Askolovitch, "Madame Gardin" et moi
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Moi non plus, je n'écoute plus France Inter, ni la pénible diction de Claude Askolovitch. Et je ne suis pas surpris par le double standard de sa prose - privée ou publique. Les insultes adressées à Daniel sont révélatrices, le surmoi éditorial (...)
Pour ma part, je n'ai pas attendu les messages privés de ce triste sire pour savoir à qui j'avais affaire. Quand Askolovitch a été le premier à traiter d'antisémite Siné, entraînant son licenciement par Charlie Hebdo (Siné a finalement gagné son proc(...)
Personnellement, j'avais trouvé le sketch de Gardin époustouflant et libérateur, et ça m'emmerde de voir ces abrutis lui casser les ovaires. En tout cas, vous avez fait sortir Askolovitch du bois, le petit bonhomme s'est bien vénère, de l'aigreur peu(...)
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Le droit de réponse d'Askolovitch commence ainsi :
"Dans le billet que me consacre Daniel Schneidermann, une chose est vraie. Dimanche, je lui ai signifié en quelques SMS que je le tiens pour un crétin aigri, insidieux et complotiste, que j’emmerde et dont je me fous de l’opinion. "
Suit un texte de 7400 caractères (!) qui n'est qu'une poussive et pénible tentative d'autojustification... C'est long pour répondre à quelqu'un dont on se fout de l'opinion.
Quand je me fous de l'opinion de quelqu'un, je ne lui répond pas, ou alors, juste "je m'en fous" (12 caractères).
cette information, toute chaude à tous points de vue mais pas relayées... https://www.humanite.fr/politique/france-insoumise/une-balle-dans-la-tete-de-toute-la-melenchonie-un-ecrivain-franco-israelien-appelle-au-meurtre-de-deputes-insoumis
Daniel Schneidermann, vous êtes un crétin aigri et un imposteur.
Je me retrouve parfaitement dans cette définition, dans la mesure évidemment ou on la doit à monsieur Askolovitch et suis persuadée que tous ou presque ici s'y retrouveront.
Et il n'y a pas qu'ici, vous pouvez me croire.
Une émission d’Arrêt sur image avec Claude Askolovitch aurait pu être intéressante. Un jour ou l’autre.
Mais il est peu probable que cela advienne désormais. Cela m’interroge sur le rapport risque bénéfice de votre article @Daniel Scheindermann. Je m’étais fait la même réflexion après l’entretien avec G. Erner.
Choisir avec qui maintenir la possibilité d’un dialogue, c’est précieux en ce moment.Pas plus que je n'écoute France Inter, je n'ai pas lu la (longue) réponse de Claude Askolovitch.
Hahaha erreur de débutant !
Toujours séparer l’homme de ce qu’il dit ou fait hahaha
Daniel Schneidermann provoque un droit de réponse de Claude Askolovitch deux - trois ? - fois plus long que sa chronique !
Très bonne chronique de Daniel.
Claude en revanche, c’est trop long et verbeux.
Comme Daniel, excusez m’en Claude, je n’écoute pas France Inter (et je n’écoute plus la matinale de France culture). Le double standard prétentieux et abscons de Radio France rend la fatigue informationnelle épuisante insupportable.
Asko : J'ai raison.
Schneider : à mon avis, Asko a tort.Et bien que voilà une réponse très argumentée de la part de ce monsieur pourtant si à l’aise avec les mots. Une réponse de celui qui, habitué ace que l’on ne le contredise jamais’ ne sait plus argumenter…
Cela révèle également une certaine personnalité.
Claude Askolovitch ? L'individu prétendument journaliste qui a accusé Siné d'antisémitisme avec tellement peu de substance que la justice a relaxé ce dernier au terme d'un procès intenté par la LICRA ?
Rien de ce qu'il pourra jamais dire ne présentera le moindre intérêt.
Je garde pour moi les adjectifs et épithètes dont je pourrais user pour qualifier ce malfaisant. Imaginez les pires de votre propre vocabulaire, ça sera une bonne quoiqu'un peu légère approximation.
Je ne sais plus quelle personne sensée a dit récemment, parlant d'Arthur, se posant en juif moyen victime des mille vicissitudes d'un climat "anti-sémite":
"Quand je vois Arthur, je ne vois pas un Juif, je vois avant tout un gros connard."
En réfléchissant bien, Il n'y aucune raison valable pour ne pas étendre cet avis pertinent à ce gros connard d' Askolovitch.
