Aphatie-Mélenchon, un "salaud" d'adieu
Fin de partie. C'est peut-être la dernière fois qu'ils se retrouvent face à face,
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Derniers commentaires
le muppet schow , c'est tout , ni-plus , ni-moins...? N'oublie pas , petit homme , que Marchais n'a jamais dit "taisez-vous elkabach"....Ce sont des journalistes "fatigués" qui l'ont dit , puis écrit , puis fait croire pour remplir les bétisiers .....
Allons D.S. ! Haut les coeurs ! un petit jeûne de printemps et c'est reparti !
des nouvelles d'aloys..?
C'est en effet le jeune Olivier Mazerolle qui remplacera J.M. Aphatie pour l'interview politique de sa matinale.
Toujours la même rengaine qui sert d'analyse. Intéressée par Mélenchon, mais surtout par la notion d'écosocialisme, rebutée par certains de ses travers, le productivisme qui pointe sons nez, et qui, associé au "patriotisme", peut glisser en "cocorico les Rafales", agacée de voir toujours l'arbre Mélenchon cacher la forêt de la gauche dans toute sa biodiversité, j'attends un vrai travail sur ce thème. Qui s'y colle?
Autre chose en tout cas que cette dichotomie entre détracteurs (plus ou moins feutrés, hypocrites mais évidents) et ses inconditionnels. Qui ne sont peut être pas si inconditionnels que ça, mais qui voudraient bien, eux aussi, qu'on soit moins binaire.
Et en effet, comme l'a fait remarquer un autre commentateur, c'est rigolo de voir que c'est Aphatie qui traite Mélenchon de salaud, mais que (la force de l'habitude?) c'est Mélenchon qui se fait reprocher ses "insultes". Même le titre est ambigü, ceux qui ne lisent que les titres, et ils sont nombreux, imagineront que c'est Mélenchon qui a traité Aphatie de salaud.
Je me souviens de soirées télevisées familiales(ce fut mon éveil à la politique) devant des émissions POLITIQUES.....simplement parceque George Marchais
parlait,nous parlait....Depuis une descente jusqu'à 2%......
Alors ,on peut le (les)repeindre en ringard......Dans une société ou l'on met l'efficacité ,le mérite en avant.....N'y aurait-il pas une petite contradiction?
celle de mélenchon.
et celle de mélenchon.
il y a deux "n " à abonnement.
et deux "é" à résilié.
Peut-être le lider maximo n'a-t-il pas lu ceci.
Si on n'a pas d'actualité, on est mort, surtout si on est dans l'opposition.
Sarkozy fait des discours, Mélenchon écrit des livres.
Le livre publié, l'homme politique fait sa promo. A ce moment là, il bénéficie peut-être de l'activisme de l'éditeur, qui peut pallier la faiblesse de son parti politique, qui d'ailleurs ne peut pas être d'un grand secours en cette circonstance.
Mais écrire des livres ne suffit pas . Pour avoir accès aux médias, un homme politique doit porter en lui la promesse d'un bon audimat pour le média qui l'invite. Ces contraintes étant incontournables, Mélenchon s'y plie et fait son numéro, qu'il prépare avec soin (l'effet monologue est du au fait qu'il ne peut guère espérer briller dans une improvisation totale et qu'il essaie de ne pas laisser l'initiative à ses interlocuteurs) à chacune de ses apparitions. Je crois qu'on peut dire que ses prestations ne sont pas déshonorantes.
Le parallèle entre Marchais et Mélenchon ne me choque pas. Marchais était un homme politique d'exception et un débatteur de grand talent. N'oublions pas d'où il vient. Son parcours est admirable.
On est là ? On écoute ? Vraiment ?
Ce type d'émission, ça ressemble à des débats, ça a le goût du débat, mais c'est juste des trucs conçus pour exciter le bulbe des auditeurs et vendre de la pub avant et après. Dit-on. Une télé-zombie animée par des zombies et regardée par des zombies. Je soupçonne la plupart des spectateurs de l'utiliser comme ambiance pendant qu'ils sont à la cuisine en train de préparer le biberon du petit dernier.
Juste du bruit, en fait.
Rien.
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Il y avait certainement mieux à faire comme chronique ce matin.
Mais peut-être plus risquée, celle de parler des panthéonisés, et de ceux qui ne le furent point.
Voilà où, dans la réécriture de l'Histoire, se cache réellement l'abject.
Fatigue de ce discours de droite des chiens de garde qu'il faut se taper jour après jour.... Mais je viens ici comme j'irais sur FdeSouche... Pour regarder le mal et lui faire la nique.
