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Cette obsession antisémite...

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Glucksman "qui ne laissera rien passer". On attend toujours son soutien à Rima Hassan et Mathilde Panot, convoquées au poste pour apologie du terrorisme.

Mais bon de ces Macron compatibles, plus rien n'étonne. Seul les gogos se feront abuser.

Quand au (...)

Qui peut nier que l’antisémitisme perdure et qu’il doit être vigoureusement combattu.

Mais c’est aussi en son nom que se font les inquiétantes dérives autoritaires que nous connaissons aujourd’hui dans  notre pays

L’antisémitisme utilisé comme ray(...)

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M Schneidermann, comme nous tous, cherchent des explications au déchaînement de violences à Gaza.

Le sens de sa chronique, tout en nuances, semble vous échapper.

C'est vrai que la nuance et vous...

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Merci @d_schneidermann pour ce texte (et pour toutes vos autres obsessions). C'est toujours limpide et édifiant. Ici, les vidéos que permettent de découvrir vos deux liens sont bouleversante. Évidemment celle de Shahid. La petite fille au pantalon rose qui fait beaucoup penser à une autre petite fille - de fiction, elle - au manteau rouge. Pourvu que le dégoût pour ce que montre ces images ne m'empêche jamais de le regarder malgré tout. Les yeux grands ouverts et tremblants de larmes.

Mais aussi - et peut-être surtout - pour la découverte du film Defamation. Il faut voir ce film.

Le premier film de ma connaissance qui prend à bras le corps, avec une étrange candeur d'apparence mais sans mépris ni ironie, le sujet troublant de la fine ligne de partage entre antisémite et instrumentalisation de l'antisémitisme.

Tant que vos journalistes (ou/et d'autres) n'aurons pas enquêté à nouveau sur ce sujet - avec l'honnêteté intellectuelle dont ils sont capables - afin de débrouiller les stratégies de victimisation de la lutte réelle contre l'antisémitisme comme un racisme à part entière, il ne pourra pas y avoir de débat critique, clair et apaisé sur la situation actuelle dans les territoires d'Israël et de Palestine.

Il faut réactualiser ces données et fouiller l'action de ces groupes d'influence en urgence.

Dans l'espoir...

https://blogs.mediapart.fr/patricjean/blog/141023/puisqu-il-parait-qu-il-faut-s-exprimer-sur-israel-et-gaza

Avoir mis en lien le documentaire "defamation" donne l'envie de le voir... Mais voici ce qui s'affiche sur Youtube: "Cette vidéo n'est plus disponible en raison d'une réclamation pour atteinte aux droits d'auteur envoyée par Les mutins de pangée ".  Dommage!


En passant, excellent entretien avec Elias Sanbar d' Elisabeth Quint  sur Arte hier soir. Je rêve que D.S. le reçoive .

Se placer du côté des opprimés toujours : indiens, juifs, tziganes, arméniens, ouïgours, rohinga...la liste serait longue....palestiniens.


Ce matin sur France Q, l'avocat en droit international Philippe Sands  ( Retour à Lemberg )  revenait sur les notions juridiques et les différences entre   génocide, crimes de guerre et crime contre l'humanité  






"victoire" de trouver un fait antisémite et le documenter : second ou troisième degré d'ironie ? 


Quant a l'universalité et l'éternité de l'antisémitisme, cela me semble difficilement contestable, au moins dans le sens où l'antisémitisme a une caractéristique spécifique qui le distingue pas mal d'autres formes de racisme : inventer des Juifs et du pouvoir juif partout dès qu'il y a un problème (et non pas seulement discriminer directement des Juifs), même - et évidemment surtout- s'ils n'ont rien a voir avec ledit problème. Ce qui renforce son potentiel à être universel (il y a de l'antisémitisme partout dans le monde, même là où les Juifs sont absents, puisque même absents, on peut les accuser de comploter dans l'ombre) et éternel (au sens : depuis très longtemps et de manière ininterrompue). Je précise que cette spécificité ne rend pas en soi ce racisme plus ou moins grave que d'autres formes de racisme. C'est "juste" une spécificité. Toutes les formes de racisme sont également condamnables. 


A moins que par "éternité et universalité" de l'antisémitisme il faille comprendre que pour certains dans ce documentaire, tout non-Juif serait antisémite et ceci de toute éternité. Là je comprends qu'on critique cette position absurde. 


Une prise de parole toute récente de Michèle Sibony, Juive de vraie gauche...bien sûr accusée entre autres d'antisémitisme : 


J'ai enfin fini de regarder le doc. Ça m'a pris du temps - pas mal de retours pour tout suivre - chuis pas une flèche à lire les sous-titres et regarder et réfléchir en même temps...


À propos de sous-titres, à la fin c'est marqué : 

sous-titrage français : admin@forumsoral.com 

a. soral ?