Je ne sais plus quelle personne sensée a dit récemment, parlant d'Arthur, se posant en juif moyen victime des mille vicissitudes d'un climat "anti-sémite":
"Quand je vois Arthur, je ne vois pas un Juif, je vois avant tout un gros connard."
En réfléchissant bien, Il n'y aucune raison valable pour ne pas étendre cet avis pertinent à ce gros connard d' Askolovitch.
Nous ne dirons jamais assez MERCI à Blanche Gardin et à ceux qui la défendent !
c'est très courageux
J’ai déjà raconté cette anecdote sur le forum de Mediapart, mais elle me paraît avoir toute sa place ici aussi.
Au Luxembourg, l’association Jewish Call for Peace voulait organiser une soirée-conférence Exploiting Memory. The Holocaust and the Distortion of Antisemitism, avec Amira Hass journaliste au quotidien Haaretz, Nurit Peled-Elhanan professeur de littérature comparée à l'université hébraïque de Jérusalem et Hilla Dayan sociologue chargée de cours à l'Amsterdam University College aux Pays-Bas.
Une demande de location de salle avait été adressée au Centre culturel de rencontre Neimënster qui a confirmé la disponibilité avant de faire marche arrière.
Dans sa prise de position1 (publié en réponse à celle de l’écrivain Guy Rewenig2), le CCR explique avoir « perçu dans le titre de cette conférence une critique sous-jacente au travail important de mémoire qui est fait en Europe et au Luxembourg depuis des dizaines d’années », et considère qu’il y avait un « risque de mauvaise interprétation et de réactions négatives à l’encontre des associations partenaires de neimënster qui œuvrent dans ce contexte (MemoShoah, Zentrum fir politesch Bildung, le Musée National de la Résistance et des Droits humains, etc.) ». Mais surtout, le CCR précise qu’il est « confirmé dans sa posture de prudence » par un communiqué de presse de l’association MemoShoah3.
Or, ce communiqué se contente de dénoncer des « personnes à l’agenda douteux (qui) s'immiscent de plus en plus souvent dans le travail de mémoire sur la Shoah », des « comparaisons inacceptables », des « récits fabriqués à des fins politiques ». À procéder par allusion, on laisse la porte ouverte à toutes les interprétations…
PS La soirée a tout de même eu lieu, dans un autre endroit, les vidéos des interventions sont disponibles sur le site de l’association https://jewishcallforpeace.lu/
Bon.
Je viens de découvrir l'existence de Claude Askolovitch. Comme pas mal d'entre nous, je n'écoute plus France Inter que de façon sporadique et jamais le matin.
Rebond.
Nous vivons des temps qui révèlent, comme un révélateur de photo, qui est qui, et qui mérite attention et respect.
"Monsieur" Claude Askolovitch n'en est pas.
Blanche a rejoint Hannah Arendt au panthéon des lucides
Claude pourrait entamer une psychanalyse avec Cynthia Fleury
je ne suis pas sûr qu'il puisse intégrer l'équipe de Haaretz
une autre lecture du 7 octobre par Norman Finkelstein.
La question du "penser contre soi" est en effet fondamentale. Askolovicth ou Erner disent d'où ils parlent, très bien, mais ils se comportent comme des moutons de parnurge. D'ailleurs, il en va de même pour une grande partie de la profession qui ne supporte pas la critique. Alors l'auto-critique, vous pensez...
Claude Askolovitch, ou les "ambitions littéraires" contrariées. Un vrai personnage balzacien. L'entendre ou le lire, c'est comme assisté à un spectacle quasi-pornographique. Et c'est bien tout le problème de l'onanisme littéraire : tout le monde ressent de la gêne sauf le principal intéressé... M. Askolovitch, de grâce, prenez donc une chambre (avec vous même). Il faut le voir à la fin de ses chroniques du vendredi dans 28 minutes, à guetter de ses yeux de petit garçon l'approbation de ses pairs de plateau : "Ca vous a plut ? C'était bien hein ? ". Mais oui Claude, c'était très très bien...
Excellent, tout est dit ! ;-)
Merci pour cette chronique, qui remet les pendules à l'heure.
Je n'écoute plus les matinales de France Inter depuis longtemps, ni france culture, sur laquelle je m'étais rabattu ; le moralisateur soporifique Erner, m'étant devenu tout aussi insupportable que le duo Demorand/Salamé.
J'avais donc été préservé de la daube pontifiante d'Askolovitch, et du ton sentencieux et péremptoire, avec lequel il assène ses propos
Que cet individu s'en prenne à Blanche Gardin de la sorte me semble tout à fait correspondre à ce que je crois percevoir de sa personnalité, cette chronique cinglante, en réponse me met donc en joie.