Oui, DS est l'ennemi des idées de gauche. La gauche l'attire et le révulse. Il n'est pas de gauche mais aimerait l'être. Du coup, il faut écraser Mélenchon, le seul homme médiatique qui mette le nez de DS face à ses contradictions. Il faut que DS mette Mélenchon dos à dos avec un aphatie, comme s'il s'agissait d'un jeu... Comme ça, DS se sent au dessus de la mélée... au dessus, croit-il... Alors qu'il se noie avec sa meute...
Fatigue...
Il est tout simplement MAZ (oups pardon, Charlie)
Là ou je n'en peux plus, c'est dans l'obligation d'allégeance totale à la personne, aux idées et à la manière de les dire qu'exigent certains de ses partisans intraitables. Qui fait-il le plus de mal à la cause ? Mélenchon certainement en partie par la manière dont il gueule si souvent ; dans son blog du 23 mai, je lisais avec stupéfaction une texte mesuré et remarquable, incrédule jusqu'à ce que je m'avise qu'il était de la main d'Oskar Lafontaine. Parce que oui, il est possible de dire les mêmes choses que Jean-Luc, implacablement mais de manière à ce que le plus grand nombre y veuille bien prêter attention plutôt que de se braquer sans espoir de retour pour des questions de violence de la forme. D'autres portes-parole du Front de Gauche nous en ont donné l'exemple, qui certes peuvent faire regretter le fabuleux talent d'orateur de Jean-Luc... Où serait-il écrit que leur engagement a moins porté et servi que celui de Mélenchon ?
Et puis il y a une partie des militants qui délirent, comme peut le faire tout militant de quelque bord que ce soit, pour qui "celui qui n'est pas avec nous est contre nous" : celui-là fait un mal de chien à la cause qu'il croit défendre, parce qu'il y a trop peu de démocrate en lui, trop de la manière intolérante qui lance les guerres les plus connes. Parce qu'il insulte d'autres manières de penser la cause même qu'il défend, et des gens sincères et engagés dans le même combat. Quant à moi, soutien du FDG avec toutes mes contradictions, admirant non pas sans conditions JLM, je ne chercherai plus à tenter d'amadouer ceux qui me prendront pour un mou ou un traître. Il y a, avec les inquisiteurs, des causes perdues, celle de l'intelligence (plusieurs acceptations) et de l'humanisme par exemple, par la faute même de ceux-là qui s'érigent en gardiens du temple.
Montrer patte blanche à des adversaires politiques ne les fera pas changer d'idées;
Bracam écrit "Quant à moi, soutien du FDG", vous lui répondez "un gars d'extrême droite aurait très bien pu écrire la même chose".
Des responsables du Front de Gauche semblent vouloir favoriser l'ouverture pour entrer dans une dynamique plus proche de Podemos, mais pas sûr que ce soit vraiment dans la culture des militants.
Cela apporte ce que je dis, que vous ne comprenez pas. Et comme je l'ai clairement écrit, je renonce à me justifier auprès de militants qui ne savent pas reconnaître leurs amis et soutiens. Ceux-là, donc aucun de tous les autres, je ne les crois plus capables de faire avancer un mouvement fondamentalement vital pour l'humanité sans faire autant de mal qu'ils prétendent agir en faveur de leurs convictions. Puissiez-vous ne pas faire partie des gens peu capables de différencier, de pondérer, de comprendre, d'aimer, d'accepter toute forme d'expression aux buts communs avec les vôtres, mais différemment exprimés. Je vous accorde a priori toutes ces qualités attendues, puisque je ne sais rien de vous. Ce que je déteste, comme vous devriez le détester aussi quand on pense à ce que la désignation d’extrémiste prend comme sens plus particulièrement aujourd'hui, ce sont les anathèmes. Non, un type d'extrême droite n'aurait pas écrit ce que j'ai moi écrit. Faut vous réveiller, tolérer, écouter, entendre, accepter la différence, apprécier, aimer, accueillir, porter nos forces en commun. Cesser de croire que vous avez tout compris. Arrêter de me dire qu'avec des amis comme moi le FDG n'a pas besoin d'ennemis. C'est une vision bornée.
Ne prenez pas les gens pour des imbéciles, je comprends très bien ce que vous racontez, et je ne suis juste pas d'accord, je pense sincèrement que vous devriez changer de stratégie, taper sur vos soit disant amis n'a rien de constructif.
On peut avoir des critiques constructives, mais les vôtres ne le sont pas.
C'est pour cela que vous passez pour un ennemi, et non pas parce que les militants sont des cons comme vous le prétendez. Comment ne pas voir l'absurdité de votre position vu le mépris que vous accordez aux gens qui sont censés être vos amis ...
Ah ? Mais alors pourquoi dites-vous à Bracam, je cite, « je pense sincèrement que vous devriez changer de stratégie » ? Votre parti ou son chef ne doit pas changer, mais Bracam, lui, doit changer ? C'est un thème récurrent au PG : notre stratégie ne souffre pas de remise en question, c'est aux autres de s'adapter (d'où une relation houleuse avec le PCF, et un échec du rapprochement avec EELV).