à l'horreur s'ajoute l'horreur

Le génocide perpétré par le gouvernement de Netanyahu 

La loi Safety of Rwanda de Rishi Sunak

...

Voici une maigre lueur d'espoir

qui n'a pas eu l'effet escompté

Autre documentaire à voir absolument, celui tourné par Al Jazeera mais jamais diffusé suite à des pressions US sur le lobby pro-israélien aux États Unis :

https://www.telerama.fr/television/regardez-le-documentaire-interdit-et-explosif-sur-le-lobby-pro-israelien-aux-etats-unis,n5885708.php

Il me semble que ce dont nous parle DS dans cette “Obsessionˮ et qu’il a perçu dans le documentaire“Defamationˮ émarge à la question de la structuration de l’identité, en l’occurrence ici, l’identité collective.


Identité collective : comment peut-on la définir d’une façon un tant soit peu rigoureuse ? Honnêtement, je ne vois pas. Par ailleurs, faut-il la spécifier comme ethnique, religieuse, raciale, culturelle, de genre… Je m’y perds.


Voyons ce que nous dit Robert Steichen* : Dans les énoncés sociopolitiques, privés ou des sciences humaines, l’identité se définit « comme la particularité d’être soi, d’être spécifique par rapport à d’autres et d’être reconnu comme tel par ces derniers. L’identité se réfère à l’altérité et se constitue par rapport à celle-ci. L’identité se définit comme une manière d’être particulière qui se spécifie d’une certaine délimitation dans l’espace et d’une certaine permanence dans le temps ».


Et, résumant les idées de François Zacot, J. P. Mutombo nous dit : « Pour certains groupes, il s’agira de recourir à son histoire pour y trouver un point d’attache mis en valeur par la mémoire de groupe. Mémoire qui, la plupart du temps, est l’oeuvre des intellectuels, c’est-à-dire une reconstruction objective. Domaine de revendication d’identité qui peut prendre, dans les valeurs qu’elle comporte, l’aspect d’une "racialisation de soi". Une telle revendication de l’identité peut dépasser la réalité pour tendre vers une image de soi du groupe, idéalisée, devenant presque un mythe, sans lien avec les difficultés vécues par le groupe ».


Je me dis donc, que “l’identité israélienneˮ se constitue en s’appuyant sur “l’identité juiveˮ, laquelle se constitue en faisant appel à son histoire où les Juifs sont honnis par les non-juifs. Ce qui s’est traduit par l’antisémitisme et la Shoah. Ceux-ci sont en quelque sorte le ciment qui rassemble tous les Juifs au-delà des particularités nationale, culturelle ou laïque.

Le conditionnement des jeunes Israéliens, tel qu’il apparaît dans le documentaire (que je n’ai pas visionné, mais selon DS), revient à les amener à planter leurs pieds dans le ciment. L’antisémitisme devient ainsi quelque chose que l’on combat, en même temps qu’on le revendique comme signe d’appartenance à la judaïcité, pour reprendre un terme d’Albert Memmi.



*S/D Robert Steichen, Identité du sujet : sa construction et ses nominations, in Identification et identité dans les familles : Individu ? Personne ? Sujet ? Bruyland Academia, 1998.


Voir aussi Doris Bensimon : Identité juive : dimensions, expressions vécues et problèmes d’acculturation, et Joëlle Allouche-Benayoun : Une approche de l’identité juive.

« De ce documentaire, je n'avais jamais entendu parler. C'est ici, dans nos forums, que certains en ont signalé l'existence. Merci à eux. »
Pendant quelques secondes je vous ai imaginé profitant de votre temps libre pour lire les vieux forums d'il y a 15 ans, car déjà à cette époque ce documentaire y avait été signalé, par l'@sinaute pow wow si je ne me trompe pas.

Merci pour cette chronique dont le coeur du contenu ne me surprend guère, hélas.

J'ai souvenance d'avoir visité le cimetière juif de Lodz - ou ce qu'il en reste - en croisant un groupe de militaires israéliens, certains avec le drapeau sur les épaules. Cela faisait partie, à ce qu'on m'a alors dit, d'un "tour" des centres de mises à mort et lieux de mémoire en Pologne pour - tous ? - les élèves officiers. C'était en 2008. Je m'étais déjà fait la réflexion qu'on était plus dans le conditionnement que dans une approche historico-mémorielle.

Ce qui m'a le plus profondément marqué dans Defamation, c'est l'endoctrinement, pour ne pas dire la lobotomisation, 

de la jeunesse israélienne, comme l'a justement souligné DS. Ceci participe à expliquer ma stupéfaction devant la glaçante détermination, sinon la jubilation, que montrent des soldats israéliens à ôter la vie d' innocents civils gazaouis et cis-jordaniens et ceci de manière systématique.