S'il m'était donné de choisir les voies des ondes des radios publiques, je choisirais sans la moindre hésitation, beaucoup plus de Daniel Schneidermann, et de Blanche Gardin et beaucoup moins de Claude Askolovich , et de la coterie de pseudo-penseurs a laquelle il appartient , et je crois que le monde ne s'en porterait pas plus mal
Monsieur Claude Askolovitch quel étonnant hasard
J'écoute France Inter ou France Culture faute de mieux et histoire de me sentir bien intégré en pestant et aussi quand je n'écoute pas la BBC ou une autre radio en langues forestières comme le disait Boris Vian
Et voilà qu'hier un lien au hasard d'un autre lien me ramène à ce que je croyais nouveau mais que j'avais en fait déjà vu et entendu concernant Blanche Gardin, le fameux sketch allergique à certains
Et voilà aussi hasard redoublé de hasard que pour une fois j'écoute ce matin la revue de presse de Monsieur Claude Askolovitch qui tombe d'habitude juste au moment où mon épouse et moi échangeons des propos d'une importance capitale pour nos affaires familiales, mais là ce matin j'entends distinctement la revue de presse de Monsieur Claude Askolovitch, mais je reste incapable de dire de quoi il a parlé, car je n'avais pas encore été averti qu'il allait faire l'objet du Commentaire de Daniel Schneidermann, et que les revues de presse, c'est comme attendre un train devant un kioske à journaux, le principal est le train
Mais à part le hasard, j'ai été étonné de voir revenir au dessus des actualités le sketch de Blanche
Il y a longtemps que je l'ai vu, et quand je l'ai vu, il me semble que je me suis dis "Y a du prépuce dans l'air, voilà encore une vérité qui va secouer les âmes sensibles"
Pourquoi aujourd'hui s'en émeuvent-ils, les qui écarquillent leurs yeux sur des meurtres horribles pour mieux les refermer sur d'autres encore plus nombreux tout aussi intenables ?
Le génocide perpétré par netanyahu et sa cohorte de fous religieux m'a amené à quelques lectures que j'aurais en d'autres temps écartées comme celle de ce livre "We Could Have Been Friends, My Father And I - A Palestinian Memoir" de Raja Shehadeh
Et dans ce livre j'ai lu noir sur blanc comment par exemple, ce sont constitués les projets des colonies Israéliennes avec de nouveaux réseaux routiers saccageant les territoires Palestiniens mais surtout les asphyxiant, les privant de ressources énergétiques et d'eau, et comment furent assassinés ceux qui se révoltaient ou les défendaient ou prônaient une solution juste tel le père de R Shehadeh
netanyahu aura eu au moins cette utilité
Pour ce qui est de la revue de presse de Monsieur Claude Askolovitch, elle ne me détournera pas de l'attente de ce qui est principal
De ce bon commentaire " les revues de presse, c'est comme attendre un train devant un kiosque à journaux, le principal est le train" cet analecte !
Il me faudrait quelques précisions sur cet analecte-là :-) En tout cas la citation est géniale.
Je ne connaissais pas le terme
Merci, voilà une belle étymologie
Non plus, je m'ajoute aux tout récents analecteurs. Et pour employer un terme datant de la bascule de la fin du précédent millénaire : je plussoie.
Les "Charlites", Erner maintenant Askolovitch mais bordel qui va arrêter ce punk de DS.
Quel bonheur encore que ce début d'année à démasquer ces tartuffes, ne lâchez rien, on est des millions à penser avec vous.
Merci d'avoir fait voler en éclats l'insupportable esprit de sérieux surjoué par ce guignol.
Comme Napoléon perçait sous Bonaparte, l'Askolovitch coupeur de têtes gauchistes perçait sous le jeune disciple de BHL "Asko".
Askolovitch est un chien de garde du même chenil que Val, Fourest ou Heiltoten. qui dansent sur 50000 cadavres. Pour la cause - et pour Sarkozy - il avait naguère planté ses crocs dans un Siné miné par le cancer et contribué au nettoyage ethnique de Charlie (lourdement condamné pour accusation mensongère - déjà - d'antisémitisme). Le revoilà de service contre une Blanche Gardin que l'on ne remerciera jamais assez d'avoir tapé si juste, au point que la meute continue de la poursuivre de ses aboiements huit mois après son sketch qui les démasquait et ridiculisait en quatre minutes. La bave du pitbull diplômé du CFJ (comme moi, j'en rougis) contre une artiste qui le domine d'une année-lumière et qu'il voue (lui !) aux punks-à-chien comme son "Je t'emmerde" à Schneidermann signent totalement l'espèce et la fonction, tout est dans l'Ordre. Et, oui, il n'est pas utile d'écouter France Inter, mieux vaut laisser la bande entre elle et au chaud dans son égout de X. Si on est attaché au service public, FIP diffuse une excellente musique sans aboiements.
triste con. Et c'est pas parce qu'il pleure qu'il devient honnête intellectuellement parlant.
