à ses interlocuteurs) à chacune de ses apparitions. Je crois qu'on peut dire que ses prestations ne sont pas déshonorantes.
Le parallèle entre Marchais et Mélenchon ne me choque pas. Marchais était un homme politique d'exception et un débatteur de grand talent. N'oublions pas d'où il vient. Son parcours est admirable.
Wow, je me demande bien ce que Mélenchon a pu faire à @si pour tomber en telle disgrâce. Faudra peut-être vérifié ce que Todd dit de lui pour comprendre.
Aphatie va sur Europe1 uh uh, le cirque continue.
Monsieur DS on n'a pas vu la même émission
"puisqu'on est là, puisqu'on écoute."

On est là ? On écoute ? Vraiment ?


Ce type d'émission, ça ressemble à des débats, ça a le goût du débat, mais c'est juste des trucs conçus pour exciter le bulbe des auditeurs et vendre de la pub avant et après. Dit-on. Une télé-zombie animée par des zombies et regardée par des zombies. Je soupçonne la plupart des spectateurs de l'utiliser comme ambiance pendant qu'ils sont à la cuisine en train de préparer le biberon du petit dernier.

Juste du bruit, en fait.

Rien.
c'est beau, presque comme du Bruno Roger Petit

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Navré par cette prise de position, éructante elle aussi, à l'encontre de Mélenchon.
Il y avait certainement mieux à faire comme chronique ce matin.
Mais peut-être plus risquée, celle de parler des panthéonisés, et de ceux qui ne le furent point.
Voilà où, dans la réécriture de l'Histoire, se cache réellement l'abject.
Fatigue de cette sempiternelle stratégie de Mélenchon : l'insulte comme seul moyen de forcer les consciences.

Fatigue de ce discours de droite des chiens de garde qu'il faut se taper jour après jour.... Mais je viens ici comme j'irais sur FdeSouche... Pour regarder le mal et lui faire la nique.
Oui, DS est l'ennemi des idées de gauche. La gauche l'attire et le révulse. Il n'est pas de gauche mais aimerait l'être. Du coup, il faut écraser Mélenchon, le seul homme médiatique qui mette le nez de DS face à ses contradictions. Il faut que DS mette Mélenchon dos à dos avec un aphatie, comme s'il s'agissait d'un jeu... Comme ça, DS se sent au dessus de la mélée... au dessus, croit-il... Alors qu'il se noie avec sa meute...
Fatigue...
Bonjour
Il est tout simplement MAZ (oups pardon, Charlie)
Le tragique pour moi, c'est l'impossibilité souvent constatée de défendre les convictions de Mélenchon (et toutes celles qui leurs sont complémentaires et égales) sans prétendre adorer la personne. Or, s'il y a dans l'humanité de Mélenchon quelque chose d'extraordinaire et de précieux, il y trop de jour où il me rend fou d'inquiétude par la manière dont il agresse, botte en touche, n'écoute pas son interlocuteur qu'il prend si souvent pour un adversaire (ou un ennemi), partant bien souvent à contresens du propos adverse, parfois par seule incompréhension ou pour la seule raison qu'il lui serait impossible d'agréer une opinion comparable à ses convictions dont il n'aurait pas personnellement exprimé l'idée. Pourtant, il existe au moins deux autres Mélenchon : celui que je ne connais pas, qui écoute certainement, argumente, réfléchit, dont l'opinion évolue durant les réunions entre camarades et penseurs, et le deuxième, public, qui n'est jamais plus remarquable que lorsqu'il dispose d'une tribune pour exposer magistralement des sujets de société. J'ai souvenir de conférences merveilleuses, par exemple sur la fin de vie.

Là ou je n'en peux plus, c'est dans l'obligation d'allégeance totale à la personne, aux idées et à la manière de les dire qu'exigent certains de ses partisans intraitables. Qui fait-il le plus de mal à la cause ? Mélenchon certainement en partie par la manière dont il gueule si souvent ; dans son blog du 23 mai, je lisais avec stupéfaction une texte mesuré et remarquable, incrédule jusqu'à ce que je m'avise qu'il était de la main d'Oskar Lafontaine. Parce que oui, il est possible de dire les mêmes choses que Jean-Luc, implacablement mais de manière à ce que le plus grand nombre y veuille bien prêter attention plutôt que de se braquer sans espoir de retour pour des questions de violence de la forme. D'autres portes-parole du Front de Gauche nous en ont donné l'exemple, qui certes peuvent faire regretter le fabuleux talent d'orateur de Jean-Luc... Où serait-il écrit que leur engagement a moins porté et servi que celui de Mélenchon ?

Et puis il y a une partie des militants qui délirent, comme peut le faire tout militant de quelque bord que ce soit, pour qui "celui qui n'est pas avec nous est contre nous" : celui-là fait un mal de chien à la cause qu'il croit défendre, parce qu'il y a trop peu de démocrate en lui, trop de la manière intolérante qui lance les guerres les plus connes. Parce qu'il insulte d'autres manières de penser la cause même qu'il défend, et des gens sincères et engagés dans le même combat. Quant à moi, soutien du FDG avec toutes mes contradictions, admirant non pas sans conditions JLM, je ne chercherai plus à tenter d'amadouer ceux qui me prendront pour un mou ou un traître. Il y a, avec les inquisiteurs, des causes perdues, celle de l'intelligence (plusieurs acceptations) et de l'humanisme par exemple, par la faute même de ceux-là qui s'érigent en gardiens du temple.
A quoi ça sert de taper sur Mélenchon ou sur les gens du fdg si ce n'est à nuir à Mélenchon et aux gens du fdg ? Personne ne vous demande une allégeance, mais au moins si vous voulez passer pour un ami, agissez en ami et non en ennemi. Qu'est ce que cela apporte votre message au dessus, un gars d'extrême droite aurait très bien pu écrire la même chose.
Montrer patte blanche à des adversaires politiques ne les fera pas changer d'idées;
Ca apporte déjà que les comportements dont il parle ne tardent pas à se manifester...
Bracam écrit "Quant à moi, soutien du FDG", vous lui répondez "un gars d'extrême droite aurait très bien pu écrire la même chose".

