Climat : les métabolisés, et les autres
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Pourquoi consigner les emballages plastiques qui de toute façon nécessitent des opérations de transformation pour être recyclé et qui d'autre part ne peuvent être inclus dans une économie circulaire puisque le plastique se détériore à chaque recyclag(...)
Ça donne surtout la mesure que ce n'est pas ces gens là qui nous sortirons de la situation dramatique où l'on se trouve (politique, financier, industriel, bourgeois, média moutonnier…). Plus le temps passe, plus, inexorablement, je me surprends à pen(...)
"Les gens souffrent, les gens meurent, des écosystèmes entiers s’effondrent.Nous sommes au début d'une extinction massive & tout ce dont vous parlez, c’est d’argent & de contes de fées d'une croissance économique éternelle"
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Manifestement l'écoute prolongée d'une certaine radio méridionale est nuisible pour la santé mentale de l'auditeur.
Navire avec le changement climatique Des guerriers pris dans la glace, des guerriers évacués
Erofey SchkvarkinNouvellesPost Vues: 83,991
Le navire MS Tours de l'Arctic Tours, avec 16 passagers à son bord, s'est retrouvé coincé dans les glaces le 3 septembre au large de l'archipel de Longyearbyen, Svalbard, à mi-chemin entre la Norvège et le pôle Nord. Le navire est en tournée dans l'Arctique avec l'équipe du film documentaire sur les changements climatiques et des touristes préoccupés par les changements climatiques et la fonte des glaces de l'Arctique. Les 16 guerriers du changement climatique ont tous été évacués par hélicoptère dans des conditions difficiles, ils sont tous en sécurité. 7 membres d'équipage restent à bord, dans l'attente de l'assistance d'un navire de la Garde côtière.
Quelque chose ne va pas avec la glace arctique, au lieu de fondre comme ordonné par le GIEC / ONU, elle a capturé le navire avec Climate Change Warriors.
Arctic Tours navire MS MALMO, OMI 8667579, 466 tpl, construit en 1943, remis à neuf en 2014, drapeau Suède.
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Les « guerriers du climat » vaincus par la banquise
25 septembre 2019 / Association des climato-réalistesPar Rémy Prud’homme, Professeur des Universités (émérite)
Tous les savants du monde, d’Al Gore à Greta, le savent et le disent : la banquise du pôle nord fond rapidement. En fait, elle a déjà fondu. En 2007, Al Gore, conjointement avec le GIEC, recevait le prix Nobel (de la paix, pas de science, mais passons), et il déclarait à Oslo : « La banquise est en chute libre … Une étude récente nous avertit qu’elle pourrait avoir complètement disparu l’été dans sept ans seulement ». Dans sept ans, en 2014 donc. Les membres du GIEC présents avaient chaleureusement applaudi ce magnifique discours prophétique.
Armés de beaucoup de courage, et surtout d’argent, 17 guerrier/ère/s du climat (c’est ainsi qu’ils se nomment) ont donc, fin août 2019, affrété un bateau de croisière suédois spécialisé, le Malmo, fonctionnant au mazout, et sont partis vers le pôle nord. Ils voulaient voir par eux mêmes la mort de la banquise, et la filmer pour l’éducation des masses encore ignorantes.
Ils ont vu. Arrivé aux iles Svalbard, à 1400 km du pôle, le Malmo a été bloqué, puis encerclé par les glaces, comme dans un roman de Jules Verne. La banquise-qui-n’existe-plus avait gagné. Plus moyen d’avancer, ni de reculer. Les ours blancs, qui-ont-également- disparu, nombreux dans ces parages, et affamés, pouvaient venir manger nos valeureux et savants combattants. Ces derniers ont du être secourus par hélicoptère (toujours au mazout). On ne sait pas si cette retraite stratégique a été filmée par l’équipe de cinéastes embarquée.
Bien entendu, cette histoire hilarante ne prouve rien du tout sur l’évolution du climat à moyen ou long terme. Mais elle renseigne sur l’instrumentalisation de la science de l’environnement.
L’évolution de la banquise arctique, qui est un phénomène complexe, est en fait étudiée et bien connue. L’Institut Météorologique Danois, ou le Centre de données sur la neige et la glace arctique de l’Université du Colorado, par exemple, permettent de suivre les évolutions en temps réel. Si au lieu de crier avec les loups nos militants cherchaient à s’informer, ils sauraient que la banquise du pôle nord, qui s’est beaucoup réduite dans les années 1990, a tendance à se stabiliser depuis une quinzaine d’années : en septembre 2019, elle est certes moins étendue qu’en 1990, mais elle est plus étendue (d’environ un million de km carrés, excusez du peu) qu’en 2012. Et ils auraient fait preuve d’un peu plus de prudence.
La mésaventure du Malmo a été systématiquement cachée par les grands médias (radios, journaux, télévision) français et étranger.
Elle n’aura certainement pas entamée les certitudes de nos hélitreuillés. Comme dit Proust : « Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n’ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir ».
Face à l’alarmisme climatique la science est impuissante
19 septembre 2019 / Association des climato-réalistespar Richard Lindzen, professeur émérite en sciences de l’atmosphère, Massachusetts Institute of Technology.
Cet article paraît aujourd’hui-même en espagnol dans le journal Expansion. ( Traduit en français par Benoît Rittaud )
En tant que scientifique qui a travaillé sur les problèmes des sciences de l’atmosphère, climat compris, pendant plus de 50 ans, je doute que la science soit en mesure de contribuer au discours actuel sur un changement climatique catastrophique qui serait provoqué par l’homme. Ce que je veux dire, c’est qu’il s’agit d’un problème politique et que, de ce fait, il est entre les mains du public, et plus particulièrement de la classe dirigeante. Pour l’essentiel, ces groupes ignorent tout des sciences du climat, et même de la science tout court. Confrontés à des informations contradictoires, ils peuvent choisir ce qu’ils veulent croire — ou se servir de la fausse affirmation selon laquelle « 97% des scientifiques sont d’accord » comme d’une béquille.
Un exemple simple illustre le problème. L’année 1998 a été un maximum dans la moyenne mondiale de température, par rapport à une moyenne de trente ans dans les stations météos. Mais depuis deux décennies, il n’y a plus de tendance significative, et les quelques changements survenus sont généralement beaucoup moins importants que ceux prévus par les modèles. Il y a de petites fluctuations, bien sûr, notamment une pointe de température associée au phénomène El Niño en 2014-2016, qui a été suivie d’une chute. De nombreux scientifiques des deux bords ont appelé « pause » cette absence de tendance. De leur côté, les promoteurs de l’alarmisme en ont profité pour affirmer que beaucoup des « années les plus chaudes enregistrées » dataient de cette période.
Peu de gens ont été capable de saisir qu’une telle observation ne contredit nullement l’existence d’une « pause ». Il est clair en effet que même si l’anomalie de température (c’est-à-dire l’éart par rapport à la moyenne sur 30 ans) était restée absolument la même après 1998, toutes les années suivantes auraient été les années les plus chaudes jamais enregistrées !
La vérité, c’est qu’un citoyen perspicace n’a pas besoin des détails de la science pour s’apercevoir que quelque chose ne va pas du tout dans cette histoire. Un tel citoyen peut ainsi observer que toutes les prescriptions censées permettre de lutter contre le réchauffement climatique sont bien antérieures à leur lien avec celui-ci. Des politiques très similaires impliquant le contrôle du secteur de l’énergie et l’élimination du charbon ont été proposées il y a longtemps, à une époque où on les justifiait par les inquiétudes sur les pluies acides et les craintes d’un… refroidissement global.
Ce citoyen peut aussi se demander pourquoi ces prescriptions politiques insistent invariablement sur la nécessité de se focaliser sur un et un seul des nombreux éléments qui concernent cette problématique du réchauffement (à savoir les niveaux de CO2). Pourquoi les alarmistes n’accordent-ils pas la même attention à la question de l’adaptation ? D’une manière générale, une telle approche serait pourtant à la fois moins chère et plus flexible, en plus d’impliquer un mode d’action dans lequel les êtres humains sont particulièrement doués — la preuve en est que nous sommes capables de vivre dans des régions qui vont de l’Arctique à l’équateur.
Si ce citoyen sait compter, il peut aussi se rendre compte qu’aucune des politiques proposées n’aura d’impact significatif sur le climat, indépendamment de ce que l’on pense de la physique sous-jacente. En réalité, il s’agit de nous demander des sacrifices qui n’auront en tout état de cause qu’un effet purement symbolique. Ce sera un simple affichage de vertu.
Si notre citoyen était, en outre, familier avec la nature de la science, il pourrait savoir que la quasi-totalité des preuves soi-disant définitives justifiant la panique ne sont pas réellement des preuves scientifiques. En réalité, une preuve (evidence) scientifique ne vaut que si elle permet des prévisions non ambiguës, et non pas simplement si elle nous est néfaste ou choquante. Certaines des soi-disant preuves sont à l’opposé de ce que la physique prévoit. Notre citoyen pourrait également savoir que la « certitude » n’est pas la marque de la science. Bien au contraire, celle-ci insiste sur la nécessité du scepticisme dans la recherche. C’est particulièrement vrai pour les sujets complexes et très jeunes tels que le climat, alors même que ceux qui se font les promoteurs du « problème climatique » affirment qu’ils savent avec certitude la cause du changement climatique, un simple bouton de contrôle qui serait le CO2. Un gaz qui se trouve par ailleurs être essentiel à la vie.
Tous ces éléments convergent pour affirmer le caractère politique de la question. Les détails peuvent certes différer d’un endroit à un autre. Ainsi, aux États-Unis le climat est en grande partie une question partisane : la gauche soutient « la lutte contre le changement climatique » parce qu’elle croit en un renforcement du pouvoir de l’État, alors que la droite a tendance à être sceptique parce qu’elle croit en la liberté individuelle. En Europe, le problème semble plutôt lié à l’opposition entre concentration de pouvoir et souveraineté. Dans ces deux régions toutefois, l’alarmisme climatique a en commun d’être devenu un élément central du politiquement correct. La crainte de s’en démarquer semble être particulièrement forte parmi les « élites éduquées ».