Cher Daniel Schneidermann
Bravo pour votre courage face à la meute. Une remarque toute fois . Vous écrivez :
"il parle au nom d'un "Israël humain et raisonnable" aujourd'hui imaginaire"
Désolé mais l'Israël "humain et raisonnable" n'a jamais existé.
Double négation.
Est-ce qu'on n'aimerait pas pourtant mieux que la Blanche colombe ne soit pas atteinte par la bave du crapaulovitch?
Si on ne peut rien faire,
si on ne peut rien dire,
on va vous laissez faire alors,
messieurs les assassins,
monsieur Askolovitch
et tous les as de la violence.
Ce qu'on en dit, nous,
c'est pour vous,
parce nous morts,
vous quoi?
J'ai revu le sketch de Blanche Gardin après avoir lu ce billet. Le sketch n'est pas très drôle, mais il est très juste, et je me rends compte que la tristesse y est déjà plus que palpable. On sent qu'elle a compris qu'il n'y aura pas de retour en arrière, que ce délire / déluge d'accusations d'antisémitisme n'est pas qu'une réaction à chaud par rapport à l'horreur du 7-octobre mais qu'il est bien une arme au service des ambitions colonisatrices de l'Israël de Netanyahou (et des Etats-Unis de Trump, qui sortent du même tonneau).
"Monsieur " Claude, je peux bien l'appeler " Monsieur" Claude , puisqu'il pourrait être le mari de " Madame " Claude, honorablement connue dans la profession courtisane , qu'il est lui même un assez bon courtisan, et qu'il a de très bons " soutiens " dans le PAF ( j'allais écrire de très bons souteneurs )
" Monsieur " Claude s'est dévoilé lors de l'affaire Siné. Certains ont pu ,alors, le considérer comme un vrai malfaisant.
Prudent comme " Monsieur " Claude, je ne pourrai le qualifier plus précisément. sans encourir les reproches habituels.
Je souhaite simplement qu'il ne fasse pas d'enfant à " Madame " Sophia. , l'hérédité serait très lourde.
Certains pensent que "les cas désespérés sont les cas les plus beaux". S'opposer à cette voix mainstream de soutien non seulement à Israël mais à cet Occident criminel dont nous sommes les alliés objectifs, qui pourtant chaque jour depuis l'arrivée de Trump au pouvoir joue toutes cartes sur table, semble quasi impossible. Mais merci en tout cas Daniel pour votre abnégation. Ce n'est pas pour rien, c'est même essentiel de ne pas s'en tenir au désespoir qui nous guette, en continuant à écouter ce qui se dit, à critiquer, à ne pas fuir complètement le monde devant l'état de nos médias. On a besoin de votre voix discordante, qui n'en est que plus précieuse en ces temps de Mac-Carthysme brutal. Merci donc, pour toutes ces années à tenir la barre de la raison.
Les propos rapportés en guise de chute sont obscènes ; que son auteur se souvienne qu’il est journaliste.
S’il s’agit de dresser procès alors qu’il porte plainte devant un tribunal, qu’il défende sa vérité et qu’il laisse défendre la sienne à celle à qui il demande de disparaître de la scène publique sous couvert de sentence psychanalytique.
J'avais naguère fait remarquer à Askolovitch, sur Twitter, sans agressivité, que je trouvais curieux qu'il parle de la circoncision rituelle des garçons juifs comme d'une «tendresse» (sic), alors qu'il ne s'agit rien d'autre que d'une mutilation sexuelle imposée à ces garçons sans leur consentement, et parfois sans anesthésie. Il m'avait bloqué en retour, sans préavis. J'en étais resté coi… Et je m'étais dit que sa réaction en disait probablement long sur le bonhomme. Côté pile (à l'antenne) : sympathie, compassion, humanisme, ouverture d'esprit… Côté face (hors antenne) : intolérance, brutalité.