Des responsables du Front de Gauche semblent vouloir favoriser l'ouverture pour entrer dans une dynamique plus proche de Podemos, mais pas sûr que ce soit vraiment dans la culture des militants.
"Qu'est ce que cela apporte votre message au dessus, un gars d'extrême droite aurait très bien pu écrire la même chose. "

Cela apporte ce que je dis, que vous ne comprenez pas. Et comme je l'ai clairement écrit, je renonce à me justifier auprès de militants qui ne savent pas reconnaître leurs amis et soutiens. Ceux-là, donc aucun de tous les autres, je ne les crois plus capables de faire avancer un mouvement fondamentalement vital pour l'humanité sans faire autant de mal qu'ils prétendent agir en faveur de leurs convictions. Puissiez-vous ne pas faire partie des gens peu capables de différencier, de pondérer, de comprendre, d'aimer, d'accepter toute forme d'expression aux buts communs avec les vôtres, mais différemment exprimés. Je vous accorde a priori toutes ces qualités attendues, puisque je ne sais rien de vous. Ce que je déteste, comme vous devriez le détester aussi quand on pense à ce que la désignation d’extrémiste prend comme sens plus particulièrement aujourd'hui, ce sont les anathèmes. Non, un type d'extrême droite n'aurait pas écrit ce que j'ai moi écrit. Faut vous réveiller, tolérer, écouter, entendre, accepter la différence, apprécier, aimer, accueillir, porter nos forces en commun. Cesser de croire que vous avez tout compris. Arrêter de me dire qu'avec des amis comme moi le FDG n'a pas besoin d'ennemis. C'est une vision bornée.
Un ami ne va pas critiquer le caractère et la personnalité d'un autre ami, car il sait qu'il n'en changera pas, qu'il faut accepter ses amis tels qu'ils sont avec leurs vertus et leurs défauts, et qu'abonder dans le sens des adversaires politiques ne peut qu'aider les adversaires politiques et nuire à la cause commune, adversaires qui seront bien content que vous placiez le débat sur le terrain de la personnalité d'une personne plutôt que sur le fond des idées.
Ne prenez pas les gens pour des imbéciles, je comprends très bien ce que vous racontez, et je ne suis juste pas d'accord, je pense sincèrement que vous devriez changer de stratégie, taper sur vos soit disant amis n'a rien de constructif.
On peut avoir des critiques constructives, mais les vôtres ne le sont pas.
C'est pour cela que vous passez pour un ennemi, et non pas parce que les militants sont des cons comme vous le prétendez. Comment ne pas voir l'absurdité de votre position vu le mépris que vous accordez aux gens qui sont censés être vos amis ...
Un ami ne va pas critiquer le caractère et la personnalité d'un autre ami, car il sait qu'il n'en changera pas

Ah ? Mais alors pourquoi dites-vous à Bracam, je cite, « je pense sincèrement que vous devriez changer de stratégie » ? Votre parti ou son chef ne doit pas changer, mais Bracam, lui, doit changer ? C'est un thème récurrent au PG : notre stratégie ne souffre pas de remise en question, c'est aux autres de s'adapter (d'où une relation houleuse avec le PCF, et un échec du rapprochement avec EELV).

Il n'y a pas d'amitié en politique : si on soutient tel ou tel parti, c'est que ses idées correspondent aux nôtres, et qu'on lui prête une chance raisonnable de les mettre en application. Il est totalement justifié de critiquer, voire de cesser de soutenir, un parti dont la stratégie nous semble dommageable. Mélenchon n'est pas « l'ami » de ses électeurs, pas plus que Hollande n'est « l'ami » de ceux qui ont voté pour lui au premier ou au second tour.

Et si un parti ou un homme politique ne veulent pas changer lorsque leur stratégie est inadaptée, eh bien ce sont de piètres représentants, et ils ne méritent probablement pas la confiance populaire (qui, en l'occurrence, ne leur est pas accordée).
Le monde médiatique est formaté par une logique (ou bien plusieurs logique à la fois). Il est complètement débile de demander comme vous le faites à tous les hommes politiques de se conformer à cette logique quant elle est pour certains d'entre eux un objet à combattre.
Pas de compromission.
Mon message portait sur l'injonction générale à ne pas critiquer, il ne parlait pas spécifiquement du rapport de Mélenchon aux médias. Sur lequel vous vous trompez lourdement, d'ailleurs : Mélenchon se conforme tellement bien à la logique des médias qu'il en est devenu un bon client, malgré les faibles scores électoraux de son parti.
Votre message porte exactement sur ce sur quoi il porte. Je sais lire, merci.
Mélenchon, ne se conforme pas du tout à la logique médiatique, puisqu'il la combat. On peut discuter sur la forme, mais dans le fond, il la combat. En témoignent ses nombreuses prises de bec, allant parfois jusqu'au clash. Clash qui sert de prétexte à une partie de la fausse gauche, comme DS, pour ne pas le soutenir. Clash que vous appelez erreur de stratégie, vous qui voyez la politique comme du marketing.
Incorrigibles mélencholâtres, qui voient la "fausse gauche" partout sauf chez eux qui adorent un politicien de carrière européiste et habitué des plateaux télé.
Sophiste de droite (pléonasme?) qui ne sait qu'embrouiller le débat d'idée...
Je suis pour l'égalité des revenus, le vrai partage, une économie planifiée et non sanctifiée, la solidarité entre les peuples et non la chasse aux étrangers... Quel programme politique s'en rapproche le plus?
Je sais à peu près qui je suis, ce que je veux et ce que je ne veux pas. Vous, ne vous reste que les arguments débiles et usés jusqu'à la corde sur la carrière politique de Mélenchon...

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Alalalahh.. Après m'être farci le coup de la carrière politique, je croyais être au bout des poncifs... Et ben non... Voilà Pirate qui va me sortir la carte URSS...
Staline n'était pas de Gauche, et vous Pirate, êtes clairement de Droite. Rien de nouveau sous le soleil.

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En effet, il faut écouter Bernard Friot parler de l'inégalité (ordonnée) des revenus comme exutoire de la violence sociale pour comprendre que le fantasme de l'égalité totale des revenus n'est pas bien souhaitable.

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Je crois que c'était de un à vingt au sein de la même entreprise (ce qui d'ailleurs pose la question de la sous-traitance).

Sinon, je suis d'accord, il faut autant s'attaquer au patrimoine qu'aux revenus.
La perfection n'existe pas, j'en suis sûr.
Ce n'est pas ce que je cherche. J'ai des principes et je veux tendre vers eux, point. Le reste de votre propos n'est que votre interprétation de ce que je recherche.
Vous prétendez que tout est déjà joué et que l'homme est ce qu'il est. Moi, je crois que votre pseudo fatalisme n'est simplement qu'une stratégie d’évitement inconsciente pour éviter de vous poser trop de questions.
Et puis, surtout, le vrai problème de votre discours anti-gauche, c'est qu'il à l'air de sous entendre qu'on peut ne pas être de gauche sans être de droite. J'ai l'impression en vous lisant que vous préférez une sorte de statuquo à la poursuite d'une société pure et parfaite. Mais il n'y a pas de statuquo. La droite avance, grignote sur la gauche qui ne réagit que par spasme. Vos maigres épouvantails communistes rendent un fier service à la désespérance...

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Je précise que l'idéal que je poursuis devra évidemment être retaillé puisque je conviens que la perfection n'existe pas. Idéal dont je suis tout à fait disposé à discuter entre gens de gauche.
Vous votez Mélenchon Pirate?

