Bastien Vivès, autoportait en martyr des woke
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Il paraît qu'ils recrutent, chez Charlie.
Pas étonnant que Le Point prenne le parti de Vivès : son fondateur Claude Imbert est abondamment cité dans la formidable enquête de Libé ("Les hommes de la Rue du Bac") comme ayant participé activement et régulièrement aux viols d'enfants dénon(...)
Si on vivait dans un monde où les pédocriminels étaient vraiment condamnés en justice, les victimes d'inceste entendues, protégées, si on vivait dans un monde où les femmes dans le monde très masculin de la bande dessinée avait autant de voix, peut-ê(...)
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Mon point de vue n'a pas changé par rapport aux précédents articles . Les ouvrages de Bastien Vivès sont des oeuvres d' imagination , des farces et non des incitations à la pédohilie . On voit que ce sont des provocations et non des incitations. En second lieu , il faut rappeler que l'éditeur a pris des précautions: interdiction de vente aux mineurs , emballage sous blister. Peut -on aller au- delà ? Pas sûr. Enfin ,je ne crois pas que la plainte déposée contre Bastien Vivès soit motivée par l'indignation . A mon avis elle est motivée par d'obscurs rivalités ou règlements de compte.
Je ne connais pas Vivès, je ne lis pas les BD (sauf Mafalda), mais tous les commentaires dans ce fil m'amènent à une question proche de mon dada :
Qui décide de ce qui est bien ou mal dans une société où la “liberté d'expression? est un droit, lorsqu'il n'y a plus ni Dieu, ni tradition, ni Ancêtres, etc., comme référent accepté et respecté par tous ? Par contre, ce qui est juridiquement autorisé ou interdit l'est pas la loi (en principe établie par la majorité des membres de la communauté) qui permet donc de condamner celui que l'enfreint.
Y a-t-il une loi qui interdit les dessins, films, images, etc., pédopornographiques ? Si oui, alors celui qui les produit est en infraction et les juges doivent sévir. S'il n'y a pas de loi, alors la condamnation morale ou éthique n'a aucun intérêt dans la mesure où le condamné ne subira aucune sanction sociale (ostracisme par exemple). Il faudra donc traduire la réprobation morale (si elle est majoritaire) en interdiction légale, juridique.
Autre considération : une personne qui éprouve de l'attirance sexuelle à l'égard des enfants, mais qui n'est jamais passé à l'acte, est-il ou non pédophile ? Quel critère doit-on prendre en considération, psychologique (désir) ou juridique (acte) ? Qui décide du bon critère à prendre en considération ?
C’est pas les dessins le problème, c’est leur publication
Ah! Si les dessins ne sont pas un problème (ils sont bons), pourquoi leur publication devient-elle un problème?
Ben c’est le sujet . Admettons que vous soyez un artiste qui a déjà publié, vous avez un éditeur qui attend impatiemment vos prochaines ébauches.Si , lors d’une inspiration nocturne après avoir un peu abusé de l’alcool, vous vous mettez à entrer dans une transe artistico-mystique à tendance diabolique et que vous dessinez des croix gammé au milieux d’enfants pré-pubères subissant des abus sexuels . Une fois votre dessin terminé, êtes vous coupable de quoi que ce soit ?
Une œuvre privée, qu'elle soit interdite ou non, n'entraînera aucun effet public tant qu'elle reste privée. Si elle devient publique, elle n'entrainera d'effet (sanction, condamnation publique) que si elle contrevient à une loi.
Existe-t-il une loi en France qui interdit la publication de ce type de dessins ? Si oui, le coupable (celui qui a commis une faute aux yeux de la loi selon Le Petit Robert historique) est celui qui a publié ladite œuvre. Qui donc ? L'auteur ou l'éditeur de l'œuvre ?
À noter que l'acte fautif est ici défini par la loi, il émarge au juridique. Mais un acte peut aussi être considéré comme fautif du point de vue moral et susciter la désapprobation par certains membres du groupe, s'il est rendu public. Cependant, il n'y aura pas lieu de parler de coupable, de culpabilité, tant que ledit acte n'aura pas été légalement interdit.