Il n'y a pas d'amitié en politique : si on soutient tel ou tel parti, c'est que ses idées correspondent aux nôtres, et qu'on lui prête une chance raisonnable de les mettre en application. Il est totalement justifié de critiquer, voire de cesser de soutenir, un parti dont la stratégie nous semble dommageable. Mélenchon n'est pas « l'ami » de ses électeurs, pas plus que Hollande n'est « l'ami » de ceux qui ont voté pour lui au premier ou au second tour.
Et si un parti ou un homme politique ne veulent pas changer lorsque leur stratégie est inadaptée, eh bien ce sont de piètres représentants, et ils ne méritent probablement pas la confiance populaire (qui, en l'occurrence, ne leur est pas accordée).
Pas de compromission.
Mélenchon, ne se conforme pas du tout à la logique médiatique, puisqu'il la combat. On peut discuter sur la forme, mais dans le fond, il la combat. En témoignent ses nombreuses prises de bec, allant parfois jusqu'au clash. Clash qui sert de prétexte à une partie de la fausse gauche, comme DS, pour ne pas le soutenir. Clash que vous appelez erreur de stratégie, vous qui voyez la politique comme du marketing.
Je suis pour l'égalité des revenus, le vrai partage, une économie planifiée et non sanctifiée, la solidarité entre les peuples et non la chasse aux étrangers... Quel programme politique s'en rapproche le plus?
Je sais à peu près qui je suis, ce que je veux et ce que je ne veux pas. Vous, ne vous reste que les arguments débiles et usés jusqu'à la corde sur la carrière politique de Mélenchon...
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Staline n'était pas de Gauche, et vous Pirate, êtes clairement de Droite. Rien de nouveau sous le soleil.
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Sinon, je suis d'accord, il faut autant s'attaquer au patrimoine qu'aux revenus.
Ce n'est pas ce que je cherche. J'ai des principes et je veux tendre vers eux, point. Le reste de votre propos n'est que votre interprétation de ce que je recherche.
Vous prétendez que tout est déjà joué et que l'homme est ce qu'il est. Moi, je crois que votre pseudo fatalisme n'est simplement qu'une stratégie d’évitement inconsciente pour éviter de vous poser trop de questions.
Et puis, surtout, le vrai problème de votre discours anti-gauche, c'est qu'il à l'air de sous entendre qu'on peut ne pas être de gauche sans être de droite. J'ai l'impression en vous lisant que vous préférez une sorte de statuquo à la poursuite d'une société pure et parfaite. Mais il n'y a pas de statuquo. La droite avance, grignote sur la gauche qui ne réagit que par spasme. Vos maigres épouvantails communistes rendent un fier service à la désespérance...
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Vous votez Mélenchon Pirate?
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Pour vous situer, j'ai utilisé la grille de lecture dite "de Gondalah", célèbre politologue du XXIe siècle, selon lequel tout citoyen ne votant pas Mélenchon se retrouve mécaniquement à droite.
Dans une de ses analyses politiques les plus abouties, il ajoute même fort justement qu'être de droite est "une faute morale".
Quant à moi, ayant voté Mélenchon en 2012, mais n'ayant, par la suite, pas fourni toutes les garanties de mon allégeance, je me pose désormais de sérieuses questions sur ma couleur politique.
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Je vous parle des rapports complexe de Mélenchon et du monde médiatique et vous bottez en touche en me parlant de sa carrière et en me traitant de Mélenchonnâtre...
Plus bas, avec Jules, vous faites pareil, vous évitez de discuter en tentant de décrédibiliser votre interlocuteur, et sans lui opposer aucun argument.
Freudqo fait déjà ce que vous faites, et en mieux...
La stratégie du front de gauche est remise en question en ce moment à l'approche du prochain congrès. Vous racontez vraiment n'importe quoi.
Oh, le pauvre chou. Sérieusement, changer n'est pas hors de portée d'un individu déterminé. La "personnalité" n'est pas un truc qui nous tombe dessus magiquement à la naissance. Certes, il faut faire des efforts ; peut-être que ça emmerde Mélenchon...
La stratégie du front de gauche est remise en question en ce moment à l'approche du prochain congrès
Quel congrès ? Il y a des congrès du FDG maintenant ?
Et oui il y a des congrès au PG. Le dernier avait eu lieu en mars 2013.
Sérieusement, changer n'est pas hors de portée d'un individu déterminé.
Commencez par donner l'exemple, et si vous changiez de personnalité afin d'apprendre le respect et l'honnêteté ?