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Vous êtes de droite, Picrate, je suis au regret de vous le dire.
Pour vous situer, j'ai utilisé la grille de lecture dite "de Gondalah", célèbre politologue du XXIe siècle, selon lequel tout citoyen ne votant pas Mélenchon se retrouve mécaniquement à droite.
Dans une de ses analyses politiques les plus abouties, il ajoute même fort justement qu'être de droite est "une faute morale".
Quant à moi, ayant voté Mélenchon en 2012, mais n'ayant, par la suite, pas fourni toutes les garanties de mon allégeance, je me pose désormais de sérieuses questions sur ma couleur politique.
Je me demande d'ailleurs si la manière la plus pertinente de me qualifier ne serait pas "mélenchoniste zombie".

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Oui, si on n'est pas d'accord avec vous, il ne nous reste forcément que "les arguments débiles et usés jusqu'à la corde". C'est mignon, le sectarisme.
Il doit bien exister des gens de droite avec une vrai réflexion... Mais vous n'en faites pas partie. Je vous range plutôt dans la case sophiste de pacotille...
Je vous parle des rapports complexe de Mélenchon et du monde médiatique et vous bottez en touche en me parlant de sa carrière et en me traitant de Mélenchonnâtre...
Plus bas, avec Jules, vous faites pareil, vous évitez de discuter en tentant de décrédibiliser votre interlocuteur, et sans lui opposer aucun argument.
Freudqo fait déjà ce que vous faites, et en mieux...
Ben oui, vous rangez les gens dans des cases. C'est tout ce que vous savez faire, et que vous passez votre temps à faire ici.
Mélenchon " bon client"...C'est en effet comme ça que les médias affectent de le considérer-récupérer. Le journaleux-lambda n'ira pas crier sur les toits la dangereuse culpabilité qu'un échange avec JLM ( on le devine avec Aphatie) risque de lui inoculer. Il est possible que l'épisode Mélenchon soit électoralement sans lendemain. Mais moralement...Ne croyons surtout pas qu'un journaleux a les moyens intellectuels et culturels d'accéder à cette grande philosophie qu'est le cynisme. Il portera plutôt sa faute qui le rongera jusqu'à générer la haine et le ressentiment qui sont des contraires de la philosophie.
La stratégie se discute et on peut la décider collectivement. La personnalité d'une personne ne se discute pas et ne se décide pas. Bracam peut changer de stratégie, Mélenchon ne peut pas changer de personnalité. Enfin je sais pas tout ce que je dis là me semble évident.

La stratégie du front de gauche est remise en question en ce moment à l'approche du prochain congrès. Vous racontez vraiment n'importe quoi.
Mélenchon ne peut pas changer de personnalité

Oh, le pauvre chou. Sérieusement, changer n'est pas hors de portée d'un individu déterminé. La "personnalité" n'est pas un truc qui nous tombe dessus magiquement à la naissance. Certes, il faut faire des efforts ; peut-être que ça emmerde Mélenchon...

La stratégie du front de gauche est remise en question en ce moment à l'approche du prochain congrès

Quel congrès ? Il y a des congrès du FDG maintenant ?
Votre volonté de dénigrement vous pousse à dire n'importe quoi, vraiment.
Et oui il y a des congrès au PG. Le dernier avait eu lieu en mars 2013.

Sérieusement, changer n'est pas hors de portée d'un individu déterminé.

Commencez par donner l'exemple, et si vous changiez de personnalité afin d'apprendre le respect et l'honnêteté ?
Je repose ma question : il y a des congrès du FDG ? (non pas du PG, je me doute qu'il y en a).
Question faussement naïve et sans intérêt.

Un ami ne va pas critiquer le caractère et la personnalité d'un autre ami, car il sait qu'il n'en changera pas, qu'il faut accepter ses amis tels qu'ils sont avec leurs vertus et leurs défauts, et qu'abonder dans le sens des adversaires politiques ne peut qu'aider les adversaires politiques et nuire à la cause commune, adversaires qui seront bien content que vous placiez le débat sur le terrain de la personnalité d'une personne plutôt que sur le fond des idées.
Ne prenez pas les gens pour des imbéciles, je comprends très bien ce que vous racontez, et je ne suis juste pas d'accord, je pense sincèrement que vous devriez changer de stratégie, taper sur vos soit disant amis n'a rien de constructif.
On peut avoir des critiques constructives, mais les vôtres ne le sont pas.
C'est pour cela que vous passez pour un ennemi, et non pas parce que les militants sont des cons comme vous le prétendez. Comment ne pas voir l'absurdité de votre position vu le mépris que vous accordez aux gens qui sont censés être vos amis ...


Un ami va critiquer un aspect ou un autre chez son ami parce qu'ils sont amis, et qu'il savent pouvoir se dire des choses vraies, tout en opposition avec la manière dont on est censé se comporter en société lorsque l'on a le respect de l'autre, de la démocratie et le désir de la paix civile. Ces manières qui, mal comprises, peuvent devenir odieuse hypocrisie, trahison. C'est précisément lorsque l'on se croit obligé ou que l'on est réduit au silence, en famille ou entre amis, que la question de la valeur de ces relations se pose le plus dramatiquement.

C'est donc précisément entre vrais amis qu'il doit être le plus possible d'échanger des propos absolument sincères. C'est dans ce contexte que l'amitié peut grandir et devenir une relation particulièrement rare et précieuse. Vous me semblez croire comme étant obligatoire et peut-être même apprécier le fait que l'échange d'idée relève de la guerre, larvée ou armée en société, ouverte entre amis. Plus extravagant, parce que cela revient à prendre pas mal de gens pour des idiots qu’ils seraient en effet si l'on vous suivait, vous affirmez que la critique est inutile comme on le sait (!) car l'ami ne changera pas. Ben mon vieux, vous en savez des choses, vous ; vous me semblez investit d'un pouvoir de prédiction assez remarquable, et si je me laissais aller à mon envie de connaître l'avenir, c'est bien à vous que je m'adresserais. Vous dites en quelque sorte que comme l'on est on meurt (ce qui laisse peu d'espoir s'agissant des imbéciles). Affirmation stupéfiante mais, compte tenu de votre conviction, je me demande bien pourquoi je tente de vous faire partager une autre idée. Il est donc vrai que nos perspectives d'amitiés s'éloignent...

Heureusement que Jean-Luc a une attitude tout autre que la vôtre en ce qui concerne l'écoute de son entourage, et vous sembleriez presque ne pas l'imaginer, ou vous n'en dites rien. Je le critique sur le point de la rigueur de son attitude en public : en effet il n'évolue pas autant que je l'aimerais, car je suis convaincu que sa hargne mainte fois dénoncée par ses adversaire dessert le parti et son image, comme ses ennemis ne manquent pas d'en profiter et comme certains de ses partisans ne manquent pas d'en souffrir, en silence ou en en faisant part avec le respect que vous ne comprenez pas chez eux. Je me réjouis de lire Oskar Lafontaine dans le blog même de JLM parce que, bien qu'exposé par son ami Jean-Luc, en tant qu'allemand, à une critique virulente d'une certaine Allemagne, il argumente et complète la démarche de JLM en des mots que j'entends mieux, pour des idées semblables et complémentaires. Vous dites savoir lire tout ce que j'ai écrit plus haut, mais je considère que vous ne m'entendez pas. Je sais pour ma part que Jean-Luc est capable d'écouter les autres et qu'il cherche toujours quelle sera la meilleure ligne à adopter pour se faire entendre et comprendre. Il donne régulièrement les preuves de sa recherche en ce domaine, et plus généralement de sa soif d'apprendre et rencontres. Je suis convaincu qu'il est à l'écoute des autres, que sa pensée vive et éclairée évolue au cours de ses lectures, que son intelligence et son humanité, sa culture sont toutes au service de la cause qu'il épouse intimement. Et parfois, il retombe dans sa pire caricature médiatique, et j'en souffre.