La prétendue « crise climatique » n’est nullement une question scientifique, malgré toutes les tentatives d’invoquer la soi-disant « autorité » de la science. S’inquiéter des implications que l’on impute à des fluctuations si petites qu’elles en sont virtuellement impossibles à mesurer, ainsi qu’à de douteuses observations de fluctuations de la température moyenne à la surface du globe, est une pure bêtise. Argumenter dessus, c’est lui faire trop d’honneur.
Il n’en est pas moins intéressant de savoir ce que la science nous dit. Rien dans les données aujourd’hui disponibles n’indique que quelque chose d’inédit est en train de se produire. Même le groupe de travail 1 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climate (GIEC) onusien — la seule partie du GIEC à s’occuper de science — reconnaît que les phénomènes tels que les sécheresses, les inondations, les ouragans, et ainsi de suite, ne montrent aucune tendance perceptible. Certes, en raison du fait que les observations disponibles sont relativement récentes, il y en aura toujours pour aller un peu vers le haut ou vers le bas, mais rien de tout cela n’est inhabituel, ni ne peut être lié de façon claire à une augmentation du CO2.
La seule raison à l’inquiétude tient simplement à ce que les modèles (qui le plus souvent se trompent) suggèrent qu’il est « envisageable » qu’il y ait un problème. Il s’agit là d’une base extrêmement faible pour transformer toute la société, détruire le secteur de l’énergie, augmenter le prix de l’électricité tout en en réduisant la disponibilité, empêcher le développement des régions les plus pauvres du monde, gaspiller des milliards de dollars et favoriser la peur, voire l’hystérie.
Depuis que j'ai lu un article dans le magazine "challenge" (récupéré gratuitement hein) à propos du luxe français qui fait face à de grosses baisses de vente à Hong-Kong à cause des manifestation pro-démocratique plus rien ne m'étonne.
Le recyclage marche en politique pourquoi ne marcherait il pas pour les emballages
pour moi métaboliser c'est prendre conscience de l'urgence et commencer une transition vers un mode de vie contraignant et militant (grosse modo greta avec son bateau, en un peu moins extreme). juste dire j'ai compris le problème, sermonner tout le monde et ne rien changer c'est de l'hypocrisie.
Je ne pense pas métaboliser cette année mais j'y pense sérieusement.
Concernant la petite jeune fille Greta, je me demande si les dirigeants font justes semblant de noyer le poisson ou si c'est l'hubris.
En tout cas pour rappel, il y a 10 ans mon fils après avoir regardé un reportage sur des évènements relatifs au bouleversement climatique, nous dit en s'asseyant à table:
"Vous les parents, là, un jour vous allez payer"...
Je ne sais pas si les Dirigeants ont bien compris la menace (de) Greta...
Al Quaida et consorts risquent de passer de joyeux amateurs dans le futur.
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
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Des scientifiques de 13 pays écrivent au secrétaire général de l’Onu pour dénoncer l’alarmisme climatique
Un courrier signé par 500 scientifiques et professionnels, dont 40 pour la France, vient d’être adressé à António Guterres, secrétaire général des Nations unies, ainsi qu’à Patricia Espinosa Cantellano, secrétaire exécutive de la Convention-cadres des Nations unies sur les changements climatiques.
Lancée par Guus Berkhout, géophysicien professeur émérite à l’université de La Haye (Pays-Bas), cette initiative est le fruit d’une collaboration de scientifiques et associations de treize pays. Publiée au moment où l’agenda international place une nouvelle fois le climat en tête des préoccupations, cette « Déclaration Européenne sur le Climat » est destinée à faire savoir qu’il n’y ni urgence ni crise climatique. Elle appelle donc à ce que les politiques climatiques soient entièrement repensées, et reconnaissent en particulier que le réchauffement observé est moindre que prévu, et que le gaz carbonique, loin d’être un polluant.
Professeur Guus Berkhout
Catsheuvel 93, 2517 KA La Haye
guus.berkhout@clintel.org
Le 23 septembre 2019.
S. António Guterres, Secrétaire général des Nations Unies,
Siège des Nations Unies,
New York, NY 10017, États-Unis d’Amérique.
Patricia Espinosa Cantellano, Secrétaire exécutive,
Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques,
Secrétariat de la CCNUCC, Campus des Nations Unies, Platz der Vereinten Nationen 1, 53113 Bonn, Allemagne.
Vos Excellences,
Il n’y a pas d’urgence climatique.
Un réseau mondial de plus de 500 scientifiques et professionnels expérimentés du climat et des domaines connexes a l’honneur d’adresser à Vos Excellences la Déclaration européenne sur le climat, jointe en annexe, dont les signataires de la présente lettre sont les ambassadeurs nationaux.
Les modèles de circulation générale du climat sur lesquels la politique internationale est actuellement fondée sont inadaptés. Il est donc cruel aussi bien qu’imprudent de préconiser le gaspillage de milliers de milliards de dollars sur la base des résultats de modèles aussi imparfaits. Les politiques climatiques actuelles affaiblissent inutilement le système économique, mettant des vies en danger dans les pays à qui est refusé l’accès à une énergie électrique permanente et bon marché.
Nous vous exhortons à suivre une politique climatique fondée sur une science solide, sur le réalisme économique et sur une attention réelle vis-à-vis de ceux qui sont frappés par des politiques d’atténuation coûteuses et inutiles.
Nous vous demandons d’inscrire cette Déclaration à l’ordre du jour de votre prochaine session à New York.
Nous vous invitons également à organiser avec nous début 2020 une réunion de haut niveau, constructive, entre des scientifiques de réputation mondiale des deux côtés du débat sur le climat. Cette réunion rendra effective l’application du juste et ancien principe, aussi bien de bonne science que de justice naturelle, selon lequel les deux parties doivent pouvoir être pleinement et équitablement entendues. Audiatur et altera pars !
Bien respectueusement,
Déclaration européenne sur le climat :
Il n’y a pas d’urgence climatique
Ce message urgent a été préparé par un réseau mondial de 500 scientifiques et professionnels. Les sciences du climat se doivent d’être moins politisées, tandis que la politique climatique se doit d’être davantage scientifique. Les scientifiques doivent aborder de façon ouverte les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions d’un réchauffement planétaire, et les dirigeants politiques doivent évaluer de façon dépassionnée les bénéfices réels et les coûts envisagés à l’adaptation au réchauffement climatique, ainsi que les coûts réels et les bénéfices envisagés de l’atténuation.
Des facteurs naturels aussi bien qu’anthropiques provoquent un réchauffement
Les archives géologiques révèlent que le climat terrestre varie depuis que la planète existe, avec des phases naturelles froides et chaudes. Le Petit Âge glaciaire n’a pris fin que tout récemment, vers 1850. Il n’est donc pas étonnant que nous vivions aujourd’hui une période de réchauffement.
Le réchauffement est beaucoup plus lent que prévu
Le monde s’est réchauffé à un rythme inférieur à la moitié de ce qui était initialement prévu, et inférieur à la moitié de ce à quoi on pouvait s’attendre en se fondant sur le forçage anthropique net et le déséquilibre radiatif. Cela nous indique que nous sommes bien loin de comprendre le changement climatique.
La politique climatique s’appuie sur des modèles inadéquats
Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes, et ne sont guère exploitables en tant qu’outils décisionnels. De plus, ils exagèrent probablement les effets des gaz à effet de serre tels que le CO2. Enfin, ils ignorent le fait qu’enrichir l’atmosphère en CO2 est bénéfique.
Le CO2 est l’aliment des plantes, le fondement de toute vie sur Terre
Le CO2 n’est pas un polluant. Il est essentiel à toute la vie sur Terre. La photosynthèse est un bienfait. Davantage de CO2 est une bonne chose pour la nature, cela fait verdir la Terre : le CO2 supplémentaire dans l’air a favorisé un accroissement de la biomasse végétale mondiale. Il est par ailleurs bon pour l’agriculture, accroissant les rendements des récoltes dans le monde entier.
Le réchauffement climatique n’a pas provoqué davantage de catastrophes naturelles
Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses ou autres catastrophes naturelles analogues, ni qu’il les rendrait plus fréquentes. En revanche, les mesures d’atténuation du CO2 sont, elles, aussi dévastatrices que coûteuses. Ainsi, les éoliennes tuent les oiseaux et les chauves-souris, et les plantations d’huile de palme détruisent la biodiversité des forêts tropicales.
L’action politique doit respecter les réalités scientifiques et économiques
Il n’y a pas d’urgence climatique. Il n’y a donc aucune raison de s’affoler et de s’alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique néfaste et irréaliste de neutralité carbone proposée pour 2050. En attendant que de meilleures approches voient le jour, ce qui se produira certainement, nous avons amplement le temps de réfléchir et de nous adapter. L’objectif de la politique internationale doit être de fournir une énergie fiable et bon marché, de façon permanente, et dans le monde entier.
Les ambassadeurs de la Déclaration européenne sur le climat :
Guus Berkhout, professeur (Pays-Bas)
Richard Lindzen, professeur (États-Unis)
Reynald Du Berger, professeur (Canada (francophone))
Ingemar Nordin, professeur (Suède)
Terry Dunleavy (Nouvelle-Zélande)
Jim O’Brien (République d’Irlande)
Viv Forbes (Australie)
Alberto Prestininzi, professeur (Italie)
Jeffrey Foss, professeur (Canada anglophone)
Benoît Rittaud, maître de conférences (France)
Morten Jødal (Norvège)
Fritz Varenholt, professeur (Allemagne)
Rob Lemeire (Belgique)
Viconte Monkton of Brenchley (Royaume-Uni)
500 scientifiques, mais combiens de climatologues? J'ai juste pris le Français, mathématicien. Globalement on pourrais mettre "500 citoyens" ce serais pareil, et ça pèse pas lourds à côté de l'affaire du sciècle.
Revenons donc à ce qui compte, les arguments. Et quand on suis ne serai-ce qu'un tout petit peu le sujet, ils sont risibles, en particulier de mauvaise fois.
Pour commencer :
https://www.youtube.com/watch?v=WZb-y_N4ZwY
https://www.youtube.com/watch?v=GMoqkWjSGvw
https://www.youtube.com/watch?v=n-NJ-B_IIFw
https://www.youtube.com/watch?v=XGq4WRTLfvc
https://www.youtube.com/watch?v=mqAaokrY1NU&t=570s
Les scientifiques sont des citoyens ! Il faut maintenant arrêter les éloges sur Léonard de Vinci ,il s'occupait de toutes les sciences , un vrai "cave " en somme le Léonard !!