Un ami ne va pas critiquer le caractère et la personnalité d'un autre ami, car il sait qu'il n'en changera pas, qu'il faut accepter ses amis tels qu'ils sont avec leurs vertus et leurs défauts, et qu'abonder dans le sens des adversaires politiques ne peut qu'aider les adversaires politiques et nuire à la cause commune, adversaires qui seront bien content que vous placiez le débat sur le terrain de la personnalité d'une personne plutôt que sur le fond des idées.
Ne prenez pas les gens pour des imbéciles, je comprends très bien ce que vous racontez, et je ne suis juste pas d'accord, je pense sincèrement que vous devriez changer de stratégie, taper sur vos soit disant amis n'a rien de constructif.
On peut avoir des critiques constructives, mais les vôtres ne le sont pas.
C'est pour cela que vous passez pour un ennemi, et non pas parce que les militants sont des cons comme vous le prétendez. Comment ne pas voir l'absurdité de votre position vu le mépris que vous accordez aux gens qui sont censés être vos amis ...
Un ami va critiquer un aspect ou un autre chez son ami parce qu'ils sont amis, et qu'il savent pouvoir se dire des choses vraies, tout en opposition avec la manière dont on est censé se comporter en société lorsque l'on a le respect de l'autre, de la démocratie et le désir de la paix civile. Ces manières qui, mal comprises, peuvent devenir odieuse hypocrisie, trahison. C'est précisément lorsque l'on se croit obligé ou que l'on est réduit au silence, en famille ou entre amis, que la question de la valeur de ces relations se pose le plus dramatiquement.
C'est donc précisément entre vrais amis qu'il doit être le plus possible d'échanger des propos absolument sincères. C'est dans ce contexte que l'amitié peut grandir et devenir une relation particulièrement rare et précieuse. Vous me semblez croire comme étant obligatoire et peut-être même apprécier le fait que l'échange d'idée relève de la guerre, larvée ou armée en société, ouverte entre amis. Plus extravagant, parce que cela revient à prendre pas mal de gens pour des idiots qu’ils seraient en effet si l'on vous suivait, vous affirmez que la critique est inutile comme on le sait (!) car l'ami ne changera pas. Ben mon vieux, vous en savez des choses, vous ; vous me semblez investit d'un pouvoir de prédiction assez remarquable, et si je me laissais aller à mon envie de connaître l'avenir, c'est bien à vous que je m'adresserais. Vous dites en quelque sorte que comme l'on est on meurt (ce qui laisse peu d'espoir s'agissant des imbéciles). Affirmation stupéfiante mais, compte tenu de votre conviction, je me demande bien pourquoi je tente de vous faire partager une autre idée. Il est donc vrai que nos perspectives d'amitiés s'éloignent...
Heureusement que Jean-Luc a une attitude tout autre que la vôtre en ce qui concerne l'écoute de son entourage, et vous sembleriez presque ne pas l'imaginer, ou vous n'en dites rien. Je le critique sur le point de la rigueur de son attitude en public : en effet il n'évolue pas autant que je l'aimerais, car je suis convaincu que sa hargne mainte fois dénoncée par ses adversaire dessert le parti et son image, comme ses ennemis ne manquent pas d'en profiter et comme certains de ses partisans ne manquent pas d'en souffrir, en silence ou en en faisant part avec le respect que vous ne comprenez pas chez eux. Je me réjouis de lire Oskar Lafontaine dans le blog même de JLM parce que, bien qu'exposé par son ami Jean-Luc, en tant qu'allemand, à une critique virulente d'une certaine Allemagne, il argumente et complète la démarche de JLM en des mots que j'entends mieux, pour des idées semblables et complémentaires. Vous dites savoir lire tout ce que j'ai écrit plus haut, mais je considère que vous ne m'entendez pas. Je sais pour ma part que Jean-Luc est capable d'écouter les autres et qu'il cherche toujours quelle sera la meilleure ligne à adopter pour se faire entendre et comprendre. Il donne régulièrement les preuves de sa recherche en ce domaine, et plus généralement de sa soif d'apprendre et rencontres. Je suis convaincu qu'il est à l'écoute des autres, que sa pensée vive et éclairée évolue au cours de ses lectures, que son intelligence et son humanité, sa culture sont toutes au service de la cause qu'il épouse intimement. Et parfois, il retombe dans sa pire caricature médiatique, et j'en souffre.