Il n'y a vraiment que les imbéciles pour ne pas comprendre que (puisque j'en suis à une indispensable explication de texte à votre bénéfice (?), en ce langage cru et dru que vous n'aimez pas chez n'importe qui, je le comprends et l'admets volontiers), je ne traite pas les militants de cons. N'ayant aucune raison ni légitimité à employer ce terme dont VOUS m'attribuez l'intention et l'usage dans un raccourci qui montre une fois encore que vous ne me comprenez pas, je précise que certains d'entre eux (militants) délirent en prenant pour ennemis leurs pairs dont ils réfutent le droit à la critique, sur qui ils projettent leurs fantasmes, parfois même totalitaires. Je répète, certains d'entre eux. Si vous deviez tenir à vous sentir visé, je n'y pourrais rien. Je ne "tape" pas sur Mélenchon : je regrette certaines formes de sa communication, et je témoigne de mon admiration pour ses qualités bien que tel n'ait pas été le sujet de ma contribution. L'angoisse, la colère peut-être manifestement vous gagne à l'idée que l'on puisse, en tant que sympathisant ou pire, militant, "donner des armes" à ses ennemis en participant à la réflexion commune dans les comités certes mais aussi en tant que femme et homme dans la cité,en exprimant soutien ET doutes parfois, en proposant, comme si les plus belles démocraties ne devaient avoir été construites que sur un principe univoque plébiscité par principe par la totalité des citoyens. Non, il n'y a pas UN militant et des ennemis, en démocratie.

Heureusement que JLM a une vision et un discours tout autres sur cette question du jeu démocratique ! Je relève son ouverture lorsqu'il donne la parole à ses amis, qui ne s'expriment pas forcément comme lui. Je fais part plus haut de mes contradictions en toute franchise, pas vous, et je me méfie beaucoup des va-t-en guerre et des lignes bleues, des lendemains qui chantent une fois l'ennemi tué. J'aime beaucoup Mélenchon, beaucoup de ses idées, ce que je ne peux dire de la sorte d'aucun homme politique. Votre incompréhension et votre contestation de la nature de mon soutien aux idées et à la personne m'inspire une grande défiance à votre égard, qui pourrait changer si vous me donniez quelque indication d'intelligence (vous savez, celle qu'on appelle "bonne" dans l'expression vivre en bonne intelligence). Vous changeriez, moi de même car je suis maléable, fourbe, mou, indécis, traître, ennemi un jour ennemi toujours, ou tout autre en fait. Je suis pour vous ce que vous voudrez que je sois, et j'en parle non pas pour moi seulement, mais pour tous ceux que vous jugerez de la même manière, par erreur. Je répète : qui, du militant borné (le militant, pas tous les militants, ni forcément vous) ou de la femme ou de l'homme d'ouverture sert-il le mieux la cause qu'il défend ? En quoi cette question posée en songeant à Mélenchon est-elle un acte de guerre ?
Je crois que vous confondez la camaraderie avec l'amitié intime, il y a quand même une grosse différence ;) Jean-Luc Mélenchon a mon amitié acquise mais je ne le connais pas personnellement et je ne fais pas partie de son entourage, et je ne pense pas que cela soit le cas non plus pour vous.
Aussi je crois sincèrement que vos critiques sont non seulement malvenues vaines et non constructives, Jean-Luc Mélenchon ne changera pas de personnalité à plus de 60 ans parce que Bracam sur un forum l'aura critiqué.
Mais en plus concrètement tout ce que vous faites c'est servir la soupe aux adversaires politiques du front de gauche.
Mais après je peux me tromper, à vous de m'expliquer en quoi ce que vous faites est bénéfique au front de gauche ?
M'expliquer ? Vous plaisantez, allons... Pour vous, ma démarche, quelles que soient mes convictions manifestement pas dans la ligne, que ma prose s'écrive en trois lignes ou trois chapitres, rien ne passe. La cause est donc entendue, mon crédit épuisé. Pour ce qui est de confondre camaraderie, amitié, je suis loin d'être incapable de comprendre la différence. Le fait de gloser sur l'amitié, qui est d'ailleurs un sujet dont il était question, ne sert manifestement pas à grand chose s'il ouvre là encore la porte à la critique de la forme, de la méthode et suscite une forme de suspicion peu respectueuse.

Votre conviction que JLM ne changera pas à plus de 60 ans est également sujette à caution. Parlez de vous si vous voulez ; personnellement je vois chez JLM, je me répète mais comment faire autrement, de l'écoute, et une recherche constante qui nourrit son évolution. Enfin, puisque vous avez décidé que je fais du mal au FDG, alors le monde est vraiment bien barré, pour peu que votre absence de nuance, de doutes et d'ouverture triomphe. Je me préoccupe beaucoup moins de faire du bien au FDG que de tenter de ne pas mal agir, puisqu'il convient plutôt de faire gagner les idées dont il est porteur lui et tant de gens de sensibilité comparable que de se comporter en soldat de parti. Et s'il faut des soldats, il faut des stratèges, des infirmiers, des rapporteurs, même des poètes. Et non pas UN militant inapable de supporter une autre manière que la sienne.
Bon de toute manière je n'ai pas à me justifier face à un censeur qui m'agace en fait profondément, plus j'y pense. J'aime Jean-Luc Mélenchon, et je n'ai rien compris à la critique de Daniel Schneidermann qui pour moi est totalement à côté de la plaque avec son billet concernant le passage de Jean-Luc à C+ (que je viens enfin de regarder en partie). Jean-Luc y dit tout ce qu'il peut se dire dans un contexte quasi grotesque de merdia télévisé, à chaque fois qu'on lui concède une parole qu'il doit arracher à des rigolos qui sont loin de faire rire. Mais quand on écoute entre les plaisanteries douteuses et les interruptions permanentes qui précèdent même parfois les réponses de "l'invité", on entend dire des choses très importantes.

JLM à C+ dans une foire d'empoigne à la mesure des médias
Et puis j'aime beaucoup l'explication de la manière dont celui qui établit un constat socio-politique, en lequel il pourait certes commettre une erreur mais alors avec la certitude de n'être pas le premier, recueille très facilement un flot d'insultes et de mépris pour toute sorte de mauvaises raisons, pour faire simple, ou par pure malhonnêteté intellectuelle (quand ce mot convient encore), dans un monde où monte la haine que l'individualisme ou le panurgisme alimentent dramatiquement. Le voici repeint aussi bien en facho qu'en décliniste, pétainiste, nazi sans même forcer...