La comparaison avec Leonard de Vinci n'a aucun sens. Il n'était pas expert sur tout. Il vivait à une époque où les sciences étaient nettement moins avancé. Il a vécu deux siécles avant Galilée qui est considéré comme le père fondateur de la science moderne.
Aujourd'hui dans tous les domaines il y a des dizaines de milliers de publications. Etre expert en tout, relève de l'imposture.
Bien-sûr que si Léonard était expert en tout à son époque ! Actuellement nous ne sommes pas au bout de la connaissance, pas plus que lui au moyen âge . Dans 500 ans nos connaissances paraîtront très faibles .
Un nombre important de publications ne garantit absolument pas la vérité scientifique (s'il y en a une ) et dire qu'un scientifique dans n'importe quel domaine ne peut pas raisonner dans un autre n'a pas de sens !
Un nombre important de publications ne garantit absolument pas la vérité scientifique (s'il y en a une )
Le terme vérité scientifique n'a aucun sens. La science ne propose que des modèles explicatifs du monde (tectonique des plaques, relativité générale). Les modèles sont forcément approximatifs et peuvent être à tout moment remplacé par des d'autres modèles
La quantité de publications permet de voir la robustesse des modèles ou théories.
dire qu'un scientifique dans n'importe quel domaine ne peut pas raisonner dans un autre n'a pas de sens !
La parole d'un scientifique sur un autre domaine que le sien n'a absolument aucune valeur s'il n'appuie pas ces paroles sur la littérature scientifique. De plus, s'il n'est pas expert dans le domaine et qu'il va à l'encontre du consensus scientifique. Il doit produire des résultats pour avoir âtre crédible.* pouvoir être crédible
Donc expliquer le monde comme par exemple que la terre tourne face au soleil n'est pas une vérité scientifique ?
Dire que les continents s'éloignent ou se rapprochent les uns des autres n'est pas une vérité scientifique ?
Alors d'accord !
Heureusement que les scientifiques ne sont pas restés que dans leur domaine quand aucune littérature n'existait dans un autre . C'est avec de l'audace que l'on avance,pas avec des règles de conservateurs !
En science les théories ou les modèles ne sont jamais définitifs. Si demain on trouve un fossile de chat dans le cambrien la théorie de l'évolution vole en éclat.
L'audace en science: C'est de suivre la démarche scientifique. On émet un modèle, une hypothèse, une théorie et ensuite d'essayer de la tuer par tous les moyens.Donner son avis sur tout sans avoir publié, c'est pas de l'audace c'est de la bêtise.
On fait ce qu'a fait Wegener (astronome et climatologue) avec la dérive des continents. On ne fait pas une lettre ouverte parce qu'on a une opinion. On publie.
Je dis justement qu'il n'est pas utile de dire que se sont des scientifiques, vu que leurs compétances sont éloignées du sujet, à part si on veux un argument d'autorité falacieux.
Je dit enssuite qu'on juge sur les arguments, autrement dit sur pièce, et c'est en faisant ça qu'on a reconnu, à posteriori, le génie des travaux de De Vinci.
Comme le montre le débunkage de conférences climatoceptiques, leur arguments, que l'on devine dans votre article, ne sont que des ressucés de vieux en plus flou. Ces derniers ont été démontré comme nul dans le contradictoire scientifique depuis des années, mais ils continu à ressortir les mêmes.
Un scientifique faisant ça dans sont domaine, pour ce pour quoi il est payé, perderait vraissemblablement son boulot, vu que justement il ne le ferait pas, son boulot.
"professeur", mais de quoi ?
Moi je suis prof des écoles, mon beau-frère est prof de piano… ça nous donne pas une grande légitimé.
Il y a les noms !
J’ai rapidement regardé qui étaient les quatre premiers, franchement ce n’est pas très convaincant.
Vous les avez tous tracés ou vous les connaissez par ailleurs pour leur accorder votre crédit ?
Professeur des écoles c'est bien !
Si vous trouvez que les quatre premiers sont peu convaincants alors vive Greta !
Ils ne sont pas climatologues et ils n'ont pas ou peu de publications dans le domaine.
G Berkhout
https://scholar.google.fr/scholar?as_ylo=2019&q=G+Berkhout+&hl=es&as_sdt=0,5
Je trouve aucunes publications
R Berger
https://scholar.google.fr/scholar?hl=es&as_sdt=0%2C5&as_ylo=2019&q=R+Berger+climate&btnG=
0 publications
Ingemar Nordin
http://liu.diva-portal.org/smash/resultList.jsf?=&aq=%5B%5B%7B%22authorId%22%3A%22ingno63%22%7D%5D%5D&aq2=%5B%5B%5D%5D&sf=all&aqe=%5B%5D&searchType=RESEARCH&query=&sortOrder=dateIssued_sort_desc&onlyFullText=false&noOfRows=50&language=en&dswid=-1938
0 publications
R Lindzen
https://scholar.google.fr/scholar?q=R+Lindzen+climate+change&hl=es&as_sdt=0&as_vis=1&oi=scholart
Le seul qui a quelques publis sur le sujet. Et il n'est pas ostrasicé par la communauté des climatologues vus qu'il a des articles a 80 ou 100 citations. Donc ces résultats ont été discutés et n'ont pas convaincu la majorité des climatologues..
Non ils ne sont absolument pas convaincant Un seul a travaillé un peu sur les sciences du climat.
Face à l’alarmisme climatique la science est impuissante
19 septembre 2019 / Association des climato-réalistespar Richard Lindzen, professeur émérite en sciences de l’atmosphère, Massachusetts Institute of Technology.
Cet article paraît aujourd’hui-même en espagnol dans le journal Expansion. ( Traduit en français par Benoît Rittaud )
En tant que scientifique qui a travaillé sur les problèmes des sciences de l’atmosphère, climat compris, pendant plus de 50 ans, je doute que la science soit en mesure de contribuer au discours actuel sur un changement climatique catastrophique qui serait provoqué par l’homme. Ce que je veux dire, c’est qu’il s’agit d’un problème politique et que, de ce fait, il est entre les mains du public, et plus particulièrement de la classe dirigeante. Pour l’essentiel, ces groupes ignorent tout des sciences du climat, et même de la science tout court. Confrontés à des informations contradictoires, ils peuvent choisir ce qu’ils veulent croire — ou se servir de la fausse affirmation selon laquelle « 97% des scientifiques sont d’accord » comme d’une béquille.
Un exemple simple illustre le problème. L’année 1998 a été un maximum dans la moyenne mondiale de température, par rapport à une moyenne de trente ans dans les stations météos. Mais depuis deux décennies, il n’y a plus de tendance significative, et les quelques changements survenus sont généralement beaucoup moins importants que ceux prévus par les modèles. Il y a de petites fluctuations, bien sûr, notamment une pointe de température associée au phénomène El Niño en 2014-2016, qui a été suivie d’une chute. De nombreux scientifiques des deux bords ont appelé « pause » cette absence de tendance. De leur côté, les promoteurs de l’alarmisme en ont profité pour affirmer que beaucoup des « années les plus chaudes enregistrées » dataient de cette période.
Peu de gens ont été capable de saisir qu’une telle observation ne contredit nullement l’existence d’une « pause ». Il est clair en effet que même si l’anomalie de température (c’est-à-dire l’éart par rapport à la moyenne sur 30 ans) était restée absolument la même après 1998, toutes les années suivantes auraient été les années les plus chaudes jamais enregistrées !
La vérité, c’est qu’un citoyen perspicace n’a pas besoin des détails de la science pour s’apercevoir que quelque chose ne va pas du tout dans cette histoire. Un tel citoyen peut ainsi observer que toutes les prescriptions censées permettre de lutter contre le réchauffement climatique sont bien antérieures à leur lien avec celui-ci. Des politiques très similaires impliquant le contrôle du secteur de l’énergie et l’élimination du charbon ont été proposées il y a longtemps, à une époque où on les justifiait par les inquiétudes sur les pluies acides et les craintes d’un… refroidissement global.
Ce citoyen peut aussi se demander pourquoi ces prescriptions politiques insistent invariablement sur la nécessité de se focaliser sur un et un seul des nombreux éléments qui concernent cette problématique du réchauffement (à savoir les niveaux de CO2). Pourquoi les alarmistes n’accordent-ils pas la même attention à la question de l’adaptation ? D’une manière générale, une telle approche serait pourtant à la fois moins chère et plus flexible, en plus d’impliquer un mode d’action dans lequel les êtres humains sont particulièrement doués — la preuve en est que nous sommes capables de vivre dans des régions qui vont de l’Arctique à l’équateur.
Si ce citoyen sait compter, il peut aussi se rendre compte qu’aucune des politiques proposées n’aura d’impact significatif sur le climat, indépendamment de ce que l’on pense de la physique sous-jacente. En réalité, il s’agit de nous demander des sacrifices qui n’auront en tout état de cause qu’un effet purement symbolique. Ce sera un simple affichage de vertu.
Si notre citoyen était, en outre, familier avec la nature de la science, il pourrait savoir que la quasi-totalité des preuves soi-disant définitives justifiant la panique ne sont pas réellement des preuves scientifiques. En réalité, une preuve (evidence) scientifique ne vaut que si elle permet des prévisions non ambiguës, et non pas simplement si elle nous est néfaste ou choquante. Certaines des soi-disant preuves sont à l’opposé de ce que la physique prévoit. Notre citoyen pourrait également savoir que la « certitude » n’est pas la marque de la science. Bien au contraire, celle-ci insiste sur la nécessité du scepticisme dans la recherche. C’est particulièrement vrai pour les sujets complexes et très jeunes tels que le climat, alors même que ceux qui se font les promoteurs du « problème climatique » affirment qu’ils savent avec certitude la cause du changement climatique, un simple bouton de contrôle qui serait le CO2. Un gaz qui se trouve par ailleurs être essentiel à la vie.