"On a connu pire."

Bout de phrase qui raisonne en effet bizarrement avec l'actualité. On se demande d'ailleurs le sens réel de cette phrase, car déjà, il y a-t-il une limite au pire, dont la Shoah en serait visiblement l'aboutissement ? Répondre oui serait étrange (comme si l'horreur humaine avait une limite), dire non serait relativiser cette dernière et pourrait presque passer pour antisémite si elle était dite aujourd'hui ! Bref, question sans réponse, raisonnement sans issu, nous somme coincés. Un peu comme avec ce conflit.

A partir de quand les morts de Gaza seront pire que la Shoah ?

Doivent ils seulement l'être pour être considéré comme une horreur ?
Ne peut-on s'émouvoir d'une chose "moins pire" qu'une autre ?

Quelle étrange manière de raisonner.
Mais peut-être a-t-il dit ça sans trop réfléchir.  

retour aux fondamentaux pour le leader de " l'axe de la résistance " : Toomaj Salehi condamné à mort par le tribunal révolutionnaire d’Ispahan 


Merci encore M. Schneidermann pour le partage de vos reflexions. Votre positionnement est rarissime aujourd'hui.

Je n'ai pas du tout entendu parler de ce massacre d'enfants autour du Babyfoot. Pourtant tout les ingrédients sont là pour appeler à l'indignation, l'horreur, comme se plait à le dire ce Gluksmann, est bien là. Et pourtant .... Qui s'en indigne ? Ce silence, ce deux poids deux mesures dans l'indignation est malheureusement devenu l'engrais de ce qui pourrait un jour s'appeler "antisémitisme".

En 2021, deux après son grave accident de St André d'Apchon, le coureur cycliste professionnel Christopher Froome est embauché par l'équipe Israel Start-Up Nation.  

Un contrat de trois ans, assorti de la plus forte rémunération du peloton : 5,5 millions d'euros par saison.


De 2021 à 2024, Froome ne remportera aucune course. Son meilleur résultat sera une troisième place sur une étape du Tour 2022.


Question :  Escroquer des Juifs, est-ce que cela relève de l'antisémitisme ?

https://www.mediapart.fr/journal/international/240424/gaza-nous-avons-face-nous-tous-les-signes-avant-coureurs-d-un-genocide

Pour ceusses qui seraient intéressé.es (sans aucun prosélytisme): L'affaire Varoufakis vs RFA puis plus généraliste: Vu de Chicago pour les plus gourmands.


Qui peut nier que l’antisémitisme perdure et qu’il doit être vigoureusement combattu.

Mais c’est aussi en son nom que se font les inquiétantes dérives autoritaires que nous connaissons aujourd’hui dans  notre pays

L’antisémitisme utilisé comme rayon paralysant (Le journalisme français, un danger public – Serge Halimi –Monde diplo – Février 2024) a permis de préparer les esprits à acceptation au maccarthysme ambiant. et à une réaction très modérée des chefferies de gôche.  Par calcul électoral sans doute mais aussi, par peur de se retrouver sous le feu de la pression médiatique, le nouveau journalisme à la française.

Après la répression d’une violence rare des gilets jaunes sous les applaudissements des médias.

Après l’utilisation de tous les articles que peut contenir la constitution de 58  comme éteignoir démocratique pour faire passer la réforme des retraites avec la caution des médias

Après la loi immigration qui voit le triomphe des idées frontistes avec l’aval des médias

Nous voici à la convocation des opposants politiques : Convocation de syndicalistes, d’une candidate aux Européennes, d’une Présidente de groupe de l’opposition, de l’interdiction de manifestations et de conférences.

C’est quoi la prochaine étape ?

Peut-être parce que je suis âgée, je ne supporte plus les relances perpétuelles faites par  quelques personnes au troll Simon ;  connivences ou inconséquences ces personnes participent à la pollution de ce qui fut un temps la force d'ASI : des échanges qui permettaient de réfléchir et d'enrichir ses informations.. On ne veut pas censurer, et j'en suis d'accord. Mais alors toutes les relances à Simon sont  une complicité assumée avec le rôle destructeur de la qualité des débats de ce troll.

L'ayant vu , à l'époque, ce doc m'avait particulièrement choqué quant à la "vision" du monde des jeunes en Pologne. La scène des "petits vieux" m'étant resté profondément ancrée en mémoire.

De nombreux commentaires sous le tweet de Caisses de grève qui relaie le reportage CNN sont juste glaçants.

Merci pour votre analyse, Daniel. Je ne ferai aucun commentaire sur cette « obsession antisémite », mais n’en pense pas moins…

Oui beaucoup de choses restent du domaine de l'éducation... La haine ou l'ignorance de l'autre y compris.