Aussi j'apprécie la manière dont Onfray dit sa conviction de gauche, qui passe pour tout sauf un engagement de gauche auprès de nombre d'intolérants, sourds de surcroît, pour une trahison suprême dont on comprend bien qu'elle pourrait le mener à la décapitation si les circonstances s'y prêtaient. En ce qui me concerne petitement, je précise que je n'épouse en rien ce que dit Onfray dans la mesure où j'avaliserais, en tant que pair auto-proclamé, la conscience et le savoir qui sont les siens. Je l'écoute, son propos trouve une grande résonance en moi. Tous ensemble, prenant en compte nos différences mais nos engagements communs, nos amitiés, nous sombrerons ou peut-être non, mais dignement. Ensemble, nous saurons reconnaître l'intelligence et l'humanité de l'autre partout où elle cherche, trouve et diffuse un peu de lumière. C'est peut-être ce qu'il nous reste de meilleur à accomplir, et ce ne sera pas une démission, mais bien un combat, un "feu de tout bois".

Être de gauche dans le cosmos
Aussi j'apprécie la manière dont Onfray dit sa conviction de gauche,
J'ai écouté les 5 premières minutes, j'ai envie de le baffer.
Non, sans blague, plaider pour l'histoire et le temps long après la manière dont il a traité Mélenchon sur tous les plateaux télé à la veille des Présidentielles !!!
(Ha, le bel esprit qui, par exemple, faisait semblant de ne pas comprendre la référence à Robespierre et qui déformait consciencieusement tout ce qui passait à sa portée dans un matraquage méthodique.
Il a définitivement perdu sa crédibilité d'intellectuel, à mes yeux.
Evidemment, Mélenchon faisait aussi référence à Condorcet, Onfray le savait très bien, mais ça ne l'empêchait pas de hurler que "ah au moins, si Mélenchon citait Condorcet, hein, ce serait moins inquiétant nanana"...et toutes ses approximations répétées mécaniquement sur tous les plateaux, Cuba par exemple... .)
Bref, Onfray présente les choses comme ça l'arrange pour pouvoir endosser son rôle de lumière éclairante, dommage qu'il n'éclaire pas un peu mieux le sous-texte de ce qui lui permet de faire le chevalier. Sous-texte pas du tout rigoureux, voire carrément et sciemment mensonger.
Beau modèle de mauvaise foi, accompagnée d'une grande capacité à produire de l'écume.
(Ses positions sur l'école par exemple : sur quelles représentations s'appuient-elles ?)
Je reconnais avec vous le fait qu'il déforme complètement les propos de Mélenchon et que, s'il l'a soutenu un jour, il a fait un foutu demi-tour que je ne comprends décidément pas. Cela ne m'empêche pas d'écouter ce qu'il dit, puisqu'il n'y a pas une vérité, mais un espoir fragile chez beaucoup d'entre nous de trouver un terrain d'humanité sur lequel chacun amènerais la toute petite sienne, dans le respect des autres. Onfray, que j’apprécie, n'aimerait peut-être pas le genre d'ami critique que je pourrais être à son égard. Hé oui, je prétends qu'en chacun d'entre nous... pardon, j'aimerais tant qu'en chacun d'entre nous se trouve cette part parfois infime d’humanité sans laquelle il ne resterait qu'à se flinguer. Ici, j'ai négligé les accusations malvenues d'Onfray à l'encontre de JLM : ce qui m'intéresse est la manière dont Pierre (Jacques, Karim, Cécile) se fait insulter par la terre entière, parfois simplement parce que Ginette l'a mis au défi de "s'expliquer" très exactement dans les termes qu'elle attend. Le reniement, l'adoration ou la mort. Cette manière dont aujourd'hui chaque petit roi entend excommunier des gens à la cheville de laquelle il se peut qu'ils n'arrivent pas.Ah oui, l'être est complexe : oser parler de son amour de la vie expose à une volée de tous ceux qui croiront démontrer le contraire parce qu'il a tué un moineau à l'âge de 4 ans ou voté à droite. A gauche, combien de divisions ? Enfin s'il est une pratique qui me sidère toujours plus dans le débat à couteaux tirés qui devient la règle sur les plateaux et dans la rue, c'est la manière dont les questions sont les réponses, dont rares sont les inquisiteurs, on s'en doutait, à imaginer un instant qu'une réponse nécessite parfois un certain développement, qui ne se situera peut-être pas exactement dans le cadre exigé, qui ouvrirait de nouvelles perspectives si l'on acceptait d'écouter.

Dernière chose : je n'allais tout de même pas vous suggérer telle ou telle minute à mes yeux importante et éclairant le sens de ma contribution, cela m'aurait semblé "peu élégant" et je comptais bien sur le fait que vous dépasseriez les 5 premières minutes dans l'idée de répondre à mon questionnement. Je n'ai pas écouté Onfray avec le souvenir de l'inconvenante critique de Mélenchon, que vous évoquez, que je connais et déplore, encore qu'il en ait bien le droit, fut-ce une critique inutile selon certains adeptes. Je regrette bien que vous partiez le couteau entre les dents sur ces aspects de la personne, qui a bien d'autres choses à dire. Et puis décidément, il semblerait que quiconque faisant preuve de conviction soit le plus souvent accusé de mauvaise foi au moins, et d'orgueil, de bêtise, de tout ce que l'homme produit de méprisable, pour fermer la boucle. Cela aussi est une forme assez obscure de la pensée et de la critique ; c'est même en ces circonstance que je m'entends dire presque chaque jour désormais, dans le grand merdier socio-médiatico-politique : toi qui arrives devant cette porte, abandonne tout espoir.

En tout cas, merci de m'avoir lu et répondu :)
A propos d'Onfray, son attitude et ses interprétations de la vision qu'a Mélenchon de Robespierre par exemple renforce mon sentiment de la difficulté majeure et excessivement courante, c'est bien plus désolant chez les intellectuels, à comprendre ce qui sort de leur cadre de référence et de pensée. Mais ce n'est pas une règle définitive non plus, c'est ça qui est beau... Onfray, comme Mélenchon, n'est jamais meilleur que lorsqu’il peut exposer ses thèses en conférence ; on évite les fâcheux qui se réfèrent à leurs propres obsessions hostiles à l'orateur qui le font si souvent sortir du sens de sa pensée et le font passer pour un bouffon aux yeux des idiots.

