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Cash : et la parole changea de camp
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Derniers commentaires
Angélique Gérard (la directrice de la Relation Abonné de Free qui s’est fait épingler par l’émission Cash investigation) s’est encore fait épingler mardi soir (3 octobre) : cette fois-ci par le ruban bleu de chevalier de l’ordre national du Mérite. https://www.buzzfeed.com/davidperrotin/la-patronne-de-free-epinglee-par-cash-investigation-decoree
Il y a peut-être de l'espoir:
lu sur Slatehttp://www.slate.fr/story/152294/quand-le-fmi-plaide-pour-taxer-les-riches
"Les économistes, comme ceux du FMI, rappellent que les taux d’imposition très élevés dans les années 1950 ou 1960 n’ont pas bridé une croissance alors deux fois supérieure. Les inégalités excessives, en revanche, menacent les fondements des pays et entravent leur dynamisme."
Autrement dit, cette course au toujours plus pour les mêmes et toujours moins pour les autres est mauvaise pour l'économie, (même pour les riches) . Peut-être ce genre de constatation pourrait être repris dans leurs actions par les gouvernements qui font actuellement le contraire.
lu sur Slatehttp://www.slate.fr/story/152294/quand-le-fmi-plaide-pour-taxer-les-riches
"Les économistes, comme ceux du FMI, rappellent que les taux d’imposition très élevés dans les années 1950 ou 1960 n’ont pas bridé une croissance alors deux fois supérieure. Les inégalités excessives, en revanche, menacent les fondements des pays et entravent leur dynamisme."
Autrement dit, cette course au toujours plus pour les mêmes et toujours moins pour les autres est mauvaise pour l'économie, (même pour les riches) . Peut-être ce genre de constatation pourrait être repris dans leurs actions par les gouvernements qui font actuellement le contraire.
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[quote=Le Monde]« En réunion, on nous a dit “votre vie, c’est Naturalia” », raconte cette Parisienne qui a fini par démissionner, ne supportant plus la pression de sa direction.
Sérieusement, qui peut être surpris de lire de tels propos ? Ce type de discours, subit ici par une ex-salariée, est constamment propagé de partout sans que personne ne s'en offusque vraiment. On a parfois même le sentiment que la majorité trouve ce type d'état d'esprit, propagé en l'espèce par Naturalia (branche de Monoprix), très cool. Alors bien sûr, nous avons droit ici à la caricature, à une version simplifiée et donc moins pernicieuse du nouveau discours managérial, mais toutes ces méthodes de "team management", et autres soi-disant innovations en matière de gestion des ressources humaines, vont en réalité dans le même sens.
La remise en cause des managers et des grands patrons, je veux bien, mais en réalité ce type de pensée compte énormément de relais au sein de notre société, parmi ceux qui se disent être "les petits". Et le problème vient aussi de là. Cessons d'accepter toute cette novlangue, toute cette coolitude, et toutes ces soi-disant innovations que l'on apprécie surtout lorsqu'elles s'appliquent aux autres.
Sérieusement, qui peut être surpris de lire de tels propos ? Ce type de discours, subit ici par une ex-salariée, est constamment propagé de partout sans que personne ne s'en offusque vraiment. On a parfois même le sentiment que la majorité trouve ce type d'état d'esprit, propagé en l'espèce par Naturalia (branche de Monoprix), très cool. Alors bien sûr, nous avons droit ici à la caricature, à une version simplifiée et donc moins pernicieuse du nouveau discours managérial, mais toutes ces méthodes de "team management", et autres soi-disant innovations en matière de gestion des ressources humaines, vont en réalité dans le même sens.
La remise en cause des managers et des grands patrons, je veux bien, mais en réalité ce type de pensée compte énormément de relais au sein de notre société, parmi ceux qui se disent être "les petits". Et le problème vient aussi de là. Cessons d'accepter toute cette novlangue, toute cette coolitude, et toutes ces soi-disant innovations que l'on apprécie surtout lorsqu'elles s'appliquent aux autres.
La naïveté de la chronique m'intrigue.