Tous ces éléments convergent pour affirmer le caractère politique de la question. Les détails peuvent certes différer d’un endroit à un autre. Ainsi, aux États-Unis le climat est en grande partie une question partisane : la gauche soutient « la lutte contre le changement climatique » parce qu’elle croit en un renforcement du pouvoir de l’État, alors que la droite a tendance à être sceptique parce qu’elle croit en la liberté individuelle. En Europe, le problème semble plutôt lié à l’opposition entre concentration de pouvoir et souveraineté. Dans ces deux régions toutefois, l’alarmisme climatique a en commun d’être devenu un élément central du politiquement correct. La crainte de s’en démarquer semble être particulièrement forte parmi les « élites éduquées ».
La prétendue « crise climatique » n’est nullement une question scientifique, malgré toutes les tentatives d’invoquer la soi-disant « autorité » de la science. S’inquiéter des implications que l’on impute à des fluctuations si petites qu’elles en sont virtuellement impossibles à mesurer, ainsi qu’à de douteuses observations de fluctuations de la température moyenne à la surface du globe, est une pure bêtise. Argumenter dessus, c’est lui faire trop d’honneur.
Il n’en est pas moins intéressant de savoir ce que la science nous dit. Rien dans les données aujourd’hui disponibles n’indique que quelque chose d’inédit est en train de se produire. Même le groupe de travail 1 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climate (GIEC) onusien — la seule partie du GIEC à s’occuper de science — reconnaît que les phénomènes tels que les sécheresses, les inondations, les ouragans, et ainsi de suite, ne montrent aucune tendance perceptible. Certes, en raison du fait que les observations disponibles sont relativement récentes, il y en aura toujours pour aller un peu vers le haut ou vers le bas, mais rien de tout cela n’est inhabituel, ni ne peut être lié de façon claire à une augmentation du CO2.
La seule raison à l’inquiétude tient simplement à ce que les modèles (qui le plus souvent se trompent) suggèrent qu’il est « envisageable » qu’il y ait un problème. Il s’agit là d’une base extrêmement faible pour transformer toute la société, détruire le secteur de l’énergie, augmenter le prix de l’électricité tout en en réduisant la disponibilité, empêcher le développement des régions les plus pauvres du monde, gaspiller des milliards de dollars et favoriser la peur, voire l’hystérie.
L’année 1998 a été un maximum dans la moyenne mondiale de température, par rapport à une moyenne de trente ans dans les stations météos. Mais depuis deux décennies, il n’y a plus de tendance significative, et les quelques changements survenus sont généralement beaucoup moins importants que ceux prévus par les modèles.
Dommage que le scientifique ne precise pas ses sources concernant la moyenne mondiale de temperature, parce que d'apres la NASA, le record de 1998 a ete largement depasse et la tendance a la hausse depuis deux decennies est impressionnante...
On voit bien la petite pause entre 2003 et 2012, mais elle est suivie par un impressionnant redemarrage a la hausse !
La "petite fluctuation El Nino", c'etait de l'humour ou un enfantillage?
Nous allons rôtir alors?
Ce truc me rappelle le Bug de l'An 2000.
La catastrosphe n'a pas eu lieu et ainsi beaucoup ont pu dire que le battage (millénariste) autour du bug était de la connerie.
Sauf que (pour avoir été au première loge du tra
Zut ! Fausse manœuvre.
Je disais.
...(pour avoir été aux premières loges du traitement du problème informatique*) je peux dire que c'est justement parce la communauté informatique a pris le problème à bras le corps que finalement tout c'est bien passé. Et non pas parce que le risque n'existait pas.
Pour ceux qui ne le savent pas, il y a quand même des sociétés qui ne sont s'en pas remises et quelques problèmes de communication anticipées ont été réglé par la suite.
C'est types vivent dans un monde climatisé et aseptisé sans aucun contact avec la nature. Je ne parle pas de balade dans un parc forestier ou de vacances aux Seychelles.
Donc la meilleure position est le les ignorer et de faire ce qu'on a faire.
* Pour rappel pour le plus jeunes ou ceux qui ne savent pas.
Pour des raisons technologiques, les dates "24-09-2019" par exemple, étaient traitées sur deux chiffres "19" au début de l'informatique. Et on a continué même quand on a pu faire autrement. Jusqu'à ce qu'on se rende compte que le premier janvier 2000 le compteur revenait à "00".Au mieux elle plante (mais quid des systèmes gérant la sécurité) au pire elle transmet des instructions erronées dont on ne peut connaitre et prévoir les effets. Sans parler des systèmes facturations ( le nerf de la guerre, hein, le business!)
Bref, effondrement potentiel en tout cas gros bordel assuré.
Réponse concernant l'article :
la simple signature de Christopher Walter Monckton, 3rd Viscount Monckton of Brenchley est suffisante pour jeter ce papier aux oubliettes. Si tous les signataires sont de son acabit, autant dire que l'urgence climatique est encore pire que ce qu'on pouvait imaginer.
Quelqu'un qui passe son temps à réclamer un siège héréditaire auquel il n'a pas droit à la House of Lords est bien dans son rôle de dénier les changements climatiques.
En science ce qui compte c'est les publications scientifiques. Ce que déclarent les scientifiques sur le climat, on s'en tamponne s'ils n'ont pas publié sur le climat.
J'ai juste tapé les noms des ambassadeurs (donc des pointures normalement) sur google scholar. Et surprise, ils n'ont pas ou peu de publications scientifiques sur le sujet. Richard Lindzen publie un peu plus.
La première phrase de la lettre est donc un mensonge
Un réseau mondial de plus de 500 scientifiques et professionnels expérimentés du climat et des domaines connexes
Alors comme on est pas à Hollywood et que les scientifiques ne connaissent pas tout sur tous les sujets.
Il semble plus raisonnable de faire confiance aux gens qui sont clilmatologues qui font des observations, des expériences, des modèles et qui publient leurs résultats. D'après eux, il y a un réchauffement climatique très rapide et anthropiques (principalement).De plus, j'ai beaucoup de mal à comprendre votre besoin d'aller contre le consensus scientifique sur le sujet. Même si tous les climatologues étaient des incompétents et qu'ils se plantaient totalement. En quoi, une politique qui voudrait s'affranchir des énergies fossiles (qui polluent quand même pas mal l'air des villes et les océans avec le plastique) serait grave.
Un texte très affirmatif qui ne cite pas en référence des études scientifiques, des ambassadeurs "professeurs" mais sans que leur discipline ne soit précisée. Voilà, voilà... en quoi est-ce plus consistant que les discours de Greta Thunberg ?
Les signataires français de la déclaration climato-réaliste à l’ONU
26 septembre 2019 / Association des climato-réalistesL’idée de Clintel, l’initiateur de la Déclaration publiée avant-hier était d’attendre quelques semaines avant de divulguer la liste des signataires, notamment parce que celle-ci continue à grossir. La pression est toutefois forte pour que cette liste soit rendue publique, notamment aux États-Unis. En France, après que Valeurs Actuelles aie relayé l’information sur l’existence de la Déclaration, le HuffPost a eu accès à une liste de signataires et vient de publier son propre article, qui mentionne quelques noms.
Voici la liste complète de ceux qui ont signé pour la France.
- Benoît Rittaud, Associate professor of Mathematics at University of Paris-Nord, President of the French Association des climato-réalistes. ECD Ambassador
- Jean-Charles Abbé, former research director at CNRS, labs director (Strasbourg, Nantes) in Radiochemistry, expert at NATO and IAEA.
- Charles Aubourg, full professor at the University of Pau, geophysicist.
- Jean-Pierre Bardinet, Ingénieur ENSEM, publicist on climate issues
- Bernard Beauzamy, university professor (ret.), chairman and CEO, Société de Calcul Mathématique SA (Paris).
- Jean-Claude Bernier, emeritus professor (university of Strasbourg), former director of the Institute of Chemistry of the CNRS.
- Pierre Beslu, former searcher and head of department in the french Nuclear Energy Commission (CEA).
- Christian Buson, PhD in agronomy, director of research in a company (impact studies in environmental issues, sewage treatment).
- Sylvie Brunel, full professor at Sorbonne University, geographer and economist, former president of the humanitarian organization Action against Hunger (Action contre la faim).
- Jean-Louis Butré, professional engineer, head of laboratory at Grenoble Nuclear Research Center, Chief executive officer or the Pharmacie Centrale de France, President of Axens, President of the Fédération Environnement Durable and the European Platform Against Windfarms, Knight of the National Order of Merit.
- Patrick de Casanove, Doctor of Medicine, Chairman of the Cercle Frédéric Bastiat.
- Philippe Colomban, CNRS Research Professor, Former Head of Laboratory at Université Piere-et-Marie Curie, Expert in Hydrogen-based Energy Storage
- Vincent Courtillot, geophysicist, member of the French Academy of Sciences, former director of the Institute de Physique du Globe de Paris
- Pierre Darriulat, Professor of Physics, Member of the French Academy of Sciences.
- Gérard Douet, PhD in Nuclear Physics, Retired Engineer at CERN, Technical Manager on Digital Transmission and Video Encoding
- Bruno Durieux, economist, former Minister of Health and of Foreign Trade, ancient administrator of the French National Institute of Statistics and Economic Studies (INSEE).
- Max Falque, International Consultant in Environmental Policy
- Patrick Fischer, Associate Professor in Applied Mathematics, University of Bordeaux
- François Gauchenot, governance specialist, founder of Saint George Institute.
- Christian Gérondeau, former advisor of several French Prime Ministers. Former responsible for the road traffic safety policy for France and the European Union.
- Francois Gervais, Emeritus Professor of Physics and Material Sciences, University of Tours.
- Bernard Grandchamp, Agronomic Engineer and Environment & Plant Defense Expert, Managing Director of Famoux Chateaux Viticoles in Bordeaux
- Gilles Granereau, Former meteorologist, currently project manager environment and tourism in a public institution. Worked on coastal risks, marine erosion, sand dune fixation, hydraulics, forest management, botany.
- Maximilian Hasler, Associate Professor in Mathematics, University of French West Indies
- Philippe de Larminat, Professor at École Centrale de Nantes, specialist of business process modeling.
- René Laversanne, Former researcher at the CNRS, 16 patents.
- Christian Marchal, astronomer and mathematician, former research director at the French National Office for Aerospace Studies and Research, former professor at the Observatory of Paris (1980-93), former assistant professor at Polytechnic School (1981-92).