Mais encore, Gondalah fait fort justement remarquer que, je le cite, "Je considère que toutes les idées ne se valent pas, qu'en matière de politique, les gouts et les couleurs sont discutables, qu'être de gauche n'est pas simplement l'opposé d'être de droite." Et c'est bien le moins que l'on puisse dire, tout en renonçant à contester des accusations grotesques et infamantes de censeurs de petite vertu aux manières souvent perverses. Si les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, les tribunaux médiatiques eux sont noyés sous des marées de quérulents légitimes parfois, indignes souvent, et selon Courteline, “Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet.” La gastronomie (française ?) a décidément de beaux jours devant elle.
Mon cher Bracam, la critique d'Onfray contre Mélenchon intervient les deux dernières semaines juste avant les élections présidentielles. Pourquoi faire mine d'ignorer les possibles tenants et aboutissants d'une telle exposition médiatique à un moment clé de l'élection, alors que des sondages commençaient à donner Mélenchon à 15% ?
N'est-il pas évident qu'il s'agissait ici d'une mission commandée ?
Qu'en déduire des liens d'Onfray avec les médias et les intérêts politiques et économiques qui les dirigent ?
Laisser croire que cet épisode ne tient qu'à des désaccords idéologiques me semble grandement insuffisant.
Onfray est un gros con. Je peux nuancer, mais je fatigue.

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"Sans arguments, en plus."

Il va être content Onfray d'avoir une groupie de cette qualité...Il écrit mais alors, sans arguments, un délice!!
Il y a au moins deux gros cons
Ça fait trois.
quatre, je compte pour deux
Pour moi ce sera un demi. Mais bien frais.
la seule question reste de tenter de comprendre comment un individu moyen (pardon Aloys, mais je ne peux sans préjugé outrancier vous créditer de mieux, étant moi-même très mal placé pour juger) comment donc cette personne peut traiter Onfray, ou Bracam, Picrate, Sandy, son père et les putes de gros cons (haine aine euh esse pour elles). Ceci reste pour moi profondément inhumain, dans le sens où nous supposerions qu'il y aurait quelque chose à sauver dans l'humanité. Combien de divisions ? Autant que d'individus, que l'on multipliera par l'âge du capitaine et sa très mauvaise foi, une once de laideur pour parfaire le tout, trop souvent. A ce propos, je note, au crédit d'Onfray, que lui au moins n'a pas la foi.
Sandy, je crois personnellement qu'Onfray est assez libre de sa pensée pour qu'il ne soit sous l'influence d'aucun service commandé à deux semaines de la présidentielle. Ce genre de fantasme, pardon de nommer ainsi votre sentiment, me navre réellement. Non pour défendre Onfray, dont je ne suis pas le disciple car pour être disciple, il me semble nécessaire soit de manquer de soi ou alors d'avoir trop envie d'une vérité nue. Je vous assure que j'aimerais vraiment que tous les humanistes sincères, comme il doit s'en trouver au FDG aussi, aient suffisamment de recul pour ne point détester qui que ce soit intimement. Je me permets de le dire ainsi parce que je vois bien quel chemin inverse je suis, allant de l'idéal d'un monde meilleur, ou plus serein, disons fraternel, à un désespoir teinté de haine qui gagne (à n'être pas connue).
Vous niez qu'Onfray a été sollicité dans plusieurs médias pour plomber la campagne de Mélenchon ?
Je ne nie rien du tout de ce que vous avancez, qui me fait mauvaise impression de par sa forme, je n'y crois pas. Mais vous avez peut-être des preuves ? Sans elles, ces accusations me dérangent. Au bout du compte surtout, elles ne m'intéressent pas, franchement et ceci dit sans animosité. Onfray est un gros abruti, à vous lire. Dans ce sens, il n'est bien ce que vous avez décidé qu'il est. Je n'ai ni les mêmes éléments ni la même approche, ni le même intérêt pour sa démarche qui m'amènerait à de si tristes conclusions. Comme pour Mélenchon, dont j'écoute les arguments et dont je partage beaucoup d'entre eux, j'en reste à mon ressenti de ces personnes de qualité. Il vous suffit de voir combien Mélenchon est méprisé, dégradation que vous ne comprenez ni ne tolérez me semble-t-il, pour que je me permette de vous faire remarquer que votre opinion avilissante d'Onfray a une valeur dont je doute, très comparable à celle que vous déniez aux imbéciles contempteurs de Mélenchon.
Faut regarder en entier pour bien comprendre la logique :
https://www.youtube.com/watch?v=oGCUmTAdYRw

(approximations, raccourcis, mensonges, tour de passe-passe et autres moulinets, indignes de la culture qu'il s'attribue)
Vu déjà ce montage, à charge, cela n'aura échappé à personne, et personne n'aime la méthode appliquée à ses amis, ce qui explique que je connais ce dont parle Sandy, et j'en éprouve depuis lors une vraie déception à l'égard de certaines contorsions, imprécisions volontaires ou non et évolution de la part d'Onfray. J'affirme en tout cas que si je m'intéresse à la culture qu'on lui attribue (votre raccourci sonne mal quand vous parlez de la culture qu'il s'attribuerait lui-même, c'est un procédé-procès tellement connu), c'est en principe hors de ses prises de positions politiques, qui dans le cas du montage à charge présent me le rendent antipathique. N'ayant en rien la culture que je lui attribue, ne connaissant pas son oeuvre mais m'y intéressant (donc pas sur le plan politique je le répète) ; considérant que s'il suffit de ne pas partager l'opinion politique de quelqu'un pour s'autoriser à le mépriser, le conspuer publiquement, alors on n'a pas d'amis mais pour ainsi dire que des ennemis et des guerres partout dans le monde, bien des échecs de la vie en société s'expliquent sans peine. Bizarrement, en des temps où il importerait comme peut-être jamais, compte tenu de la folie humaine qui se développe à la vitesse des réseaux "sociaux", de rechercher ce qui nous unit dans notre humanité (quand elle survit), hé bien non, on continue de plus belle à détester, à haïr. Je ne demande à personne d'aimer Onfray, surtout donc pas pour ses opinions politiques et, pour être plus précis, compte tenu de la manière dont il les exprime... mais sottement refuser de le lire et de l'écouter comme on le constate parfois est un grave manquement intellectuel, une balourdise idéologique si commune qu'on devrait en rire. Autant dire ce que j'aimerais éviter pour les raisons simplement exposées ici.

Mais surtout, comble de l'ironie, constatons que Mélenchon est un émissaire parmi les plus férocement attaqué avec ces mêmes procédés bornés les plus grotesques et malhonnêtes que nous appliquons si facilement à d'autres (n'allez pas comprendre qu'en l'occurrence cela me réjouirait, ce serait bien étrangement vu). En pareil cas, vous y retrouvez, je l'espère, la démonstration de la bêtise, consciente, volontaire ou non, des adversaire de cet homme politique dont tant de gens apprécient les positions et l'engagement. L'autre n'est décidément que très peu ce que je décrète qu'il doit être pour la seule raison que je le vois à ma manière.