DS pense-t-il sérieusement que ce genre de pratique se cantonne a des sociétés low cost et qu'on ne les trouve pas dans l'ensemble des entreprises?
DS pense-t-il sérieusement que ce genre de pratique se cantonne a des sociétés low cost et qu'on ne les trouve pas dans l'ensemble des entreprises?
Vos ado a vous Daniel sont en crise , chez les plus pauvres ils se la ferme ... En crise ? , vous etes encore derrière votre vitre. Ca fait longtemps que je dis le malheur des gens , des femmes , des jeunes et vous avez oubliez ça @SI, y'a seulement 6 mois, ON AURAIT PU AVOIR UN PROGRAMME ECOLOGIQUE ET SOCIALE , et puis non, les Daniel , les Todd, ont voté JLM bien sure mais sans pub, quand ils nous ont mitraillés en 2012 pour Hollande. Voila pourquoi des gens bossent dirigé par un ordinateur, parce que VOUS les medias , les privilégiés, vous vouliez Hollande ou la droite et surtout pas Mélanchon . On a mal, cet ete durant la caravane Insoumise du nord , j'ai vu des retraités sans douche et toilette chez eux mais sure le palier, ça vous fait quoi a vous, de penser a un Mr qui a cause de la prostate va au toilette dans la nuit ? ben il a un seau ou dans le froid sur un WC qu'il partage avec ses voisins ... voila ce que les bobo acceptent pour les autres, et ils leur faut cash, pour le savoir, moi qui croyait que les medias etait là pour nous dire le réel et pas nous abreuvé de femmes jeunes et dénudées et de fausse information qui mettent en vu l'économie de droite.
Et dire...Et dire .....que Jupiter n'aime pas le mot pénibilité au travail......Me viens des envies de......
Tiens, c'est Legal qui s'y colle aujourd'hui. Tigi et M. Pat ont pris leur journée?
Si on veut vraiment régler le problème de la souffrance au travail, la mesure la plus urgente est de couper la tête d' Elise Lucet.
Je lis beaucoup de commentaires parlant d'un repli français de la part de FI ici (et là) mais je pense qu'il y a une profonde incompréhension, certainement lié à une désinformation assez systématique qu'on retrouve un peu partout (mais pas ici).
Faire du protectionnisme, ca n'est pas fermer les frontières, c'est mettre en place des règles d’échanges de biens et services. Nos principaux partenaires en dehors de l'Europe font tous du protectionnisme à divers degrés.
Vouloir adopter une politique d'encadrement économique, ce n'est pas du tout assimilable à un repli identitaire. Bien au contraire, il est probable que ne pas le faire conduise à développer les tensions et la haine. Si les instances européennes ne veulent pas constater l'éclatement que cette politique de guerre économique entraine (et qu'on voit chaque jour progresser), faudra pas s’étonner que ça finisse dans la radicalité (et je ne parle pas d'une "radicalité sociale").
Avoir des outils pour réguler, ça peut aider, en parti, à éviter ce qu'on a tous vu dans Cash.
Faire du protectionnisme, ca n'est pas fermer les frontières, c'est mettre en place des règles d’échanges de biens et services. Nos principaux partenaires en dehors de l'Europe font tous du protectionnisme à divers degrés.
Vouloir adopter une politique d'encadrement économique, ce n'est pas du tout assimilable à un repli identitaire. Bien au contraire, il est probable que ne pas le faire conduise à développer les tensions et la haine. Si les instances européennes ne veulent pas constater l'éclatement que cette politique de guerre économique entraine (et qu'on voit chaque jour progresser), faudra pas s’étonner que ça finisse dans la radicalité (et je ne parle pas d'une "radicalité sociale").
Avoir des outils pour réguler, ça peut aider, en parti, à éviter ce qu'on a tous vu dans Cash.
Il y a quelque chose qui n'a pas été analysé à mon sens, c'est la différence de situation des 2 entreprises. On peut presque comprendre l'univers impitoyable de Lidl, celui tant décrié de la grande distribution.