Qu'aurait été la réaction d'Askolovitch si quelqu'un avait parlé de l'excision rituelle de certaine jeunes filles comme d'une «tendresse» ? Qu'aurait été la réaction de la direction de France Inter si une telle parole avait été prononcée à l'antenne ?
Pourquoi lorsqu'il s'agit de garçons juifs, la mutilation sexuelle est acceptable, voire valorisée («une tendresse» !!!), alors qu'elle paraît — à bon droit !!!… — intolérable quand elle concerne des filles africaines, notamment musulmanes ?
Double standard…
Merci Daniel!
Que Blanche Gardin fasse comme jeanbat sur ce forum : qu’elle se taise à propos des juifs. Les juifs n’ont pas besoin de l’avis de blanche Gardin. Blanche, arrête d’instrumentaliser les juifs.
Heureusement qu'ils restent des personnes comme vous pour contrer le récit pro israelien de la plupart des médias et des gouvernements occidentaux. Cest courageux. La liste de vos ennemis va s'allonger. Aller contre la pensée dominante est dangereux pour les braves. Ils seront indubitablement blacklistés.
Pour vous c'est déjà fait. Blanche Gardin subit le même sort.
Plutôt que le talent, cette petite caste préfére la médiocrité. A l'image d'Askolovitch et de Aram.
Eux leur avenir dans les mainstream est assuré. On y aime tant ce qui se soumettent. Autant que l'on deteste les insoumis.
Ce néo Mac Carthysme "d'athmosphère" envahi la volaille qui fait l'opinion.
Je me pose cette question : si notre ami Daniel recevait aujourd'hui Pierre Péan (ce qui n'est hélas plus possible), l'accuserait-il aussi tranquillement qu'autrefois d'antisémitisme ?
Qu'il est un agent sincère de la fabrique du consentement français à la colonisation israélienne.
tiens... Chomskyste le DS ?
C'est ainsi auto-situé qu'il compose ses revues de presse, et étale sa "tristesse" sur Instagram devant les interviews de Blanche Gardin. Au moins, dira-t-on, on sait d'où il parle, il dévoile honnêtement ses attaches, ses affects. C'est vrai. Tout au moins, le savent ceux qui s'intéressent à sa personne, et qui ne constituent peut-être pas l'ensemble des auditeurs de la matinale la plus écoutée de France. Quant à savoir si cette transparence personnelle est louable, ou si cette situation familiale devrait amener un journaliste de la radio publique à faire preuve sur le sujet Proche-Orient d'un redoublement du "penser contre soi-même", je n'ai pas la réponse.
la réponse de Norman Finkelstein
Sinon. Merci Daniel Schneidermann, merci pour votre humanité.
Ah Daniel , Daniel , c’est pour ça qu’on t’aime , notre juif , quand je me souviens , il y a un temps où je ne me posais meme pas la question , ahahah et d’ailleurs je continue ., rien a foutre , on t’aime bonhomme .Merci , je suis noir , nain pd , et juif .
Au jeu des pronostics du futur invité de ” je vous ai laissé parler” j’aurai bien mis une pièce sur Chapoutot, mais Madame Gardin prends la corde et Pierre est à la traîne.
futur invité de "Je vous ai laissé parler" ?
Vous avez complètement vrillé et en cela vous êtes guère différent d’autres qui ont vrillé dans le sens inverse. C’est assez triste de voir que le journaliste que vous étiez ne fait plus que lire entre les lignes sans réaliser que les petits caractères qu’il croit voire ne sont que les hallucinations . À ce titre vous rejoignez à votre manière les plus excités droitards brusquement sionistes et bien sûr vous ne vous en rendez pas compte .
Pour ma part, je n'ai pas attendu les messages privés de ce triste sire pour savoir à qui j'avais affaire. Quand Askolovitch a été le premier à traiter d'antisémite Siné, entraînant son licenciement par Charlie Hebdo (Siné a finalement gagné son procès), j'ai tout de suite saisi la nature du bonhomme.
Moi non plus, je n'écoute plus France Inter, ni la pénible diction de Claude Askolovitch. Et je ne suis pas surpris par le double standard de sa prose - privée ou publique. Les insultes adressées à Daniel sont révélatrices, le surmoi éditorial n'a pas joué cette fois. Pas question de faire preuve de hauteur de vue ou de soi-disant compassion pour toutes les victimes. C'est du parler-vrai. Et cette vérité-là n'est vraiment pas belle, ni intelligente. Le "madame" de madame Blanche Gardin, cette pose apparemment respectueuse, peut se lire à l'aune de ce langage ordurier. Finalement, le double standard n'en est pas un. C'est un seul et même mépris.