Il n'y a vraiment que les imbéciles pour ne pas comprendre que (puisque j'en suis à une indispensable explication de texte à votre bénéfice (?), en ce langage cru et dru que vous n'aimez pas chez n'importe qui, je le comprends et l'admets volontiers), je ne traite pas les militants de cons. N'ayant aucune raison ni légitimité à employer ce terme dont VOUS m'attribuez l'intention et l'usage dans un raccourci qui montre une fois encore que vous ne me comprenez pas, je précise que certains d'entre eux (militants) délirent en prenant pour ennemis leurs pairs dont ils réfutent le droit à la critique, sur qui ils projettent leurs fantasmes, parfois même totalitaires. Je répète, certains d'entre eux. Si vous deviez tenir à vous sentir visé, je n'y pourrais rien. Je ne "tape" pas sur Mélenchon : je regrette certaines formes de sa communication, et je témoigne de mon admiration pour ses qualités bien que tel n'ait pas été le sujet de ma contribution. L'angoisse, la colère peut-être manifestement vous gagne à l'idée que l'on puisse, en tant que sympathisant ou pire, militant, "donner des armes" à ses ennemis en participant à la réflexion commune dans les comités certes mais aussi en tant que femme et homme dans la cité,en exprimant soutien ET doutes parfois, en proposant, comme si les plus belles démocraties ne devaient avoir été construites que sur un principe univoque plébiscité par principe par la totalité des citoyens. Non, il n'y a pas UN militant et des ennemis, en démocratie.
Heureusement que JLM a une vision et un discours tout autres sur cette question du jeu démocratique ! Je relève son ouverture lorsqu'il donne la parole à ses amis, qui ne s'expriment pas forcément comme lui. Je fais part plus haut de mes contradictions en toute franchise, pas vous, et je me méfie beaucoup des va-t-en guerre et des lignes bleues, des lendemains qui chantent une fois l'ennemi tué. J'aime beaucoup Mélenchon, beaucoup de ses idées, ce que je ne peux dire de la sorte d'aucun homme politique. Votre incompréhension et votre contestation de la nature de mon soutien aux idées et à la personne m'inspire une grande défiance à votre égard, qui pourrait changer si vous me donniez quelque indication d'intelligence (vous savez, celle qu'on appelle "bonne" dans l'expression vivre en bonne intelligence). Vous changeriez, moi de même car je suis maléable, fourbe, mou, indécis, traître, ennemi un jour ennemi toujours, ou tout autre en fait. Je suis pour vous ce que vous voudrez que je sois, et j'en parle non pas pour moi seulement, mais pour tous ceux que vous jugerez de la même manière, par erreur. Je répète : qui, du militant borné (le militant, pas tous les militants, ni forcément vous) ou de la femme ou de l'homme d'ouverture sert-il le mieux la cause qu'il défend ? En quoi cette question posée en songeant à Mélenchon est-elle un acte de guerre ?
Aussi je crois sincèrement que vos critiques sont non seulement malvenues vaines et non constructives, Jean-Luc Mélenchon ne changera pas de personnalité à plus de 60 ans parce que Bracam sur un forum l'aura critiqué.
Mais en plus concrètement tout ce que vous faites c'est servir la soupe aux adversaires politiques du front de gauche.
Mais après je peux me tromper, à vous de m'expliquer en quoi ce que vous faites est bénéfique au front de gauche ?
Votre conviction que JLM ne changera pas à plus de 60 ans est également sujette à caution. Parlez de vous si vous voulez ; personnellement je vois chez JLM, je me répète mais comment faire autrement, de l'écoute, et une recherche constante qui nourrit son évolution. Enfin, puisque vous avez décidé que je fais du mal au FDG, alors le monde est vraiment bien barré, pour peu que votre absence de nuance, de doutes et d'ouverture triomphe. Je me préoccupe beaucoup moins de faire du bien au FDG que de tenter de ne pas mal agir, puisqu'il convient plutôt de faire gagner les idées dont il est porteur lui et tant de gens de sensibilité comparable que de se comporter en soldat de parti. Et s'il faut des soldats, il faut des stratèges, des infirmiers, des rapporteurs, même des poètes. Et non pas UN militant inapable de supporter une autre manière que la sienne.
JLM à C+ dans une foire d'empoigne à la mesure des médias
Aussi j'apprécie la manière dont Onfray dit sa conviction de gauche, qui passe pour tout sauf un engagement de gauche auprès de nombre d'intolérants, sourds de surcroît, pour une trahison suprême dont on comprend bien qu'elle pourrait le mener à la décapitation si les circonstances s'y prêtaient. En ce qui me concerne petitement, je précise que je n'épouse en rien ce que dit Onfray dans la mesure où j'avaliserais, en tant que pair auto-proclamé, la conscience et le savoir qui sont les siens. Je l'écoute, son propos trouve une grande résonance en moi. Tous ensemble, prenant en compte nos différences mais nos engagements communs, nos amitiés, nous sombrerons ou peut-être non, mais dignement. Ensemble, nous saurons reconnaître l'intelligence et l'humanité de l'autre partout où elle cherche, trouve et diffuse un peu de lumière. C'est peut-être ce qu'il nous reste de meilleur à accomplir, et ce ne sera pas une démission, mais bien un combat, un "feu de tout bois".
Être de gauche dans le cosmos
J'ai écouté les 5 premières minutes, j'ai envie de le baffer.