C'est ici que se posait ma question : si la publication de ce type de dessins n’est pas légalement interdite, qui et au nom de quoi décide qu’ils ne doivent pas l’être ?
Il y a la loi pour la protection de la jeunesse. Qui fixe des conditions de vente. Et curieusement les éditeurs n'aiment pas être estampillé de cette sorte. Je pense que ça fait baisser les ventes, et le profit, et l'envie d'éditer l'auteur en lui laissant toute liberté.
Oui. L'évolution des lois sur la protection de la jeunesse montre que le capitalisme a du mal à légiférer de façon claire, précise et contraignante lorsque des intérêts financiers sont en jeu. Sauf erreur de ma part, je ne vois rien de précis dans la section du Code pénal français relative à “la mise en péril de la santé et de la moralité des mineurs (articles 227-15 à 227-21)ˮ, à propos de la publication (diffusion) des images pornographiques par exemple.
Dans un petit article de l’Encyclopaedia Universalis intitulé Agressions sexuelles, je trouve ce passage : « Toujours sous le titre “Des atteintes à la personne humaineˮ, les messages ou images pornographiques ou indécents sont classés au chapitre “Des atteintes aux mineurs et à la familleˮ, dans une section spécialement constituée pour le cas, “De la mise en péril des mineursˮ; le message indécent est, quant à lui, classé au rang des contraventions de 4e classe. »
Il me semble que les sanctions concernent les personnes qui montrent ces images aux mineurs et non ceux qui les éditent. Ambiguïté du capitalisme !
Trigger Warnings de rigueur.
Dans la recherche sur le sujet, on distingue le pédophile du pédocriminel, les deux étant en fait assez fortement décorrélés.
Le pedophile est celui qui a une attirance sexuelle pour les enfants, et la plupart ne passent pas à l’acte (donc ne sont pas pédocriminels) car ils savent que ben c’est un crime en fait (et n’en ont pas forcément l’opportunité, par ailleurs, cf. ci-dessous).
Le pédocriminel est celui qui commet une agression sur un enfant, et contrairement aux idées reçues n’est en fait que rarement pedophile tel que défini ci-dessus. Ce sont souvent des crimes opportunistes, c’est à dire que l’enfant n’est pas ciblé en tant qu’enfant, mais en tant qu’individu en situation de faiblesse.
Il existe en fait des protocoles relativement simples (quoi qu’intrusifs) pour détecter la pédophilie, c’est pour ça que quand un criminel est attrapé, on peut facilement le « tester ».
Bref. Sujet ultra-sensible qui dès qu’on rentre dans le détail met beaucoup de monde mal à l’aise.
C'est qui, ce Trigger Warnings ?
I.
A. − Présomption, estime exagérée, amour excessif de soi-même, qui fait que l'on est persuadé de sa propre excellence, que l'on se juge supérieur aux autres.
1. PSYCHANAL. ,,Hypertrophie du Moi et surestimation personnelle`` (Pel. Psych. 1976). L'orgueil (...) est un des éléments de la constitution paranoïaque et il fait le lit de la méfiance, de l'interprétation et des idées de persécution (Lafon1963).
____________________________________________________________________________________________cnrtl
Je ne vois que ÇA. Je suis à un stade où ÇA, leur orgueil, occulte tout ce que produit cette engeance.
En plus il me faut une vigilance constante pour éviter le visage déformé de Corto par Vives qui me perturbe mon Hugo Pratt éternel.
il y a toujours l'estocade, le coup de plus (ce livre de Vives, Miller se pavanant avec sa nouvelle paternité en bandoulière, et il y a pléthore d'exemples, sénateur qui ne démissionne pas ...) pour nous signifier qu'ils nous ...... (mot qui vous vient au choix, commençant par c ou e ). Et nous on devrait encore se pencher sur leur petite personne?