Ce documentaire était en effet très riche. Il m'a vraiment beaucoup fait cogité. Certaines choses m'ont choqué au tout début du documentaire, notamment quand la grand-mère du réalisateur (juive et israélienne, donc) affirme que les juifs de l'étranger sont des escrocs, des riches qui ne veulent pas travailler. Mais à la fin, bizarrement, on a l'impression que ce point de vue n'est pas totalement dénué de fondement, en tous cas en ce qui concerne les Juifs américains, principalement de l'Anti Defamation League, qui sont montrés dans le documentaire. Disons qu'on comprend un petit peu mieux son point de vue. C'était d'autant plus bizarre pour moi que j'avais a priori une opinion plutôt positive de l'ADL. J'avais bien remarqué qu'ils avaient la fâcheuse, mais malheureusement banale tendance à confondre anti-sionisme et antisémitisme, mais d'un autre côté, ils se battent également contre toutes les formes de racisme, ce qui est tout à leur honneur.
Je ne m'étais pas trop demandé ce qu'ils racontaient depuis le début de la guerre à Gaza, mais hier j'ai entendu par hasard des déclaration de Jonathan Greenblatt, fort décevantes. Pour les curieux, voici une tribune qu'il a écrite au sujet des manifestations en soutien aux Palestiniens qui ont eu lieu sur plusieurs campus américains, en particulier celui de Columbia University. Cela ne dira peut-être pas grand chose à ceux qui ne suivent pas l'actualité étatsunienne de près, mais pour le contexte : ces rassemblements sont majoritairement pacifiques, majoritairement non antisémites, et font en ce moment l'objet de restrictions et d'interdictions, sous fond de licenciement d'au moins une responsable d'université il y a quelques mois suite à son audition devant le Congrès, parce qu'elle refusait de condamner de théoriques slogans anti-juifs, en gros (je schématise vraiment beaucoup pour faire court), se bornant à suivre la loi à la lettre, ce qui est pourtant son rôle. Dans cette tribune, Jonathan Greenblatt se concentre sur les persécutions réelles et supposées vécues par les étudiants juifs, et c'est normal, mais il occulte totalement tout le reste. La question palestinienne, qui est le motif de ces manifestations est totalement évacuée. Selon lui ce n'est qu'un "prétexte" pour persécuter les Juifs… Le mot "Gaza" n'y figure même pas. Son propos c'est que ces manifestations devraient être réprimées, alors même qu'elles le sont déjà, et de manière totalement inédite pour les USA.
Quand j'ai regardé le documentaire de Yoav Shamir, je me suis demandé pourquoi il se concentrait sur ADL, qui est une organisation de lutte contre le racisme et l'antisémitisme, plutôt que sur des lobbies comme AIPAC, qui dictent littéralement leur conduite aux hommes et femmes politiques aux USA. Maintenant que je sais grâce à lui que l'influence d'ADL est non négligeable, je suis encore plus déprimée au vu de la tournure que prennent les choses. Surtout quand on sait que les USA sont de loin le premier fournisseur d'armes d'Israël. Ils ont le pouvoir d'arrêter cette guerre en un coup de fil, et c'est ce que souhaitent majoritairement les citoyens américains, mais l'élite américaine n'envisage pas d'écouter un autre son de cloche que celui d'AIPAC et ADL…

- Seize Millions de Juifs dans le monde


- Seize Millions de Zimbabwéens ....


On peut admettre que l'obsession anti-zimbabwéenne est beaucoup moins prégnante....

Donc, au final, l'antisémitisme existe-il ? Réponses possibles

1) Oui

2) Non

3) Oui, mais c'est la faute des juifs

4) Non, c'est juste dans la tête des juifs pour qu'ils puissent massacrer les palestinien sans état d'âme


La chronique de Daniel Schneidermann réussi l'exploit de donner un peu ces 4 réponses à la fois.

Glucksman "qui ne laissera rien passer". On attend toujours son soutien à Rima Hassan et Mathilde Panot, convoquées au poste pour apologie du terrorisme.

Mais bon de ces Macron compatibles, plus rien n'étonne. Seul les gogos se feront abuser.

Quand au conditionnement des Israéliens, qui considèrent tous ceux qui ne sont pas comme eux, comme des ennemis, c'est effrayant. Une partie de l'explication dans le génocide qu'ils commettent contre les animaux humains ?

La période "dieudonné" , la mobilisation nationale contre l'antisémitisme  ne servait pas à protéger les juifs de france ou d’ailleurs( au contraire) , elle contribuait à  installer le paradigme sans léquels la colonisation génocidaire du peuple palestinien serait rendue impossible du fait de l'injustice criante qui saute aux yeux de celui dont le sens morale n'est pas alteré par la peur de passer pour un antisémite.

le robot pro-pal d'asie.

Légende de la dernière photo. Le portail d'entrée de Majdanek serait le même que celui d'Auschwitz ?

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