Mais il n'y a rien qui puisse justifier le cas de Free.
C'est très important de le souligner, car on est quasiment dans le sadisme. Est-il si difficile d'imaginer une entreprise où il fait bon vivre ?
Mais il n'y a rien qui puisse justifier le cas de Free.
C'est très important de le souligner, car on est quasiment dans le sadisme. Est-il si difficile d'imaginer une entreprise où il fait bon vivre ?
Il suffit juste d'une bonne greve generale, dans la joie et la bonne humeur, pacifiquement, dignement, sereinement. Prenons exemple sur les catalans et liberons nous. On arrete de se soumettre, de bosser pour eux et on n'est plus des esclaves, c'est aussi simple que cela. Faut juste s'organiser un peu... et tirer tous dans le bon sens: l'interet general. Politiquement, c'est la france insoumise qui porte le mieux ce projet. Alors solidarité !
Nous sommes des gens de paix ! Nous voulons la véritable démocratie ! Partage du pouvoir, partage des richessee ! Macron démission !
Liberté, équité, justice ! Liberté égalité fraternité ! GREVE GENERALE !!
Nous sommes des gens de paix ! Nous voulons la véritable démocratie ! Partage du pouvoir, partage des richessee ! Macron démission !
Liberté, équité, justice ! Liberté égalité fraternité ! GREVE GENERALE !!
[quote=Daniel Schneidermann]"C'est vraiment ça, ton travail, papa ?"a demandé à son père l'ado en crise de la famille R. Il ne lui avait jamais dit. La télé l'a dit pour lui.
Ce que l'on cachait au(x) plus proche(s) concerné(es), le révéler potentiellement au monde entier: le paradoxe a-t-il jamais été analysé? Il le mériterait en tout cas: aujourd'hui en particulier où les mass-médias constituent: aussi dénié que visiblement, le pouvoir dominant. Ce qui par opposition évoque irrésistiblement la dernière proposition du Traité logico-philosophique de Wittgenstein: Sur ce dont on ne peut parler, il faut se taire* Michelet n'avait-il-pas en son temps dénoncé la fondation en confessionnal du jésuitique pouvoir clérical? Wittgenstein, quant à lui, dans une lettre à von Ficker précisa que son livre contenait deux parties, la plus importante étant traitée de la seule manière qui convenait - à savoir silencieusement, comme il l'a précisé explicitement. Aussi bien le psychanalyste lui-même ne se confie-t-il pas vraiment: Lacan pas davantage que ses opposants.
De sorte qu'il serait avisé de se demander, devant tous les affichages aujourd'hui de secrets, s'ils ne sont pas seulement apparents, l'essentiel demeurant dissimulé, pour la raison par Wittgenstein avancée: à savoir l'impossibilité d'en parler. Telle est en effet la nécessité par le verbe müssen en allemand signifiée. Toute tentative pour le transgresser, ou d'y déroger, ne fait jamais - la reportant - que fautivement la renforcer.
L'art seul ainsi permet - le transposant-sublimant - de signifier ce qui ne saurait s'exprimer, ainsi que Proust: Contre Sainte-Beuve sut l'opposer à tous les espions de confessions.
*Wovon man nicht sprechen kann, darüber muss man schweigen. La proposition oppose au pouvoir (können), non le devoir (sollen), mais le falloir (müssen). Soit ce qu' Es muss sein, comme Beethoven sut comme personne en asséner la nécessité (ainsi que Kundera le rappela).
Ce que l'on cachait au(x) plus proche(s) concerné(es), le révéler potentiellement au monde entier: le paradoxe a-t-il jamais été analysé? Il le mériterait en tout cas: aujourd'hui en particulier où les mass-médias constituent: aussi dénié que visiblement, le pouvoir dominant. Ce qui par opposition évoque irrésistiblement la dernière proposition du Traité logico-philosophique de Wittgenstein: Sur ce dont on ne peut parler, il faut se taire* Michelet n'avait-il-pas en son temps dénoncé la fondation en confessionnal du jésuitique pouvoir clérical? Wittgenstein, quant à lui, dans une lettre à von Ficker précisa que son livre contenait deux parties, la plus importante étant traitée de la seule manière qui convenait - à savoir silencieusement, comme il l'a précisé explicitement. Aussi bien le psychanalyste lui-même ne se confie-t-il pas vraiment: Lacan pas davantage que ses opposants.