Non, sans blague, plaider pour l'histoire et le temps long après la manière dont il a traité Mélenchon sur tous les plateaux télé à la veille des Présidentielles !!!
(Ha, le bel esprit qui, par exemple, faisait semblant de ne pas comprendre la référence à Robespierre et qui déformait consciencieusement tout ce qui passait à sa portée dans un matraquage méthodique.
Il a définitivement perdu sa crédibilité d'intellectuel, à mes yeux.
Evidemment, Mélenchon faisait aussi référence à Condorcet, Onfray le savait très bien, mais ça ne l'empêchait pas de hurler que "ah au moins, si Mélenchon citait Condorcet, hein, ce serait moins inquiétant nanana"...et toutes ses approximations répétées mécaniquement sur tous les plateaux, Cuba par exemple... .)
Bref, Onfray présente les choses comme ça l'arrange pour pouvoir endosser son rôle de lumière éclairante, dommage qu'il n'éclaire pas un peu mieux le sous-texte de ce qui lui permet de faire le chevalier. Sous-texte pas du tout rigoureux, voire carrément et sciemment mensonger.
Beau modèle de mauvaise foi, accompagnée d'une grande capacité à produire de l'écume.
(Ses positions sur l'école par exemple : sur quelles représentations s'appuient-elles ?)
Dernière chose : je n'allais tout de même pas vous suggérer telle ou telle minute à mes yeux importante et éclairant le sens de ma contribution, cela m'aurait semblé "peu élégant" et je comptais bien sur le fait que vous dépasseriez les 5 premières minutes dans l'idée de répondre à mon questionnement. Je n'ai pas écouté Onfray avec le souvenir de l'inconvenante critique de Mélenchon, que vous évoquez, que je connais et déplore, encore qu'il en ait bien le droit, fut-ce une critique inutile selon certains adeptes. Je regrette bien que vous partiez le couteau entre les dents sur ces aspects de la personne, qui a bien d'autres choses à dire. Et puis décidément, il semblerait que quiconque faisant preuve de conviction soit le plus souvent accusé de mauvaise foi au moins, et d'orgueil, de bêtise, de tout ce que l'homme produit de méprisable, pour fermer la boucle. Cela aussi est une forme assez obscure de la pensée et de la critique ; c'est même en ces circonstance que je m'entends dire presque chaque jour désormais, dans le grand merdier socio-médiatico-politique : toi qui arrives devant cette porte, abandonne tout espoir.
En tout cas, merci de m'avoir lu et répondu :)
Mais encore, Gondalah fait fort justement remarquer que, je le cite, "Je considère que toutes les idées ne se valent pas, qu'en matière de politique, les gouts et les couleurs sont discutables, qu'être de gauche n'est pas simplement l'opposé d'être de droite." Et c'est bien le moins que l'on puisse dire, tout en renonçant à contester des accusations grotesques et infamantes de censeurs de petite vertu aux manières souvent perverses. Si les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, les tribunaux médiatiques eux sont noyés sous des marées de quérulents légitimes parfois, indignes souvent, et selon Courteline, “Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet.” La gastronomie (française ?) a décidément de beaux jours devant elle.
N'est-il pas évident qu'il s'agissait ici d'une mission commandée ?
Qu'en déduire des liens d'Onfray avec les médias et les intérêts politiques et économiques qui les dirigent ?
Laisser croire que cet épisode ne tient qu'à des désaccords idéologiques me semble grandement insuffisant.
https://www.youtube.com/watch?v=oGCUmTAdYRw
(approximations, raccourcis, mensonges, tour de passe-passe et autres moulinets, indignes de la culture qu'il s'attribue)
Mais surtout, comble de l'ironie, constatons que Mélenchon est un émissaire parmi les plus férocement attaqué avec ces mêmes procédés bornés les plus grotesques et malhonnêtes que nous appliquons si facilement à d'autres (n'allez pas comprendre qu'en l'occurrence cela me réjouirait, ce serait bien étrangement vu). En pareil cas, vous y retrouvez, je l'espère, la démonstration de la bêtise, consciente, volontaire ou non, des adversaire de cet homme politique dont tant de gens apprécient les positions et l'engagement. L'autre n'est décidément que très peu ce que je décrète qu'il doit être pour la seule raison que je le vois à ma manière.
Y aurait-il un rapport entre la sottise humaine de celui qui ne voit pas l'autre pour ses qualités parce qu'un de ses propos lui disconvient, parce qu'il croit que s'il ne condamne pas sans appel celui-ci, s'il n'exprime pas des avis définitifs, tranchants, il est un mou indigne, un lâche plutôt que l'humaniste qu'il devrait être ? Sa propre image importe-t-elle à ce point qu'il se croie autorisé à condamner, insulter parfois des gens autrement reconnus comme honorables ? Est-il à ce point idiot qu'il craigne de porter au pinacle des bourreaux, des truands, des tortionnaires, des racistes, des dictateurs, du simple fait qu'il aurait écouté et entendu, rapporté même le propos d'un penseur comme étant juste, aimé même, horreur totale, un discours, un livre, le travail d'un écrivain, d'un politicien, d'un capitaine d'industrie, bien conscient par ailleurs des manquements possibles de cette personne ?