- Patrick Mellett, architect and CEO.
- Marc le Menn, Head of Metrology-Chemistry Oceanography Lab, Brest.
- Cédric Moro, geographer on natural hazards management, co-founder of Visov, an NGO in Civil defense.
- Rémy Prud’homme, Emeritus Professor in Economics at University of Paris-Est, Former Deputy Director Environment, Directorate of OECD
- Isabelle Rivals, Associate professor in Statistics at ESPCI Paris
- Jean Rouquerol, Emeritus Research Director at CNRS Marseille, Expert in Gas Adsorption and Calorimetry
- François Simonet, Former Director for planning and foresight in a State Agency for water and aquatic ecosystems management.
- Marcel Terrier, Engineer ENSAEM in risk management, teacher at École des Mines.
- Étienne Vernaz, former Director of Research of CEA (Commissariat à l’Énergie Atomique) in France, Professor at INSTN (Institut National des Sciences et Techniques Nucléaires).
- Camille Veyres, Retired Engineer at École des Mines, Specialist in Telecommunications and Broadband Networks
- Brigitte Van Vliet-Lanoë, geoscientist, Emeritus Research Director (CNRS, Université de Bretagne Occidentale), stratigraphy and paleoenvironments, Quaternary and Holocene.
- Théa Vogt, retired CNRS searcher, géomorphology, Quaternary palaeoenvironments, soil and desertification remote sensing
- Henri Voron, Retired Civil Chief Engineer, Specialized in Water Management
Quelques précisions complémentaires : la liste est encore ouverte. Ceux qui veulent la signer peuvent nous envoyer un courrier ( contact@climato-realistes.fr ) avec leur nom et une ligne de CV (en anglais, donc, sur le modèle de la liste précédente). Chaque pays a défini ses propres critères pour intégrer des signataires, les voici pour la liste française :
D’une part être Français, résider en France ou avoir travaillé en France pendant une durée significative.
D’autre part satisfaire au moins une des conditions suivantes :
• être titulaire d’un doctorat dans un domaine scientifique (entendu en un sens large, c’est-à-dire qui inclut la médecine, les techniques, la technologie…).
• être titulaire d’un diplôme niveau master 2 dans un domaine scientifique (sens large) et disposer d’une expérience professionnelle de haut niveau en lien avec la science (sens large).
• être en poste permanent dans une fonction de recherche (quel qu’en soit le sujet) dans une structure publique ou privée reconnue (université, centre de R&D…), ou l’avoir été pendant au moins quelques années.
• être l’auteur de réalisations significatives dans un domaine en lien avec les questions environnementales (aménagement territorial, gestion de risques…).
Cette liste n'a aucun intérêt.
Ce qui compte en science c'est les publications sur un sujet.
Je peux te trouver des sédimentologues, des chimistes etc. qui te diront que la terre a 6000 ans. Ca prouve rien.
Si c'est "climato-réalistes" veulent prouver que le réchauffement climatique n'existe pas et il faut qu'il publie sur le sujet. Et si leur publication est rigoureuse il n'y aura aucun problème
Comme je suis d'un naturel généreux, je vous donne même les pistes d'études:
-Prouver que les mesures de température effectués partout sur le globe sont fausses
-Faire un modèle prenant en compte la physique, la chimie, les événements climatiques qui collent mieux aux observations de température que les modèles actuelles qui montrent que le réchauffement est d'origine anthropique.
Je vous donne même les données brutes (https://www.metoffice.gov.uk/hadobs/crutem4/data/download.html https://crudata.uea.ac.uk/cru/data/temperature/)
Il suffit de se mettre au boulot et si de la majorité des climatologues c'est que de la merde, ca devrait pas être trop compliqué à démontrer.
*si ces
C'est vraiment la merde de ne pas pouvoir éditer son texte. Surtout quand on écrit sur son téléphone avec le correcteur qui te valide/change des mots.
Les mesures de température actuelles sont vraies ,mais ce n'est pas pertinent de les comparer avec des reconstitutions de l'air emprisonné dans la glace qui au passage ne reste pas stable chimiquement pendant des milliers d'années et donc la marge d'erreur est du Degré ,alors + 0,85° C en 150 ans ? ( idem pour les cernes d'arbres )
Pour exemple prenons la canicule de 2019 en France qui serait due au forçage du Co2 donc à l'homme et essayons d'expliquer le canicule de 1719 (il y a 300 ans) où à Paris il y avait un climat Saharien avec invasion de sauterelles,la forte chaleur à durée de mi juin à mi septembre, la Seine s'approchait du niveau zéro hydrographique du pont de la Tournelle .
Il y a eu aussi 1705 ,1718 et bien d'autres, comme 2003 , 2018 et bien d'autres .
Qui connaît la température mondiale des continents et des océans avant le début du XXe siècle ? Comment peut-on les comparer avec les mesures précises actuelles ! Ce n'est pas sérieux !
Pourquoi deux événements météorologiques comparables n'auraient pas les mêmes causes ? 1719 et 2019 !
Le climat est une tendance sur quelques années ,il y avait des tendances identiques à l'âge du fer ,à l'époque romaine ect.... des changements climatiques abruptes se sont déjà produits (les archives de la Terre donnent la mesure du changement climatique actuel - Mme Masson-Delmotte ) la précision au degré de ces recherches n'est pas mentionné bien évidemment .
Ce matraquage sur le réchauffement ou changement climatique ,c'est du grand n'importe quoi , les indiens et d'autres civilisations avant eux faisaient des danses ou des sacrifices pour implorer la pluie ,il y avait donc sécheresses ou ils étaient neu-neu !
De nouveau vous affirmez beaucoup de choses sans l'ombre d'une étude scientifique pour appuyer vos dires.
Pouvez vous me donner les études scientifiques qui disent que climat et météorologie c'est la même chose. Que le réchauffement climatique est déduit des canicules actuelles.
Que le climat c'est juste une tendance sur quelques années
etc.
Je vais vous répondre point par point en donnant des sources. Parce que je n'aime pas que les gens me croient sur parole.
Les mesures de température actuelles sont vraies ,mais ce n'est pas pertinent de les comparer avec des reconstitutions de l'air emprisonné dans la glace qui au passage ne reste pas stable chimiquement pendant des milliers d'années et donc la marge d'erreur est du Degré ,alors + 0,85° C en 150 ans ? ( idem pour les cernes d'arbres )
Encore une fois vous devriez publier et démontrer que ce n'est pas pertinent.
La reconstitution des températures ne se basent pas seulement sur deux proxy (cernes d'arbres et air emprisonné dans les glaces).
Les reconstitutions utilisent au moins 8 proxies (comme on peut le voir dans la publication suivante où on peut avoir accés à toutes les données brutes https://www.clim-past.net/8/227/2012/cp-8-227-2012.pdf
ou encore une autre reconstruction ( https://science.sciencemag.org/content/339/6124/1198
Pour exemple prenons la canicule de 2019 en France qui serait due au forçage du Co2 donc à l'homme et essayons d'expliquer le canicule de 1719 (il y a 300 ans) où à Paris il y avait un climat Saharien avec invasion de sauterelles,la forte chaleur à durée de mi juin à mi septembre, la Seine s'approchait du niveau zéro hydrographique du pont de la Tournelle .
Il y a eu aussi 1705 ,1718 et bien d'autres, comme 2003 , 2018 et bien d'autres .
Pourquoi deux événements météorologiques comparables n'auraient pas les mêmes causes ? 1719 et 2019 !
Le climat et la météorologie c'est pas la même chose.
Je ne veux pas me montrer condescendant mais cette différence est expliquée au collège.
Je mets une des sources que vous utilisiez (Jancovici)
https://jancovici.com/changement-climatique/aspects-physiques/meteo-et-climat-cest-pareil/
Le climat est une tendance sur quelques années
C'est plus qu'incomplet. Le climat varie à différentes échelles de temps. Ca va du cycle des saisons jusqu'à des évoloutions prenant des millions d'années (refroidissement que la terre a connu depuis le milieu de l'ère tertiaire).
https://jancovici.com/changement-climatique/aspects-physiques/meteo-et-climat-cest-pareil/
Je ne comprends pas ce que vous essayez de faire dire à Mme Masson-Delmotte. Elle est climatologue. Elle fait des reconstructions de paléoclimat et ses travaux ne remettent absolument pas en cause l'origine anthropique du réchauffement climatique actuel.
Le climat est une tendance sur quelques années ,il y avait des tendances identiques à l'âge du fer ,à l'époque romaine ect.... des changements climatiques abruptes se sont déjà produits
Pouvez vous me donner une publication qui montre que des changements climatiques abruptes se sont déjà produits. Parce que à ma connaissance ca n'existe pas.
Ce matraquage sur le réchauffement ou changement climatique ,c'est du grand n'importe quoi ,
Le terme matraquage est faux. Les politiques en ont à peu près rien à carrer si on regarde leur programme pour la présidentielle de 2017.
Les climato sceptiques ou réalistes ou peu importe sont extrêmement présents dans les médias alors qu'ils ne publient pratiquement rien. Comme le montre cette étude sur les médias aux us
Les indiens et d'autres civilisations avant eux faisaient des danses ou des sacrifices pour implorer la pluie ,il y avait donc sécheresses ou ils étaient neu-neu !
Encore une fois vous confondez climat et météorologie...
J'ai une question toute bête. Comment expliquez que les modèles qui sont basés sur la physique, la chimie, les rejets de CO2 etc. fittent parfaitement avec les données de température que l'on observe.
le lien vers le modèle de l'Hadley Center
https://www.metoffice.gov.uk/research/approach/modelling-systems/unified-model/climate-models/hadcm3
Un exemple de modèle qui explique bien les variations depuis un siècle.
Proposez moi des modèles qui correspondent mieux à ce qu'on voit depuis un siècle et qui démontrent que le CO2 rejetait par l'activité humaine n'a aucune contribution.
* oups j'ai oublié le lien vers l'étude qui montre que les climatosceptiques ont une audience très importante dans les médias alors qu'ils publient pratiquement que dalle
Point par point
Le Climat est un résumé ou une statistique de la météo d'un lieu donné ,sur terre il y a plusieurs climats comme par exemple 5 ou 6 en France métropolitaine ,la France représente 1/930 de la superficie de la planète ,imaginez le nombre de climats !