De sorte qu'il serait avisé de se demander, devant tous les affichages aujourd'hui de secrets, s'ils ne sont pas seulement apparents, l'essentiel demeurant dissimulé, pour la raison par Wittgenstein avancée: à savoir l'impossibilité d'en parler. Telle est en effet la nécessité par le verbe müssen en allemand signifiée. Toute tentative pour le transgresser, ou d'y déroger, ne fait jamais - la reportant - que fautivement la renforcer.
L'art seul ainsi permet - le transposant-sublimant - de signifier ce qui ne saurait s'exprimer, ainsi que Proust: Contre Sainte-Beuve sut l'opposer à tous les espions de confessions.
*Wovon man nicht sprechen kann, darüber muss man schweigen. La proposition oppose au pouvoir (können), non le devoir (sollen), mais le falloir (müssen). Soit ce qu' Es muss sein, comme Beethoven sut comme personne en asséner la nécessité (ainsi que Kundera le rappela).
Il faudrait que la honte change de camp, que ce soient ces esclavagistes qui rougissent de leur inhumanité.
Mesdames et messieurs les puissants, arrêtez de vous prendre pour des lumières, vous êtes monstrueux et plus dénués de la moindre empathie que le plus modeste animal sur cette terre.
Ce monde avec son arrogance crasse est à vomir et que le fric soit devenu l'instrument de mesure de la qualité de l'homme devrait tous nous conduire
à réagir et refuser cette sale ambiance qui dresse les humains les uns contre les autres, jusqu'à les désincarner.
Albert Jacquard dénonçait déjà longtemps avant sa disparition les ravages de la compétition entre les hommes et, au contraire, promouvait la coopération entre les individus, et cela bien avant que celle-ci n'atteigne le paroxysme auquel elle est poussée maintenant.
Hélas, trop d'entre nous ont tellement " le nez sur le guidon " qu'ils ne réalisent même pas la tragédie humaine qui se déroule sous nos yeux, tout étant fait pour nous abrutir: le travail, les transports, la pub et la " téloche " avec ses amuseurs idiots et béats qui se prennent pour des journalistes.
Quand allons-nous prendre conscience en masse que nous ne sommes devenus que des bêtes de somme, poussées à l'extrême pour que le système continue à tourner au profit du capital immoral, refuser et résister, quitte à être pauvres en argent mais LIBRES de vivre notre vie, hors la mâchoire du mécanisme qui nous broie.
Mesdames et messieurs les puissants, arrêtez de vous prendre pour des lumières, vous êtes monstrueux et plus dénués de la moindre empathie que le plus modeste animal sur cette terre.
Ce monde avec son arrogance crasse est à vomir et que le fric soit devenu l'instrument de mesure de la qualité de l'homme devrait tous nous conduire
à réagir et refuser cette sale ambiance qui dresse les humains les uns contre les autres, jusqu'à les désincarner.
Albert Jacquard dénonçait déjà longtemps avant sa disparition les ravages de la compétition entre les hommes et, au contraire, promouvait la coopération entre les individus, et cela bien avant que celle-ci n'atteigne le paroxysme auquel elle est poussée maintenant.
Hélas, trop d'entre nous ont tellement " le nez sur le guidon " qu'ils ne réalisent même pas la tragédie humaine qui se déroule sous nos yeux, tout étant fait pour nous abrutir: le travail, les transports, la pub et la " téloche " avec ses amuseurs idiots et béats qui se prennent pour des journalistes.
Quand allons-nous prendre conscience en masse que nous ne sommes devenus que des bêtes de somme, poussées à l'extrême pour que le système continue à tourner au profit du capital immoral, refuser et résister, quitte à être pauvres en argent mais LIBRES de vivre notre vie, hors la mâchoire du mécanisme qui nous broie.