Pourquoi tant d'hommes s'identifient-ils à ces types, car je ne vois que ce processus pour continuer à tenter de les dédouaner? Mais cherchez donc d'autres modèles les gars! Vives nous recrache sans avoir rien digéré son assiette de poison, je vous assure que c'est bien différent, de Flaubert au moins. Ça de l'art, bof.
Rien à voir mais je suis tombé là-dessus par hasard et j'ai cru un instant que c'était le taulier qui tweetait en anglais Lien
L'excellent podcast des "Couilles sur la table" avec Maëlys Tirehote-Corbin, doctorante en sociologie sur les trajectoires des auteurices de bande dessinée, elle parle de l'annulation de l'exposition de Bastien Vivès à la 35min.
https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/bande-dessinee-bulles-de-verre
Je pose ça là... sur la table :)
"poursuivre un parcours à la hauteur de son talent." C'est subjectif, tout ça, mais que ça soit lui ou Houellebecq (qualifié de "surdoué " dans ce papier), je cherche encore où serait ce fameux "talent".
Au delà de leurs positionnements politiques, Vivès c'est des scénarios incohérents et un dessin pour le moins discutable, un mec qui fait toujours les mêmes formes caricaturales et derrière ose critiquer le dessin d'Emma et compagnie. Houellebecq c'est une prose pédante et prétentieuse au service d'un vide narcissique.
Vraiment, dans un cas comme dans l'autre, je n'y vois que les rejetons d'une bourgeoisie qui se regarde le nombril, qui ne parle que d'elle même et à elle même, en se drapant dans une pseudo-subversion sans aucune subs
Une BD intéressante, Il était une fois la famille, de Terreur graphique et Emmanuel Todd - dont je conseille (en tremblant) l'écoute sur Elucid, en accès libre. Gros risque woke cependant :))
je ne sais pas si vraiment ça l'excite de dessiner, ses histoires ne sont pourtant ni drôle ni bandantes, c'est un artiste authentique qui a relevé le niveau de la production bédéistique, lire son nouveau livre sera utile pour mieux le comprendre sans le prendre au premier degré, l'autopsychanalyse n'est jamais pertinente
ainsi il est toujours question de procès, comme Flaubert ce créateur devrait être acquitté, sauf que comme Gustave il risque de recevoir du tribunal un blâme pour atteinte à la morale bienpensante pour avoir massacrer virtuellement des haut-bourgeois violeurs
j'ai lu ses Corto Maltese avec Quenehen, ils ne relatent que des relations entre adultes consentants!
avec l'affaire Lina et les effets secondaires des antiparkinsoniens, je pense que mettre la poussière sous le tapis en se contentant de fustiger un dessinateur, ne va pas servir à soigner tous ces malades qui évoluent librement ou simplement donner du sens à notre société pour éviter que certains se retrouvent isolés sans possibilités d'échanges directs entre êtres humains
les réseaux dits sociaux sont plutôt des incarcérations volontaires, en mal de reconnaissances
approuvez-moi! approuvez-moi!
Le problème , c'est qu'on s'attaque aux boutons qui apparaissent sur la gueule , et pas aux causes qui font apparaitre les boutons . Du coup comment faire autrement que répondre aux brulures de la crème qui combat les boutons . L'inégalité est la base du capitalisme , je ne sais pas comment ils vont s'en dépêtrer pour pouvoir continuer à perpétuer les inégalités , et ce serait bien de vraiment s'attaquer aux racines , mais là , même avec une vision jancovicienne de l'avenir , c'est pas gagné . Il va juste en rester une répression de plus ,c'est plus un code pénal qu'on a ,c'est l'encyclopédie de tous les vices et travers du capitalisme .
Je reste toujours aussi effrayé depuis deux ans devant ce bannissement délirant... Ce ne sont que des dessins ! Depuis quand on condamne quelqu'un pour des dessins ? Jusqu'à preuve du contraire, il n'a jamais violé personne !!