Le Climat global ou mondial n'existe pas ! Il n'est pas possible de faire une moyenne entre l'Antarctique et le Sahara et pourquoi pas faire la moyenne des verbes " Aller "de toutes les langues ! sachant qu'il y a près de 6 000 langues dont certaines ont plusieurs verbes "Aller" comme en langue Russe par exemple qui en a 4 !
Le Climat a un rapport avec la météo ,pendant une ère glacière je doute qu'à Paris la météo affichait 18 ou 20° !
Je continuerai demain mais en attendant voici les changements abruptes
Les archives de la Terre donnent la mesure du changement climatique actuel
L'étude des climats passés révèle l'occurrence d'instabilités climatiques abruptes, liées aux non linéarités du fonctionnement de certaines composantes du climat, comme la circulation océanique. Exposé de la climatologue Valérie Masson-Delmotte.
A la lumière de l'amplitude et de la vitesse des changements passés, comment qualifier les changements climatiques en cours ? Depuis une cinquantaine d'années, des progrès considérables ont permis de quantifier la variabilité climatique jusqu'à des temps préhistoriques, grâce aux empreintes laissées par le climat dans les « archives naturelles ». Cette archéologie du climat permet de décortiquer le fonctionnement du « système Terre » et identifie des couplages étroits entre climat, cycle du carbone et cryosphère. Combinée à la modélisation des climats passés, elle permet également de comprendre la réponse du climat à un ensemble de perturbations externes - modifications de l'orbite terrestre, activité solaire et volcanique, modifications de la composition atmosphérique - à différentes échelles de temps.
Contributrice à la rédaction du 4e rapport du GIEC(1), Valérie Masson-Delmotte conduit depuis une quinzaine d'années des travaux de recherche sur les changements climatiques passés(2) au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (LSCE | CEA-CNRS-Université de Versailles-Quentin/Institut Pierre-Simon Laplace), à Gif-sur-Yvette. A partir de l'analyse des glaces polaires du Groenland et de l'Antarctique et des cernes des arbres, elle travaille sur l'évolution du climat à des échelles de temps allant des derniers siècles jusqu'aux glaciations. L'apport des climats passés sert aussi à tester le réalisme des modèles de climat et à étudier les instabilités abruptes des évolutions climatiques.
Quête du Graal
Et d'observer que le système climatique n'est pas linéaire : les calottes de glace se sont construites par couches successives, mais un petit changement d'ensoleillement a pu produire une réaction brutale. Exemple : lors de la dernière ère glaciaire, les carottes prélevées dans le Groenland montrent des augmentations de températures de 8 à 16°, d'une durée de quelques décennies à quelques siècles dans cette région du monde. La température moyenne a pu augmenter de 2° en 100 ans, au moment de la sortie de cette période glaciaire, déterminée par l'inclination orbitale de la Terre par rapport au soleil, mais aussi par deux rétroactions majeures(3) : la réponse du cycle du carbone aux variations climatiques, et la modification de l'albédo terrestre (la fraction du rayonnement solaire réfléchi par rapport au rayonnement incident) .
Vers un super interglaciaire : une situation sans analogue
Les glaces accumulées sur l'Antarctique Ouest sont plus anciennes que celles du Groenland. Elles ont 120.000 ans d'âge moyen et représentent 57 mètres de niveau des mers. « Comme il neige moins en Antarctique qu'au Groenland, il y a davantage de couches de glace, ce qui permet de remonter plus loin dans le passé », explique Valérie Masson-Delmotte. Prélevées dans des conditions extrêmes, les carottes du Dôme C de la station Epica retracent 800.000 ans d'archives. Ce défi baptisé Oldest Ice a permis aux scientifiques de déceler un système de bascule entre les deux hémisphères, qui s'avèrent être liés par des changements non synchrones. Les phases froides au nord coïncident avec de lents réchauffements en Antarctique (le plus rapide a été de +4°C en 1.000 ans), et les réchauffements abrupts du nord donnent lieu à de lents refroidissements au sud. « La cause de ces instabilités rapides est la bascule de transport de chaleur par les courants marins du Sud au Nord. La densité de l'eau de mer contrôle cette circulation thermohaline globale », commente Valérie Masson-Delmotte. « La variation de salinité est liée à des instabilités dans l'écoulement de l'eau de la surface des glaces qui interrompait littéralement ce grand tapis roulant océanique ».
La période chaude actuelle dure depuis 11.703 ans. Sait-on quand aura lieu la prochaine glaciation ? « On va vers un super interglaciaire », confirme Valérie Masson-Delmotte, en raison de faibles variations des paramètres orbitaux au cours des prochaines dizaines de millénaires. D'un point de vue chimique, la situation actuelle de l'atmosphère n'a pas d'analogue en regard du climat à l'échelle du dernier million d'années. Rapporté aux observations du climat passé, le réchauffement de 3°C (hypothèse médiane des modèles) qui se produira au cours du XXIème siècle est un changement abrupt, d'une amplitude comparable à une transition glaciaire-interglaciaire. Les derniers scénarios actualisés de la hausse du niveau des mers sont de l'ordre de + 1 mètre d'ici à 2100. L'édition 2010 de la stratégie française d'adaptation aux changements climatiques en a pris acte. Et les traces de l'époque industrielle se verront encore dans 1.000 ans. L'atmosphère contiendra 30% du CO2 actuel en 3012. Trace d'une parenthèse de l'histoire humaine.
Agnès Sinaï
https://www.actu-environnement.com/ae/dossiers/GIEC/GIEC_sommaire.php42/ En savoir plus sur la reconstruction des climats passés sur le site Internet du LSCE.
http://www.lsce.ipsl.fr/Phocea/Vie_des_labos/Ast/ast_sstheme.php?id_ast=16&archives=13/ Pour des explications détaillées, lire Climat, une planète et des hommes, Le Cherche Midi, 2011, co-écrit par 26 chercheurs, dont Valerie Masson-Delmotte et le Club des Argonautes.
le plus rapide a été de +4°C en 1.000 an
Le changement actuel est donc bien le plus abrupte mesuré. Il est sur le vingtieme siécle 3 fois plus rapide et les modèles prédictifs laissent à penser que pour le XXIème siècle il va être 10 fois plus rapide.
Votre source contredit ce que disiez un message plus haut
C'est assez dingue déjà sur le forum de l'émission de Didier Maïsto, vous citez régulièrement des travaux ou des scientifiques (Jancovici) qui disent l'inverse de ce que vous dîtes.
Est ce que Valerie Masson-Delmotte remet en cause le réchauffement climatique d'origine anthropique. la réponse est non
Voilà ce que dit Valérie Masson-Delmotte D'un point de vue chimique, la situation actuelle de l'atmosphère n'a pas d'analogue en regard du climat à l'échelle du dernier million d'années.R apporté aux observations du climat passé, le réchauffement de 3°C (hypothèse médiane des modèles) qui se produira au cours du XXIème siècle est un changement abrupt, d'une amplitude comparable à une transition glaciaire-interglaciaire
Valérie Masson-Delmotte explique bien que la situation actuelle de l'atmosphère (chimiquement) est unique à l'échelle du dernier million d'année. Elle explique aussi que l'amplitude est équivalent à celle d'une transition glaciaire-interglaciaire.
Seulement l'amplitude
La dernière transition glaciaire/interglaciaire (+4C) a pris 7000 ans environ
Une petite publie qui utilise 80 proxies pour déterminer les transitions glaciaires/interglaciaires.
https://www.nature.com/articles/nature10915
Est ce que Valerie Masson-Delmotte explique que des phénomène aussi abrupte de manière général (pas seulement en terme d'amplitude) que le réchauffement actuel ont déjà eu lieu.. La réponse est encore une fois non
Le Climat est un résumé ou une statistique de la météo d'un lieu donné ,sur terre il y a plusieurs climats comme par exemple 5 ou 6 en France métropolitaine ,la France représente 1/930 de la superficie de la planète ,imaginez le nombre de climats ! Le Climat global ou mondial n'existe pas ! Il n'est pas possible de faire une moyenne entre l'Antarctique et le Sahara et pourquoi pas faire la moyenne des verbes " Aller "de toutes les langues ! sachant qu'il y a près de 6 000 langues dont certaines ont plusieurs verbes "Aller" comme en langue Russe par exemple qui en a 4 !
Le Climat a un rapport avec la météo ,pendant une ère glacière je doute qu'à Paris la météo affichait 18 ou 20° !
Votre comparaison n'a aucun sens. En expliquant à partir de votre opinion personnelle que l'on peut pas étudier le climat global vous insultez tous les scientifiques qui eux travaillent et produisent sur ce sujet.
Je vous mets un lien vers la définition de ce qu'est la climatologie:
https://www.aquaportail.com/definition-13025-climatologie.html
Personne ne fait des moyennes entre les différents climats ca n'a juste aucun sens. Aucun climatologue ne fait Température du sahara+température de l'antarctique/2. Aucun modèle ne fait ca.
Vous affirmez encore une fois des choses sans preuve. Donnez moi un lien vers les modèles climatiques et/ou les publications qui s'y référent où il est expliqué que l'on fait la moyenne des climats!
Masson-Delmotte écrit :
... montrent des augmentations de températures de 8 à 16 ° ,de quelques décennies à quelques siècles .....si ça ce n'est pas abrupte comme changement !
Je dénonce la manipulation dont voici un exemple parlant
Masson-Delmotte invitée par l'AFD ( agence française de développement) le jeudi 18 octobre 2018 à 1h19mn de la vidéo dit : ...on sait que les records de pluie ont augmenté ...( exemple: événements dramatiques de Trèbes de 2018) .
E Tvoici ce que l'on sait:
Météo France. Sur le site de cette institution publique qui collecte les données sur les précipitations, on lit en effet : « En l’état actuel de l’analyse des observations, on ne note pas de tendance marquée à l’augmentation du nombre d’épisodes de pluies diluviennes dans le Sud-Est de la France (Figure 1) depuis qu’on peut les recenser de manière précise (à partir de 1958) ». A l’appui de cette affirmation qui contredit carrément le climatologue du CNRS, Météo France propose le graphique ci-après.