Y aurait-il un rapport entre la sottise humaine de celui qui ne voit pas l'autre pour ses qualités parce qu'un de ses propos lui disconvient, parce qu'il croit que s'il ne condamne pas sans appel celui-ci, s'il n'exprime pas des avis définitifs, tranchants, il est un mou indigne, un lâche plutôt que l'humaniste qu'il devrait être ? Sa propre image importe-t-elle à ce point qu'il se croie autorisé à condamner, insulter parfois des gens autrement reconnus comme honorables ? Est-il à ce point idiot qu'il craigne de porter au pinacle des bourreaux, des truands, des tortionnaires, des racistes, des dictateurs, du simple fait qu'il aurait écouté et entendu, rapporté même le propos d'un penseur comme étant juste, aimé même, horreur totale, un discours, un livre, le travail d'un écrivain, d'un politicien, d'un capitaine d'industrie, bien conscient par ailleurs des manquements possibles de cette personne ?

Je suis mal placé, à tout point de vue, pour me faire une idée de la qualité des intervenants dans cette discussion, de leur droiture, de leur humanité, de leur culture. Je n'aurai pas assez du temps qu'il me reste à vivre en état de conscience pour prétendre en public avoir circonscrit tel ou tel penseur reconnu par des milliers de lecteurs et auditeurs éclairés. Mais je sais que pour l'heure, j'accorde plus de crédit à ceux-là qui voudront bien exprimer intérêt et respect à l'égard des rares intellectuels qui animent encore l'espace de la réflexion publique dans un esprit humaniste et avec rigueur intellectuelle.
Magnifique éloquence pour un combat perdu.
quand vous parlez de la culture qu'il s'attribuerait lui-même, c'est un procédé-procès tellement connu
Dites, c'est Onfray qui se présente en penseur hors chapelle, c'est lui qui s'exprime sur les plateaux télés sur le ton de celui qui sait.
(Et quel ton !).

A la lumière de ses sujets de préoccupations et de la culture qu'il agite publiquement dès qu'il le peut, il est impossible qu'il croit/croie ? ce qu'il dit dans ce montage, sur n'importe lequel des sujets.
D'où le diagnostic de mauvaise foi.

Concernant la droiture intellectuelle (ou non), ce petit extrait suffira :
https://www.youtube.com/watch?v=gy_qC8FQjOM

Quand on prétend nourrir le débat public, on cherche à outiller les citoyens. Et non les abrutir, ce à quoi pourtant Onfray s'applique méthodiquement (on parle bien de son tour de rock star sur TOUS les plateaux à la veille des dernières élections présidentielles).

Fin de l'extrait/ "dialogue" avec Judith chez Taddéi : son étriqué " vous êtes dans la négation de ce qui est dit" (haha, pas de contextualisation chez ce si grand penseur) et son obstination à ramener la comparaison avec Le Pen, c'est indigne. Surtout à la veille des élections.
Evidemment, il sait ce qu'il fait. (Sinon, franchement, c'est encore pire)
La question, c'est mais pourquoi ?????
Onfray, comme BHL jadis, exprime la soif aveugle défrançais médiatisés jusqu'au trognon pour quoi que ce soit qui pense un peu. C'est vrai qu'il pense un peu, comparé aux journalistes. Mais il gère son fonds de commerce de façon très antipathique, très plantuesque.
Précision :
Concernant Robespierre, Onfray brouille les cartes à deux niveaux : d’une part, il entretient le cliché qu’on ne pourrait pas cibler chez Robespierre ce qui a contribué à la révolution dans ses aspirations les plus nobles (bien la peine d’être si érudit) et d’autre part, il fait semblant de croire que Mélenchon ne cite que Robespierre en regrettant si noblement (mauvais acteur en plus) qu’il n’ait pas plutôt choisi Condorcet, ce qui est faux, Mélenchon a cité aussi Condorcet. Moi qui ne suis pas Française, je l’avais entendu à plusieurs reprises, d’où ma stupeur quand Onfray a retourné sa veste de manière si spectaculaire, répétée et stupidement argumentée à la manière café du commerce (pardon aux bistrots)

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Au zinc, vous êtes plutôt blanc limé ou ballon de rouge?

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Désolé: "quel" picrate. :-)

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Non, désolé, on dit : du picrate.

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Je crois, cher Bracam, que nous avons déjà échangé sur le sujet. La personnalité du saint homme ainsi que celle de ses militants n'est pas mon sujet présentement.
Ma réaction (à laquelle vous réagissez) concerne les non-soutiens du FDG.

Je considère que toutes les idées ne se valent pas, qu'en matière de politique, les gouts et les couleurs sont discutables, qu'être de gauche n'est pas simplement l'opposé d'être de droite. Partant de cela, j'entends toutes remarques à l'égard de Mélenchon quant elle est proposée par un soutien du FDG. Et inversement, quand elle émane de la bouche d'un opposant, comme DS le fait régulièrement, je le prends pour ce que c'est, une attaque, une réaction du système qui se protège contre la menace Mélenchon.
Vous semblez remonté contre un certain militantisme. Moi, ce qui me gonfle ce sont les gens de droite, qui ne votent pas Mélenchon, et qui disent que c'est à cause de ses insultes. En dehors de la faute morale qui consiste à être de droite, il y a aussi cette condescendance sournoise qui consiste à faire passer Mélenchon pour un candidat trop énervé pour être crédible, et même que c'est dommage parce que au fond y dit pas n'importe quoi... gnagnagna
Merci, je crois et j'espère que nous nous entendons :)
S'il me semble très vrai que les plus grands ennemis de la gauche se présentent comme en faisant partie, il faut bien dire que dans un pays comme la France le plus grands crimes du "gauchiste contre son camp" est de virer le débat d'idée au profit des attaques à la personne. Notez bien comme dans votre billet vous ne critiquez aucun des arguments de DS (l'echec de Mélenchon dans les buts qu'il s'était fixé, la vacuité d'une démarche qui semble se résumer à du jeu de plateaux télés) mais faites du procès d'intention sur le mode psychologie de comptoir. Vu ? Voilà, ça, il faut arrêter.

Et pourtant si ça se trouve je suis d'accord avec vous. Je peux au moins convenir que la posture de DS qui consiste à critiquer le jeu médiatique ressemble fort à un reproche adressé avant tout à lui même (comme c'est souvent le cas avec les reproches émis). Mais si vous voulez faire progresser notre camp, convaincre hors de nos lignes, il faut changer d'approche. Le démon de la gauche, c'est la police politique. Sembler vouloir la restaurer sera toujours une repoussoir mortel aux yeux du corps électoral quelle que soit la qualité du projet progressiste associé.
Ce post est un peu trop général pour que j'y puisse répondre. Franchement, vous me dites que je ne réponds pas aux arguments de DS, mais je ne vois pas où vous en trouvez. Mélenchon a raté son but? c'est un peu léger.... Le jeu des plateaux télés? Que faire d'autre? Crieur de rue?
L'affrontement gauche droite se joue depuis la nuit des temps, et la gauche perd. Elle gagne des batailles, mais perd la guerre encore et encore. Je pense que c'est cet état de défaite permanente qui cantonne le gauchiste à une sorte d'amertume haineuse. Je ne sais pas ce que vous entendez par "convaincre hors de nos ligne". Je ne sais pas ce que DS propose à la place, il n'en parle jamais. Je sais que je ne veux pas voir le seul parti auquel je crois un peu se transformer en un stand comme un autre sur un marché comme les autres.
Les inconditionnels de la démocratie à tout prix ne supportent pas la vérité, qui regarde l'erreur de haut, aristocratiquement. L'aristocrate Tocqueville aurait parfaitement analysé le combat de don Quichotte- Méluche contre les moulins à vent de la médiocrité médiatico-démocratique. Au fond, le plus grand démocrate, c'est Plantu.