Un auteur de bd a aussi le droit d'avoir un côté con. Si on peut entendre le jugement moral, essayons de prendre un peu de recul : notre monde serait il meilleur si l'on avait interdit Hara Kiri dans les années 70 ?
Je comprends certaines réactions mais je constate qu'elles contribuent à normaliser le climat de dérives intolérantes que nous voyons s'imposer chaque jour un peu plus. Quand cela commence on ne sait pas jusqu'où cela peut, doucement, lentement, mais sûrement nous mener...
Je suis conscient d'être moi même intolérant d'une certaine façon mais à la différence de toutes ces réactions, mon intolérance n'est pas dirigée vers une personne "cible" mais plus vers un courant moral. Ne sous-estimons pas l'effet traumatique de ce genre de cabale sur une personne impressionnable. Dieudonné a, j'en suis convaincu, été le produit aussi de ça. Il n'a pas eu la carure pour résister à ce bannissement et la conséquence est qu'il est devenu par réaction exactement ce crétin antisémite qu'on lui reprochait. Si on pouvait éviter cela pour Bastien Vivès...
Je ne sais pas apprécier le talent de ce dessinateur de BD. J’ai reçu Polina en cadeau et je n’ai pas trouvé cela terrible. L’histoire comme le dessin.
Quant à ses œuvres sur l’inceste et la pédopornographie, elles ne m’intéressent pas. Le sujet sans doute. Je ne dois pas avoir le goût des mis en cause de Mazan.
Pas étonnant que Le Point prenne le parti de Vivès : son fondateur Claude Imbert est abondamment cité dans la formidable enquête de Libé ("Les hommes de la Rue du Bac") comme ayant participé activement et régulièrement aux viols d'enfants dénoncés par Inès Chatin, qui en fut une des victimes - viols collectifs organisés par son propre père, et auxquels participaient aussi Gabriel Matzneff, Jean-François Revel et d'autres grands bourgeois parisiens. Pas un mot, bien sûr, dans Le Point d'aujourd'hui, sur ces révélations.
Qu'est ce que cet emploi des termes woke et wokisme que la plupart des gens sont incapables de définir ? Il me semble qu'il est déjà difficile de se comprendre avec les mots de vocabulaire "traditionnel". Alors évitons d'utiliser celui du camp "opposé".
Ce n'est pas ce soi-disant wokisme qui exacerbe les relations, mais des sensibilités à vif, excitées par les tensions sociales et les médias. J'ai lu que l'automobiliste qui a écrasé un cycliste a dit qu'il avait été effrayé par celui-ci !!!
Pour le plaider coupable, demandons à Adrien Quattenens ce qu'il en pense...
Encore un qui rejoint le camp des geignards incapables de se remettre en cause. Il était difficile d'imaginer un autre parcours pour ce gusse, quand on a déjà pu constater la légèreté de sa réflexion sur les relations de genre.
Je pense qu'à un moment il faudrait cesser de feindre croire en l'existence d'un choix pour ce genre de personnes, sauf à prendre un mâlin plaisir à jouer ensuite les déçus. L'option "faire amende honorable, être pardonné et pouvoir poursuivre son chemin" (ce qui implique aussi de pouvoir conserver ses sources d'inspiration si douteuses soient elles pour quelqu'un se voyant comme* un artiste) n'existe juste pas dans un monde résocialisé où un pardon complet est exclu (y'a qu'à voir, je ne sais pas, ce qu'on continué à se prendre même les membres exprimant le plus de regrets, du groupe facebook Ligue du Lol).
C'est un peu comme recommander à un politique de reconnaitre ses erreurs de jugement plutôt que de ne les avouer jamais, c'est bien gentil dans le principe mais tout le monde sait qu'il n'y a qu'une option d'efficace.
Pour les gens comme Vivès, une fois que leur est reproché ce qui est finalement leur être, le choix n'est qu'entre le suicide (et professionnel et de son soi d'artiste aux inspirations malsaines) ou la surenchère permettant de mettre les anti-wokes de son coté. On gagnerait du temps à cesser de jouer les surpris quand ils ne font pas le premier.