Je suis mal placé, à tout point de vue, pour me faire une idée de la qualité des intervenants dans cette discussion, de leur droiture, de leur humanité, de leur culture. Je n'aurai pas assez du temps qu'il me reste à vivre en état de conscience pour prétendre en public avoir circonscrit tel ou tel penseur reconnu par des milliers de lecteurs et auditeurs éclairés. Mais je sais que pour l'heure, j'accorde plus de crédit à ceux-là qui voudront bien exprimer intérêt et respect à l'égard des rares intellectuels qui animent encore l'espace de la réflexion publique dans un esprit humaniste et avec rigueur intellectuelle.
Dites, c'est Onfray qui se présente en penseur hors chapelle, c'est lui qui s'exprime sur les plateaux télés sur le ton de celui qui sait.
(Et quel ton !).
A la lumière de ses sujets de préoccupations et de la culture qu'il agite publiquement dès qu'il le peut, il est impossible qu'il croit/croie ? ce qu'il dit dans ce montage, sur n'importe lequel des sujets.
D'où le diagnostic de mauvaise foi.
Concernant la droiture intellectuelle (ou non), ce petit extrait suffira :
https://www.youtube.com/watch?v=gy_qC8FQjOM
Quand on prétend nourrir le débat public, on cherche à outiller les citoyens. Et non les abrutir, ce à quoi pourtant Onfray s'applique méthodiquement (on parle bien de son tour de rock star sur TOUS les plateaux à la veille des dernières élections présidentielles).
Fin de l'extrait/ "dialogue" avec Judith chez Taddéi : son étriqué " vous êtes dans la négation de ce qui est dit" (haha, pas de contextualisation chez ce si grand penseur) et son obstination à ramener la comparaison avec Le Pen, c'est indigne. Surtout à la veille des élections.
Evidemment, il sait ce qu'il fait. (Sinon, franchement, c'est encore pire)
La question, c'est mais pourquoi ?????
Concernant Robespierre, Onfray brouille les cartes à deux niveaux : d’une part, il entretient le cliché qu’on ne pourrait pas cibler chez Robespierre ce qui a contribué à la révolution dans ses aspirations les plus nobles (bien la peine d’être si érudit) et d’autre part, il fait semblant de croire que Mélenchon ne cite que Robespierre en regrettant si noblement (mauvais acteur en plus) qu’il n’ait pas plutôt choisi Condorcet, ce qui est faux, Mélenchon a cité aussi Condorcet. Moi qui ne suis pas Française, je l’avais entendu à plusieurs reprises, d’où ma stupeur quand Onfray a retourné sa veste de manière si spectaculaire, répétée et stupidement argumentée à la manière café du commerce (pardon aux bistrots)
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Ma réaction (à laquelle vous réagissez) concerne les non-soutiens du FDG.
Je considère que toutes les idées ne se valent pas, qu'en matière de politique, les gouts et les couleurs sont discutables, qu'être de gauche n'est pas simplement l'opposé d'être de droite. Partant de cela, j'entends toutes remarques à l'égard de Mélenchon quant elle est proposée par un soutien du FDG. Et inversement, quand elle émane de la bouche d'un opposant, comme DS le fait régulièrement, je le prends pour ce que c'est, une attaque, une réaction du système qui se protège contre la menace Mélenchon.
Vous semblez remonté contre un certain militantisme. Moi, ce qui me gonfle ce sont les gens de droite, qui ne votent pas Mélenchon, et qui disent que c'est à cause de ses insultes. En dehors de la faute morale qui consiste à être de droite, il y a aussi cette condescendance sournoise qui consiste à faire passer Mélenchon pour un candidat trop énervé pour être crédible, et même que c'est dommage parce que au fond y dit pas n'importe quoi... gnagnagna
Et pourtant si ça se trouve je suis d'accord avec vous. Je peux au moins convenir que la posture de DS qui consiste à critiquer le jeu médiatique ressemble fort à un reproche adressé avant tout à lui même (comme c'est souvent le cas avec les reproches émis). Mais si vous voulez faire progresser notre camp, convaincre hors de nos lignes, il faut changer d'approche. Le démon de la gauche, c'est la police politique. Sembler vouloir la restaurer sera toujours une repoussoir mortel aux yeux du corps électoral quelle que soit la qualité du projet progressiste associé.