"Et la parole change de camp."
"C'est vraiment ça ton travail, Papa ?"
J'ai retenu ça dans ce bon papier de Daniel Schneidermann
mais voilà, la réalité c'est que la parole reste là où elle est le plus amplifiée : "bordel" de Macron aux pieds agiles (un "bordel" qui le rend si sympathique à ceux qui ne comprennent pas aussi pourquoi diable ces gens sans emploi ne se bougent pas le cul pour faire des 300 km par jour pour rejoindre la chaudronnerie pour une période indéterminée mais plutôt du genre brièveté). Et il y a les bonnes nouvelles de l'économie Française suivies immédiatement de "Mais ça ne créera pas d'emploi" suivies de "Mme Lagarde dit que la croissance est retrouvée dans le monde mais va falloir réformer le travail partout"
la parole, c'est hélas la parole qui est colportée le plus souvent possible, et ce même Le Monde qui est allé faire du papier en présentant l'émission de Cash Inv. aux salariés de Lidl et Free est aussi celui qui a gonflé le phénomène Macron Gattaz qui définit la nouvelle culture du travail, celle qui rend logique le fait de crever au boulot. Macron n'aime pas les fainéants.
L'étonnement de l'adolescent, c'est aussi ce que le père avait tenté de dissimuler pour se "débrouiller tout seul" comme dit Angot, pour conserver un semblant de fierté et consolider du même coup la structure économico-sociale Macron Gattaz. L'étonnement de l'adolescent c'est le véritable espoir d'un changement possible.
"C'est vraiment ça ton travail, Papa ?"
J'ai retenu ça dans ce bon papier de Daniel Schneidermann
mais voilà, la réalité c'est que la parole reste là où elle est le plus amplifiée : "bordel" de Macron aux pieds agiles (un "bordel" qui le rend si sympathique à ceux qui ne comprennent pas aussi pourquoi diable ces gens sans emploi ne se bougent pas le cul pour faire des 300 km par jour pour rejoindre la chaudronnerie pour une période indéterminée mais plutôt du genre brièveté). Et il y a les bonnes nouvelles de l'économie Française suivies immédiatement de "Mais ça ne créera pas d'emploi" suivies de "Mme Lagarde dit que la croissance est retrouvée dans le monde mais va falloir réformer le travail partout"
la parole, c'est hélas la parole qui est colportée le plus souvent possible, et ce même Le Monde qui est allé faire du papier en présentant l'émission de Cash Inv. aux salariés de Lidl et Free est aussi celui qui a gonflé le phénomène Macron Gattaz qui définit la nouvelle culture du travail, celle qui rend logique le fait de crever au boulot. Macron n'aime pas les fainéants.
L'étonnement de l'adolescent, c'est aussi ce que le père avait tenté de dissimuler pour se "débrouiller tout seul" comme dit Angot, pour conserver un semblant de fierté et consolider du même coup la structure économico-sociale Macron Gattaz. L'étonnement de l'adolescent c'est le véritable espoir d'un changement possible.
Ce n'est pas la parole qui doit changer de camp...c'est la peur.
Cette peur qui rend servile, muet, paralysé.
Cette peur qui te déshabille et enlève ta dignité.
La deuxième partie de la phrase de Gandhi sur la non-violence celle que les tenants du "bien" ont occulté, caché est toujours vraie.
Je laisse à chacun le soin de faire cette recherche dans laquelle il est question de dignité individuelle et collective.
Je laisse à chacun le soin de faire la recherche sur la violence de Dom Hélder Câmara....
Il y a un temps pour tout et peut être que le glas a sonné pour ceux qui ne voit que bordel dérangeant leur chemin lumineux...
A suivre...
Cette peur qui rend servile, muet, paralysé.
Cette peur qui te déshabille et enlève ta dignité.
La deuxième partie de la phrase de Gandhi sur la non-violence celle que les tenants du "bien" ont occulté, caché est toujours vraie.