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Mélenchon a raté son but? c'est un peu léger....

Ben non. Au contraire, ça c'est concret. Une bonne base pour discuter.
Bof...
J'ai du mal a voir quel regard il faut porter sur la vie en société, sur la politique, les élections, pour résumer un résultat électoral a une réussite ou un échec. C'est pour moi une vision étriquée qui confine l'homme politique au rôle de vulgaire publicitaire... Et sous entend par ailleurs que les programmes politiques ont la même "valeurs"
Quand Mélenchon le dit lui même, peut être. Il a affiché des objectifs, il ne les a pas atteint, il s'est mis en retrait etc.
D'autant plus que personne ne part à égalité.
On ne peut pas considérer comme un échec le fait qu'un mouvement qui vient de naître ne se soit pas emparé du pouvoir alors qu'il faut du temps pour le cheminement des idées et pour que les gens changent d'avis.
Pour les partis qui sont là depuis 50 ans et qui étaient au pouvoir on peut parler d'échec s'ils perdent.
Mais pour les partis qui sont eux au contraire dans une démarche de conquête en partant de rien dutout, on peut toujours rêver d'une ascension fulgurante, mais il faut être raisonnable et se satisfaire de progressions avant d'espérer obtenir le pouvoir.
De toute façon pour que les gens changent radicalement d'avis il faut généralement plus que du blabla, il faut une convergence d'évènements.
Cette chronique est un aboutissement, M. Schneidermann. La somme d'une dissémination lente, mais sûre.
Il fallait bien que ça sorte à un moment donné.
Un talk-show comme celui de Canal +, qui se croit plus important qu'il ne l'est, aura permis de crever l'abcès.

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C'est donc l'enterrement de Melenchon!!!! .....soit! Mais c'est oublier un peu vite l'histoire très récente de Podémos et Syrisa.....Qui a prédit leur avènement
il ya 5 ans....Scheidermann????......
Ne serait -il pas plus prudent d'y mettre un conditionnel?......
Podémos et Syrisa ont été conchiés régulièrement ,pendant 5 ans, par la presse ......Donc que l'on tape allégrement sur Melenchon me laisse comme un espoir!
Dans un monde parfait Mélenchon n'aurait pas été obligé d'agir ainsi , il faut de l'explosif pour faire sauter certains murs.

Oh Daniel, vous n'avez-toujours pas compris pourquoi on vous a viré de France5.
Comparer toujours et inlassablement Mélenchon à Marchais, c'est un peu réducteur et très carricatural Mr Schneidermann et ça frise l'injure !
Je ne reviens pas sur la personnalité du premier mais, accordez au moins au second , son érudition, ses talents d'orateur et le fait qu'il soit un véritable intellectuel à la recherche de solutions "de gauche" pour le pays.
Peu de politiques lui arrivent à la cheville mais, évidemment, vous ne retenez que l'écume...
Fini de regardé le grand journal suite à la chronique de DS.

Les amateurs de fight politique et de polemiques seront déçus (ou parleront peut-être de fatigue des intervenants).

Le ton du Méluche est à la pédagogie :
"On peut faire court si vous voulez mais on peut aussi expliquer"
"Pas tout le monde en même temps ! Allez-y Polony"
"C'est bien que vous ayez ouvert la plateau à son intervention, bravo !"
"Il ne faut pas réduire les choses, et je pense que Pablo ne serait pas d'accord pour qu'on les réduise" ...


Le "salaud" d'un polemiste pourra alimenter le papier d'un chroniqueur en manque d'inspiration.
Si vous ça vous déchante qu'Aphasie soit viré , moi ça me fait plaisir , j'avais les boules d'avoir Hollande moi , j'aurais préféreé Joly ou Melanchon et même mieux les deux , s'ils c'était réunis , le PS aurai eu chaud.
Comme d'hab critique de Melanchon , celui qui a eu raison avant les journalistes et les Intellos , vous vous gargarisez parcequ'il n'est pas Tsirpa , on est pas encore assez pauvres , mais quand la crise qui arrive éclatera (les américains ne peuvent rembourser leurs emprunt étudiant et il emprunt entre 100 000 et 200 000 dollars ) , heureusement que malgré votre mépris d'intello de goche , le PG , Nouvelle Donne et le PC seront là , mais c'est vrai pas grâce a vous .
Punching ball ou https://www.youtube.com/watch?v=HM0zAfdXXFQ
J'ai trouvé cet entretien Michel Droit-Général de Gaulle d'une excellente tenue.
Je savais que Canal+ était la chaîne qui faisait rêver, qui faisait penser, qui faisait avancer, qui nous disait.


Par contre, dans le public , le sourcil de Peyrefitte me gêna
Les cadreurs se laissent aller.

Le rôle de Daniel dans cette comédie, vous demandez-vous DanetteOchoc?
C'est parfois vous permettre de nous faire partager quelques uns de vos poncifs et de vos raccourcis lors du forum qui suit.
Vous oubliez une chose : Apathie qui tire la langue hors-cadre en fin d'émission. Ca le résume et cela démontre bien que pour lui il ne s'est toujours agi que d'une cour de récréation. Que tout ça n'est pas si important, ce n'est que du théâtre, du cinéma, bref du spectacle.
Après l'adoration de Todd (qui assimile la France d'aujourd'hui à l'Allemagne des années 1930 - ah ah ah), vous brûlez celui qui fut un temps un autre objet de vos adorations.

Et vous Daniel, quel rôle jouez vous dans cette comédie ?
Un "salaud" d'adieu. Joli.
De toute façon canal +, c'est la chaîne du cinéma.
Tout le temps.
Intituler un livre en sous-titre "le poison allemand" et regretter que l'atlantisme de Merkel nous éloigne de la Russie de Poutine ?
Décidément Mélenchon a fait du chemin en marche arrière. C'est dommage par rapport à ses idées sur le déficit démocratique.

Il y a deux ans Guillaume Duval d'Alternatives économiques avait écrit un livre sur le "modèle allemand", mais on en a très peu parlé alors, sauf sur quelques radios publiques - la preuve que ce qui marche c'est la méthode Mélenchon, même si elle prend le risque (assumé ?) de flatter les instincts nationalistes.

Pendant ce temps, LVMH va mettre la main sur le Parisien...
Fatigue de cette sempiternelle stratégie de Mélenchon : l'insulte comme seul moyen de forcer les consciences.
Euh! Dans votre chronique, la seule insulte rapportée (salaud) est proférée par Aphatie.
Il y a quelque chose qui m'échappe.
Etrange hommage à canal+, qui nous révèlerait la vérité au lieu de nous l'occulter.

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