L'affrontement gauche droite se joue depuis la nuit des temps, et la gauche perd. Elle gagne des batailles, mais perd la guerre encore et encore. Je pense que c'est cet état de défaite permanente qui cantonne le gauchiste à une sorte d'amertume haineuse. Je ne sais pas ce que vous entendez par "convaincre hors de nos ligne". Je ne sais pas ce que DS propose à la place, il n'en parle jamais. Je sais que je ne veux pas voir le seul parti auquel je crois un peu se transformer en un stand comme un autre sur un marché comme les autres.
Ben non. Au contraire, ça c'est concret. Une bonne base pour discuter.
J'ai du mal a voir quel regard il faut porter sur la vie en société, sur la politique, les élections, pour résumer un résultat électoral a une réussite ou un échec. C'est pour moi une vision étriquée qui confine l'homme politique au rôle de vulgaire publicitaire... Et sous entend par ailleurs que les programmes politiques ont la même "valeurs"
On ne peut pas considérer comme un échec le fait qu'un mouvement qui vient de naître ne se soit pas emparé du pouvoir alors qu'il faut du temps pour le cheminement des idées et pour que les gens changent d'avis.
Pour les partis qui sont là depuis 50 ans et qui étaient au pouvoir on peut parler d'échec s'ils perdent.
Mais pour les partis qui sont eux au contraire dans une démarche de conquête en partant de rien dutout, on peut toujours rêver d'une ascension fulgurante, mais il faut être raisonnable et se satisfaire de progressions avant d'espérer obtenir le pouvoir.
De toute façon pour que les gens changent radicalement d'avis il faut généralement plus que du blabla, il faut une convergence d'évènements.
Il fallait bien que ça sorte à un moment donné.
Un talk-show comme celui de Canal +, qui se croit plus important qu'il ne l'est, aura permis de crever l'abcès.
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il ya 5 ans....Scheidermann????......
Ne serait -il pas plus prudent d'y mettre un conditionnel?......
Podémos et Syrisa ont été conchiés régulièrement ,pendant 5 ans, par la presse ......Donc que l'on tape allégrement sur Melenchon me laisse comme un espoir!
Oh Daniel, vous n'avez-toujours pas compris pourquoi on vous a viré de France5.
Je ne reviens pas sur la personnalité du premier mais, accordez au moins au second , son érudition, ses talents d'orateur et le fait qu'il soit un véritable intellectuel à la recherche de solutions "de gauche" pour le pays.
Peu de politiques lui arrivent à la cheville mais, évidemment, vous ne retenez que l'écume...
Les amateurs de fight politique et de polemiques seront déçus (ou parleront peut-être de fatigue des intervenants).
Le ton du Méluche est à la pédagogie :
"On peut faire court si vous voulez mais on peut aussi expliquer"
"Pas tout le monde en même temps ! Allez-y Polony"
"C'est bien que vous ayez ouvert la plateau à son intervention, bravo !"
"Il ne faut pas réduire les choses, et je pense que Pablo ne serait pas d'accord pour qu'on les réduise" ...
Le "salaud" d'un polemiste pourra alimenter le papier d'un chroniqueur en manque d'inspiration.
Comme d'hab critique de Melanchon , celui qui a eu raison avant les journalistes et les Intellos , vous vous gargarisez parcequ'il n'est pas Tsirpa , on est pas encore assez pauvres , mais quand la crise qui arrive éclatera (les américains ne peuvent rembourser leurs emprunt étudiant et il emprunt entre 100 000 et 200 000 dollars ) , heureusement que malgré votre mépris d'intello de goche , le PG , Nouvelle Donne et le PC seront là , mais c'est vrai pas grâce a vous .
Je savais que Canal+ était la chaîne qui faisait rêver, qui faisait penser, qui faisait avancer, qui nous disait.
Par contre, dans le public , le sourcil de Peyrefitte me gêna
Les cadreurs se laissent aller.
Le rôle de Daniel dans cette comédie, vous demandez-vous DanetteOchoc?
C'est parfois vous permettre de nous faire partager quelques uns de vos poncifs et de vos raccourcis lors du forum qui suit.
Et vous Daniel, quel rôle jouez vous dans cette comédie ?
De toute façon canal +, c'est la chaîne du cinéma.
Tout le temps.
Décidément Mélenchon a fait du chemin en marche arrière. C'est dommage par rapport à ses idées sur le déficit démocratique.
Il y a deux ans Guillaume Duval d'Alternatives économiques avait écrit un livre sur le "modèle allemand", mais on en a très peu parlé alors, sauf sur quelques radios publiques - la preuve que ce qui marche c'est la méthode Mélenchon, même si elle prend le risque (assumé ?) de flatter les instincts nationalistes.
Pendant ce temps, LVMH va mettre la main sur le Parisien...
Euh! Dans votre chronique, la seule insulte rapportée (salaud) est proférée par Aphatie.
Il y a quelque chose qui m'échappe.