Il ne s'agit pas de dire que les critiques dont il a fait l'objet étaient injustifiées (ni qu'il soit une grande perte pour les progressistes en tant que personne), simplement un choix a été fait, pas par lui mais par ses critiques et la suite n'est ensuite que conséquence logique.
C'est un peu comme le choix de cliver en politique en général, on choisit de placer un certain nombre de personnes dans le camp des ennemis, ensuite il est logique et naturel que celles ci se comportent comme tels (et d'autant plus qu'il existe un camp susceptible de les soutenir précisémment car ils en sont du "wokisme"). C'est une stratégie qui peut avoir ses mérites comme ses torts, comparée à celle de la tolérance elle a celui d'éviter la compromission, mais c'est ne pas l'assumer de ne pas voir que pointer du doigt telle ou telle célébrité comme porc à tendance réactionnaire puisse avoir d'autre effet que celui d'une prophétie auto-réalisatrice (pour le coté réactionnaire en particulier, pour ce qui est d'associer Vivès à ses propres fantasmes on va dire que ça avait surtout peu de chance de changer grand chose).
Enfin perso s'il y a une chose qui me fatigue dans les wokeries c'est bien l'hypocrisie qui se dégage des injonctions faites à certaines personnes de changer, alors que le feraient elles il n'y a aucune intention réelle de leur accorder une rédemption. Je ne vois pas un cas de critiqué par les meutes concernées à qui le choix de faire amende honorable aurait profité, reconnaitre ses torts c'est juste se prendre plus de baffes. L'attitude inverse par contre est prouvée tous les jours plus efficace pour obtenir le respect d'un public général préférant les gens restant fidèles à eux mêmes. Après on peut en conclure ou pas que la stratégie du call out est globalement contre-productive, comme je disais elle peut aussi être vue comme ayant ses mérites (et je ne vois pas dans des cas comme Vivès ou Houellebecq ce qu'auraient eu celle d'être totalement incritique) mais il y a coté vouloir le beurre et l'argent du beurre à à la fois dénoncer ce type de personnages avec la virulence à laquelle ils ont eu droit, et espérer que derrière ils souscrivent à leur propre flagellation.
* n'ayant jamais été particulièrement touché par ce que fait Vivès j'ai un peu de mal à dire "pour un artiste" tout court
Rappelons les faits sur Vivès, je cite le Huffingtonpost :
« En 2018, dans le cadre de l’article 227-23 du Code pénal qui interdit les représentations à caractère pornographique de mineurs, un citoyen alerte le procureur de Paris, qui le classe sans suite. Un an plus tard, l’association Face à l’inceste demande au parquet de Nanterre de retirer de la BD des librairies, sans succès »
Qu’il se victimise est une chose, qu’il soit arrogant et outrancier une autre encore (et jusqu’à preuve du contraire, encore autorisé par la loi), mais qu’il ai déjà justement enfreint la loi, c’est très différent. Et par le passé, malgré des attaques en justice, rien n’a abouti.
L’instruction est toujours en cours, mais je vois mal en quoi cela sera différent d’avant. Il est en effet absurde de condamner un dessin. Comme disait Magritte : « ceci n’est pas une pipe » !
Ses insultes sur les réseaux sociaux alors ? Donc aucun rapport avec ses dessins. Donc inutile d’en parler. Au final, que lui reproche-t-on ? De mal penser ? De se comporter comme un connard en ligne ? Ça fait léger…
Génération de fragiles. Certains n’ont jamais autant souffert de ne pas réellement souffrir !
Je me sens parmi celles et ceux qui tiennent l'arme (chargée à blanc, quand même) et lui, il creuse, il creuse... Eh oui, comme dit Brenda Relax, qu'il aille chez Charlie, ou au Canard, il y a sa place. Ou à Franc-Tireurs.
Il paraît qu'ils recrutent, chez Charlie.