Et selon Vigicrues le record pour Trèbes date de 1891 avec 7mètres95cm,bien sur ce village se situe près de Narbonne ou comme tout le sud de la France subit de fortes pluies en septembre/octobre .
Ces gens comme Mme Masson-Delmotte ont une parole qui porte et regardez le "cinéma" que je doit faire que pour une affirmation ,qui a le temps de faire ça ?
Je m'étais promis de ne pas répondre.
Mais je réponds juste pour démontrer que c'est qui vous manipulez les faits.
Premièrement vous prenez les propos de Masson Delmotte quand ca vous arrange. Deuxième vous travestissez les propos de Masson Delmotte.
Masson-Delmotte écrit :
... montrent des augmentations de températures de 8 à 16 ° ,de quelques décennies à quelques siècles .....si ça ce n'est pas abrupte comme changement !
La belle manipulation que voilà la phrase exacte de Masson Delmotte:
lors de la dernière ère glaciaire, les carottes prélevées dans le Groenland montrent des augmentations de températures de 8 à 16°, d'une durée de quelques décennies à quelques siècles dans cette région du monde.
Peut être que pour vous le Groenland représente toute la terre mais ca contredirait ce que vous disiez plus haut. Quelle belle méthodologie que de tronquer les phrases des gens pour leur faire dire ce que l'on veut.
Dans la video de Masson Delmotte à L'AFD à 1h19 https://vimeo.com/295986064
Elle dit bien que l'on sait que les records de pluie ont augmenté
Sur le site de météo france http://pluiesextremes.meteo.fr/france-metropole/Evolution-des-pluies-mediterraneennes-et-changement-climatique.html
Vous ne mettez que la première phrase. C'est vraiment pas beau ca.
Regardons donc le texte en entier
En l’état actuel de l’analyse des observations, on ne note pas de tendance marquée à l’augmentation du nombre d’épisodes de pluies diluviennes dans le Sud-Est de la France (Figure 1) depuis qu’on peut les recenser de manière précise (à partir de 1958).
L’analyse de près de 700 longues séries de maxima annuels des pluies journalières en France sur la période 1947-2010 (Soubeyroux et al, 2015) a montré que sur les régions méditerranéennes plus de 80 % des séries présentaient une tendance à la hausse même si cette hausse était significative du point de vue statistique pour seulement 10 % d’entre elles.
En considérant particulièrement la période postérieure à 1985, la significativité des tendances sur la zone des Cévennes concerne plus de la moitié des séries (Blanchet et al, 2016).
Une étude produite suite aux événements de l’automne 2014 (Vautard et al, 2015) sur une sélection de 14 séries quotidiennes de référence (issues de travaux d’homogénéisation) de la région des Cévennes a montré une augmentation des précipitations intenses quotidiennes d’environ 4% par décennie (fourchette d’incertitude entre +0 et +10%) depuis le milieu du XXème siècle, réduisant la durée de retour des événements de l’automne 2014 d’un facteur 3. Rapportée au réchauffement observé dans cette région, cette intensification des précipitations extrêmes correspond à un taux dépassant 7% par °C, plutôt supérieur à celui simulé par les modèles de climat. Différents indices laissent penser qu’au moins une partie de la tendance observée est due au réchauffement.
En fait les modèle climatique semble sous estimer ce que l'on observe.
Et selon Vigicrues le record pour Trèbes date de 1891 avec 7mètres95cm,bien sur ce village se situe près de Narbonne ou comme tout le sud de la France subit de fortes pluies en septembre/octobre .
Ces gens comme Mme Masson-Delmotte ont une parole qui porte et regardez le "cinéma" que je doit faire que pour une affirmation ,qui a le temps de faire ça ?
De nouveau vous prenez un exemple qui va dans votre sens. Une recherche de deux secondes sur le site de météo france (source que vous utilisez)
http://pluiesextremes.meteo.fr/france-metropole/Fortes-pluies-sur-le-Sud-Est.html
En 2018 le record a été battu dans 7 villes... Ce qui ne prouve pas le réchauffement climatique, ni l'infirme. C'est un phénomène isolé qui ne dit rien de l'évolution du climat. C'est la fréquence qu'il faut regarder.
Ensuite même Masson Delmotte se planterait (ce qui ne semble pas être le cas si on lit tout le texte) dans une conférence sur une observation scientifique. Le truc qui peut arriver tout le monde. En quoi ca remettrait en cause les modèles climatiques? La réponse c'est en rien.
Je résume donc votre méthodologie.
Vous ne lisez pas les publications scientifiques. Vous tronquez ce que disent les personnes pour leur faire dire ce que vous voulez. Vous allez chercher des petites phrases dans des conférences de vulgarisation pour essayer de démontrer une manipulation (lol) à partir d'une phrase qui n'est même pas fausse d'un seul chercheur.
Vous travaillez pour le Haut Conseil pour le Climat !
Merci pour vos réponses.
Je pense avoir compris qu'il y a bien une fluctuation climatique 'globale' ,il serait anormal que le Climat reste stable même pendant quelques décennies , je me souviens que mes parents disaient 'ah ! quelle belle journée !' alors que maintenant pour exactement la même météo à la même date ( une tranche climatique s'est écoulée ) nous entendons 'il fait chaud ,c'est le dérèglement climatique ,c'est la faute du Co2 anthropique ! '
La croyance de vivre des événements exceptionnels anormaux n'est que le reflet d'une sur information orientée !
Cordialement .
A bientôt
Attendons une vingtaine d'années pour constater les tendances ,sachant que le pourcentage de Co2 va augmenter énormément ,Inde ,Chine,Afrique,Russie,Brésil,ect... vont se charger de faire ronfler les centrales thermiques à charbon dont la France à travers EDF apporte son savoir-faire pour l'installation de centrales sepercritiques .les gens veulent sortir de la pauvreté et la clé de voûte est l'électricité pilotable et pas chère ( le nucléaire en fait parti)
Voilà aussi pourquoi je ne crois pas aveuglément tous ces rapports dont on nous rebat les oreilles ,la manipulation existe sur le réchauffement climatique !
Rétractation d’un article de « Nature » sur le réchauffement des océans
29 septembre 2019 / Association des climato-réalistesQuand la science climatique hoquette
Par Rémy Prud’homme, Professeur des universités (émérite)
Le 31 octobre 2018, la prestigieuse revue scientifique Nature publiait un important article sur le réchauffement des océans. Cet article était signé d’une demi douzaine de chercheurs d’institutions réputées (Université Princeton, Université Fudan de Shanghai, Centre de recherche sur les océans de Kiel), y compris un Français cumulard, qui se déclare affilié à la fois à l’Ecole Normale Supérieure, à l’Ecole Polytechnique, à l’Université Sorbonne, et au CNRS. Répétons-le : il ne s’agissait pas d’un article publié par un débutant dans une revue de deuxième ordre, à prendre avec prudence, mais de ce qui se fait de plus solide en matière de science climatique.
Cet article démontrait que les océans se réchauffent bien plus rapidement qu’on ne le pensait jusqu’alors, et donc que la « sensibilité climatique » – l’augmentation de la température moyenne du globe causée par un doublement de la teneur en CO2 de l’atmosphère – est bien plus élevée que ce que l’on croyait, en bref que nous allons griller encore plus tôt que prévu. Le doute n’était pas permis, la science climatique avait parlé.
En réalité, elle avait hoqueté. L’article était bidon. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est la science elle-même qui le reconnaît. Nature a demandé aux auteurs de retirer leur article, ils se sont exécutés et ils ont, la queue entre les jambes, publié en septembre 2019 dans Nature une « rétractation ».
Ce trébuchement de la science donne à penser. Il ne dit rien ou pas grand chose sur l’avenir de la planète, mais il éclaire trois ou quatre points.
Le premier concerne la complexité de la science climatique. Les auteurs sont des océanographes réputés, dont la démonstration repose sur des analyses statistiques. On peut être bon océanographe et mauvais économètre. Le chercheur amateur qui a débusqué le lièvre est peut-être un mauvais océanographe, mais il est un statisticien sérieux, et il trouvé une erreur (au demeurant assez grossière) dans les calculs effectués.
Le second se rapporte à la faillibilité du système de publication sur lequel repose la science. La pluralité des auteurs assure en principe la correction des erreurs que tout un chacun peut commettre. Surtout, la relecture à l’aveugle par au moins deux experts indépendants du manuscrit envoyé à la revue, ce qu’on appelle la révision par les pairs, est supposée empêcher la publication des articles indignes. La qualité, la crédibilité, d’une revue dépend de l’efficacité de ce processus. En l’occurrence, il n’a évidemment pas bien fonctionné. Le peer-reviewing a été un pire-reviewing. Si cela arrive avec Nature, cela doit arriver plus souvent encore avec des revues moins prestigieuses. Il ne s’agit pas de jeter le bébé avec l‘eau du bain et de condamner ce procédé. Mais il convient d’être critique, et de pratiquer le doute cartésien : on a besoin de climato-sceptiques.
Le fait que les conséquences de l’article allaient dans le sens du réchauffisme (ou de l’écologisme comme dit Bruno Durieux) dominant explique sans doute en partie ce fiasco. Ce fait a pu émousser l’esprit critique des réviseurs. Il explique certainement l’ampleur et la chaleur de l’accueil médiatique de l’article. Des dizaines de « grands journaux » ont titré en première page : « la science prouve que le réchauffement s’accélère ». Gageons qu’ils ne donneront pas la même ampleur à la rétractation intervenue.
On notera enfin que le système scientifique a en l’espèce plutôt bien fonctionné. Le David amateur qui a refait les calculs et lancé l’alerte a finalement triomphé des Goliaths patentés qui s’étaient trompés. Nature a eu l’honnêteté de le reconnaître. La science ne s’en sort pas si mal. Comme on voudrait que les médias et les politiques fassent sur ce sujet la moitié du même chemin !
Cet exemple montre que la science ne fonctionne pas si mal. Un article est publié, il contient des erreurs il a été dégagé.
Pas mal de commentaires de Remy Prudhomme sont de mauvaises fois. Les personnes qui ont reviewés ne sont peut être pas statisticiens tout simplement. C'est juste normal qu'il y ait des erreurs et ensuite on les corrige. Ce que fait la revue Nature pour le coup.