Je laisse à chacun le soin de faire cette recherche dans laquelle il est question de dignité individuelle et collective.
Je laisse à chacun le soin de faire la recherche sur la violence de Dom Hélder Câmara....
Il y a un temps pour tout et peut être que le glas a sonné pour ceux qui ne voit que bordel dérangeant leur chemin lumineux...
A suivre...
Ces grandes enseignes vont réagir: les progrès de la robotique sont énormes, et tous ces boulots extrêmement pénibles vont disparaître, des machines s'en chargeront. Plus personne n'aura mal au dos, le problème sera réglé.
Ah, cette solution n'est pas souhaitable non plus??
Alors j'ai la solution: que tout le monde ait un job super épanouissant, sympa, pas épuisant, bien rémunéré, intéressant... on le décrète quand? Ah non, ne me dites pas que l'injustice fait partie de ce monde, ce serait trop affreux...
Ah, cette solution n'est pas souhaitable non plus??
Alors j'ai la solution: que tout le monde ait un job super épanouissant, sympa, pas épuisant, bien rémunéré, intéressant... on le décrète quand? Ah non, ne me dites pas que l'injustice fait partie de ce monde, ce serait trop affreux...
Non, Philippe R. Tu n'auras pas "droit à un peu mieux".
Parce que "le souffle de la bombe" n'est déjà plus qu'un léger courant d'air.
Parce dès le lendemain, tu as repris le taf, dans les mêmes conditions. Elles n'ont pas changé et ne changeront pas.
Parce que ta hiérarchie, du petit chef au grand patron, est insensible à ta souffrance.
Parce que tes collègues sont comme toi, épuisés, harrassés, accablés, mais isolés, désorganisés.
Parce que le Président te méprise et a jugé que la pénibilité était un terme à bannir...
Parce que "le souffle de la bombe" n'est déjà plus qu'un léger courant d'air.
Parce dès le lendemain, tu as repris le taf, dans les mêmes conditions. Elles n'ont pas changé et ne changeront pas.
Parce que ta hiérarchie, du petit chef au grand patron, est insensible à ta souffrance.
Parce que tes collègues sont comme toi, épuisés, harrassés, accablés, mais isolés, désorganisés.
Parce que le Président te méprise et a jugé que la pénibilité était un terme à bannir...
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Une bombe ? Peut-être, mais son effet retombera vite.
Demain, le patron fera de nouveau un chantage à l'emploi: "c'est ton boulot de merde ou rien". Et il faut bien vivre, payer les factures. Alors on choisira le boulot de merde, sans espoir. On sait bien que le système est dégueulasse, mais ceux qui voudraient ou pourraient le changer (syndicats, politiques de gauche,...) sont trop occupés à se disputer entre eux pour savoir qui aura "l'honneur" de pouvoir se prétendre "seul représentant des classes populaires".
Et même si les gens se décidaient enfin à changer les choses en France, ça ne changerait rien: délocalisation, dévaluation, on connait la chanson. Toute politique de gauche cantonnée à un seul pays est vouée à l'échec. On sait bien qu'il faut changer le système dans le monde entier (ou du moins dans l'ensemble de l'Europe) pour avoir une chance de réussir.
Demain, le patron fera de nouveau un chantage à l'emploi: "c'est ton boulot de merde ou rien". Et il faut bien vivre, payer les factures. Alors on choisira le boulot de merde, sans espoir. On sait bien que le système est dégueulasse, mais ceux qui voudraient ou pourraient le changer (syndicats, politiques de gauche,...) sont trop occupés à se disputer entre eux pour savoir qui aura "l'honneur" de pouvoir se prétendre "seul représentant des classes populaires".
Et même si les gens se décidaient enfin à changer les choses en France, ça ne changerait rien: délocalisation, dévaluation, on connait la chanson. Toute politique de gauche cantonnée à un seul pays est vouée à l'échec. On sait bien qu'il faut changer le système dans le monde entier (ou du moins dans l'ensemble de l'Europe) pour avoir une chance de réussir.