Et pour les modèles et les observations c'est des milliers de modèles. Pas une publication isolée.
Maintenant j'attends pour une fois que vous répondiez à une de mes questions.
Encore une fois si les modèles climatiques ne sont pas bons. Toutes les données brutes sont trouvables.
Pourquoi si les milliers de gens qui ont bossé en climatologie sont des gros nuls ou des menteurs, personne n'a réussi à proposer un meilleur modèle ?
Je vous mets les liens vers les données brutes ( 2 centres mais il y en a au moins 3 autres si ca vous intéresse de comparer) parce que je sens une grosse envie chez vous ne démontrer que les climatologues se trompent.
https://data.giss.nasa.gov/gistemp/
https://www.metoffice.gov.uk/hadobs/
*Et pour les modèles et les observations c'est des milliers de publicationsPas une publication isolée.
Je ne dis pas que les modèles climatiques sont mauvais ! je dis simplement que tous sont réalisés sur une planète synthétique et que pour l'instant ils font surchauffer la réalité , mais il n'y a pas mieux !
Je ne veux rien démontrer , les scientifiques sont bons .
j'observe c'est tout .
Je suis informé surtout par les médias comme celui ci ou nous échangeons , par les résumés pour décideurs ,par des vidéos de gens compétents .
Quoi que nous disions , ça ne changera pas la réalité a venir !
Nous verrons bien !
métaboliser le changement climatique ! Ah, si c'était possible, de le transformer, de le réduire en petits morceaux, le changement climatique ! Arrêtons d'utiliser un vocabulaire scientifique hors de propos !
Ben oui quoi... moi d'abord... Les autres après ! On verra... (ça va, j'ai bien métabolisé votre chronique, Daniel ?)
Je ne veux pas en rajouter, mais quand vous dites "Greta Thunberg, comme une très grande partie de sa génération, a naturellement métabolisé", je pense que c'est une erreur. Oui une bonne (grande ?) partie de la jeunesse d'une certaine classe sociale favorisée a pris conscience du problème majeur qui nous préoccupe. Mais je ne pense pas que ce soit le cas de la jeunesse de l'autre classe sociale, la défavorisée, la plus nombreuse.
"Les gens souffrent, les gens meurent, des écosystèmes entiers s’effondrent.Nous sommes au début d'une extinction massive & tout ce dont vous parlez, c’est d’argent & de contes de fées d'une croissance économique éternelle"
il n'empêche que :
Le président de la République et le Premier ministre abordent septembre avec respectivement 36% et 38% de bonnes opinions, selon le baromètre politique.
qu'est-ce qu'il vont aller s'emmerder à se remettre en question ?
Macron invite les jeunes à aller dépolluer des plages. Poirson invite Thunberg à se retrousser les manches. La capitulation de la politique face à l'économique est actée. Ces gens ne représentent plus rien que la collaboration. Mais ils ne se sentent aucune responsabilité, car que peuvent-ils si dans ce système la majorité du peuple ne se constitue pas dans une résistance héroįque ? Je suis calme de tempérament, mais ces derniers temps, je sens que j'atteinds mes limites.
Je pense néanmoins que l’erreur serait de se laisser entrainer par ses émotions.
L’émotion, elle laisse à penser que la voiture électrique ne pollue pas, que le diesel est toujours moins bien que l’essence, que les camions au gaz c’est toujours mieux que les camions au diesel, qu’il faut vite aussi abandonner le nucléaire et que l’éolienne et le solaire sont la solution à tous les problèmes.
On s’est affranchis de cette émotion pour accepter l’idée quotidiennement empiriquement démentie que la terre tourne autour du soleil et non l’inverse. Et pour accepter que le climat se réchauffe et que c’est à cause de l’homme.
Alors, dans les solutions à ce problème climatique, il faut aussi faire les évaluatiosn techniques et scientifiques nécessaires pour éviter les fausses bonnes idées qui coûtent de l’énergie et ne règlent rien voire empirent la situation.
Métaboliser ?
Ce qui me rappelle je ne sais plus qui, pris d'une envie de pisser irrépressible au milieu de je ne sais plus quelle réunion, se lève et dit à la cantonade avant de sortir : "urgence métabolique !"
Plutôt que de comprendre, métabolisons.
Je n'avais pas écouté notre président ni sa secrétaire d'état.
On touche le fond du fond avec ces blaireaux (métaphore anomale pour la biodiversité).
"S'asseoir autour d'une table pour se retrousser les manches et réfléchir à des solutions" on reconnait bien là nos DRH complétement déconnectés.
Quand à aller nettoyer les plages on l'a déjà fait dunoeud et par rapport à un voyage en jet d'un milliardaure et tes convois de voitures quand tu te déplace il y aurait un problème que Greta aurait vu avant toi?
Ils soont définitivement nuls (et je suis gentil).
"S'asseoir autour d'une table pour se retrousser les manches ", c'est un élément de langage récurrent du gouvernement qu'on entend depuis quelques mois sur cette question. Ils ne savent répondre que ça. On travaille, nous !
Sauf que, est-ce aux citoyens de trouver des solutions ? Qui a fait les grandes écoles ? Qui a accepté un poste à l'exécutif ? On pourrait leur répondre que c'est à eux de trouver des solutions, de résoudre les problèmes. C'est leur boulot, pas nécessairement le nôtre. Et puis, c'est se moquer du monde quand on sait ce qu'ils font de nos avis dans les "grands débats", les "grandes consultations", les "comités ceci ou cela".
En résumé, ils n'agissent qu'à la marge, bien insuffisamment, ils n'écoutent pas et ils nous disent ensuite de venir travailler avec eux.
Le Guardian commence-t-il à métaboliser ? Surprenant article pour un journal qu'on ne qualifierait pas d'étendard de la gauche radicale…
https://www.theguardian.com/commentisfree/2019/sep/19/life-earth-wealth-megarich-spending-power-environmental-damage
Macron lui métabolise derrière la table
Y a un problème, on fait une réunion
mais c'est lui qui parle et dirige
Gilets Jaunes : Grand Débat
Climat : Convention Citoyenne
Macron est capable d'aller voir un mourant et de lui proposer une table ronde
Cela me rappelle une réplique habituelle d'un feuilleton radiophonique Britannique qui dure depuis les années 50,
The Archers : y a un problème, "let's boil the kettle" uniquement pour boire une bonne tasse de thé, pas trop pour réfléchir
Maintenant sur la condamnation de la France et l'Allemagne quand on a Ikea sous la main... tandis que Trump s'attribue le Nobel de la Paix
Cqfd. Bravo !
Après l'ADN mis à toutes les sauces voici le métabolisme. Utilisation par des gens qui n'ont aucune idée de la physiologie, puisque justement le métabolisme permet de détruire ce qu'on mange en petits morceaux pour utiliser les "briques" pour faire autre chose dans le corps. Le terme me paraît totalement foireux.
plus que retourner l'emballage,
arrêtons la production et donc la vente de tous ces produits dangereux pour la santé, exemples : le scandale des poches d'eau dans les pays pauvres, les boissons trop sucrées et aux multiples additifs...
il devrait y avoir obligation de robinets d'eau gratuite à la place de chaque distributeur et bientôt chacun aura dans son sac un petit gobelet pour se servir
DS: "Ça donne la mesure du chemin restant à parcourir."
Oui...sauf que le chemin, il commence sérieusement à être derrière nous, non?...
A-t-on si bien métabolisé quand on croit encore que les systèmes politiques et économiques actuels contiennent la solution ?
Ces gens là sont des criminels. Pires que les nazis, en fait. Les morts vont se compter en centaines de millions. Il faut les arreter.
d'abord arreter de travailler pour eux. Ensuite arreter d'utiliser leurs monnaies (euros, dollards). Et enfin creer des oasis de vie, autonomes en energie, nourriture et justice.
et bientot il faudra les neutraliser: les empecher de continuer à tout detruire et les mettre devant leur irresponsabilité criminelle.
Tiens... Je n'ai pas encore métabolisé alors ....!
Mais est-ce que ça n'a pas toujours été le cas ?
On a connu la menace communistes qui chez certains était obsessionnelle aussi au point de mettre en place le genre d'opération Condor mettant à feu et à sang toute l'Amérique du sud...
Sauf que là c'est pour le bien de la planète ( ah merde, c'est ce qu'ils disaient aussi les Kissinger et autres consorts )
Oups.......Je sens que je vais en énerver plus d'un...
;-))
"Greta Thunberg, gonflée de colère, ne devrait pas lancer "comment osez-vous ?" aux dirigeants qui l'écoutent."
Et qui l'applaudissent passionnément. Cela m'a semblé indécent, limite obscène. Désespérant en tout cas. Lamentable. Comment osent-ils?
Pourquoi consigner les emballages plastiques qui de toute façon nécessitent des opérations de transformation pour être recyclé et qui d'autre part ne peuvent être inclus dans une économie circulaire puisque le plastique se détériore à chaque recyclage. Si on peut faire des polaires avec des bouteilles plastiques, les polaires ne sont pas recyclables.
Par contre la consigne des bouteilles de verre permettrait non pas leur recyclage mais leur réutilisation, qui demande infiniment mois d'énergie, et qui permettrait à terme de remplacer le plastique pour les emballage de liquide.
Encore une utilisation biaisée de l'argument écologique pour perpétuer une pratique polluante, l'usage des matière plastiques.
Exactement comme les vignettes crit'air dont le seul critère est l'age de la voiture, ce qui abouti à considérer une twingo de 2005 comme plus polluante qu'une porche Cayenne de 2015 (véhicule V8 de plus de 2 tonnes!). Bref on utilise l'argument écologique pour inciter à acheter des voitures.
On dirait bien que Daniel commence à métaboliser ?
Je me demande combien de temps ça va prendre dans le reste de la population.
Ça donne surtout la mesure que ce n'est pas ces gens là qui nous sortirons de la situation dramatique où l'on se trouve (politique, financier, industriel, bourgeois, média moutonnier…). Plus le temps passe, plus, inexorablement, je me surprends à penser que l'on échappera pas à la violence pour changer d'horizon et pourtant, pourtant, ça n'était pas moi qui pensais comme ça il y quelques années…